Il veut permettre aux Africains d’acquérir des compétences dans les domaines qu’ils veulent. Sa mission est de révolutionner l’apprentissage des connaissances pratiques en Afrique.

Dahou Meziane (photo), informaticien et entrepreneur algérien, est le fondateur et PDG de BrainerX, une start-up lancée en 2023. Son objectif est de fournir aux Africains les moyens d’enrichir leurs connaissances et d’exceller dans les domaines qui les passionnent.

A travers son application mobile, BrainerX offre une variété de cours pratiques, couvrant des sujets tels que la cybersécurité, la programmation, la science des données, le commerce électronique, le design graphique, l’UI/UX, la robotique et l’intelligence artificielle. En outre, l’entreprise propose des formations en marketing numérique et en entrepreneuriat.

BrainerX va au-delà de la simple offre de cours en organisant des événements tels que des hackathons, des ateliers et des sessions de réseautage. Ces initiatives visent à favoriser la collaboration entre les entrepreneurs et les professionnels. De plus, des compétitions sont organisées pour permettre aux membres de la communauté de se surpasser, de rivaliser avec leurs pairs et d’être récompensés pour leurs réalisations.

En plus de son engagement avec BrainerX, Dahou Meziane est également le fondateur et le directeur général d’Oktobit, une boutique en ligne spécialisée dans la vente d’ordinateurs portables et d’accessoires informatiques. Oktobit propose une gamme de produits adaptés à différents profils de clients, qu’il s’agisse d’étudiants, de programmeurs, de graphistes ou de joueurs.

Diplômé de l’Ecole nationale supérieure d’informatique (ESI) d’Algérie, où il a obtenu un master en informatique en 2022, Dahou Meziane a débuté sa carrière professionnelle en 2013 en tant que développeur d’applications mobiles au centre de formation Cible Vision. En septembre 2020, il rejoint la Société algérienne d’assurance (SAA) en tant que développeur mobile stagiaire, avant de travailler comme ingénieur Android chez SoBiapi en 2022.

Melchior Koba

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Après une licence en biologie à l’université de Korhogo en 2014 et un certificat d’entrepreneuriat au sein du Founder Institute 2016, ce jeune Ivoirien se lance à l’assaut du monde l'entrepreneuriat numérique. Il opte pour les technologies de l’éducation.

Etudesk LMS est une plateforme edtech développée par une jeune pousse ivoirienne. Elle offre aux utilisateurs la possibilité de concevoir des formations en ligne directement depuis son interface web. Fondée en 2016 par Lamine Barro, cette start-up, établie à Abidjan, se positionne sur le marché de l'éducation numérique.

La solution ne dispose pas d’une application mobile. Il faut passer par le navigateur pour créer son compte puis une page où les formations seront accessibles. L’utilisateur a le choix entre une formation asynchrone, c’est-à-dire un enseignement individuel où les participants n’ont pas d’interactions, ou une cohorte où il y a un groupe de participants qui peuvent interagir. La formation peut être uniquement en ligne ou du blended learning, mode d'apprentissage mixte qui combine le présentiel et l'enseignement à distance.

Après avoir effectué ces choix, il pourra mettre les documents et les vidéos sur la page et créer les différents modules de formation. Après cette étape, l’utilisateur pourra partager les liens de ses formations via divers canaux notamment les réseaux sociaux.

Etudesk embarque plusieurs fonctionnalités pour faciliter la gestion des cours en ligne. Entre autres, l’edtech permet d’évaluer les compétences des apprenants grâce à des activités pratiques et des quiz avec notation automatique au choix, de programmer les sessions de visioconférence directement via la plateforme ou encore d’échanger à tout moment avec votre classe via les forums de discussions groupées.

L’edtech propose plusieurs forfaits dont un plan gratuit. Quant aux autres forfaits, ils sont respectivement facturés à 69 $, 169 $ et 299 $ par mois. Des réductions sont effectuées si l’utilisateur opte pour les plans annuels. Outre le gratuit qui est toujours inchangé, l’edtech fait payer 10 mois sur 12 aux utilisateurs qui optent pour le plan annuel.

Adoni Conrad Quenum

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Le Maroc est le quatrième pays africain a bénéficié du programme de formation aux compétences numériques de l’Alliance mondiale de l’alphabétisation de l’organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture, après la Côte d’Ivoire, l’Egypte et le Nigeria.

Les autorités marocaines, en partenariat avec l’organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO) et l'entreprise chinoise de technologie Huawei, ont lancé le mardi 23 avril un programme visant à améliorer les compétences numériques des enseignants, en l’occurrence les éducateurs en alphabétisation. L’objectif est de renforcer, d’ici 2025, les compétences numériques de 10 000 éducateurs en alphabétisation. L’annonce a été faite via un communiqué de presse publié le lundi 30 avril.

« L'alphabétisation est le fondement de l'apprentissage tout au long de la vie et un moteur du développement durable et participatif. A la lumière de la transformation numérique, il est essentiel que l'enseignement de l'alphabétisation tire parti de tout le potentiel de la technologie. Nous sommes fiers de soutenir le royaume du Maroc en tant que membre de l'Alliance mondiale pour l'alphabétisation de l'UNESCO en améliorant les compétences numériques de 10 000 alphabétiseurs d'ici 2025 », a déclaré Isabell Kempf, directrice de l'Institut de l'UNESCO pour l'apprentissage tout au long de la vie (UIL).

Le programme s'inscrit dans le cadre de la stratégie nationale de numérisation de l'éducation, elle-même un pan de la stratégie Maroc Digital 2030, qui vise à faire du royaume chérifien un leader régional en matière d'éducation numérique. En novembre 2023, le gouvernement marocain s’est associé avec la société américaine Oracle pour développer les compétences numériques dans l’enseignement supérieur, permettant ainsi aux professeurs et aux étudiants d’accéder à des formations, des ressources d'apprentissage ou encore à des logiciels spécialisés.

In fine, la mise en œuvre de cette initiative permettra d’améliorer la qualité d’enseignement au Maroc, de mieux préparer les élèves à l'ère numérique et de réduire la fracture numérique dans le royaume.

Adoni Conrad Quenum

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Le Guinée a engagé la numérisation des services publics. Cette initiative, dont l’objectif est de permettre aux pays de tirer profit de l’économie numérique, doit mettre à contribution les travailleurs de ce secteur.

Le Premier ministre guinéen, Amadou Oury Bah (photo), a lancé le mercredi 24 avril deux plateformes numériques dédiées à l’efficacité de l’administration. Ces plateformes, nommées « e-Learning » et « e-conseil », visent à moderniser les processus administratifs en offrant des outils de formation et de gestion innovants.

La plateforme « e-Learning » a été développée en collaboration avec l'Agence nationale du service universel des télécommunications et du numérique. Elle propose des cours en ligne accessibles avec ou sans connexion Internet, permettant aux fonctionnaires d'accroître leurs compétences dans divers domaines et de se familiariser avec l’outil informatique. A la fin de la formation, les participants peuvent obtenir un certificat vérifiable attestant de leur réussite.

Quant à la plateforme « e-conseil », elle est destinée à être utilisée par les différents départements administratifs pour automatiser la transmission de leurs activités. Elle permettra aux membres du Gouvernement de collaborer à distance, contribuant ainsi à la préparation des conseils interministériels et des réunions du cabinet ce qui représente un gain de temps considérable. La sécurité de cette plateforme est garantie par des solutions extrêmement sécurisées conformes aux normes internationales, avec les données hébergées à l'Autorité de régulation des postes et Télécommunications (ARPT).

Le déploiement de ces deux plateformes s'inscrit dans le cadre des efforts du gouvernement guinéen visant à numériser et à moderniser son administration. Ces solutions numériques devraient permettre aux fonctionnaires d'acquérir les compétences minimales en TIC nécessaires pour s'adapter à la transformation numérique en cours dans le pays. Leur mise en oeuvre intervient quelques jours après un atelier au cours duquel le Premier ministre avait sonné la mobilisation générale pour accélérer la numérisation de l'administration publique en Guinée.

Samira Njoya

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Fort d’une expérience de plus de 20 ans en tant qu’entrepreneur à succès, il a créé et géré plusieurs entreprises dans le domaine numérique et technologique. Sa dernière entreprise se consacre à aider d’autres jeunes à progresser dans leur parcours entrepreneurial.

Taoufik Aboudia (photo), cofondateur et président-directeur général d’Emerging Business Factory, est un entrepreneur marocain. Avec son entreprise, il soutient et promeut la croissance des jeunes entrepreneurs technologiques dans son pays.

Fondé en 2015, Emerging Business Factory est un incubateur privé technologique. Revendiquant être le premier écosystème de start-up dans la région de Marrakech-Safi, il accompagne les start-up innovantes dans leur croissance en leur offrant non seulement un financement, mais aussi un environnement propice à l’échange d’expertise, à l’innovation et au réseautage.

En plus de ses programmes d’incubation, Emerging Business Factory propose un espace de coworking où les entrepreneurs peuvent travailler et collaborer. Il fournit un hub créatif pour stimuler la créativité de ses résidents et concrétiser leurs idées. Par le biais de son école du digital, l’incubateur offre également des formations régulières pour aider les entreprises à mieux comprendre les enjeux numériques et à numériser leurs activités.

Outre ses activités avec Emerging Business Factory, Taoufik Aboudia est aussi directeur général de Tamwil, une plateforme numérique de recherche de financement pour les entrepreneurs marocains. De plus, il préside l’instance consultative chargée des questions relatives aux jeunes du conseil régional de Marrakech-Safi.

Taoufik Aboudia est titulaire d’un diplôme d’études supérieures appliquées (DESA) en histoire des sciences obtenu en 2005 à l’université Mohammed 5 – Agdal Rabat.

Entrepreneur en série, le Marocain a cofondé plusieurs autres start-up comme Ayour.net en 1999, Webpick en 2009 et Wideonet en 2016. Ayour.net est un ancien site d’information marocain et Wideonet est un générateur de vidéos personnalisées en fonction de données. Webpick, quant à elle, est une agence digitale spécialisée dans la création de supports web et mobiles.

Melchior Koba

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Ces dernières années, l'écosystème de l'innovation dédié aux événements sportifs a connu une montée en puissance, avec l'émergence de start-up très prometteuses. Afin de soutenir ce secteur en pleine expansion, des initiatives se multiplient en faveur de l’Afrique.

La National Basketball Association (NBA), le championnat professionnel de basketball américain, a annoncé le jeudi 25 avril le lancement du « Triple-Double: NBA Africa Startup Accelerator », un accélérateur basé sur le continent et destiné aux start-up africaines en phase de démarrage dans le secteur sportif.

L’initiative vise à soutenir l’écosystème technologique de l’Afrique et la prochaine génération d’entrepreneurs technologiques africains en leur fournissant un accès à du mentorat et du capital pour promouvoir la croissance.

Exploité par ALX Ventures, un incubateur technologique de premier plan, le Triple-Double: NBA Africa Startup Accelerator s’adresse aux jeunes pousses africaines qui développent des solutions de gestion et de billetterie événementielles, d’accompagnement de la jeunesse, d’intelligence artificielle et de marketing numérique dans les industries du sport et de la création.

Le lancement du nouvel accélérateur s’inscrit dans le cadre de l’initiative Digital Transformation with Africa (DTA) lancée en 2022 par le président américain, Joe Biden. Cette initiative vise à renforcer la coopération entre les Etats-Unis et les pays africains dans le domaine de la transformation numérique. Elle s'aligne également avec la stratégie africaine du département américain du Commerce, qui vise à stimuler les investissements dans des projets prioritaires en Afrique et à soutenir le développement économique du continent.

Pour sa première cohorte, le Triple-Double: NBA Africa Startup Accelerator sélectionnera dix start-up qui se verront attribuer des mentors, composés de dirigeants de NBA Afrique et d'ALX, ainsi que d'autres acteurs du secteur privé, qui fourniront des conseils en mettant l'accent sur le développement de produits, la croissance commerciale et la stratégie de mise sur le marché.

Lors de la journée de démonstration à New York en septembre, les start-up sélectionnées seront invitées à présenter leurs produits à un panel de dirigeants sectoriels des Etats-Unis, d'Afrique et du monde. A l'issue, quatre entreprises lauréates bénéficieront d'un soutien financier, d'un mentorat et de l’opportunité de travailler avec NBA Afrique et la Basketball Africa League (BAL) sur leurs initiatives actuelles et futures sur le continent.

Les start-up dans le domaine du sport intéressées ont jusqu’au 31 mai pour s’inscrire à l’adresse TripleDoubleAccelerator.NBA.com.

Samira Njoya

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EMpact est présent sur plusieurs marchés dans le monde. Pour ses premiers pas en Afrique, la firme a opté pour la Côte d’Ivoire.

Pour le lancement de ses activités en Afrique de l’Ouest, le Studio EMpact, une entreprise d’investissement américaine qui soutient les initiatives entrepreneuriales de jeunes talents afin d’accélérer les start-up au service des chaînes de valeur essentielles dans les marchés frontières, a choisi l’Institut national Polytechnique Félix Houphouët-Boigny (INP-HB) et l’Université Internationale de Grand Bassam (IGUB) de Côte d’Ivoire comme partenaires académiques.  

Il est attendu que le programme stimule les innovations dans la chaîne de valeur agricole tout en encourageant les pratiques durables. Cela non seulement en Côte d’Ivoire, mais dans toute la région ouest-africaine, où le studio compte se déployer dans d’autres pays.

Dans ce contexte, des étudiants, anciens et actuels, des universités partenaires ou non bénéficieront d’un encadrement en tant qu'entrepreneurs grâce à une formation hybride dispensée par les institutions universitaires partenaires et le programme mondial d'EMpact. Après la formation, suivra la phase d’incubation puis un accélérateur de start-up pour proposer aux incubés un mentorat continu et une formation continue.

Pour les partenaires ivoiriens, notamment l’INP-HB, ce programme va jouer un rôle fondamental dans le développement de l’entrepreneuriat agricole et par ricochet de l’économie africaine, fortement soutenu par ce secteur.

« L'un des principaux défis auxquels nos pays sont confrontés est la création d'emplois et le placement de nos jeunes diplômés. Ce partenariat est une réponse pertinente à la croissance du chômage des étudiants car il renforce les liens entre notre système de recherche et la valorisation des résultats à travers des entreprises innovantes. L'agriculture, qui reste l'un des piliers du développement des pays africains, en est la première bénéficiaire. L'esprit d'entreprise connaît un essor sans précédent dans notre région, ce qui rend ce partenariat encore plus pertinent et opportun pour nous », a déclaré le directeur général de l'INP-HB, Moussa Diaby (photo, à gauche).

Le studio EMpact en Afrique de l’Ouest sera calqué sous le modèle déjà opérationnel au Guatemala, en Amérique centrale. En 2025, le studio EMpact prévoit d'inclure d'autres marchés frontières, tels que ceux d'Asie centrale, et de commencer à interconnecter ces marchés par le biais d'une pollinisation croisée des idées, en capitalisant sur leurs similitudes et complémentarités organiques.

Vanessa Ngono Atangana

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Elle a fait ses études universitaires en informatique à Londres. De retour en Gambie, elle œuvre désormais pour le développement de son pays en encourageant l’entrepreneuriat et l’innovation technologique.

Beran Dondeh Gillen (photo) est une entrepreneure et une informaticienne gambienne. Cofondatrice et présidente directrice générale de The Hub, un incubateur et un hub technologique fondé en octobre 2019, elle s'efforce de combler les lacunes existantes dans le paysage entrepreneurial de la Gambie.

The Hub s'engage à accompagner les entrepreneurs dans leur croissance en offrant des programmes d'incubation, de formation et d'accélération, ainsi que des sessions de mentorat et de coaching, tout en fournissant des espaces de travail collaboratifs et modernes.

En accueillant une diversité d'entrepreneurs, de jeunes hommes et femmes âgés entre 18 et 35 ans, The Hub aspire à impacter 1500 individus d'ici 2025. À ce jour, l'incubateur a soutenu plus de 194 entrepreneurs, avec plus de 953 bénéficiaires de ses programmes, organisant plus de 37 événements. Le centre a déjà dispensé plus de 30 formations.

Parallèlement à son rôle au sein de The Hub, Beran Dondeh Gillen occupe la fonction de directrice chez Morem Consulting and Advisory Services, un cabinet de conseil financier et technique. De plus, elle préside l'Information Technology Association Of The Gambia.

L’entrepreneure est diplômée de l’université de Middlesex, à Londres, où elle a obtenu en 2006 un master en réseaux informatiques. Sa carrière professionnelle a commencé en 2002 à De La Rue, une entreprise de sécurité informatique, où elle était cheffe de projet. En 2007, elle a rejoint la fintech EazyPAY en tant que directrice des opérations.

En octobre 2023, lors de l'ICT Expo en Gambie, Beran Dondeh Gillen a été honorée du titre « d'Icone TIC de l'année », une reconnaissance méritée de son engagement et de ses contributions à l'avancement de la technologie et de l'entrepreneuriat en Gambie.

Melchior Koba

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L’Union africaine a récemment annoncé le lancement de la deuxième édition du Fonds de technologie civique (AUCTF). L’initiative vise à soutenir les solutions innovantes de technologie civique qui exploitent la puissance de la technologie pour conduire une action transformatrice menée par les citoyens à travers le continent africain.

Les candidats retenus recevront jusqu'à 15 000 € de soutien financier pour faire évoluer et accélérer leurs projets de technologies civiques. Les candidatures pour la deuxième cohorte sont ouvertes jusqu’au 12 mai via l’adresse : civictech.africa/auctf-2-2/ 

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BongoHive, le premier centre d'innovation et de technologie de Zambie, en partenariat avec la Coopération allemande (GIZ) et la société zambienne Zanga African Metrics, a récemment annoncé le lancement du programme FIT4Mentorship destiné aux femmes africaines dans le secteur des TIC. L’initiative vise à susciter des changements significatifs dans l’industrie grâce au mentorat, aux opportunités de réseautage et au renforcement des capacités des femmes.

Les candidates intéressées peuvent postuler jusqu’au 31 mai à l’adresse suivante : bit.ly/MentorGIZFit4

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