BIMA, start-up ghanéenne spécialisée en e-santé, a levé un montant financier non-divulgué auprès d'AAIC. Gustaf Agartson, fondateur et PDG de l’entreprise, a déclaré que le financement et l’expertise d’AAIC « en matière de technologies de la santé sera un atout pour continuer à étendre notre écosystème de soins de santé et à rendre l’assurance plus abordable pour les personnes des marchés émergents ». La start-up est déjà présente dans plusieurs pays au-delà de l’Afrique, notamment le Pakistan, le Bangladesh, le Sri Lanka ou encore le Cambodge.
Lire aussi:
Tunisie : Auzy Mental Health soigne les problèmes psychologiques des enfants
AfricInvest, une plateforme d'investissement panafricaine, a clôturé avec succès son Transform Health Fund (THF) à 111 millions de dollars, dépassant ainsi son objectif initial. Le fonds, géré en partenariat avec la Health Finance Coalition (HFC), vise à stimuler des modèles de soins de santé innovants à travers l’Afrique en proposant des financements par emprunt aux entreprises qui se concentrent sur les chaînes d'approvisionnement locales, les innovations numériques et la prestation de soins abordables. Plusieurs investisseurs, dont le Société financière internationale (IFC), Proparco, Swedfund et la Société américaine de financement du développement international (DFC) ont soutenu le fonds.
Lire aussi:
Le Ghana finalise la numérisation de son système de santé
Le Togo lance la construction d’un Centre national de santé digitale
Latitude59, événement phare de l'Estonie dans le domaine des start-up et de la technologie, recherche des start-up en phase de démarrage de toute l'Afrique pour concourir à un prix de financement sans prise de participation. Les start-up sélectionnées présenteront d’abord leur projet lors de la conférence de l'édition kényane, qui se tiendra à Nairobi le 28 novembre. Le meilleur projet se verra accorder l’opportunité de participer à l'événement principal en Estonie. Les candidatures sont ouvertes jusqu'au 1er novembre sur ce lien.
Lire aussi:
La plateforme africaine d’échange de cryptomonnaies Yellow Card a réussi à lever la somme de 33 millions de dollars US dans le cadre d’un financement de série C, mené par Blockchain Capital. L’annonce a été faite le mercredi 16 octobre. « Cet investissement porte notre capital total à 85 millions de dollars », a déclaré Yellow Card qui souligne par ailleurs que cet argent va alimenter « notre croissance à travers l'Afrique, en améliorant notre API et nos produits Widget pour des paiements internationaux transparents ».
Big news at Yellow Card!🎉
— Yellow Card App (@yellowcard_app) October 16, 2024
We’ve raised US $33M in our Series C funding, led by @blockchaincap, bringing our total equity to $85M! This game-changing investment fuels our growth across Africa, enhancing our API and Widget products for seamless international payments. pic.twitter.com/w42CSo23aG
Lire aussi:
Yellow Card et Coinbase s'allient pour élargir l'accès aux actifs numériques en Afrique
L’alliance Smart Africa a annoncé, la semaine passée, la signature d’un accord avec la Fédération africaine des entreprises numériques (FAEN) à Paris en marge du salon des innovations Francotech.
Cet accord a pour objectif d’optimiser le climat des affaires afin de stimuler les investissements dans le secteur numérique, de favoriser la libre circulation des personnes, des biens et des services conformément au Protocole de l'Union africaine, de promouvoir le développement des compétences numériques, et de garantir l'accès universel aux technologies numériques, notamment l’internet, haut débit pour tous les citoyens africains.
During the #Francotech event held today in #Paris, Smart Africa and the African Federation of Digital Businesses (FADB) signed a strategic MoU aimed at strengthening cooperation to accelerate digital transformation across the #African continent. Read more: https://t.co/VA7Jj1u1da pic.twitter.com/JWKMwQkEu5
— Smart Africa Org (@RealSmartAfrica) October 4, 2024
Lire aussi:
Tespire une solution edtech nigériane a annoncé l’obtention, d’un financement de pré-amorçage dont le montant n’a pas été divulgué. Ce nouvel investissement permettra à l'entreprise d'étendre ses services dans plusieurs Etats du pays, d'acquérir de nouvelles écoles et d'améliorer l'accès des jeunes à une éducation de qualité.
Lire aussi:
Tespire stimule la numérisation de l’administration des écoles
La ministre marocaine de la Solidarité, de l’Insertion sociale et de la Famille, Aawatif Hayar, a procédé le lundi 30 septembre au lancement de la plateforme numérique « Pour un avenir meilleur des personnes en situation de handicap au Maroc ». Cette plateforme vise à simplifier les démarches administratives pour les personnes handicapées, tout en tirant parti des opportunités offertes par le numérique. Elle a pour objectif de faciliter leur accès aux différents services et de renforcer leur participation aux activités sociales et économiques.
Lire aussi:
Le Maroc scelle trois accords clés pour accélérer sa numérisation
La ministre guinéenne des Postes, des Télécommunications et de l'Economie numérique, Rose Pola Pricemou, a supervisé, le samedi 28 septembre, la pose de la première pierre d’un Hub numérique à Fria. Ce projet, dont les travaux débuteront en janvier 2025, ambitionne de doter la ville d'infrastructures numériques modernes, incluant un accès à l'internet haut débit, des formations spécialisées, ainsi que des espaces dédiés à l'innovation.
Lire aussi:
Guinée - Sierra Leone : bientôt l'interconnexion par fibre optique
L'Agence nationale de développement des technologies de l'information du Nigeria (NITDA) a annoncé la tenue les 22, 23 et 24 octobre de l’édition 2024 de la Digital Nigeria International Conference (DNICE). L’événement, organisé en partenariat avec Brevity Anderson, vise à accélérer l'alphabétisation numérique, à encourager l'innovation et à soutenir les start-up et les petites et moyennes entreprises.
Lire aussi:
Kredete accorde des scores de crédit aux Africains de la diaspora
Quidax, une bourse nigériane de cryptomonnaies, a annoncé le jeudi 29 août l’obtention d'une licence d'exploitation provisoire de la part de la Securities and Exchange Commission (SEC) en tant que Digital Assets Exchange (bourse d'actifs numériques).
Lire aussi:
Nigeria : Flutterwave obtient une licence de transferts de fonds en Ouganda
L'Organisation du monde islamique pour l'éducation, les sciences et la culture (ICESCO) a organisé les 29 et 30 août un atelier à l'Université Mohammed VI Polytechnique de Rabat. L’objectif était d’élaborer des principes éthiques et des cadres de gouvernance de l'IA, pour la future Charte du monde islamique pour l'intelligence artificielle (IA) en Afrique et en Amérique latine.
Lire aussi:
Au Sénégal, Bitilokho Ndiaye œuvre pour l’intégration des femmes dans les TIC
La start-up kényane de commerce électronique Chpter a annoncé ce lundi 12 septembre avoir levé 1,2 million $ lors d’un tour de table de pré-amorçage. Déjà active en Afrique du Sud, l’entreprise prévoit d’utiliser ce financement pour améliorer sa technologie et s’étendre en Egypte et au Nigeria.
Lire aussi:
DigiFemmes s’engage à former 1 000 Ivoiriennes aux compétences numériques
Ampersand, une start-up rwandaise d'e-mobilité utilisant des engins électriques, a annoncé jeudi 29 août la réussite d’un tour de table d’un montant de 2 millions USD, portant le total des fonds qu’elle a levés sur ces 12 derniers mois à 21,5 millions USD. Les fonds seront utilisés pour accélérer le déploiement de sa technologie et de son infrastructure d’énergie, la rapprochant de son objectif de déployer 5 millions de motos électriques d'ici 2033.
Lire aussi:
Rwanda : la start-up Ampersand obtient un financement de 19,5 millions $ pour soutenir sa croissance
La start-up de technologie financière Fido, basée au Ghana et en Ouganda, a levé 10 millions de dollars lors d’un investissement de série B. Ce financement a été obtenu auprès de MASSIF, un fonds dédié à l’inclusion financière géré par FMO, la banque néerlandaise de développement entrepreneurial. Ces nouveaux fonds visent à accélérer l’expansion de Fido et joueront un rôle clé pour répondre aux besoins de financement des petites et moyennes entreprises (PME) à travers l’Afrique.
Lire aussi:
Financement des start-up africaines en baisse de 57 % au 1er semestre 2024