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Dans le but de suivre l’évolution des enfants dans leur cursus scolaire, trois tech entrepreneurs ont décidé de mettre en place une solution sur mesure pour connecter les écoles, les parents, les professeurs et les élèves.

Dozzia est une solution edtech développée par une jeune pousse nigériane. Elle permet aux utilisateurs, en l’occurrence les parents et l’administration scolaire, de suivre l’évolution du travail de leurs enfants. La start-up, basée à Lagos, a été fondée en 2021 par Mubarak Robyn, Solomon Ayodele et Tosin Amoo.

« Nous avons développé une solution via trois applications mobiles et web. Une pour les parents, une autre pour les enseignants et une troisième pour l’école. Dans l’application, les professeurs remplissent des informations à propos de l’enfant qui sont ensuite traitées par nos outils d’intelligence artificielle pour enfin être partagées vers les parents concernés. Cela leur permet de savoir sur quelles matières il faut travailler avec leurs enfants et ainsi les aider à s’améliorer », explique Mubarak Robyn.

La solution dispose d’une application, accessible sur iOS et sur Android, mais pour la prise en main, il est indispensable que la start-up dépêche une équipe pour former les utilisateurs. Néanmoins, chaque utilisateur doit disposer d’un compte. Ainsi, les parents peuvent suivre les notes de leurs enfants et leur évolution. Les professeurs peuvent envoyer des rapports ou faire des observations spécifiques sur un élève, ce qui sera vu par les parents et l’administration de l’école.

Hormis cette fonctionnalité, Dozzia propose une fiche de présence virtuelle pour le personnel et les élèves, la journalisation des notes ou encore la création d’événements. Par ailleurs, la start-up offre une période d’essai d’un trimestre aux établissements pour expérimenter la solution. Après cela, les écoles sont libres de souscrire ou non à un abonnement.

Adoni Conrad Quenum

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Posted On mardi, 29 août 2023 18:05 Written by

Après plusieurs années en Belgique qu’il a rejoint à son adolescence, ce tech entrepreneur a décidé en 2019 de rentrer dans son pays natal. Il a mis en place une plateforme de vente en ligne pour vulgariser la culture africaine dans le monde.

Djoloo est une plateforme de commerce en ligne développée par une jeune pousse ivoirienne. Elle permet aux utilisateurs de se procurer des articles d’artistes et d’artisans qui mettent en valeur la culture africaines à travers leurs œuvres. La start-up a été fondée en 2019 par Zaza Gnahore.

Il est possible de surfer sur la plateforme et visiter les boutiques en ligne des divers commerçants. Entre autres, on y retrouve des articles pour homme, femme et enfant, des livres, des jeux… Hormis la Côte d’Ivoire, les produits en vente sur la plateforme proviennent de plusieurs pays africains tels que le Sénégal, la Côte d’Ivoire, le Mali, le Bénin, le Cameroun, la Tunisie ou encore le Maroc. Si l’utilisateur clique sur un article, il verra une description du produit et les matériaux utilisés pour sa confection. Toutes ces actions ne requièrent pas la création d’un compte, mais pour passer une commande, il est indispensable de s’inscrire en renseignant les informations nécessaires.

Djoloo ne dispose pas d’un service de livraison en particulier. Les propriétaires des boutiques en ligne sur la plateforme envoient les colis en fonction de l’adresse indiquée par le client. Néanmoins, il est primordial de respecter un délai de 2 à 4 jours ouvrés, sauf mention contraire sur la page du produit ou au cours de la validation de la commande. « Si une tentative de livraison est infructueuse, vous acceptez que le transporteur que nous avons engagé pour la livraison puisse également livrer les produits à un voisin/une adresse proche ou point de collecte », indique la jeune pousse.

Outre la vente en ligne, la plateforme dispose d’un blog sur lequel elle fait découvrir les artisans et les artistes africains et leurs produits. On y retrouve ainsi plusieurs articles qui racontent les success stories des propriétaires de diverses marques africaines.

Adoni Conrad Quenum

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Posted On mardi, 29 août 2023 13:16 Written by

Dans le but de faciliter l’approvisionnement en produits pharmaceutiques dans les grandes villes de son pays, un entrepreneur a mis en place une solution technologique pour offrir ce service.

MedsToGo est une solution d’e-santé business-to-customer développée par une jeune pousse sud-africaine. Elle permet aux utilisateurs de se procurer des médicaments sur ordonnance, des articles de santé, des vitamines ou encore des produits de soins pour bébés. La start-up, basée à Johannesburg, a été fondée en 2016 par Ebrahim Ally.

La solution dispose d’une application mobile accessible sur iOS et sur Android. L’utilisateur devra se créer un compte après téléchargement pour accéder aux services. Il faudra entre autres renseigner le nom, l’e-mail, le numéro de téléphone puis créer un mot de passe sécurisé. Pour passer une commande, l’utilisateur devra appuyer sur l’onglet « Commandes » puis renseigner s'il s'agit d'une commande de médicaments sur ordonnance, d’automédication ou autres. Après cette étape, il peut accéder à la pharmacie virtuelle et sélectionner les produits dont il a besoin puis finaliser son achat.

Les livraisons s’effectuent, du lundi au samedi, le jour même si la commande a été passée avant midi et le lendemain dans le cas contraire. Il faut noter que la jeune pousse est partenaire de nombreuses pharmacies dans diverses régions du pays pour faciliter l’approvisionnement en produits pharmaceutiques.

Outre ce service, MedsToGo intègre une fonction de messagerie qui permet d’envoyer des messages au pharmacien en cas de besoin. Il peut entre autres aider à réajuster la posologie des médicaments du patient ou alors les changer si l’état de santé n’évolue pas dans le bon sens.

Depuis son lancement, la version Android de l’application mobile a été téléchargée plus d’un millier de fois. En ce qui concerne une éventuelle expansion, la start-up veut d’abord soutenir sa croissance en Afrique du Sud avant de songer à aux autres pays du continent.

Adoni Conrad Quenum

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Posted On lundi, 28 août 2023 16:05 Written by

Après avoir voulu créer une solution qui fournit des flux de trésorerie aux micro-entreprises pour faciliter leur accès aux crédits dans les institutions financières traditionnelles, la fintech Numida s’est finalement lancée sur le segment avec plus ou moins de succès.

Fondée en 2015 par Ben Best, Catherine Denis et Mina Shahid, Numida est une solution fintech ougandaise. Elle permet aux propriétaires de micro-entreprises d’accéder à des prêts pour financer leurs activités commerciales. La start-up, basée à Kampala (capitale de l’Ouganda), a depuis son lancement levé plus de 15 millions $ pour développer sa technologie, élargir ses offres et accélérer sa croissance.

« Nous avons trouvé le moyen d'évaluer et de débourser des prêts non garantis à des entreprises basées sur la trésorerie qui n'ont pas d'historique de transactions numériques, tout en maintenant d'excellents taux de recouvrement », explique la jeune pousse.

La solution dispose d’une application mobile accessible uniquement sur Android. L’utilisateur, après téléchargement, doit s’inscrire pour accéder aux divers services. Le montant des prêts varie entre 100 $ et 5 000 $ et il est possible d’y accéder dans les deux heures après l’initiation de la procédure.

« Nous examinons les fondamentaux de l'entreprise, ses flux de trésorerie et certaines données démographiques concernant les candidats. Nous avons dû constituer notre propre ensemble de données car il n'existe pas de données facilement accessibles sur les flux de trésorerie des entreprises semi-formelles, des micro-entreprises et des petites entreprises en Afrique », a indiqué Mina Shahid.

La fintech est en pleine croissance sur le marché ougandais. En 2021, elle a revendiqué plus de 15 000 prêts et a investi plus de 2 millions $, à raison de 250 000 $ par mois, dans les prêts sans garantie, d’après Mina Shahid. Son application mobile a déjà été téléchargée plus de 500 000 fois, selon les données de Play Store, et elle envisage d'investir le marché ouest-africain en commençant par le Ghana. En 2022, elle a été sélectionnée parmi la cohorte d’hiver de l’accélérateur californien Y Combinator.

Adoni Conrad Quenum

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Posted On lundi, 28 août 2023 11:43 Written by

Malgré une popularité moindre sur le continent, le domaine de la proptech voit des entrepreneurs technologiques africains développer des solutions pertinentes. Cependant, ils rencontrent toujours des défis pour attirer des investisseurs et convaincre le public.

Keble est une solution proptech développée par une start-up nigériane. Elle permet aux utilisateurs d’investir dans le secteur de l’immobilier et de se faire des bénéfices sur une période donnée. La jeune pousse, basée à Lagos, a été fondée en 2018 par Emmanuel Oballa, Adebisi Borokinni, Josemaria Agulanna et Valentine Offiah. Depuis son lancement, elle a pu lever environ 120 000 $ pour développer sa technologie.

La solution dispose d’une application mobile accessible sur iOS et Android. Une fois téléchargée, les utilisateurs peuvent créer un compte et accéder aux diverses fonctionnalités. On retrouve sur la plateforme des biens immobiliers dont on peut acquérir une partie et devenir copropriétaire grâce à la propriété fractionnée, un pourcentage de propriété dans un actif où les actionnaires individuels partagent les avantages de l'actif.

« Le problème essentiel que nous essayons de résoudre ici est que la possession d'un bien immobilier est généralement hors de portée des revenus moyens. Nous sommes sensibles à ce problème parce que nous l'avons également rencontré et qu'il nous a conduits à créer Keble. Rien qu'au Nigeria, moins de 20 % des plus de 200 millions de personnes possèdent une maison et investissent activement dans l'immobilier, laissant plus de 80 % vulnérables à d'autres options d'investissement fluctuantes », explique Emmanuel Oballa.

Au début de l’année, la proptech nigériane a été sélectionnée avec onze autres start-up pour faire partie de la cohorte inaugurale d’ARM Labs Lagos Techstars Accelerator, un programme basé à Lagos visant à accompagner des start-up africaines de fintech et de proptech en phase de démarrage. En mars 2023, Emmanuel Oballa a expliqué que l’ambition de la start-up est d’atteindre 100 000 utilisateurs et de gérer plus de 2 millions $ d’actifs avant la fin de l’année. Les fruits ne semblent toutefois pas encore tenir la promesse des fleurs puisque la version Android de l’application mobile a seulement été téléchargée un peu plus d’un millier de fois.

Adoni Conrad Quenum

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Posted On vendredi, 25 août 2023 16:00 Written by

Dans l’objectif d'offrir à ses compatriotes l'opportunité de bénéficier des rentes de l’agriculture, cet entrepreneur technologique a développé une solution qui facilite le financement de leurs activités agricoles tout en partageant les dividendes avec les investisseurs.

Farm4me est une solution agritech développée par une jeune pousse nigériane. Elle permet aux utilisateurs d’investir dans la culture des produits de leur choix et de récupérer des dividendes après une durée donnée. La start-up, basée à Abuja (capitale du Nigeria), a été fondée en 2017 par Adama Joseph Adama.

La solution dispose d’une application mobile accessible uniquement sur Android. L’utilisateur peut créer un compte puis accéder aux diverses opportunités d’investissement proposées par l’agritech. Avec Farm4me, investir 227 000 nairas (environ 294 $) dans la culture d’un hectare de maïs rapportera 27 240 nairas au bout de 6 mois mais pour un hectare de riz, il faudra débourser 298 278 nairas pour un retour sur investissement de 53 690 nairas sur la même période. La firme propose également des investissements dans des cultures comme les graines de sésame, le sorgho ou encore le soja.

Outre ce service, la jeune pousse opère dans la location de matériels agricoles, le commerce des produits et d’intrants agricoles et fournit aux petits exploitants agricoles des intrants agricoles sous forme de prêt. Farm4me revendique environ 32 223 utilisateurs et 22 311 emplois créés. La start-up exploite plus de 356 213 hectares. D’après les statistiques de Play Store, l’application a déjà été téléchargée plus de 5 000 fois.

En 2021, Farm4me a reçu le prix de la meilleure plateforme numérique d'investissement agricole d'Afrique de l'Ouest, décerné par l'Institut nigérian de gestion des marques. La même année, l'Institut mondial de la qualité lui a également décerné le prix du meilleur fournisseur de services de vente et de location d’équipements agricoles de qualité en Afrique.

Adoni Conrad Quenum

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Posted On vendredi, 25 août 2023 15:09 Written by

Les applications d’e-mobilité investissent les pays africains. Les start-up telles qu'Uber ou Bolt coexistent avec les initiatives locales sur ces marchés.

Lefa est une solution d’e-mobilité développée par une jeune pousse namibienne éponyme. Elle permet aux utilisateurs de faire leurs courses en ville en prenant contact avec un chauffeur via une application mobile. La start-up, basée à Windhoek, a été fondée en 2018 par Melkisedek Melkies Ausiku et Kalipi Aluvilu.

L’application mobile est accessible sur iOS et sur Android où l’utilisateur doit, après téléchargement, se créer un compte en renseignant son numéro de téléphone et une adresse e-mail valide. Après cette étape, il pourra, s’il doit effectuer une course, commander un taxi en renseignant l’adresse de sa destination dans l’application. Il est possible de disposer d’une liste d’adresses favorites préalablement enregistrées.

Lefa propose diverses classes de voitures et leurs tarifs et l’utilisateur pourra faire un choix en fonction de ses moyens. Une fois la course confirmée, l’utilisateur peut suivre le trajet du chauffeur en temps réel. L’application intègre plusieurs moyens de paiement et l’option du paiement en espèces est également disponible.

« Lefa facture un minimum de 40,00 dollars namibiens [environ 2,69 $] par trajet. Les tarifs sont calculés en fonction de la distance et de la durée de la course, à raison de 4,00 dollars namibiens par kilomètre et de 3,50 dollars namibiens par minute. Une fois que vous avez saisi votre adresse de prise en charge et de dépôt, l'application Lefa calculera automatiquement les tarifs avant que vous ne confirmiez votre trajet », peut-on lire sur la plateforme.

Outre les courses à la demande, la jeune pousse propose également une variété de services tels que le transport de personnel, les solutions de transport pour les événements ou encore les services de livraison de colis.

Depuis son lancement, la version Android de l’application mobile a déjà été téléchargée plus de 10 000 fois, d’après les statistiques de Play Store.

Adoni Conrad Quenum

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Posted On jeudi, 24 août 2023 13:59 Written by

L’association Guryosamo a été fondée en 2012 pour aider les jeunes somaliens à se marier. Dix ans plus tard, elle a recouru à la technologie en finançant le développement d’une application mobile pour continuer sa mission.

Guurdoon est une solution numérique développée par l’association somalienne Guryosamo, fondée en 2012 et dirigée par Ahmed Abshir Geedi. Elle permet aux utilisateurs, en l’occurrence les personnes à la recherche d’un conjoint ou d’une conjointe, de se contacter via l’application mobile. La solution a été lancée en 2022.

En langue somali, « Guurdoon » peut se traduire par une personne qui cherche à se marier.

« Nous avons de gros problèmes aujourd’hui dans les mariages. Nos jeunes se précipitent pour se marier et ils divorcent immédiatement. Nous avons compris le besoin de promouvoir une plateforme où les personnes de tous âges peuvent se rencontrer et se trouver en tant que partenaires, puisque nos jeunes sont principalement sur les réseaux sociaux de nos jours. L’application est quelque chose de totalement nouveau et certains sont perturbés par son usage », indique Ahmed Abshir Geedi.

L’application est uniquement accessible sur Android. Après téléchargement, l’utilisateur crée un compte et renseigne un certain nombre d’informations. Entre autres, il lui sera demandé son niveau d’étude, s’il est à la recherche d’une compagne instruite ou non, qui travaille ou non, etc. Contrairement aux applications de rencontres classiques où l’utilisateur doit passer d’un profil à un autre pour choisir celle qui lui convient le mieux, Guurdoon s’occupe de tout.  

En effet, avec les informations collectées, la jeune pousse fait un premier tri pour faciliter la tâche à l’utilisateur. « J‘ai entré les caractéristiques que je voulais trouver chez ma partenaire et l’application m’a proposé environ huit personnes. [...] Il faut que je me décide et en choisisse une », explique Abdifatah Adan, un chauffeur de tuktuk à Mogadiscio. Malgré une société conservatrice et tournée vers la religion, l’application a déjà été téléchargée plus de 50 000 fois, d’après les données de Play Store.

Adoni Conrad Quenum

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Posted On mercredi, 23 août 2023 15:56 Written by

A l’instar du commerce en ligne, les start-up actives dans la logistique sont en pleine croissance sur le continent. A mesure que les achats en ligne prennent de l'ampleur, la demande en infrastructures de livraison évolue de manière parallèle.

Yalla Natlob est une solution numérique développée par une start-up soudanaise. Elle permet aux utilisateurs de commander de la nourriture, des produits pharmaceutiques ou encore des produits d’épicerie et de se faire livrer. La start-up, basée à Khartoum, a été fondée en 2018 par Mohamed Elfatih Mansour et Ahmad Abdalla.  

La solution dispose d’une application mobile accessible uniquement sur Android. Après téléchargement, l’utilisateur doit créer un compte pour accéder aux diverses fonctionnalités de l’application. Il faut souligner qu’il est impossible de surfer à travers l’application mobile et la plateforme web de Yalla Natlob sans au préalable disposer d’un compte.

On y retrouve les menus des restaurants et des hôtels partenaires de la start-up. Qu'il s'agisse de fast-food ou des mets gastronomiques, locaux ou non, l’utilisateur peut passer sa commande depuis l’application mobile et se faire livrer à son domicile ou sur son lieu de travail. C’est pareil pour les produits pharmaceutiques. Hormis les médicaments nécessitant une ordonnance médicale, Yalla Natlob facilite l’approvisionnement en médicaments depuis ses plateformes web et mobile.

En ce qui concerne les moyens de paiement, la jeune pousse intègre un portefeuille numérique sur l’application. Les utilisateurs peuvent ainsi directement régler leurs achats et les frais de livraison, mais ils peuvent également payer à la livraison en cash. Par ailleurs, Yalla Natlob opère uniquement dans la conurbation urbaine que forme la capitale Khartoum et les villes d’Omdurman et de Bahri. Ces trois villes constituent le centre économique du pays. Depuis son lancement, l’application mobile a déjà été téléchargée plus de 100 000 fois.

Adoni Conrad Quenum

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Posted On mercredi, 23 août 2023 15:00 Written by

Après avoir géré des initiatives privées, gouvernementales et à but non lucratif dans le secteur de l’éducation dans plusieurs pays du continent, deux tech entrepreneurs ont décidé de mettre en place une solution numérique pour faciliter l’accès aux sciences mathématiques.

Watobe est une edtech qui permet aux utilisateurs, en l’occurrence les apprenants des collèges et lycées, de suivre des cours en ligne en mathématiques. La start-up, basée au Cap, a été fondée en 2019 par Erik Lönnroth et Henry Warren.

La solution dispose d’une application mobile accessible uniquement sur Android. Les utilisateurs de smartphones et de tablettes fonctionnant sous le système iOS devront télécharger l’application de visioconférence Zoom pour accéder aux cours. Deux séances des diverses classes du collège (de la sixième en troisième) et du lycée (de la seconde en terminale) se déroulent en direct sur la plateforme. La vidéo des cours est accessible 24 heures plus tard et les absents pourront accéder au contenu en différé et répondre aux quiz pour ne pas prendre du retard.

En fonction des quiz et de la participation aux cours en direct, les professeurs suivent chaque apprenant et envoient des rapports de progrès hebdomadaires aux parents. « Les cours en direct de Watobe sont interactifs du début à la fin et incluent de nombreuses possibilités de poser des questions. Les questions peuvent être posées verbalement ou par écrit via le chat en direct », peut-on lire sur la plateforme.

L’edtech propose deux types de forfaits : l’un coûte 299 rands (environ 15,95 $) et l’autre est facturé à 99 rands. Elle propose également une période d’essai de 14 jours pour que l’apprenant valide ou non si ce type d’apprentissage lui convient. Il faudra débourser 50 rands pour cette période d’essai.

Depuis son lancement, elle a déjà levé environ 1,1 million $ pour financer sa croissance.

Adoni Conrad Quenum

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Posted On mardi, 22 août 2023 15:24 Written by
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