A travers cette prise de participation, l’IFC soutient indirectement des entreprises en phase de démarrage qui figurent parmi les moins financées d’Afrique. Cette initiative intervient dans un contexte marqué par une baisse de 36 %, à 3,2 milliards $, des levées de fonds des start-up africaines en 2023.

La Société financière internationale (IFC), filiale de la Banque mondiale dédiée au secteur privé, a annoncé le lundi 25 mars un investissement de 10,5 millions de dollars dans le fonds 4DX Ventures destiné aux entreprises technologiques en Afrique. Cet investissement a été réalisé par la nouvelle plateforme lancée en novembre 2022 par l’IFC pour renforcer les écosystèmes de capital-risque en Afrique, au Moyen-Orient, en Asie centrale et au Pakistan.

« En soutenant le développement d'écosystèmes technologiques dans les marchés émergents, la plateforme de capital-risque de l'IFC vise à améliorer l'accès aux services clés, à stimuler la compétitivité des entreprises et à promouvoir la création d'emplois grâce à la transformation numérique », a déclaré Mohamed Gouled, vice-président des industries à l'IFC.

L’investissement de l’IFC dans le fonds 4DX Ventures s’inscrit dans le cadre de l’engagement commun de soutenir les entrepreneurs technologiques dont les innovations aideront l'Afrique à faire un bond en avant dans des domaines critiques tels que le climat, les soins de santé, la fintech, le commerce électronique et l'éducation.

Il intervient dans un contexte marqué par une baisse de 36 % (d'après le cabinet d'études TechCabal Insights), à 3,2 milliards de dollars, des levées de fonds des start-up africaines en 2023. Selon les données de l’IFC, l'Afrique fait partie des régions les moins desservies par le capital-risque, ne recevant que 2 % du volume mondial des opérations de capital-risque au troisième trimestre de 2023.

Ainsi, cet investissement devrait davantage soutenir les entreprises africaines en phase de démarrage sur le continent. Elle permettra d'aider les start-up technologiques prometteuses à créer des entreprises transformatrices et à avoir un impact durable sur le développement du continent.

Samira Njoya

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Dans le but d’aider les populations à avoir les meilleurs prix dans les magasins en ligne, un tech entrepreneur a mis au point une solution sur mesure.

ComparoShop est une solution numérique développée par une jeune pousse camerounaise. Elle permet aux utilisateurs de comparer les prix de nombreux articles en ligne avant éventuellement de commander sur les boutiques en ligne. La start-up, basée à Douala, a été fondée en 2022 par Didier Tagne.

ComparoShop utilise l’intelligence artificielle pour affiner les recherches. Elle ne dispose pas d’une application mobile donc il faut se rendre sur la plateforme via un navigateur. La création d’un compte n’est pas obligatoire puisqu’il est possible d’accéder à plusieurs informations sur la plateforme.

L’utilisateur peut ainsi renseigner le nom du produit dans la barre de recherches pour voir les diverses propositions. Il retrouvera, en fonction de sa situation géographique, les boutiques en ligne qui commercialisent l’article recherché, leurs tarifs et les avis des clients sur ladite boutique. Il peut ainsi comparer le prix de revient, analyser les avis et prendre une décision.

Si l’utilisateur décide d’acheter l’article, il pourra le faire depuis l’interface de ComparoShop. « Alors que les utilisateurs sélectionnent l'offre de leur choix sur ComparoShop, l'achat est effectué via les boutiques en ligne (qui sont liées à notre site). En cliquant sur le bouton "Voir l'offre" sur ComparoShop, vous serez redirigé vers un site externe pour compléter votre achat. Toutefois, si la boutique en ligne n'a pas de site web mais plutôt une page sur un réseau social, ComparoShop en informera la boutique afin qu'elle puisse vous contacter pour la livraison », explique la start-up, accessible uniquement au Cameroun et en Algérie.

Adoni Conrad Quenum

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Disponible dans plusieurs pays du continent dont la République démocratique du Congo (RDC), la Côte d’Ivoire, les Seychelles, le Kenya, le Nigeria ou encore le Bénin, la jeune pousse veut conquérir le continent avec ses solutions et son kit éducatif.

Schoolap est une solution numérique développée par la jeune pousse congolaise Labes Key. Elle permet aux gestionnaires des écoles de centraliser la gestion de leurs établissements scolaires, aux élèves et aux enseignants d’accéder aux manuels et livres pédagogiques en ligne et aux parents d’être au courant de l’évolution de leurs enfants et d’autres informations importantes.

La start-up, basée à Dubaï, aux Emirats arabes unis, a été fondée en 2017 par Pascal Kanik et Guy-José Leta. En 2019, elle a levé un montant de 500 000 $ pour accélérer sa croissance.

La solution dispose d’une application mobile accessible uniquement sur Android. L’utilisateur, après téléchargement, remplit le formulaire de création de compte pour accéder aux contenus de la plateforme. En fonction du niveau d’étude de l’apprenant, il peut accéder aux cours en ligne, disponibles en vidéo et en documents texte. Les contenus sont pour les apprenants et les enseignants du primaire et du secondaire.

Schoolap intègre aussi des contenus en langage des signes pour aider les apprenants sourds-muets. Pour les plus jeunes, l’edtech dispose également de dessins animés pour faciliter leur apprentissage. Il faut souligner néanmoins que les contenus peuvent être également consultés hors ligne. La jeune pousse propose un kit complet pour permettre aux utilisateurs d'accéder aux contenus éducatifs en tout lieu et en tout temps dans les meilleures conditions.

D’après les données de Schoolap, plus de 23 361 contenus éducatifs sont accessibles sur les plateformes web et mobile et elles ont enregistré plus de 7 612 109 visites depuis leur lancement. Par ailleurs, Play Store indique plus d’un millier de téléchargements de l’application mobile. En avril 2019, l’edtech congolaise a remporté le prix de la meilleure plateforme d'éducation en ligne aux Seedstars, un concours de création d'entreprise axé sur les marchés émergents.

Adoni Conrad Quenum

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Après un voyage en Guinée, ce tech entrepreneur a mis en place une solution numérique avec un de ses amis pour aider les Africains de la diaspora à faire des cadeaux à leurs proches sur le continent.

Senditoo est une solution numérique qui permet aux utilisateurs, en l’occurrence les Africains de la diaspora, d’envoyer de l’argent et des crédits téléphoniques dans environ 117 pays dans le monde, dont 36 en Afrique. La start-up a été fondée en 2016 par Ibrahima Soumano et Takwana Tyaranini sous le nom d’Ozaremit. Elle a déjà levé 10,7 millions $ pour, entre autres, développer sa technologie et accélérer sa croissance.

« L’idée est venue dans un premier temps par une expérience personnelle. Tout a commencé depuis mon voyage en Guinée. J’y ai été plusieurs fois avant mais celui-ci était un peu spécial car j’ai été visiter notre village avec mon père. Il est de coutume dans notre tradition d’apporter des cadeaux à ses frères et sœurs lors des visites au village, surtout quand vous venez de la capitale Conakry », indique Ibrahima Soumano.

Et il poursuit : « Acheter des cadeaux pour tout le monde n’était pas vraiment pratique, nous avons décidé d’acheter 2 millions de francs guinéen de recharge mobile que j’ai distribué à toute notre famille et aux voisins. J’ai senti l’impact qu’un petit cadeau de quelques minutes de communication pouvaient avoir sur ces personnes. J’ai été profondément marqué et je me suis dit qu’il y avait certainement des millions de personnes qui vivent à l’étranger qui souhaiteraient faire de tels gestes à leurs proches ».

 

La solution dispose d’une application mobile accessible sur iOS et sur Android. L’utilisateur, après téléchargement, crée un compte pour accéder aux divers services qu’offre la jeune pousse. Senditoo a noué des partenariats avec plus de 500 opérateurs télécoms dans le monde pour faciliter l’envoi des crédits téléphoniques et d’argent via mobile money dans de nombreux pays, en l’occurrence en Afrique, en Asie et en Amérique latine.

Outre ces deux services, la jeune pousse s’est également tournée vers le commerce électronique. Les utilisateurs peuvent ainsi faire des courses sur des places du marché du monde et faire livrer leurs proches dans les pays où elle est présente. En ce qui concerne les moyens de paiement, la start-up intègre diverses solutions comme les cartes bancaires telles que Visa, Mastercard ou encore American Express, et PayPal. Il faut souligner qu’après chaque opération, Senditoo envoie un message à l’utilisateur pour confirmer que la transaction s’est déroulée sans problème.

La version Android de l’application mobile a déjà été téléchargée plus de 50 000 fois, selon les statistiques de Play Store.

Adoni Conrad Quenum

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La start-up estonienne d’e-mobilité Bolt se lance en République démocratique du Congo. L’information a été relayée par plusieurs médias locaux. C’est le seizième pays dans lequel Bolt se déploie sur le continent. Comme au Botswana, en Namibie, au Zimbabwe et en Egypte où la jeune pousse s’est lancée plutôt dans l’année, elle renoncera aux frais de commission des chauffeurs pour faciliter sa croissance sur son nouveau marché.

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ORA Technologies, une start-up marocaines opérant dans le développement des solutions de commerce électronique, a annoncé le mardi 13 mars la réussite d’un tour de table d’un montant de 1,5 million $. Les fonds, mobilisés auprès d’entrepreneurs locaux, seront utilisés pour développer sa technologie, notamment pour lancer un portefeuille numérique, et accélérer sa croissance.

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Après des études supérieures à l’Institut supérieur de technologie d’Antananarivo, il se lance dans l’entrepreneuriat numérique avec la mise en place d’un réseau social éducatif qui a évolué pour devenir une edtech.

Isikaray est une solution edtech développée par une jeune pousse malgache. Elle permet aux utilisateurs, en l’occurrence les élèves des collèges et lycées, d’accéder à des formations et des cours vidéo. La start-up, basée à Antananarivo, a été lancée en 2022 par Louis Venceslas Tsira.

La solution ne dispose pas d’une version web. Elle est seulement disponible sous la forme d’une application mobile accessible uniquement sur Android. L’utilisateur, après téléchargement, peut se créer un compte et accéder aux divers services de l’application. La bibliothèque des cours et des formations est disponible en streaming et en téléchargement, ce qui permet de visualiser les contenus hors connexion.

L’application dispose d’un mode gratuit et d’un mode payant. Pour passer à celui-ci, il faut appuyer sur le bouton éponyme ce qui permettra d’accéder à toute la palette de fonctionnalités qu’offre l’edtech. En effet, outre les cours et les formations, Isikaray intègre un réseau social où les utilisateurs peuvent interagir. Il est accessible lorsque le mode payant est activé.

L’utilisateur peut ainsi acheter des forfaits exclusifs pour accéder aux contenus de la plateforme, notamment avec l’opérateur Orange. Si le forfait est activé, l’on peut voir la date d’expiration du forfait dans un cadre noir situé en haut de l’écran d’affichage. Avant qu’il n’expire, l’utilisateur peut télécharger les vidéos de cours et de formations de son choix, discuter via le réseau avec d’autres lycéens, etc.

Par ailleurs, il faut souligner que les formations d’Isikaray ne disposent pas encore de certification et ne sont pas diplômantes, mais selon la start-up, cela fait partie de leurs objectifs.

Adoni Conrad Quenum

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Dans le but de faciliter les courses pour les populations de Kinshasa, un tech entrepreneur a mis en place une start-up spécialisée dans la vente en ligne.

eMart.cd est une plateforme de commerce en ligne développée par une jeune pousse congolaise. Elle permet aux utilisateurs de faire leurs courses en ligne. La start-up, basée à Kinshasa, a été fondée en 2016 par Bonny Maya.

« Nous permettons aux producteurs locaux d’exposer leurs produits et d’avoir de nouveaux débouchés. La diaspora congolaise peut approvisionner sa famille en denrées alimentaires, chaque mois, en réglant sa commande sur notre site web. Nous encourageons et assurons la promotion des produits made in Congo, afin d’inciter à consommer local. Et commercialisons aussi des produits importés », a indiqué Bonny Maya.

La solution est seulement accessible sur le web donc il faut passer par un navigateur pour accéder au site Internet. Sans disposer d’un compte, l’utilisateur peut surfer sur la plateforme et découvrir les divers produits en vente, en l’occurrence les produits locaux. Entre autres on retrouve sur eMart.cd des fruits et légumes, des boissons et des jus ou encore divers types de farine (semoule, blé, maïs, etc.).

Pour valider une commande, l’utilisateur est tenu de fournir un certain nombre d’informations telles que le nom, le prénom, le pays ou encore la ville de facturation. Ces informations sont nécessaires puisque la jeune pousse donne la possibilité aux membres de la diaspora d’effectuer les commandes depuis leur situation géographique pour faire livrer à leur famille au Congo. Il faut souligner qu’en fonction de la disponibilité des produits et de la zone de livraison, le délai et le tarif de la livraison peuvent varier. En ce qui concerne les paiements, la jeune pousse intègre des solutions de paiements mobiles, les cartes bancaires et les paiements en espèces à la livraison.

Bonny Maya a également créé une start-up qui opère dans la livraison pour gérer les commandes sur eMart.cd. Néanmoins, cette jeune pousse n’est pas uniquement dédiée à sa plateforme en ligne. Elle collabore également avec d’autres entreprises dans le cadre de la livraison des colis. Par ailleurs, outre la vente en ligne, eMart.cd développe d’autres sources de revenus pour soutenir sa croissance. La plateforme se tourne vers la publicité pour différentes entreprises pour augmenter ses marges.

Adoni Conrad Quenum

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Dans le but de mettre en lumière les artistes gabonais, un tech entrepreneur a décidé de mettre en place un annuaire numérique accessible à tous. C’est ainsi que Dengui, qui signifie « trouver » en langue simba, a été lancé.

Dengui est une solution numérique développée par une jeune pousse gabonaise. Elle permet aux utilisateurs, en l’occurrence le grand public, de se mettre en relation avec les artistes locaux dans toutes les provinces du pays. La start-up a été lancée en 2024 par Franck Stéphane Dibault.

« Dengui veut dire trouver en simba, langue du Gabon. C’est donc une plateforme qui permet de trouver plus facilement les acteurs culturels gabonais en fonction des besoins exprimés par celui qui les cherche, et même en fonction de la région où l’on se trouve. Par exemple, si vous cherchez cadreur Mouila, le site vous affichera tous les cadreurs répertoriés dans cette ville, originaire ou simplement résident », a indiqué Franck Stéphane Dibault.

La solution ne dispose pas d’une application mobile. Il faut se rendre sur le site web depuis un navigateur pour y surfer. L’utilisateur n’est pas tenu de créer un compte pour accéder aux coordonnées de l’artiste qu’il recherche. Cette fonction est réservée aux artistes tels que les musiciens, les sculpteurs, les peintres, les photographes, les créateurs de mode ou encore les architectes.

Ceux-ci, pour s’enregistrer, devront fournir des informations telles que leur adresse e-mail, leur province d’origine ou celle de résidence, leur nom d’artiste, leurs nom et prénom, leurs numéros ou encore une description de leur profil. Toutes ces dispositions facilitent les recherches aux utilisateurs pour prendre contact avec un artiste inscrit sur Dengui. La plateforme est donc une forme d’annuaire numérique qui regroupe les professionnels et amateurs d’arts.

L’utilisateur, en fonction de ses recherches, peut accéder à la fiche d'un artiste enregistré sur l’annuaire. Il y trouvera toutes les informations nécessaires pour prendre contact avec lui en dehors de la plateforme, de ses médias sociaux à son adresse e-mail en passant par son numéro de téléphone professionnel.

Adoni Conrad Quenum

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Après des études en France et des stages et postes à Goldman Sachs, Rothschild & Co ou encore à Deloitte, ce tech entrepreneur sénégalais a décidé de rentrer en Afrique pour mettre en place sa start-up.

Socium est une solution numérique développée par une jeune pousse sénégalaise. Elle permet aux utilisateurs de rechercher et de trouver de l’emploi, et aux entreprises de dénicher les talents en quête d’emploi ou de nouveaux challenges. La start-up, basée à Dakar, a été fondée en 2021 par Samba Lo.

En 2022, Socium a levé un montant de 1 million d’euros pour développer sa technologie et accélérer sa croissance sur le continent. Elle dispose de hubs à Abidjan, en Côte d’Ivoire, et à Douala, au Cameroun, où la start-up s’est implantée en novembre 2023 pour mieux se déployer dans la région Afrique centrale.

« Socium vient d’une expérience personnelle. Quand je vivais encore à Paris, j’ai eu envie de revenir en Afrique et très rapidement, l'expérience a été très pénible parce que c'était très difficile de trouver des offres d'emploi en ligne. Je me suis rendu compte qu'il y avait un problème autour de l'accès à l'emploi, même pour quelqu'un qui a peut-être un background assez intéressant », a indiqué Samba Lo à We Are Tech Africa.

La solution ne dispose pas d’une application mobile. Il faut se rendre sur le site web pour accéder aux diverses offres d’emploi disponibles. L’utilisateur n’a pas besoin de disposer d’un compte au préalable sur la plateforme. S’il trouve une offre d’emploi qui l’intéresse, il clique sur le post et fournit son adresse e-mail et son curriculum vitae.

Avant de poursuivre la procédure, Socium met à la disposition de l'utilisateur des contenus vidéos qui permettent de s’informer sur l’entreprise dans laquelle l’on postule. Entre autres, il pourra découvrir le secteur dans lequel exerce l’entreprise, sa culture, les valeurs qu’elle prône ou encore les avantages à y travailler.

La jeune pousse sénégalaise se positionne également sur le segment de la digitalisation des processus de ressources humaines pour les entreprises. L’objectif est de permettre aux entreprises qui opèrent sur le continent d’être plus efficientes dans leur fonctionnement, la gestion de leurs ressources humaines, c’est-à-dire la gestion de leurs bulletins de paie, de leurs demandes de congés, de leur performance, etc.

Pour mieux gérer ces volets, Socium s’est tournée vers l’utilisation de l’intelligence artificielle générative pour automatiser un certain nombre de tâches. « Aujourd’hui, quand je régis une fiche de poste sur Socium, c'est fait automatiquement. Quand j'ai des candidats qui postulent chez moi, j'ai des algorithmes de scoring qui me disent qui sont les candidats les plus adaptés, etc. », explique Samba Lo.

Adoni Conrad Quenum

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