Il est entrepreneur dans le domaine de l’énergie renouvelable. Grâce à son leadership chez NeedEnergy, il apporte des solutions d’énergie propre aux régions les plus reculées du monde.

 Leroy T. Nyangani (photo) est un cofondateur et le chef d’équipe de NeedEnergy, une start-up zimbabwéenne qui utilise l’intelligence artificielle pour optimiser les micro-réseaux d’énergie renouvelable en Afrique subsaharienne et dans les régions éloignées du monde.

Il est un ingénieur chimiste de formation, diplômé de l’université nationale des sciences et technologies du Zimbabwe où il a obtenu un bachelor en 2019. Il a cofondé NeedEnergy en 2016 avec l’ambition de déployer des actifs d’énergie renouvelable et propre pour plus de 200 millions de personnes d’ici 2030.

L’entreprise NeedEnergy fournit des données intelligentes aux opérateurs de micro-réseaux d’énergie renouvelable. Cette approche repose sur l’analyse des données météorologiques, et vise à étendre l’accès à l’énergie propre en Afrique subsaharienne ainsi que dans des zones éloignées du monde.

Via sa plateforme memeza.ai, NeedEnergy collecte des données à partir de divers dispositifs IoT (Internet des objets) tels que les compteurs intelligents de gaz et moniteurs d'énergie domestique pour analyser les besoins énergétiques du réseau de distribution. Ces données sont utilisées pour former des modèles, permettant ainsi d’identifier des opportunités de déploiement d’actifs de production d’énergie renouvelable. Une fois déployés, ces actifs sont surveillés et gérés via la plateforme pour garantir leur puissance et leur performance.

Le 21 septembre 2023, l’entreprise a été sélectionnée pour faire partie de la cohorte inaugurale du programme Google for Startups Accelerator: Climate Change destiné aux start-up du Moyen-Orient et de l’Afrique.

Avant NeedEnergy, l’entrepreneur avait fondé la start-up Mornay Foods qui propose un service de commande de nourriture à la demande et un restaurant qui ciblait principalement les campus universitaires et les parcs de bureaux. Sa carrière professionnelle a, cependant, commencé en 2015 à Bakers Inn Zimbabwe, une boulangerie, où il était spécialiste de la production et de l’emballage.

Leroy T. Nyangani a été reconnu comme un entrepreneur innovant et engagé dans la transition énergétique. Il a été sélectionné comme Unreasonable Fellow par Unreasonable Group, une organisation qui soutient les entrepreneurs qui résolvent les plus grands défis du monde. Il est depuis mars 2023 un entrepreneur Techstars, après que son entreprise a été sélectionnée pour faire partie de la classe 2023 de l’accélérateur d’énergie d’Equinor et de Techstars.

Melchior Koba

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Elle représente une source d’inspiration pour tous ceux qui aspirent à créer un impact positif sur la société et sur la planète grâce à l’innovation technologique. A travers son entreprise, elle fait de l’Afrique un continent plus propre et vert.

Ugwem Eneyo (photo) est une ingénieure, inventrice et entrepreneure nigériane. Elle est la présidente-directrice générale et une cofondatrice de SHYFT Power Solutions, une entreprise de technologie énergétique qui propose des solutions innovantes basées sur l’Internet des objets (IoT) et des logiciels pour connecter et gérer intelligemment les ressources énergétiques distribuées dans les marchés émergents, notamment en Afrique.

Née au Nigeria, Ugwem Eneyo a fait ses études universitaires aux Etats-Unis, où elle a obtenu en 2013 un bachelor en génie civil et environnemental à l’université de l’Illinois à Urbana-Champaign avant de rejoindre en 2014 l’université de Stanford pour y effectuer un master et un doctorat, toujours en génie civil et environnemental.

Elle cofonde Solstice Energy Solutions, rebaptisée SHYFT Power Solutions, en 2016 avec son associé Cole Stites-Clayton. L’entreprise permet aux utilisateurs de réduire leurs coûts énergétiques, leur empreinte carbone et leur exposition aux gaz toxiques.

SHYFT Power Solutions a connu une croissance rapide et a reçu de nombreuses distinctions. Dès l’année de sa création, l’entreprise remporte le MIT Clean Energy Prize et fait partie des finalistes de Demo Africa, un concours organisé par l’African Technology Foundation (ATF) qui récompense des entreprises africaines innovantes.

Avant de lancer SHYFT Power Solutions, Ugwem Eneyo a commencé à travailler comme conseillère stagiaire en environnement et réglementation d’ExxonMobil en 2011. En 2013, elle est nommée conseillère environnementale, socio-économique et en réglementation de la même société. Après son master, elle effectue en 2015 un stage, toujours à ExxonMobil, mais cette fois en tant qu’ingénieure environnementale.

Ugwem Eneyo est reconnue comme l’une des figures de proue du secteur énergétique en Afrique et dans le monde. Nommée parmi les Forbes 30 under 30 dans le secteur énergie, elle a été invitée à prendre la parole lors de plusieurs événements prestigieux.

Melchior Koba

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Des opérateurs de télécommunications présents dans plusieurs marchés d’Afrique ont annoncé de nouvelles perturbations dans la fourniture de l’accès à Internet aux consommateurs. Cette situation résulte d’un nouvel incident sur le système sous-marin des fibres optiques SAT3 et WACS.

Un glissement de terrain sous-marin dans le canyon du Congo, l'un des plus grands canyons sous-marins du monde, a récemment endommagé les câbles sous-marins West African Cable System (WACS) et South Atlantic 3 (SAT-3).

Selon les rapports sur l'état du réseau, SAT-3 a été coupé le matin du dimanche 6 août, tandis que WACS a été coupé plus tard dans la soirée causant ainsi un ralentissement des services Internet dans plusieurs pays d’Afrique parmi lesquels le Sénégal, l’Afrique du Sud, l’Angola, le Gabon, la Côte d’Ivoire, le Bénin.

Dans un communiqué, Openserve, un fournisseur d'infrastructure chargé de la vente en gros des lignes fixes, a confirmé les ruptures et a fait savoir qu’il travaillait avec ses partenaires du consortium pour faciliter la restauration des câbles.

« Le réseau Openserve reste robuste grâce à nos investissements dans d'autres capacités de câbles internationaux, c'est pourquoi tous les services de transit IP d'Openserve (WebReach) ont été automatiquement réacheminés, ce qui permet à nos clients de continuer à bénéficier d'une connexion sans faille », informe le communiqué.

La réparation des câbles a été confiée au navire câblier Léon Thévenin, mais le processus risque de prendre un certain temps. Selon les experts, il faudra probablement un mois, pour que le navire se rende sur le site de l'incident, en fonction des conditions météorologiques.

Pour rappel, le West Africa Cable System (WACS) comporte quatre paires de fibres, 15 stations terminales et une longueur totale de 16 000 kilomètres. Il appartient à un consortium de 18 opérateurs de télécommunications internationaux. SAT-3 est un système de câble plus ancien, opérationnel depuis 2001 avec une capacité de 120 Gbps.

Samira Njoya

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Le continent africain dispose de nombreux atouts, comme la jeunesse de sa population, pour devenir leader dans le domaine de l'intelligence artificielle. Des entreprises spécialisées dans le domaine l'accompagnent dans cette ambition.

Le groupe inq., un fournisseur mondial de services innovants a dévoilé, le mardi 25 juillet à Lagos, ses plans stratégiques visant à façonner l'avenir des solutions de pointe et de l’intelligence artificielle (IA) au Nigeria et en Afrique.

S’exprimant lors d'une table ronde avec les médias, Glad Dibetso, le PDG du groupe a déclaré que l’entreprise travaillait méticuleusement pour faire progresser le paysage technologique du continent, ceci en misant sur l’éducation de la jeunesse entre autres.

« La connectivité sert de passerelle pour transformer l'éducation dans nos écoles, en permettant aux enfants d'apprendre la robotique, l'IA et le développement de logiciels. En donnant à davantage d'étudiants les moyens d'acquérir ces compétences essentielles, nous envisageons une augmentation des petites entreprises axées sur la technologie, ce qui conduira finalement à l'émergence d'un plus grand nombre de licornes africaines », a déclaré Glad Dibetso.

Dans la poursuite de cet objectif, l’entreprise nourrit également l’ambition de faire du Nigeria un centre d'excellence pour le développement de solutions d'IA personnalisées dans le secteur de l'énergie. Selon Andile Ngcaba, le président du groupe, les entreprises de production et de distribution d'énergie au Nigeria auront accès à des analyses de la consommation d'électricité en temps réel permettant d'identifier et de traiter les fuites tout au long de la chaîne de valeur de l'électricité.

Ces projets et bien d’autres s’inscrivent en droite ligne des ambitions de l’entreprise visant à multiplier les usages de l’IA en Afrique pour faire du continent un pionnier dans ce domaine. Il y a quelques jours, l’entreprise a annoncé le lancement dans ses 10 marchés en Afrique et en Asie de deux produits d’IA locaux, à savoir DocAi et VisionAI.

DocAI un outil permettant de numériser les processus des entreprises et leur permettant d'utiliser la reconnaissance optique de caractères (OCR) spécifique à un domaine pour télécharger des documents numérisés et extraire des informations précieuses. Vision AI permet quant à lui de déployer des technologies de reconnaissance d'images basées sur l'IA dans les systèmes de surveillance par caméra, permettant des analyses et des alertes en temps réel.

Le groupe qui opère au Nigeria depuis environ quatre ans veut faire du pays un hub régional à travers lequel il se développera dans plusieurs pays anglophones de la région. Au Nigeria, inq. a fourni jusqu’ici des solutions de cloud, de connectivité et d'IoT à plusieurs entreprises. La société affirme qu'elle a également construit de grands modèles de langage propriétaires qui alimentent aujourd'hui sa suite de solutions d'IA. 

Samira Njoya

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Son but est de stimuler l’innovation et la croissance dans le domaine des énergies renouvelables. Il offre des services tels que le mentorat, le développement commercial, l’accès au financement et aux marchés.

SAREBI (The South African Renewable Energy Business Incubator) est un incubateur de start-up sud-africain qui travaille avec des petites et moyennes entreprises viables dans le secteur des technologies propres. Fondé en 2012, il offre aux start-up une série d’ateliers d’idéation et de planification d’entreprise afin de les aider à développer des modèles commerciaux et financiers viables.

SAREBI offre aux entreprises commerciales un programme d’accélération qui vise à renforcer leur capacité à obtenir un financement. Ce programme se concentre sur l’amélioration de leur gouvernance et de leurs finances, ainsi que sur l’établissement de systèmes opérationnels robustes. Grâce à des séances de coaching financier personnalisées, l’incubateur assiste les entreprises en les aidant à identifier le type de financement le mieux adapté à leurs besoins et à effectuer les démarches appropriées pour l’obtenir.

Son programme d’incubation d’entreprises Sarebi Start vise à former de jeunes entrepreneurs aux compétences essentielles pour développer leur entreprise. Il leur enseigne comment élaborer des modèles d’entreprise solides, présenter clairement leur proposition de valeur et tester la faisabilité financière de leur idée.

Grâce à ce programme, les entrepreneurs acquièrent une compréhension approfondie de tous les aspects de leur entreprise et comprennent comment les modifications apportées à leur idée peuvent impacter les différentes composantes de leur modèle d’entreprise. Cela leur donne les outils nécessaires pour prendre des décisions éclairées et prometteuses dans leur parcours entrepreneurial.

Sous le nom de « Business Savvy », SAREBI propose des ateliers destinés aux entrepreneurs en herbe qui se trouvent dans la phase pré-revenu. Ces ateliers se composent de sessions d’apprentissage en petits groupes, conçues comme des séances interactives entre pairs. Ils utilisent une méthodologie de salle de classe électronique pour faciliter l’enseignement et l’engagement des participants.

SAREBI propose plusieurs autres services comme son logiciel de gestion tout-en-un, Odoo, qui comprend des applications de gestion de relation avec la clientèle (CRM) et des applications pour le commerce électronique, la comptabilité, l’inventaire, la gestion de projet et la planification des besoins matériels (MRP).

Sarebi sponsorise également d’autres initiatives comme le GreenPitch Challenge 2023, organisé par GreenCape et la Friedrich Naumann Foundation for Freedom, qui invite les innovateurs et entrepreneurs verts à présenter leurs idées d’entreprises économiquement viables.

En encourageant et en soutenant les entreprises du secteur des énergies renouvelables, SAREBI contribue à accélérer la transition vers des sources d'énergie plus propres et durables en Afrique du Sud, tout en stimulant le développement économique local.

Melchior Koba

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Après son master en économie énergétique en France, il revient dans son pays où l’accès à l’énergie reste encore difficile. Il fonde ARESS et offre aux populations une solution innovante d’accès à l’énergie solaire.

Léonide Michael Sinsin (photo) est un docteur en économie de l’énergie diplômé de l’université Paris Dauphine. Ayant fait tout son parcours universitaire en France, c’est à l’occasion d’une visite de son pays le Bénin après son master en 2012 qu’il fonde, avec son camarade Paul Berthomieu qui l’accompagnait, African Renewable Energy System Solutions (ARESS), dont il est le directeur général.

ARESS est une PME (petite et moyenne entreprise) spécialisée dans le domaine des énergies renouvelables. Exerçant déjà au Bénin, au Togo, au Burkina Faso et au Sénégal, elle fait de la vente d’équipements solaires, des installations solaires et de la maintenance et de l’audit énergétique.

Partie d’un concept de vente des installations énergétiques, l’entreprise s’est vite retrouvée face à la difficulté des clients des milieux ruraux à payer le matériel. Bien qu’elle ait décidé de permettre aux clients de payer sur plusieurs mois, elle avait du mal à récupérer les frais d’installations à la fin de chaque mois auprès des villageois.

Pour remédier à cela, Léonide Michael Sinsin et son ami ont donc mis en place un système qui se désactive automatiquement en cas de non-paiement, tout en offrant la possibilité de financer l’installation grâce à un système de location sur une période de 36 mois.

En 2016, la nouvelle start-up, MyJouleBox, qui développe du matériel, des logiciels et des solutions économiques et sociales pour innover dans le développement solaire, naît sur ce modèle Pay As You Go. D’ailleurs, en 2022, l’entreprise a fait partie du top 45 des start-up les plus innovantes d’Afrique à l’occasion des AfricaTech Awards.

Léonide Michael Sinsin occupe également depuis 2022 le poste de président de l’Association interprofessionnelle des spécialistes des énergies renouvelables du Bénin (AISER-Bénin), qui promeut et défend les intérêts des acteurs des filières des énergies renouvelables. Entre 2012 et 2015, il a travaillé comme rédacteur technique principal du think tank panafricain « L’Afrique des Idées ».

Melchior Koba

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Yellow, une société de financement d'actifs pour l'énergie solaire et les appareils numériques en Afrique, a récemment annoncé la levée de 14 millions de dollars de financement.

Les fonds obtenus seront utilisés par Yellow pour élargir sa portée sur ses marchés actuels, à savoir le Malawi, le Rwanda, l'Ouganda, la Zambie et Madagascar. Ils permettront également de lancer entre autres des produits numériques et financiers à court terme.

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Il façonne le paysage énergétique mondial en investissant dans des solutions durables et en créant des partenariats stratégiques. Son entreprise œuvre activement pour l’utilisation de l’énergie verte en Afrique.

Samuel Alemayehu (photo), entrepreneur et investisseur éthiopien, est à l’avant-garde de la lutte contre le changement climatique et de la promotion du développement durable en Afrique. En tant que cofondateur et président du conseil d’administration de Cambridge Industries, il dirige une équipe dévouée qui investit dans des projets novateurs axés sur les énergies renouvelables et l’efficacité énergétique.

Cambridge Industries, qu’il a fondée en 2013, est une société d’ingénierie, de conception, d’approvisionnement et de construction axée sur les projets d’énergie renouvelable dans toute l’Afrique. Filiale de Cambridge Group Companies, elle gère la mise en œuvre complète de divers projets d’énergie renouvelable sur le continent et a déjà réalisé des projets d’une valeur de plusieurs centaines de millions d’euros.

Cambridge Industries est la première entreprise à avoir conçu, développé et construit un projet de valorisation énergétique des déchets à grande échelle en Afrique. Appelées Reppie Waste-to-Energy, les installations, réalisées à Addis-Abeba, traitent actuellement plus de 1 400 tonnes de déchets par jour.

Né en Ethiopie, Samuel Alemayehu a fait ses études universitaires à la Stanford University où il a obtenu un bachelor en science et ingénierie de la gestion. En 2008, il a cofondé et dirigé jusqu’en 2013 4Afri Technologies, un fournisseur de services mobiles en Afrique avec un déploiement en Ethiopie, en Ouganda, en Tanzanie, au Rwanda, en Zambie, au Cameroun, en RD Congo, au Gabon, au Sénégal, au Ghana et au Liberia. En 2005, il a cofondé Corner Media Global LLC, un réseau social distribué axé sur les communautés d’expatriés.

En tant qu’investisseur, il a soutenu plusieurs entreprises et siège au conseil d’administration de plusieurs d’entre elles. Il s’agit entre autres d’East Africa Electric, de la plateforme de communication et de narration innovante Pitch and Flow, de VC Include et de NextBillion.ai, une entreprise axée sur l’intelligence artificielle. Sa passion et ses actions lui ont permis d’être reconnu parmi les Young Leaders du Forum économique mondial en 2018.

Melchior Koba

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AFEX, un acteur nigérian du marché des matières premières en Afrique, a annoncé l’ouverture de la quatrième édition de son événement annuel Code Cash Crop, qui se tiendra en août 2023.

Pour la première fois, Code Cash Crop s'étendra au Kenya. De ce fait, les jeunes entrepreneurs nigérians et kényans désireux de créer des idées innovantes et des modèles commerciaux rentables qui résolvent les problèmes de l'écosystème sont invités à postuler avant le 30 mai à l'adresse : https://africaexchange.typeform.com/to/W9FZCSOZ?typeform-source=africaexchange.com

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Le Programme des Nations unies pour le développement a annoncé, mercredi 5 avril, qu'il soutiendra les sept lauréats du Défi de l’innovation financière de sa plateforme d’agrégation climatique. L'organisation veut favoriser le développement de ces structures pour accroître la disponibilité et réduire le coût du financement de l'énergie à faible émission de carbone et aider à combler le déficit d'investissement pour parvenir à un accès universel à l'énergie verte en Afrique de l'Est.

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