Du 15 au 17 décembre, se déroulera simultanément sur les campus des universités de Lomé et de Kara, à l'Institut iPNet of Technology et à l'université catholique de l'Afrique de l'Ouest, l’étape togolaise du séminaire sur les applications de l’intelligence artificielle. L’événement, dénommé Indabax Togo, est organisé par la start-up Indaba dont le but est de renforcer l’apprentissage de l’intelligence artificielle et de l’apprentissage automatique en Afrique. Elle durera une semaine d'enseignement avec des sessions pratiques et des débats sur les principes et la pratique de l'intelligence artificielle moderne.

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Le premier congrès autour de l’écosystème 5G en Afrique se déroulera les 7 et 8 décembre à Rabat au Maroc. Les objectifs sont de proposer de nouveaux services, de générer des opportunités de croissance et de développer l’activité des participants avec les opérateurs et les entreprises. A termes, cette technologie révolutionnaire contribuera au développement du climat des affaires et à la promotion d’une vision proactive dans les plans de formation dans le but de développer les compétences marocaines, voire africaines, dans le domaine des technologies de pointe.

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Du 5 au 7 décembre, le ministère algérien de l’Economie de la connaissance, des Start-up et des Micro-entreprises organisera, au Centre international des conférences (CIC) Abdelatif Rahal, le 1er Congrès africain des start-up. La rencontre a pour objectif d’unifier les efforts gouvernementaux visant à renforcer le rôle des start-up en Afrique et à consacrer leur contribution au développement économique, à travers l’échange d’expertises entre pays autour des politiques générales élaborées à cet effet.

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Il est un conseiller en investissement doté d’une expérience de plus de 20 ans. Il est l’un des initiateurs et organisateurs d’un prestigieux sommet africain axé sur la fintech et il a reçu plusieurs récompenses pour son impact en Afrique et dans son pays.

Zekarias Amsalu (photo) est un investisseur éthiopien, un expert-comptable agréé ACCA et un personnage actif de la technologie financière en Afrique. Diplômé de l’université d’Oxford Brookes d’un master en finance obtenu en 2010, il est l’un des cofondateurs et coorganisateurs de l’Africa Fintech Summit.

Fondé en 2018, l’Africa Fintech Summit est défini comme une initiative de création d’écosystèmes, avec des ateliers, des démonstrations, des concours de présentation, des visites d’écosystèmes, des livres blancs, des récompenses et d’autres opportunités de collaboration avec les investisseurs et les entreprises qui construisent l’avenir de la fintech africaine. Il se déroule deux fois par an, une fois à Washington, D.C., et l’autre fois dans un pays africain sélectionné.

« L’Africa Fintech Summit est un événement qui accueille des leaders, des investisseurs, des régulateurs, des groupes de réflexion, des dirigeants d’entreprise, des banques, des agences gouvernementales et d’autres architectes de l’écosystème afin de favoriser la collaboration, de mobiliser des capitaux et d’explorer des stratégies visant à élargir la portée de la prestation de services financiers en Afrique. Chaque année, en avril, une édition de l’AFTS se tient en marge des réunions de printemps de la Banque mondiale à Washington, D.C., tandis qu’une autre se tient dans un pays africain sélectionné », a déclaré Zekarias Amsalu en avril 2022.

Cette année, c’est l’Afrique du Sud (Cape Town) qui a abrité l’Africa Fintech Summit les 3 et 4 novembre. Le sommet a été animé par 60 conférenciers, dont Zekarias Amsalu, et a accueilli plus de 500 participants de plus de 40 pays.

Zekarias Amsalu est aussi le fondateur et le directeur général d’IBEX Frontier LLC, une société de conseil qui se concentre sur les marchés émergents avec une préférence pour les opportunités de L’Ethiopie. Il a participé à la cohorte 2019 du programme NextGen d’Invest Africa. En 2002, il a fondé Future Proof Accountancy, une société de conseil qui fournit ces services aux entreprises et entrepreneurs éthiopiens. Il a dirigé l’entreprise jusqu’en 2004.

Sa carrière professionnelle a commencé en 1997 à la Dashen Bank S.C d’Addis-Abeba où il était comptable du siège social. En 1998, il a été embauché par Shell au poste de trésorier et responsable de crédit de l’East African Hub.

A partir de 2003, au Royaume-Uni, il est devenu comptable financier de Prudential Financial, une société de services financiers. Il a ensuite travaillé pour la Westminster Electrical en tant que responsable financier entre 2006 et 2017. Parallèlement, Zekarias Amsalu a été comptable en gestion de la Godrej Consumer Products Ltd de 2007 à 2008. De 2016 à 2017, il a également travaillé pour Asoko Insight où il était le directeur des opérations en Ethiopie.

Membre du conseil consultatif de l’Afrinet Capital, une entreprise de capital risque, il a été primé à plusieurs reprises. En 2018, Zekarias Amsalu a, entre autres, été nommé comme étant l’une des 100 personnes les plus influentes d’ascendance africaine de moins de 40 ans dans le domaine des affaires et de l’entrepreneuriat. Il a été reconnu Invest Connector par Forbes et fut récompensé par l'Outstanding Trade Avocate Award pour l’Ethiopie lors du Sommet sur le commerce et l’investissement en Afrique.

Melchior Koba

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La numérisation des services financiers se développe en Afrique. Tout comme les banques, les marchés de capitaux ont aussi perçu l’intérêt de s’arrimer aux TIC. Au-delà de l’intégration des différents marchés, c’est aussi une opportunité de croissance de leurs activités.

L'Association des Bourses africaines (ASEA) annonce ce vendredi 18 novembre la mise en service de la plateforme numérique AELP Link. Dans sa première phase financée par une subvention du Fonds fiduciaire de coopération économique Corée-Afrique (KOAFEC) géré par la Banque africaine de développement, elle interconnecte sept Bourses de valeurs africaines et trente courtiers.

Les Bourses concernées sont : la Bourse régionale des valeurs mobilières (BRVM), Casablanca Stock Exchange (CSE), The Egyptian Exchange (EGX), Johannesburg Stock Exchange (JSE), Nairobi Securities Exchange (NSE), Nigerian Exchange Limited (NGX) et la Bourse de Maurice (SEM).

Selon Edoh Kossi Amenounve (photo), le président de l'Association des Bourses africaines (ASEA) qui regroupe 25 bourses de valeurs en Afrique, « la mise en service aujourd'hui d'AELP Link est une étape historique vers la réalisation de la mission de l'ASEA, d'engager les écosystèmes des marchés de capitaux africains afin de favoriser la mobilisation de ressources, de promouvoir la durabilité et de renforcer l'inclusion financière au profit du développement économique de l'Afrique. L'harmonisation de l'infrastructure de négociation par le biais d'AELP Link devrait faciliter les processus de négociation existants et potentiellement réduire le coût des transactions sur les marchés de capitaux africains ».

Conçu et mis en œuvre par DirectFN Ltd, le système de négociation AELP Link a pour objectif la facilitation des transactions transfrontalières entre Bourses et certaines sociétés de courtage en Bourse. Disponible en anglais, français et arabe, il regroupe les données de marché en direct des Bourses et permet aux courtiers d'accéder aux informations et de voir la profondeur et la liquidité des marchés. Il est hébergé sur Oracle Cloud Infrastructure (OCI) qui lui garantit un environnement numérique sécurisé et disponible dans lequel l’ASEA peut créer et exécuter un large éventail d'applications selon le besoin.

La mise en service de la plateforme AELP Link découle de plusieurs tests techniques engagés depuis juillet dernier. Ils ont permis aux courtiers de se familiariser avec la plateforme et d'exécuter quelques transactions pour améliorer la solution numérique. Cette phase de tests s’est achevée le 7 novembre, ouvrant ainsi la voie à la mise en service technique du système que Willie Njoroge le secrétaire général de l'Association africaine des courtiers et négociants en valeurs mobilières (ASSDA) — a qualifié de « moment historique pour l'Afrique […] après de nombreuses tentatives infructueuses au cours des deux dernières décennies ».

L’ASEA a prévu d’intégrer de nouvelles Bourses de valeurs africaines membres de l'ASEA et courtiers à la plateforme AELP Link. La Bourse du Botswana (BSE) et la Bourse du Ghana (GSE) sont ciblées pour la phase 2 du projet qui est annoncée pour 2023.

Muriel Edjo

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Par le passé, les opérateurs télécoms ont peu investi dans les zones rurales en Afrique, car peu attrayantes économiquement. Avec l’économie numérique qui s’accélère sur le continent, plusieurs acteurs procèdent déjà à un repositionnement stratégique.

A travers sa filiale Orange Côte d’Ivoire, le groupe Orange a annoncé, le mardi 8 novembre, la signature d’un accord de service avec la société Vanu, Inc. pour étendre sa couverture réseau en Côte d’Ivoire, au Burkina Faso et au Liberia. Le projet débutera avec la mise en place de 1 070 sites, dont 700 en Côte d’Ivoire, 170 au Burkina Faso et 200 au Liberia. Le partenariat entre Orange et Vanu inclura la fourniture de mises à niveau technologiques et sera basé sur le modèle innovant « Network-as-a-Service » (NaaS).

Selon Nafy Coulibaly (photo), la directrice générale adjointe d’Orange chargée des opérations en Côte d’Ivoire, au Burkina Faso et au Liberia, « Orange va déployer ses services en améliorant/augmentant stratégiquement sa couverture réseau afin que personne ne soit laissé pour compte. Notre objectif est en effet de fournir un accès libre et gratuit aux services numériques, en tout lieu et au plus grand nombre […] de rendre les services numériques accessibles aux millions d’habitants des zones rurales de Côte d’Ivoire, du Burkina Faso et du Liberia qui n’étaient pas couvertes jusqu’alors ».

Le partenariat entre Orange Côte d’Ivoire et Vanu, Inc. s’inscrit dans le cadre du programme IDEAL d’Orange, dont l’objectif est l’extension de la couverture réseau dans les zones rurales à 20 millions de personnes grâce à la construction de 5 000 sites en quatre ans. Les zones rurales d’Afrique où résident encore une grande partie de la population, faiblement couvertes en réseaux télécoms, représentent une niche de marché à fort potentiel de croissance pour les opérateurs télécoms.

En renforçant sa présence dans les zones rurales de Côte d’Ivoire, du Burkina Faso et du Liberia, le groupe Orange se donne les moyens d’accroître son nombre d’abonnés dans ces différents marchés. En devenant le principal fournisseur de services dans ces zones, il renforcera aussi la portée de ses services numériques.

Muriel Edjo

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iRole!, Kamioun, Biomass4GLC, LifeBlood et Abana remportent la 12e édition du Prix Orange de l’entrepreneur social MEA

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L’Afrique couve actuellement une jeunesse innovante en ébullition, de plus en plus en quête de soutien pour entreprendre. Orange qui croit en l’impact social des sociétés technologiques est plus que jamais engagé à les accompagner à travers diverses actions.

Les start-up iRole!, Kamioun, Biomass4GLC, LifeBlood et Abana ont remporté la phase internationale de la douzième édition du Prix Orange de l’entrepreneur social en Afrique et au Moyen-Orient (POESAM). Les lauréats ont été dévoilés ce mercredi 26 octobre à Kigali, au Rwanda, en marge du Mobile World Congress Africa qui se tient du 25 au 27 octobre 2022.

Pour le Prix Féminin international, la start-up jordanienne iRole ! remporte la somme de 20 000 € avec sa plateforme numérique qui met en relation des femmes souhaitant travailler à distance et des organisations qui souhaitent les employer.

Pour le Grand Prix International, le premier prix de 25 000€ a été attribué à la start-up sierra léonaise LifeBlood pour sa plateforme de santé numérique conçue pour résoudre la pénurie aiguë de produits sanguins dans le système de prestation de soins de santé du pays.

Le second prix de 15 000 € a été remporté par la start-up malienne Biomass4GLC spécialisée dans la production et la distribution de biogaz de cuisson à travers la mise en location de dispositifs connectés.

Enfin, le troisième prix de 10 000 € est allé à la tunisienne Kamioun qui propose une plateforme d'e-commerce dédiée à l’approvisionnement des détaillants (commerces de proximité) en Tunisie.

Pour la seconde fois en 12 années, le POESAM a attribué un prix coup de cœur du jury pour récompenser une start-up qui se distingue par ses perspectives d'impact. Abana, place de marché numérique de la République démocratique du Congo dédiée aux créateurs de vêtements de même qu’aux clients qui souhaitent les acquérir, s’est vue accorder la somme de 10 000 €.

Au cours de la cérémonie de remise de prix qu’à présidé Elizabeth Tchoungui (photo), directrice RSE, diversité et solidarité du groupe Orange et présidente déléguée de la Fondation Orange, en compagnie de Brelotte Ba, directeur général adjoint d’Orange Middle East & Africa, il a été dévoilé que près de 1 400 candidatures ont été collectées dans l’ensemble des 17 pays où le POESAM a lieu cette année.

Depuis le lancement du POESAM en 2011, Orange a déjà dépensé plus de 600 000 € pour récompenser plus d’une trentaine de gagnants et financer l’accompagnement de près de 90 entrepreneurs par des experts Orange ou ses partenaires.

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Dans la collecte de données indispensables à la prise de décisions efficaces, les satellites d’observation ont démontré leur importance au fil des années. En Afrique où leur nombre est encore assez faible, ils ont le pouvoir d’améliorer le développement dans plusieurs secteurs, notamment l’agriculture.

Le nano-satellites zimbabwéen Zimsat-1 et l’ougandais PearlAfricaSat-1 seront lancés dans l’espace, le 6 novembre, depuis la base de lancement d'engins spatiaux dédiée aux tirs commerciaux appartenant à l’Agence spatiale américaine (NASA) et située en Virginie. Le Zimbabwe et l'Ouganda ont finalisé les préparatifs y afférent. Les deux équipements voleront à bord du Northrop Grumman (NG-18 Cygnus) qui les acheminera à la Station spatiale internationale (ISS) qui se chargera ensuite de les déployer en orbite autour de la Terre.

Selon Melissa Gaskil du Bureau de recherche du programme de la station spatiale internationale, au Centre spatial Johnson, les données statistiques recueillies par ces deux nano-satellites d’observation « pourraient aider à distinguer les sols nus des forêts et des terres agricoles et éventuellement indiquer la qualité de la croissance agricole. Cela pourrait contribuer à améliorer les moyens de subsistance des citoyens de l'Ouganda et du Zimbabwe ».

Le lancement des premiers satellites zimbabwéen et ougandais rentre dans le cadre de la 5e phase du projet mondial conjoint multi-nations Birds (projet BIRDS-5). C’est une constellation de deux CubeSats 1U (Zimsat-1 et PearlAfricaSat-1) et du CubeSat 2U (TAKA) développé par le Japon et qui sera aussi lancé dans l’espace en compagnie des équipements africains. Le programme BIRDS, lancé en 2015 et piloté par l'Institut de technologie de Kyushu (Kyutech) a déjà connu la participation de quatorze pays.

BIRDS permet aussi aux étudiants de pays en développement de s'initier au développement de satellites, posant ainsi les bases de projets similaires de technologie spatiale, dans leur pays d'origine, qui pourraient déboucher sur des programmes spatiaux durables.

La mission de BIRDS-5 est d'effectuer des observations multispectrales de la Terre à l'aide d'une caméra commerciale équipée d'un filtre, et de faire la démonstration en orbite d'un instrument de mesure électronique à haute énergie qui peut être monté dans un CubeSat.

Muriel Edjo

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Après la formation réussie d’une centaine d’adolescents togolais aux compétences numériques dès 2020, au plus fort de la pandémie de Covid-19, l’initiative philanthropique Knect initiée par Chloe Clerc, une Américaine d’une quinzaine d’années, est annoncée au Ghana. Au Togo, Knect a dispensé des cours sur le développement de sites Web, de jeux et d'autres produits numériques, en utilisant des compétences en codage informatique. Chloe Clerc a bénéficié du soutien de l’Organisation non gouvernementale locale AfriStack, qui offre une formation pratique en science, technologie, ingénierie, mathématiques et entrepreneuriat aux communautés mal desservies.

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Depuis son lancement en 2016, l’initiative qui est soutenue par DS Avocats, Honoris United Universities, Inetum, Meridiam, Roland Berger et Société Générale a déjà accompagné 718 entrepreneures dans leur développement.

Women In Africa (WIA), une plateforme internationale consacrée au développement économique et au soutien des femmes africaines entrepreneures, a dévoilé les 51 lauréates de la 6e édition de sa compétition panafricaine annuelle de projets entrepreneuriaux (WIA54), mardi 18 octobre. Chaque lauréate représente un pays du continent sur plus de 7 000 candidatures reçues et 503 finalistes sélectionnées dans les 54 pays d’Afrique en septembre 2022.

« Les meilleures candidates à l’issue de la phase de mentorat et formation participeront à un Concours de Pitch organisé en juin 2023 qui leur donnera accès à des business angels, investisseurs et au crédit. Il s'agira d'une occasion unique pour convaincre le jury de la viabilité de leur d’entreprise et lever des fonds afin de déployer leur structure », indique WIA.

Les 51 lauréates bénéficieront également de la possibilité d’intégrer un MBA proposé par Honoris United Universities et d’une campagne de communication internationale sur les réseaux sociaux de WIA. La meilleure entrepreneure recevra également un prix de 10 000 €.

A travers WIA54, son programme de formation, mentorat, communication et d’accès au financement, Women In Africa ambitionne d’accompagner 10 000 femmes d’affaires issues d’une série de secteurs tels que l’agriculture et l’agritech, l’alimentation et la foodtech, l’éducation et l’edutech, la fintech, l’environnement et le développement durable, les industries de la beauté et les industries créatives d’ici 2030. L’objectif est de contribuer à la création de 100 000 emplois et à la génération de 10 milliards $ de revenus pour l’économie africaine.

D’après WIA, cet intérêt porté aux entrepreneures depuis six ans est l’expression de sa conviction dans la « contribution déterminante des femmes panafricaines aux progrès du continent par leurs actions, leur impact et en tant qu’agent du changement ».

Muriel Edjo

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