Depuis plus de 19 ans, il essaie de réduire, via Silulo Ulutho Technologies, la fracture numérique et d’améliorer la qualité de vie de ses concitoyens. Il a reçu de nombreuses récompenses nationales et internationales.

Luvuyo Rani (photo) est un entrepreneur sud-africain et le président-directeur général de Silulo Ulutho Technologies, une entreprise qui fournit des magasins et des centres de formation en informatique dans les bidonvilles et les communautés rurales d’Afrique du Sud, créant des opportunités d’emploi pour des milliers de jeunes sans-emploi.

Luvuyo Rani a fait ses études supérieures à la Cape Peninsula University of Technology où il a obtenu, en 2002, un bachelor en commerce et éducation et, en 2004, un bachelor en administration des affaires. Il est aussi titulaire d’un diplôme d’associé en gestion obtenu en 2007 à la Graduate School of Business de l’université du Cap, et d’un certificat en leadership pour le changement de système délivré en 2018 par la Harvard Business School Executive Education.

L’entrepreneur a fondé Silulo Ulutho Technologies en 2004 avec son frère Lonwabo Rani. L’entreprise fournit aux populations des bidonvilles et des milieux ruraux une infrastructure accessible, un réseau de soutien, des services de développement des compétences et une connectivité numérique par le biais de ses centres de carrière et d’affaires centrés sur la communauté.

Luvuyo Rani est depuis 2021 membre du conseil d’administration d’Entrepreneurs’ Organization, un réseau de soutien de haute qualité qui regroupe plus de 18 000 fondateurs et propriétaires d’entreprises. Avant la fondation de Silulo Ulutho Technologies, il a enseigné la comptabilité et l’économie d’entreprise à la KwaMfundo Secondary School de 2001 à 2004.

Luvuyo Rani a reçu de nombreuses récompenses nationales et internationales pour son parcours entrepreneurial et son impact social. En 2007, il a reçu le prix de l’entrepreneur de l’année Cape Times/KPMG. En 2008, il a été le deuxième finaliste du prix SAB Kick-Start dans la province du Cap-Occidental. En 2011, il a été sélectionné comme entrepreneur mondial Endeavour et a remporté le prix national de la productivité. En 2014, il a été nommé comme l’une des « dix personnes exceptionnelles de l’année » par la Junior Chamber International. En 2015, il a reçu un diplôme honorifique de Tsiba Education. En 2016, il a été nommé entrepreneur social de l’année par la Fondation Schwab.

Melchior Koba

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Depuis plus de 15 ans, I&F Entrepreneuriat aide les entrepreneurs avec une idée d’entreprise innovante dans leur processus de création. Par le biais de ses programmes et activités, elle a déjà accompagné plus de 1 000 entrepreneurs.

I&F Entrepreneuriat est une organisation qui soutient les entrepreneurs en République démocratique du Congo. Fondée en 2007 sous l’accompagnement conjoint de l’Institut de la Francophonie pour l’Entrepreneuriat (Ile Maurice), de l’université de Bordeaux (France) et de l’Incubateur régional d’Aquitaine (France), son directeur général est l’entrepreneur Val Masamba.

Ses activités comprennent la formation, l’incubation, le mentorat et le financement des porteurs de projets innovants et à fort impact social. Avec plus de 15 ans d’expérience, elle est riche de 1 456 entreprises incubées, dont 803 créées par des jeunes de moins de 35 ans, composés de jeunes filles à 39 %. Les entreprises exercent dans divers secteurs tels que l’agro-industrie, la haute technologie, la production de matériaux de construction et les technologies de l’information et de la communication.

« I&F Entrepreneuriat a pour mission de transférer la technologie, promouvoir et développer, au sein d’une structure commune d’incubation et de pépinière, une démarche systématique de détection, d’évaluation, et de validation économique et d’accompagnement aussi bien de projets de création d’entreprises innovantes ou d’entreprises existantes ayant un lien ou pas avec la recherche scientifique », peut-on lire sur le site de l’organisation.

Le programme d’incubation de l’organisation dure 12 à 18 mois selon la progression de chaque projet. Il accueille les personnes qui disposent des idées de projet d’entreprise et leur propose un hébergement physique et juridique, un accompagnement, un coaching et un tutorat, une formation entrepreneuriale et managériale, un stage de perfectionnement. Il aide les entrepreneurs à construire leur business model et plan, les ajoute dans des réseaux d’affaires et leur offre un suivi post création d’entreprise.

I&F Entrepreneuriat offre également, dans la phase post-création d’entreprise, un soutien complet à travers une pépinière. Celle-ci accompagne les nouveaux entrepreneurs dans l’installation et le lancement de leur entreprise, la réalisation des premiers recrutements, l’établissement de relations avec les premiers clients et fournisseurs, la gestion de la comptabilité, les négociations avec les acteurs du marché, la gestion des comptes bancaires, la participation à des foires et des conférences pour la promotion de leurs produits, ainsi que la mise en place de stratégies marketing, entre autres activités.

Le dernier service de la chaîne d’incubation de l’organisation est le quartier industriel pour petites et moyennes industries. Son rôle est d’accueillir les entrepreneurs incubés sortis de la pépinière en vue de leur offrir un cadre propice à leur développement. L’ensemble de ces étapes a pour but de créer des entreprises à fort impact et durables en RD Congo.

Melchior Koba

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Depuis sa création, elle s’est engagée à permettre aux jeunes de libérer leur plein potentiel grâce à divers programmes. Elle fournit un espace communautaire propice que les jeunes utilisent pour entre autres se rencontrer, travailler en réseau et apprendre. 

Swahilipot Hub est une organisation à but non lucratif kényane fondée en 2016 par Mahmoud Noor, avec des programmes et des activités axés sur la technologie et l’innovation. Devenue une organisation non gouvernementale connue sous le nom de Swahilipot Hub Foundation en 2017, elle a ajouté l’art à son portefeuille afin d’autonomiser les jeunes.

Swahilipot Hub Foundation forme des jeunes en matière de collecte et d’analyse de données grâce à son programme Data and Research. Elle offre aussi des programmes visant à améliorer les compétences numériques des jeunes et à leur permettre de s’épanouir dans l’espace numérique. 

Grâce à son programme d’attachement industriel, les participants acquièrent une expérience pratique dans des domaines comme le développement web, la mise en réseau et des compétences non techniques telles que le travail avec les jeunes et la communication efficace.

Son programme d’entreprise, connu sous le nom de « Pitching Thursday », fournit une plateforme aux jeunes pour présenter leurs idées ou leurs projets. Il offre une visibilité et sert de catalyseur pour la croissance et le développement.

Swahilipot Hub Foundation fournit un espace où ses communautés, artistiques et technologiques, construisent des projets durables. En 2018, elle a accueilli la première édition de la Pwani Innovation Week (PIW), son activité axée sur la promotion de la technologie. L’organisation a aussi lancé, en 2022, un événement dans le domaine du patrimoine. Nommé Modern Heritage of Africa (MoHoA) et organisé dans un format hybride (en présentiel et virtuel), l’atelier a rassemblé des intervenants et des participants du monde entier.

A ce jour, Swahilipot Hub Foundation a formé plus de 100 jeunes en collecte et analyse de données et plus de 150 jeunes ont acquis des compétences numériques. Elle a soutenu plus de 10 entreprises à ce jour, les aidant dans leur parcours entrepreneurial.

Plus tôt dans l’année 2023, l’organisation a été certifiée comme étant l’équivalent d’une organisation caritative publique certifiée aux Etats-Unis d’Amérique. Cela signifie que les organismes subventionnaires américains peuvent la financer directement.

Melchior Koba

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A ce jour, Swahilipot Hub Foundation a formé plus de 100 jeunes en collecte et analyse de données et plus de 150 jeunes ont acquis des compétences numériques. Elle a soutenu plus de 10 entreprises à ce jour, les aidant dans leur parcours entrepreneurial.

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Melchior Koba

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Préoccupé par le développement de l’entrepreneuriat et de l’innovation en Egypte, le gouvernement, à travers le ministère de la Coopération internationale, a fondé Falak Startups. Ce dernier accompagne les entrepreneurs talentueux et ambitieux du secteur technologique.

Falak Startups est un accélérateur de start-up créée en 2018 par le ministère égyptien de la Coopération internationale et son organisme de capital-risque, Egypt Ventures. Son directeur général est Ahmed Hazem Dakroury.

L’accélérateur a pour mission de trouver et d’accompagner les entrepreneurs talentueux et ambitieux du secteur technologique en Egypte, afin qu’ils puissent se développer et se faire connaître dans le paysage entrepreneurial du Moyen-Orient et de l’Afrique.

Falak Startups propose deux pistes différentes pour ses start-up : une piste générale pour les start-up technologiques, et une piste fintech soutenue par EFGEV Fintech et conçue pour les start-up opérant dans les technologies financières.

Les entreprises sélectionnées bénéficient d’un accompagnement personnalisé, comprenant des ateliers, des mentorats, des formations, des opportunités de marché, et d'un accès à la plateforme virtuelle, Virtual Stage, de Falak Startups, qui permet aux start-up de se connecter avec des investisseurs potentiels, des décideurs politiques, des acteurs du secteur privé et des partenaires institutionnels.

Falak Startups a également mis en place un programme d’investissement en capital-risque, qui vise à financer jusqu’à 2 millions EGP (environ 65 000 USD) par start-up. Le programme comprend aussi un soutien financier aux start-up lorsqu’elles cherchent à lever des fonds supplémentaires auprès d’autres sources.

Depuis sa création, Falak Startups a accéléré plusieurs start-up émergentes dans des domaines tels que l’énergie, la santé numérique, l’éducation en ligne, le commerce électronique et la logistique. Parmi les entreprises soutenues, on peut citer Presto, un système automatisé de livraison à la demande, Mayday qui fournit une assistance routière en temps réel aux automobilistes qui rencontrent un problème de voiture, Rabbit, une entreprise de transport propre qui propose des scooters électriques à louer à la minute, et la plateforme d’e-commerce WXYZ.

Melchior Koba

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En 2022, selon des données fournies par StartupBlink, Maurice a obtenu 1,02 point dans l’indice de l’écosystème des start-up et comptabilisé l’un des scores totaux les plus élevés d’Afrique. Mauritius Start-up Incubator fait partie des acteurs de cette performance de l’écosystème mauricien.

Mauritius Start-up Incubator (MSI) est un incubateur basé à Maurice, qui a pour mission d’accompagner les start-up qui veulent se développer et être guidées vers le succès. Fondé en 2016 par Nicolas Goldstein, un entrepreneur installé à Maurice, MSI se distingue de ses concurrents en proposant un service de soutien de bout en bout pour lancer, développer et établir les entreprises. 

MSI offre aux start-up un environnement propice à leur croissance, avec des locaux modernes, un accès à un réseau d’experts et de mentors, des formations et des ateliers, ainsi qu’un soutien financier et administratif. Les bureaux de l’incubateur sont équipés, câblés, dotés de 1 à 25 postes de travail et disposent d’une bonne technologie Internet.

L’incubateur propose aussi des services de conseil pour le recrutement de personnel. Il aide à la création et à la comptabilité d’une société à Maurice. Il accompagne les entreprises dans l’enregistrement de leur marque, à l’obtention des permis d’occupation (OP) pour les expatriés et dans toutes autres démarches administratives sur le pays.

Il fournit des conseils et oriente les entreprises qui désirent s’implanter à Maurice. Que ce soit pour la constitution des sociétés, la mise en place de réseaux avec des sociétés de gestion offshore, la demande d’obtention de permis de travail, d’occupations ou autres permis nécessaires à l’exploitation d’une société numérique, MSI accompagne les start-up.

Mauritius Start-up Incubator est soutenu par des banques comme la banque des Mascareignes, Barclays, Standard Bank, Bank One, MAU Bank et Mauritius Commercial Bank, entre autres ; et d’autres grands groupes comme Harel Mallac Group, Evaco Group et CIEL Group.

Melchior Koba

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Les incubateurs, accélérateurs, fablab et toutes autres structures d’accompagnement à l’entrepreneuriat sont devenu des acteurs incontournables du développement technologique. Au Cameroun, Kmer Tech soutient ses structures.

Kmer Tech est un réseau camerounais de structures d’accompagnement à l’entrepreneuriat technologique créé en 2020. Il a pour mission de préparer l’écosystème pour un meilleur rayonnement de l’entrepreneuriat technologique et innovant en vue de booster l’économie numérique.

Il vise à promouvoir, soutenir et défendre les intérêts des incubateurs, les attirer et mettre à leur disposition des ressources par le branding et le lobbying. Elle a également pour objectif de promouvoir le développement, la visibilité et la compétitivité des start-up.

Parmi ses activités et ses programmes, on peut citer le projet KMER TECH TIE (Tech-Innovation- Entrepreneurship), un programme national lancé en réponse à la Covid-19, qui vise à fournir des solutions applicables et pertinentes aux problèmes socio-économiques en suspens au Cameroun. Ce projet a consisté à former les entreprises et organisations qui développent des technologies innovantes.

A la fin du KMER TECH TIE, un concours appelé KmerTech TIE Champion est organisé. Lancée en décembre 2021, la compétition a récompensé six start-up innovantes dans les domaines de la santé, de l’éducation et du commerce en 2022.

A travers le programme KMER TECH ESO SUPPORT, le réseau renforce l’action de ses hubs en octroyant une subvention de 100 000 à 250 000 FCFA, soit entre 160 et 400 USD, à chacun de ses membres selon leurs activités.

Kmer Tech est un réseau de plus de 134 membres et de plus de 22 start-up. Via ce réseau, il favorise l’emploi des jeunes et le développement de l’entrepreneuriat technologique au Cameroun. Il est soutenu par ST Digital, l’Union européenne et l’ambassade de France au Cameroun.

Melchior Koba

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Lawyers Hub est un des acteurs les plus importants dans le domaine de la technologie juridique en Afrique. Grâce à son leadership éclairé et à ses programmes innovants, il façonne l’avenir du droit et de la technologie sur le continent.

Fondée en 2017 par l’experte en droit numérique Linda Bonyo, sa présidente-directrice générale, Lawyers Hub est une organisation panafricaine qui vise à promouvoir l’innovation juridique et technologique en Afrique. Basée à Nairobi, au Kenya, elle conseille sur la politique numérique et utilise la technologie pour aider les start-up à travers le continent.

Lawyers Hub est dirigée par une équipe de professionnels dévoués et expérimentés. Elle a mis en place plusieurs programmes et activités pour soutenir son objectif. L’un d’eux, l’Africa Digital Policy Institute, propose des sessions de formation en personne et virtuelles ciblant différentes industries sur l’intelligence artificielle, la cybersécurité et la protection des données et des cours de conformité pour les professionnels et les praticiens du droit. Elle gère aussi l’Africa Law Tech Association et l’Africa Startup Law Accelerator.

L’organisation organise plusieurs événements comme l’Africa Law Tech Festival qui réunit chaque année plus de 2 000 participants venant de plus de 40 pays. Elle organise aussi l’Africa Legal Innovation Week qui rassemble des technologues juridiques de toute l’Afrique pour explorer comment la technologie peut façonner l’avenir de la justice et du secteur juridique. L’édition 2023 s’est tenue du 27 novembre au 1ᵉʳ décembre.

Ces initiatives visent à former les juristes africains en droit de la technologie et à aider les acteurs de l’écosystème et les gouvernements à comprendre les politiques qui régissent l’industrie technologique.

Lawyers Hub organise aussi les Africa Legal Innovation Awards, qui cherchent à reconnaître les réalisations exceptionnelles et les avancées révolutionnaires dans le monde du droit et de la technologie. Ce prix est destiné aux individus travaillant dans l’espace legaltech en Afrique, y compris les avocats, les décideurs politiques et les innovateurs.

L’organisation travaille avec plusieurs entreprises et organisations internationales. Entre autres, on peut citer Mozilla, Witness, Edgelands Institute, UNESCO et l’université de Cambridge.  

Melchior Koba

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Depuis la pandémie de la Covid-19, les plateformes d’apprentissage en ligne ont pris une autre ampleur. Pour former ses fonctionnaires, l’Etat tunisien s’est tourné vers cette option.

Nizar Ben Néji (photo, au centre), ministre tunisien des Technologies de la communication, a lancé le vendredi 1er décembre la plateforme « Digital Learning Academy ». L’objectif est de permettre aux 680 000 agents de la fonction publique d’accéder aux formations en ligne pour renforcer leurs compétences dans le secteur du numérique.

L’initiative, lancée par le ministère des Technologies de la communication, est dirigée par Smart Tunisian Technoparks, un technoparc tunisien spécialisé dans les technologies de l’information et de la communication.

Le lancement de la nouvelle plateforme s’inscrit dans le cadre du renforcement des compétences des fonctionnaires de l’Etat tunisien. Dans sa stratégie numérique dont l’échéance est prévue pour 2025, la digitalisation et la simplification des diverses procédures administratives et le développement des services numériques destinés aux citoyens représentent l’un des six axes majeurs. Le personnel administratif doit ainsi s’adapter aux nouvelles normes pour faciliter l’atteinte des divers objectifs. Renforcer leurs compétences dans le numérique est l’une des étapes du processus puisqu'avec l’accélération de la transformation numérique, de nombreux agents de l’Etat, à divers postes, s’adaptent tant bien que mal à l’utilisation des nouvelles technologies.

Avec « Digital Learning Academy », ils pourront suivre un panel de formations gratuites et certifiées au niveau international. Pour rappel, la plateforme est accessible à tous les employés de la fonction publique.

Adoni Conrad Quenum

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Le groupe WIOCC (West Indian Ocean Cable Company), un prestataire international de solutions de connectivité résilientes, a annoncé le mardi 5 décembre la signature d’un partenariat avec MDCS Skills Academy.

Selon le communiqué du groupe WIOCC, la nouvelle collaboration vise à fournir des compétences numériques aux apprenants défavorisés en particulier les femmes au chômage et les apprenants handicapés dans les régions défavorisées d'Afrique du Sud.

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