Il est un informaticien talentueux et expérimenté qui a fondé et dirige Bujeti, une start-up fintech innovante en Afrique. Il a une grande expérience dans l’industrie technologique et est reconnu pour son expertise en matière de développement de logiciels. 

Cossi Achille Arouko (photo) est un informaticien et un entrepreneur béninois. Il est le fondateur et le président-directeur général de la start-up de technologie financière Bujeti. Il est titulaire de deux diplômes d’ingénieur en informatique, l’un obtenu à la Riga Technical University en 2015 et l’autre à l’université de technologie de Belfort-Montbéliard en 2016. Il est aussi diplômé de l’école supérieure multinationale des télécommunications de Dakar où il a obtenu un bachelor en téléinformatique en 2012.

Cossi Achille Arouko a fondé Bujeti en 2021 dans le but de permettre aux émigrés de planifier, d’organiser et de suivre les fonds qu’ils envoient à leurs familles en Afrique. Cependant, il a étendu sa plateforme à tous les Africains, car il a remarqué que les problèmes de budgétisation, de gestion et de suivi des transactions ne touchaient pas uniquement la diaspora, mais aussi la majorité des entreprises africaines.

« Au cœur de Bujeti, il y a la volonté d’apporter de la transparence aux transactions financières, de promouvoir la responsabilité et de permettre le contrôle », explique Achille Arouko en 2022. « Nous voulions que la taxe en Afrique soit moins un fardeau pour la diaspora, puis nous avons réalisé que nous aurions encore plus d’impact en offrant cette solution directement aux entreprises africaines. Nous avons décidé de pivoter vers une solution à part entière de budgétisation et de gestion des dépenses B2B pour le marché africain », ajoute-t-il.

Cette année, Bujeti a été sélectionnée parmi les 94 entreprises à travers le monde qui feront partie de la cohorte d’hiver 2023 de Y Combinator. L’incubateur international a déclaré que la start-up et les autres entreprises sélectionnées recevront chacun un financement de 500 000 dollars.

Cofondateur en 2018 et directeur de la technologie d’OyaPay jusqu’en 2019, Achille Arouko a également cofondé Skylar Labs qui construit une plateforme permettant aux PME de créer leurs propres chatbots pour engager leurs clients et leur fournir un déploiement multiplateforme.

La carrière professionnelle d'Achille Arouko a débuté à Bénin Télécoms SA où il a effectué deux stages en tant que développeur logiciel en 2011 et en 2012. Il a également fait un stage de 7 mois à AREVA NP, en 2014, où il travaillait dans l’équipe de développement d’un logiciel de calcul mécanique et de tuyauterie. En 2016, il a effectué un stage d’ingénieur au service de recherche et développement du studio numérique Oyez à Paris.

De décembre 2017 à juillet 2018, il était développeur full stack de la start-up d’intelligence artificielle Smartly.AI. En 2019, il a rejoint l’entreprise nigériane de technologie financière Paystack en tant qu’ingénieur logiciel sénior. De 2020 à 2022, il a travaillé en tant que responsable technique de la start-up.

Melchior Koba

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En Afrique, les transports en commun comme le métro ou le tramway ne sont pas développés. Les moyens de déplacement comme la voiture, la moto ou encore le vélo sont encore privilégiés. Au Nigeria, des tech entrepreneurs favorisent le commerce de voitures en mettant en place une solution numérique.

Shekel Mobility est une solution numérique développée par une jeune pousse nigériane. Elle permet, d’une part, aux entreprises émergentes du secteur automobile de se développer de manière durable et optimale en leur fournissant les outils et les ressources dont elles ont besoin et, d’autre part, aux revendeurs de la start-up d’envoyer et de recevoir de l’argent et de payer les factures plus facilement. La start-up a été fondée en 2021 par Sanmi Olukanmi et Ben Oladokun.

« Dans le but d'autonomiser les entreprises du monde entier, Shekel fournit des services financiers aux revendeurs locaux ainsi qu'aux revendeurs virtuels, permettant des transactions et des connexions transfrontalières facilitées par un écosystème construit avec une sécurité de bout en bout », peut-on lire sur la plateforme.

La plateforme ne dispose pas encore d’applications mobiles. Pour profiter de ses services, que ce soit sur un ordinateur ou sur un smartphone, il faut se rendre sur le site via un navigateur. Il faudrait, dans un premier temps, ouvrir un compte sur la plateforme. Si l’utilisateur veut se lancer dans la vente de véhicules, la start-up lui permet d’accéder à un prêt allant jusqu’à 200 000 $ sans aucune garantie requise.

Il faut signaler que les intérêts sont calculés sur une base hebdomadaire et le remboursement est sous 45 jours après la vente des voitures. Il est possible de renouveler le processus, ce qui dynamise votre entreprise et permet d'augmenter votre chiffre d’affaires. Shekel allie les activités de néobanque et de plateforme de trading pour les concessionnaires automobiles.

La jeune pousse revendique 1 102 revendeurs sur sa plateforme, 3 400 véhicules échangés et plus de 19 millions $ de transactions effectuées. Shekel a été sélectionné pour participer à la cohorte Hiver 2023 de l’accélérateur Y Combinator. En plus de la participation au programme et l’accès à des investisseurs potentiels, la firme américaine a également investi 500 000 $ dans la start-up pour soutenir sa croissance.

Adoni Conrad Quenum

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Kuda, une fintech nigériane fondée en 2019 par Babs Ogoundeyi et Musty Mustapha, a obtenu une licence bancaire numérique pour opérer au Pakistan. Cette licence est délivrée par la State Bank of Pakistan (SBP) à une joint-venture formée par la fintech Kuda et deux entreprises pakistanaises, Fatima Group et The City School Group.

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Egalement émigré, il veut aider les membres de la diaspora à prendre soin des membres de leur famille qui vivent dans leurs pays en Afrique. Il a donc fondé Fleri qui résout parfaitement ce problème en assurant une transparence dans l’utilisation de l’argent envoyé par les émigrés.

Samuel Baddoo (photo) est un entrepreneur ghanéen diplômé, en 2012, de l’université Mohammed Premier - Oujda au Maroc où il a étudié la théorie économique et l’administration des affaires. Titulaire d’un certificat en programmation informatique obtenu en 2018 à la Tech Talent South, il est le fondateur de la start-up technologique Fleri.

Fondé en 2020, Fleri est une start-up de technologie financière qui veille à ce que l’argent que les émigrés envoient chez eux réponde de manière transparente aux besoins de leurs proches. La start-up fournit les contrôles et la visibilité que les membres de la diaspora ont toujours voulu avoir.

L’idée de Fleri est née à cause du système de soins de santé défaillant qui a joué un rôle dans la perte de l’oncle et des grands-parents de Samuel Baddoo. Le premier produit, FleriHealth, de la start-up Fleri apporte la tranquillité d’esprit aux émigrés en leur permettant de parrainer des plans de soins de santé pour leurs proches restés au pays.

« Si votre mère [en Afrique] veut aller à l’hôpital, nous vous en informons. Lorsqu’elle reçoit une visite à domicile, nous vous envoyons un rapport sur ce que l’infirmière ou le médecin a dit », explique Samuel Baddoo. « Il s’agit d’instaurer la tranquillité d’esprit pour l’immigré qui vit à l’étranger de savoir que ses proches sont en sécurité et protégés », ajoute-t-il.

En 2019, l’entrepreneur a cofondé [re]start, une start-up qui avait pour mission d’aider les gens à trouver et à développer des carrières qu’ils aiment. il y a été le directeur des opérations jusqu’en 2020. En 2013, il a cofondé la société de services et de conseil aux entreprises Porter & Dale et en 2014, il a aussi cofondé la start-up Kitchen Express.

Tuteur pour la formation des adultes entre 2007 et 2008 au sein de la Talent Restoration Academy, Samuel Baddoo a travaillé entre 2012 et 2013 à Heel The World au service de développement et d’autonomisation des entreprises. En 2015, il a rejoint le fournisseur mondial de services logistiques DB Schenker au poste de coordinateur des opérations.

En 2018, la société américaine de mobilité EmpowerBus le nomme responsable du développement commercial. Parallèlement, il a travaillé en tant que développeur Ruby On Rail (framework du langage de programmation Ruby) de la société Tech Talent & Strategy (anciennement Tech Talent South), détenue par des femmes et spécialisée dans le recrutement, la formation et le conseil dans le domaine des technologies.

Melchior Koba

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Il est un entrepreneur primé, un passionné de technologie et un activiste civique. Il a un amour particulier pour l’éducation et l’inclusion financière, notamment pour les populations rurales qui semblent vivre dans une catégorie oubliée.

Charles Muhindo (photo) est un informaticien ougandais. Diplômé de l'université Makerere où il a obtenu un bachelor en génie informatique, développement de logiciels et systèmes embarqués en 2013, il est le président-directeur général et un cofondateur de MamboPay, une entreprise de technologie financière.

Fondé en 2016, MamboPay aide les entreprises et les particuliers à effectuer des paiements par le biais de cartes NFC à la pointe de la technologie et conçues pour offrir une expérience Tap-and-Pay aux bénéficiaires et permettre le transfert de fonds, en temps réel, aux vendeurs via le réseau GSM. La start-up relève trois défis majeurs dans l’utilisation quotidienne des transactions financières numériques que sont la transparence, la responsabilité et la gestion des finances personnelles.

En 2013, Charles Muhindo a également cofondé la start-up BrainShare Ltd. Cette dernière est une plateforme d’e-learning qui permet aux étudiants d’accéder à des contenus pédagogiques de premier ordre et à des enseignants, en ligne et hors ligne. Elle crée un apprentissage inclusif en soutenant la création de contenus académiques locaux par des enseignants locaux pour des apprenants africains locaux. Il a été le PDG de la start-up de sa création jusqu’en 2021.

La carrière professionnelle de Charles Muhindo a commencé en 2011 au sein de l’entreprise IntelWorld. En tant que développeur d’application sénior de l’entreprise, il était le responsable des applications mobiles. Il y a développé une panoplie d’applications d’entreprise, de commerce électronique et de paris sportifs.

En 2012, il a rejoint Orange Uganda où il a travaillé au développement de nouvelles applications pour assurer une meilleure prestation de services aux clients de la société de télécommunication.

Lauréat aux Orange Community Innovation Awards d’une médaille de bronze en raison de ses performances en 2012, Charles Muhindo a été élu parmi les 40 meilleurs entrepreneurs africains par l’initiative Global Innovation through Science and Technology (GIST) du département d’État américain en 2013. Cette année-là, son application BrainShare a été présentée sur CNN parmi les 10 meilleures start-up africaines.

Il a été invité à s’exprimer devant des organisations du monde entier, notamment le ministère finlandais de l’Education et de la Culture et la Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement.

Melchior Koba

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Après des années d’études, il a travaillé à de grands postes au sein d’institutions financières de grande envergure. Il vient à Mastercard avec une expérience professionnelle de 22 ans pour aider au développement de la société sur le continent.

Jean-Charles Yallet (photo) est un expert en finance, diplômé de l’université de Cocody où il a obtenu un master en finance en 1997. Egalement titulaire d’un master en finance et stratégie d’entreprise obtenu en 2004 à l’université d’Oxford Brookes, l’Ivoirien est le nouveau directeur de la société fintech Mastercard en Afrique francophone subsaharienne.

Sa nomination à ce poste de directeur régional Afrique francophone subsaharienne au sein du cluster ouest du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord (MENA) a été annoncée par Mastercard le 17 janvier 2023. Son rôle sera de piloter le développement des services de Mastercard et l’innovation à travers la région qui englobe désormais 17 pays. De plus, il doit poursuivre la promotion active de l’inclusion financière et numérique pour les communautés qui sont à sa charge.

Content de sa nouvelle nomination, le nouveau directeur déclare : « je suis ravi de rejoindre Mastercard en cette période exaltante où nous continuons d’innover et d’utiliser la portée de notre réseau pour numériser la sphère des paiements, en faisant entrer davantage de personnes dans l’écosystème financier. Je suis déterminé à capitaliser sur l’excellent travail déjà accompli dans le cadre de notre engagement continu à rendre les transactions plus simples, plus sûres et plus fluides dans toute la région ».

Ce nouveau poste vient s’ajouter à sa riche carrière, d’une vingtaine d’années d’expérience dans des institutions bancaires. En effet, il a successivement été, entre 2009 et 2012, responsable des relations clients et directeur national de la banque d’entreprise UBA. Il a ensuite travaillé pendant 10 ans à la Standard Chartered Bank où il a débuté en tant que chef transaction banking en 2012. Il y est ensuite devenu directeur exécutif et responsable de la banque de détail en 2017. Il a occupé ce poste jusqu’en octobre 2022.

Melchior Koba

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TeamAPT, une fintech nigériane qui fournit des services de paiements aux entreprises et plateformes bancaires en Afrique, a changé d’appellation et a adopté celui de son produit phare, Moniepoint. Dans un communiqué de presse annonçant le changement de marque, vendredi 13 janvier, la société a également révélé qu'elle transférait son siège social de Lagos à Londres.

Moniepoint a connu un succès sans précédent en tant que solution bancaire numérique. Elle traite actuellement la majorité des transactions de points de vente au Nigeria avec un volume total de paiements annualisé de plus de 170 milliards de dollars et une base de clients de plus de 600 000 entreprises.

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Kwara, la fintech kenyane qui numérise les coopératives de crédit vient de lever 3 millions de dollars de capital d'amorçage et signé un accord exclusif de distribution de solutions numériques avec la Kenya Union of Savings & Credit Cooperatives (Kuscco), l'organisme national de coordination représentant les sociétés coopératives d'épargne et de crédit enregistrée (Sacco).

Selon les responsables, cette acquisition permettra de mettre une expérience bancaire numérique entre les mains de chaque coopérative de crédit au Kenya, en collaboration avec le partenaire de coopérative de crédit le plus établi au Kenya.

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Il est un visionnaire qui consacre sa vie à faire fonctionner l’agriculture dynamiquement pour les petits exploitants. Après avoir acquis de l’expérience dans des entreprises agricoles, il a cofondé une start-up qui permet aux agriculteurs de se faire plus de bénéfices.

Benjamin Njenga (photo) est un entrepreneur kényan diplômé de la Jomo Kenyatta University of Agriculture and Technology où il a obtenu un master en finance en 2014 et de l’Egerton University où il a obtenu en 2008 un bachelor en Agrobusiness et management. Il est un des cofondateur et le directeur de la clientèle d’Apollo Agriculture.

Fondé en 2016, Apollo Agriculture fournit des financements d’intrants et des conseils aux petits exploitants agricoles en utilisant la technologie. Plus concrètement, la start-up réduit les coûts et la complexité des prêts aux agriculteurs non bancarisés. Elle rend, ainsi, possible une agriculture productive et rentable.

En tant que directeur de la clientèle d’Apollo Agriculture, Benjamin Njenga a dirigé tous les aspects des opérations de la start-up, de l’acquisition de clients, la logistique et la livraison jusqu’à la collecte des remboursements, le suivi et l’évaluation. Il supervise un groupe de plus de 25 employés, répartis dans l’équipe de l’entreprise, le centre d’appels, les partenaires détaillants agroalimentaires et les agents de terrain.

En mars 2022, la start-up a obtenu 40 millions de dollars en financement de série B dans un tour de table dirigé par Softbank rejoint par le Chan Zuckerberg Initiative, CDC, Yara Growth Ventures, Endeavor Catalyst et d’autres investisseurs, dont Anthemis Exponential Ventures, Flourish Ventures, Leaps by Bayer, SBI, Breyer Capital et TO Ventures Food. Les fonds collectés serviront à financer plus d’exploitants agricoles en Afrique.

La carrière professionnelle de Benjamin Njenga a démarré en 2008 au sein de la société de télécommunications Safaricom Ltd au poste de support client. Il a ensuite travaillé, à partir de 2011, pour Syngenta Foundation for Sustainable Agriculture en tant que spécialiste de suivi et de l’évaluation. En 2013, il a rejoint le fournisseur d’assurance agricole ACRE Africa où il a travaillé jusqu’à la création de son entreprise. Il y a successivement occupé les postes de responsable de l'analyse commerciale puis de directeur général adjoint et directeur commercial.

Melchior Koba

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Les technologies financières en Afrique attirent de nombreux investisseurs. Ce dynamisme du secteur permet entre autres de lutter contre l’exclusion financière et de favoriser l’innovation technologique.

APaym est une solution fintech développée par l’entreprise technologique ivoirienne Weblogy. Elle permet d’effectuer des paiements par QR Code et de gérer plus facilement son argent. L’entreprise a été fondée en 1998 par Daniel Ahouassa.

La solution dispose d’une application mobile accessible sur Android et sur iOS. Il faudrait créer un compte après téléchargement de l’application afin d’accéder aux fonctionnalités de la solution. Après des achats, elle offre la possibilité de payer sans recourir à votre carte bancaire. Il suffit de cliquer sur l'icône « Payer » et de scanner le QR Code du marchand. La facture est réglée quelle que soit la banque émettrice du QR Code.

Néanmoins, il faudrait au préalable recharger le compte APaym. C’est grâce au portefeuille électronique rechargeable par les cartes bancaires et par mobile money qu’il est possible d’utiliser la solution fintech. Il est également possible d’effectuer des transferts de carte à carte gratuits, de transférer de l’argent vers des comptes bancaires en Afrique, en Europe et en Asie, d’effectuer des transferts mobile money (Orange, MTN et Moov) vers d’autres pays en Afrique ou encore de transférer de l’argent vers des services d’envoi d’argent express (Express Union et Wari).

Par ailleurs, avec MTN Côte d’Ivoire, il est possible de surfer sur l’application et d’effectuer des transactions sans données mobiles. La fintech a même intégré une version USSD pour permettre aux populations n’utilisant pas des smartphones d’accéder aux services d'APaym. La version Android de la solution a déjà été téléchargée plus de 50 000 fois.

Adoni Conrad Quenum

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