Egalement à la tête d’une edtech, ce tech entrepreneur a décidé de se lancer dans le secteur des technologies financières. Pour cela, il a misé sur une solution complète, une super application où l’utilisateur peut faire plusieurs choses.

GoFree est une solution technologique développée par une start-up nigériane. Elle permet aux utilisateurs d’accéder à des services financiers, d’e-commerce et de messagerie instantanée depuis son application mobile accessible sur iOS et sur Android. La start-up, basée au Nigeria et aux Etats-Unis, a été fondée en 2022 par Lekan Adejumo.

Dans un article publié sur Medium par la start-up, son fondateur pense « que si les données peuvent circuler librement entre les différents opérateurs de téléphonie mobile, l'argent devrait pouvoir en faire autant. C'est alors que le concept d'interopérabilité a enflammé son imagination [...] Il a voulu créer l'équivalent du GSM pour l'argent, en permettant des transactions transparentes entre divers services financiers ». C’est l’une des raisons qui l’ont poussé à mettre sur pied une équipe pour résoudre le problème.

L’accès aux divers services de l’application requiert la création d’un compte. Il faudrait entre autres renseigner un numéro de téléphone, une donnée qui sera reliée aux services bancaires, aux cartes virtuelles, aux paiements et aux services sociaux de l’utilisateur GoFree. Il faut souligner que la création d’un compte implique la création d’un portefeuille en Naira pour faciliter l’accès aux services financiers que propose la fintech comme l’envoi et la réception d’argent, le paiement des factures ou encore la gestion de ses finances. Le portefeuille peut être rechargé par divers moyens comme le virement bancaire, les cartes bancaires émises au Nigeria, Flutterwave, Apple Pay ou encore Google Pay.

La fonction de messagerie permet quant à elle d’échanger des messages instantanés avec collègues, amis ou encore famille, de partager des fichiers et des documents et de collaborer à des projets. L’application intègre également des services de commerce électronique. Les utilisateurs peuvent ainsi publier des articles sur leur profil GoFree et vendre aux autres utilisateurs. GoFree offre l’avantage de ne facturer aucun frais pour les transactions effectuées au sein de son écosystème. D’après les statistiques de Play Store, la version Android de l’application a déjà été téléchargée plus de 500 fois.

Adoni Conrad Quenum

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Pour des événements d’envergure, les promoteurs ont de plus en plus recours aux billets en ligne. Au Bénin, un tech entrepreneur a mis en place une solution qui facilite l’accès à une billetterie digitale.

Faevent est une plateforme numérique développée par la firme béninoise CultureWeb. Elle permet d’une part, aux organisateurs d’événements, de créer une billetterie en ligne pour leurs événements et d’autre part, aux participants, de se procurer les billets sans avoir à passer de longues heures dans les files d’attente. La solution a été lancée en 2021 par Stéphane Datti Satchivi.

« Le besoin des promoteurs d’événements était surtout de pouvoir encaisser entièrement le solde des ventes réalisées et d’avoir des tickets sécurisés pour un meilleur contrôle d’accès. Avec Favent, ils ont la possibilité de vendre des tickets numériques en ligne ou de télécharger un stock de ticket à imprimer pour vendre à ceux qui préfèrent acheter les tickets physiques », déclare Stéphane Datti Satchivi à We Are Tech Africa.

La solution ne dispose pas d’une application mobile pour les clients. Ils devront passer par un navigateur pour accéder à l’adresse web de la plateforme. Ils ne sont pas tenus de disposer d’un compte pour se procurer un ticket. Une fois sur la page de l’événement, il sélectionne le nombre de tickets qu’il souhaite acheter, renseigne les informations personnelles telles que le nom, le prénom, l’e-mail et le numéro mobile money sur lequel il doit être débité.

L’utilisateur pourra ensuite initier la commande et la valider sur son téléphone en composant son code mobile money. Si le paiement est réussi, la plateforme affiche le lien de téléchargement du ticket. Il le reçoit également en pièce jointe à l’adresse e-mail qu’il a renseignée en passant sa commande. En cas de perte du ticket numérique, il peut toutefois le récupérer sur la page de la billetterie en entrant son e-mail dans le formulaire de récupération de ticket. Par contre, la mise en place d’une quelconque billetterie en ligne sur la plateforme requiert la création d’un compte.

En ce qui concerne le contrôle des divers tickets, la start-up propose plusieurs moyens pour vérifier l’authenticité des billets le jour de l’événement. Une application mobile accessible uniquement sur Android, mais pas disponible dans le Play Store, peut être téléchargée depuis le tableau de bord de Faevent. Elle sert à scanner le code QR des tickets pour vérifier leur authenticité. Quant à sa rémunération, la firme perçoit 4% sur chaque billet vendu par mobile money.

Adoni Conrad Quenum

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Dans le but d’analyser des données sur le comportement des consommateurs sud-africains, des tech entrepreneurs ont décidé de mettre en place une application sur mesure.

Maholla est une solution technologique développée par une jeune pousse sud-africaine. Elle permet aux utilisateurs de gagner des points bonus sur tous les achats effectués. La start-up, basée à Amsterdam et au Cap, a été fondée en 2021 par Adam Reilly et Jed da Silva. Depuis son lancement, elle a levé environ 2,1 millions $ pour entre autres soutenir sa croissance.

L’application est accessible sur iOS et sur Android. L’utilisateur créera un compte avec son e-mail et son numéro de téléphone puis il commencera à scanner ses reçus dans l’application. Peu importe le magasin dans lequel il a effectué ses courses, il bénéficiera des points bonus qui, accumulés, vont valoir divers cadeaux tels que les temps d’antenne, l’accès à des jeux intégrés à l’application… Les points gagnés peuvent être plus importants lorsque les reçus scannés viennent des marques partenaires de la start-up.

La start-up utilise ces données à des fins de marketing. « Les données recueillies par plus d'un demi-million de reçus sur l'application Maholla indiquent que les membres de notre jeunesse se tournent vers les grossistes et les détaillants en vrac pour joindre les deux bouts », explique Adam Reilly dans un rapport. Maholla utilise ainsi son application pour recueillir des données sur les habitudes de consommation des Sud-Africains, ce qui pourrait aider ses firmes partenaires à ajuster leur politique au besoin.

La start-up est en pleine croissance. Le nombre de téléchargements de la version Android de son application a déjà passé la barre des 100 000 et elle a réussi, en avril dernier, un tour de table d’un montant de 1,5 million $. Maholla a enregistré plus de 8,5 millions de reçus, d’après ses données.

Adoni Conrad Quenum

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Le secteur africain de l’e-mobilité attire les géants du monde entier. Au Soudan, un tech entrepreneur s’est associé avec ses amis pour mettre en place une solution pour les concurrencer dans son pays.

Tirhal est une solution technologique développée par une jeune pousse soudanaise. Elle permet de mettre en relation passagers et chauffeurs dans quatre régions du Soudan. Basée à Khartoum, la start-up a été fondée en 2016 par Mohamed Elzakey, Omer Elzakey, Yaser Abba et Siddig Eltaj. Depuis son lancement, elle a déjà levé environ 500 000 $ pour soutenir sa croissance et développer sa technologie.

« La vision de Tirhal est de travailler pour faciliter la vie des gens en fournissant divers services de transport qui conviennent à tous les groupes », indique la plateforme.

La solution dispose d’une application mobile accessible sur iOS et sur Android. L’utilisateur s’inscrit en créant un compte, ce qui lui permet d’avoir accès aux diverses fonctionnalités de l’application. Pour faire une course, il suffit d’entrer sa destination, le type de véhicule et le point de départ, puis Tirhal affiche le tarif de la course. Il est également possible de faire une réservation de taxi pour une course ultérieure.

La start-up propose également des services de livraison. Que ce soit pour faire livrer un colis ou recevoir sa commande d’un restaurant de la ville, Tirhal dispose d’une flotte de plus de 200 motos pour effectuer la livraison dans les villes où elle opère. Pour les taxis, la start-up en possède 2 900 et ils ont déjà parcouru plus de 100 000 kilomètres. Pourtant les débuts n’ont pas été simples.

« Lorsque nous avons commencé, nous n'avions que trois voitures, celle de mon oncle et celles de deux de mes amis. Aujourd'hui, nous avons 45 000 conducteurs et 4,5 millions de clients », a expliqué Mohamed Elzakey en 2019.

Tirhal encaisse 10% du tarif de la course. C’est un faible pourcentage en comparaison à ce que perçoivent les start-up opérant dans le secteur. Néanmoins, cette stratégie, couplée à la qualité des véhicules de la flotte, a permis à la jeune pousse de s’imposer sur le marché soudanais. D'après les statistiques de Play Store, la version Android de l'application a déjà été téléchargée plus d'un million de fois.

En 2023, elle a fait partie des finalistes de l’AfricaTech Awards, un événement qui s’est déroulé le 15 juin dernier en marge du salon technologique parisien VivaTech.

Adoni Conrad Quenum

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Chari, une start-up marocaine d’e-commerce et de distribution, a récemment obtenu 1,5 millions de dollars de Verod-Kepple Africa Ventures (VKAV), le fonds de capital-risque lancé par le nigérian Verod et le japonais Kepple.

Selon les responsables de VKAV, l’investissement fournira l’élan nécessaire à Chari pour conduire ses plans de croissance et permettra de poursuivre le développement de son infrastructure de services financiers pour les masses.

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Pour conquérir le marché de leur pays, ces tech entrepreneurs ont reproduit le modèle d’Uber. Cette option est un succès et même sans levées de fonds significatives, la start-up est en pleine croissance.

Kubinga est une super application développée par une jeune pousse angolaise. Elle permet aux utilisateurs d’accéder à des services de VTC, de livraison de colis, de téléconsultation avec des experts (médecins, avocats, etc.) ou encore d’artisans à la demande. La start-up, basée à Luanda, a été fondée en 2017 par Darryl Nequetela, Emerson Paim et Alan Santos.

L’application mobile est accessible sur iOS et sur Android. L’utilisateur, après téléchargement, devra se créer un compte grâce à ses réseaux sociaux ou en utilisant son e-mail. Après cette étape, il pourra avoir accès à tous les services que propose la solution. « Il vous suffit de vous inscrire une fois sur cette application pour commencer à réserver des courses en taxi, envoyer des colis, commander de la nourriture et des produits d'épicerie en ligne et embaucher des esthéticiennes, des dépanneuses, des professeurs particuliers, des plombiers et bien d'autres professionnels », indique la plateforme.

Outre les téléconsultations, la plupart des services proposés par Kubinga requiert le déplacement des prestataires. Il est donc indispensable d’entrer votre position géographique pour suivre en temps réel la prestation si c’est éventuellement une livraison de colis. Il faut signaler que Kubinga s’est d’abord lancé dans la réservation de taxi puis a ajouté les services de livraison.

En 2018, la start-up a remporté l’étape angolaise du concours Seedstars. « Le fait d'avoir remporté l'événement Seedstars Luanda m'a fait comprendre que le travail acharné et l'engagement à apporter des solutions sont les meilleures raisons de justifier les longues nuits de travail et les réunions matinales pour apporter une valeur ajoutée à notre personnel et à notre communauté », a expliqué Emerson Paim.

La jeune pousse est toujours focalisée sur son extension locale mais elle aurait des vues sur d’autres pays lusophones du continent et ceux de la Communauté de développement de l’Afrique australe (SADC).

Adoni Conrad Quenum

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Alors que le secteur du commerce en ligne était en plein boom sur le continent, ce tech entrepreneur a décidé de se lancer dans le secteur de la livraison. Il a mis en place une application et propose un nouveau modèle pour se démarquer de la concurrence.

Fondée en 2020 par Yasser Hassan, Gooo Delivery est une application mobile qui permet aux utilisateurs de commander de la nourriture, des médicaments ou encore des produits d’épicerie. Depuis son lancement, la start-up basée à Gizeh a déjà levé environ 5 millions $ pour entre autres soutenir sa croissance en Egypte et développer sa technologie.

L’application mobile est disponible sur iOS, sur Android et dans l’AppGallery de Huawei. L’utilisateur devra disposer d’un compte, ce qui lui permet d’accéder aux boutiques partenaires de la start-up. Il pourra ainsi passer ses commandes dans ces boutiques et sera livré par les livreurs de la jeune pousse.

Contrairement aux autres start-up opérant dans le secteur de la livraison, Good Delivery propose plusieurs offres aux clients. En effet, outre le fait que le prix de la livraison est indépendant de la valeur de la commande, la jeune pousse propose un système d’enchères où plusieurs livreurs proposent un tarif pour effectuer la livraison et l’utilisateur opte pour ce qui lui convient le mieux. « Gooo a une grande compréhension du marché local, et c'est pourquoi le développement de notre plateforme est différent », indique Yasser Hassan.

D’après les données de Play Store, l’application enregistre plus de 50 000 téléchargements. Elle est donc en pleine croissance et rêve de conquérir le Moyen-Orient. « Les facteurs de succès pour l'étape actuelle sont le développement de nos capacités techniques, le développement de l'équipe et l'intégration, afin de tirer davantage parti de la confiance des clients que nous avons gagnée jusqu'à présent et d'atteindre nos objectifs », déclare Yasser Hassan.

Adoni Conrad Quenum

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Malgré le faible taux de pénétration d’Internet et des smartphones, les réseaux sociaux occupent une place importante dans le quotidien des Africains. Certains tech entrepreneurs locaux ont décidé de construire des solutions africaines répondant à ce besoin.

Turaco est une plateforme de réseau social développée par une jeune pousse centrafricaine. Elle permet aux utilisateurs d’interagir en publiant des avis, des photos, des vidéos ou encore en écoutant de la radio. Fondée en 2021 par Gamando Marius Roméo (photo, à droite), la jeune pousse a signé le vendredi 30 juin un accord de partenariat avec l’institut privé Gutschool pour qu'il dispose d'un compte sur Turaco et y publie les informations relatives à l’université comme sur Facebook ou encore sur Twitter.

« Turaco est un réseau social créée par un Centrafricain pour les Centrafricains et l'objectif est de pousser les filles et fils de ce pays à utiliser ce réseau social. Comme en Marketing, l’application Turaco est un produit et il faut le consommer. Nous cherchons à dynamiser cette application, raison pour laquelle nous lançons un appel aux jeunes de tout âge de venir sur cette plateforme pour se connecter librement et à moindre coût », a déclaré Roméo Marius Gamando.

La solution dispose d’une application mobile accessible uniquement sur Android. L’utilisateur, après téléchargement, va créer un profil et commencer à interagir avec ses contacts déjà présents sur la plateforme. Il est entre autres possible de contacter les autres utilisateurs par messagerie privée, de créer des groupes de discussions ou de rejoindre ceux qui existent déjà, d’écouter la radio ou encore d’accéder aux informations via les médias de masse.

« A travers ce réseau, les compatriotes d’ici et d’ailleurs peuvent suivre l’actualité du pays et écouter en direct plusieurs radios. La nouveauté est que les abonnés peuvent déjà faire des appels comme sur Messenger », indique Roméo Marius Gamando, trois mois après le déploiement de l’application.

Depuis son lancement, la version Android de l’application a déjà été téléchargée plus d’un millier de fois, d’après les statistiques de Play Store. La firme centrafricaine multiplie les actions pour faire adopter sa solution par sa population. Elle a plusieurs fois récompensé les meilleurs utilisateurs en leur partageant des smartphones.

Adoni Conrad Quenum

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Alors que la transformation numérique s’accélère, la Tunisie veut accélérer le développement de son secteur télécoms. Le pays d’Afrique du Nord voit dans les Etats-Unis un allié de taille pour atteindre cet objectif. 

Le ministre tunisien des Technologies de la communication, Nizar Ben Neji (photo à gauche) et son homologue chinois, Jin Zhuanglong (photo, à droite), ont signé, mardi 27 juin à Tianjin, un mémorandum d'entente dans le domaine technologies de l'information et de la communication (TIC), a annoncé l’agence Tunis Afrique Presse.

L’accord signé en marge d'une visite de Nizar Ben Neji en Chine vise à consolider la coopération des deux pays dans les TIC.

Le protocole prévoit la coopération dans un certain nombre de domaines, notamment les questions législatives et juridiques, l’infrastructure numérique, la recherche et l'innovation, le développement des compétences, le développement des technologies numériques, la cybersécurité, l'économie numérique, l'échange d'expertise.

La signature de ce protocole d’accord s’inscrit dans le cadre des actions engagées par le gouvernement tunisien en faveur de la transformation numérique. En janvier dernier, l’Instance nationale des télécommunications de Tunisie (INTT) avait signé un protocole d’accord similaire avec la Federal Communications Commission (FCC), le régulateur des télécoms des Etats-Unis d’Amérique, en vue de développer le secteur télécoms de leur pays respectif.

Le nouveau protocole permettra à la Tunisie de profiter de l’expertise chinoise et d’avancer considérablement vers la réalisation des objectifs de sa stratégie numérique dont l’échéance est prévue en 2025. Du côté de la Chine, le protocole donnera l'opportunité aux entreprises technologiques de l’empire du Milieu de s’implanter et multiplier leurs investissements en Tunisie.

Samira Njoya

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Comme de nombreux pays africains, la République démocratique du Congo dispose d’un important capital touristique. Pour permettre aux Congolais de la diaspora et aux étrangers de venir le découvrir, une start-up a mis en place une solution.

Yebo est une solution numérique développée par une start-up congolaise. Elle permet aux utilisateurs, en l’occurrence les étrangers et les membres de la diaspora africaine, de visiter la République démocratique du Congo en empruntant des circuits touristiques concoctés sur mesure. La start-up a été fondée en 2021 par Nelson Badibangi.

« Yebo est une solution innovante qui regroupe tous les tours-opérateurs en un seul lieu avec les meilleures offres de services touristique, afin de le rendre plus proches des consommateurs locaux et internationaux », peut-on lire sur la plateforme.

La solution dispose d’une application mobile depuis laquelle l’utilisateur, après son téléchargement, peut s’inscrire. Il pourra ensuite découvrir les offres de la jeune pousse et, en fonction de ses goûts, des activités et aussi de ses moyens financiers, il pourra opter pour l’un ou l’autre des circuits. Une barre de recherche permet de filtrer les circuits qui ne rentrent pas dans votre budget.

Que ce soit pour le transport lors du voyage, le logement court séjour, les accès touristiques aux diverses activités des parcs nationaux ou privés et/ou des sites touristiques en RDC, Yebo s’occupe de tout. La start-up assiste également lors des démarches administratives pour l’obtention du visa d’accès au pays. Elle a établi des contacts avec les autorités congolaises pour faciliter les différentes démarches. D’ailleurs, il est possible d’accéder au site des ambassades congolaises depuis la plateforme de Yebo.

La jeune pousse propose plus de 52 circuits touristiques. En juin 2023 lors de la semaine canadienne à Kinshasa, elle remporte le prix de l’entreprise congolaise à fort impact sur la coopération entre le Canada et la République démocratique du Congo.

Adoni Conrad Quenum

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