Les plateformes de commerce en ligne se multiplient en Egypte et la concurrence pour gratter des parts de marché est féroce. Bien que basée au Caire, cette start-up a décidé de partir à la conquête des autres villes du pays des pyramides.
Kenzz est une plateforme de commerce en ligne développée par une jeune pousse égyptienne. Elle permet aux utilisateurs de faire leurs achats en ligne à des prix concurrentiels sans passer par des intermédiaires ou des revendeurs. La start-up, basée au Caire, a été fondée en février 2022 par Ahmed Atef, Mahmoud Al Silk et Moataz Sami. Dès octobre, elle a levé environ 3,5 millions $ pour accélérer sa croissance sur le marché domestique.
« Nous visons un segment complètement différent de celui d'Amazon et des autres grandes plateformes, qui sont centralisées dans les grandes villes et s'adressent aux personnes qui sont à l'aise avec les achats en ligne. [...] Ce que nous faisons, c'est rapprocher cette expérience des masses et construire une plateforme de commerce électronique fiable et digne de confiance qui s'adresse spécifiquement au marché de masse, en résolvant les obstacles à l'achat, qu'il s'agisse de confiance, d'abordabilité et de pertinence, tout en capitalisant sur l'engagement social et les aspects d'interaction sociale du commerce électronique », explique Ahmed Atef.
La jeune pousse propose une application mobile accessible sur iOS et sur Android. L’utilisateur y crée son compte avec son numéro de téléphone après téléchargement et peut ainsi accéder aux divers magasins en ligne de la plateforme. Que ce soit pour des produits d’épicerie, les vêtements, les articles de maison et de sport, de l’électroménager ou encore des livres, Kenzz dispose de magasins, accessibles depuis sa plateforme, spécialisés dans la commercialisation de ces différents articles.
Il est possible d’effectuer des achats collectifs avec des amis ou les membres de sa famille et de partager les frais de la commande dans le but de bénéficier de réductions allant jusqu’à 65 %. Du fait d’avoir fait le choix de se développer dans les villes secondaires du pays, la plateforme est en pleine croissance et la version Android de son application mobile a déjà été téléchargée plus de 100 000 fois, d’après les statistiques de Play Store.
Adoni Conrad Quenum
Lire aussi :
Côte d’Ivoire : avec sa plateforme de commerce en ligne, Djoloo veut valoriser la culture africaine
Elle a quitté l’entreprise pharmaceutique française Sanofi-Pasteur pour se consacrer à sa passion, la mode. Désormais présente en Tunisie, au Maroc, en Algérie et en Egypte, sa start-up se positionne comme un leader du secteur au Moyen-Orient.
Ameni Mansouri (photo), une jeune entrepreneure tunisienne, est une cofondatrice et la PDG de Dabchy, une plateforme en ligne de vente et d’achat de vêtements, inspirée du modèle de Vinted en France.
Diplômée en ingénierie biomédicale et en biothérapie, elle a quitté son emploi chez Sanofi-Pasteur pour se consacrer à son projet visant à promouvoir la mode et à créer une communauté de femmes passionnées par la mode. Ainsi, en 2016, elle a fondé Dabchy en collaboration avec Ghazi Ketata et Oussema Mahjoub.
Aujourd’hui, l’entreprise compte plus d’un million d’utilisateurs dans la région MENA, offrant la possibilité de vendre et d’acheter des vêtements neufs ou d’occasion à des prix abordables, tout en encourageant l’interaction entre les utilisateurs comme sur un réseau social. La plateforme génère des revenus grâce à des commissions prélevées sur les transactions et propose des services de livraison et de paiement sécurisés.
Ameni Mansouri a pour ambition de faire de Dabchy la principale référence en matière de mode circulaire au Moyen-Orient et en Afrique, contribuant ainsi à la transition écologique de l’industrie textile. En août 2023, l’entreprise a étendu ses activités en Egypte, consolidant sa position en tant qu’acteur régional majeur dans le domaine de la mode.
« Cette expansion nous remplit de fierté, car elle symbolise le rayonnement de la Tunisie à travers sa jeune et prometteuse scène start-up. Nous sommes déterminés à défendre les valeurs tunisiennes qui nous ont propulsées jusqu’ici : l’innovation, la créativité, et surtout, la confiance dans notre communauté », a déclaré Ameni Mansouri.
Ameni Mansouri s’est vue attribuer plusieurs récompenses pour son parcours entrepreneurial. En 2018, elle a été sélectionnée en tant que TechWomen et sa start-up a été reconnue comme l’une des 100 meilleures d’Afrique lors de l’Africa Forum.
En 2019, Dabchy est devenue la première entreprise arabe et africaine à être sélectionnée par Look Forward, un incubateur français spécialisé dans la mode technologique. La même année, Ameni Mansouri a été citée parmi les « 30 under 30 » de Forbes au Moyen-Orient.
Melchior Koba
Lire aussi :
Wasoko, une start-up kényane opérant dans le commerce électronique, a annoncé le mardi 5 septembre son lancement en RDC. Elle utilisera son hub rwandais pour servir les petites et moyennes entreprises de la ville de Goma dans la région du Nord-Kivu, une région frontalière au pays des mille collines.
Lire aussi :
La start-up kényane Wasoko s’étend en Zambie et y investira plus de 1 million $
Kenya : Wasoko, une solution d'e-commerce B2B déjà présente sur plusieurs marchés africains
Elle a acquis une grande expérience professionnelle en travaillant pour plusieurs entreprises au fil des années. Elle est désormais à la tête de sa propre start-up qui permet à ses clients d’acheter des articles coûteux sans s’endetter.
Juliet Shiro Njoroge (photo) est une entrepreneure kényane diplômée de l’université de Nairobi où elle a obtenu en 2016 un bachelor en droit. Elle est une cofondatrice et la responsable de la croissance de Mosmos, une plateforme d’épargne-achat basée sur des objectifs qui aide les habitants des marchés émergents à acheter des articles coûteux sans stress ni dette, tout en gagnant des récompenses en espèces.
A travers sa plateforme, Mosmos, fondée en 2021 par Juliet Shiro Njoroge et Chengo Masha, permet à ses utilisateurs d’épargner pour acheter plusieurs articles, allant des appareils électroniques et électroménagers aux fournitures de décoration, sans recourir à la dette grâce à un système de paiement flexible. Elle récompense ses clients les plus actifs et réguliers dans leur paiements.
https://www.linkedin.com/posts/mosmoshq_mosmos-saver-of-the-month-june-2023-activity-7100060532170235904-OLyL?utm_source=share&utm_medium=member_desktop
En mars 2023, à l’occasion de la Journée internationale de la femme, l’entreprise a été sélectionnée pour faire partie de la première cohorte de l’accélérateur Google for Startups : Women Founders (Africa). Cinq mois après, en août, elle a été sélectionnée parmi les 20 start-up africaines qui participeront à la quatrième édition du programme de mentorat The Future is Female. Toujours dans le mois d’août, elle a levé auprès de Catalytic Africa une somme de 66 000 $.
Tout au long de sa carrière, Juliet Shiro Njoroge a occupé plusieurs postes dans plusieurs domaines différents. Brand Ambassador du programme de formation au développement des compétences professionnelles YUSUDI, entre 2015 et 2016, elle a ensuite travaillé pour Trinc Media en tant que gestionnaire des comptes. En 2017, elle rejoint l’agence Catapult Brand Consulting en tant que responsable des comptes numériques. En 2018, elle a été embauchée par Ogilvy, une entreprise de publicité, comme gestionnaire de compte.
En 2019, elle devient responsable marketing et des grands comptes de Turaco, une entreprise tech de micro-assurance. En 2020, elle est nommée consultante en marketing et communication de BFA Global, une société de conseil spécialisée dans l’innovation financière et numérique. Entre 2021 et 2022, elle occupe successivement le poste de responsable marketing, ainsi que celui de chef partenariats et de la croissance hors ligne de Koa Technology.
Melchior Koba
Lire aussi :
Kenya : Abraham Mbuthia facilite le commerce africain par l’automatisation des PME
Après ses études supérieures en Inde, elle est revenue dans son pays natal pour mettre en place « The Uber for Nannies » avec des associés. C’est ainsi que Samrawit Tarekegn qualifie sa start-up, qui met en relation parents et nounous.
Mogzit In-Home Care est une solution technologique développée par une jeune pousse éthiopienne. Elle permet aux parents de se mettre en relation avec des nounous pour la garde de leurs enfants en bas âge. La start-up, basée à Addis-Abeba, a été fondée en 2021 par Samrawit Tarekegn, Tigist Alene, Rahel Tarekegn et Biniam Asnake. Les nounous de la start-up sont formées pour entre autres préparer les repas, aider pour les devoirs, ranger les zones réservées aux enfants ou encore administrer des médicaments avec le consentement des parents.
« En tant que plus jeune enfant de ma famille, j'ai vu mes sœurs aînées, qui sont mariées et passionnées par leur carrière, se battre pour trouver une garde d'enfants fiable et cohérente lorsqu'elles reprenaient le travail après avoir accouché. [...] L'une de mes sœurs était obligée de confier son enfant à des voisins lorsqu'elle partait travailler », explique Samrawit Tarekegn.
La solution ne dispose pas encore d’une application mobile. L’utilisateur doit donc passer par un navigateur pour accéder au site Internet. Il peut surfer sur la plateforme sans disposer d’un compte et visiter le profil des nounous. Mogzit In-Home Care répertorie plus de 350 nounous sur sa plateforme. Pour en réserver, il suffit d’appuyer sur le bouton « Book a Nanny » et de cliquer sur le profil d’une des nombreuses nounous de la page. Il faut ensuite cliquer sur le bouton « See details » pour voir toutes les informations sur la nounou choisie. Entre autres, on y retrouve nom, prénom, âge, langues parlées, quartier, tarifs, etc.
Si l’utilisateur valide le profil, il peut passer à l’action en réservant la nounou. Il devra à son tour fournir toutes ses informations sur la plateforme et renseigner le nombre d’enfants à garder ou encore le lieu de résidence. « Suite à la réservation, notre équipe organise un entretien en personne ou virtuel en notre présence pour passer en revue les besoins du parent ainsi que les services à fournir par la nounou. Si un accord est trouvé, un contrat légal est signé entre les deux parties », indique Samrawit Tarekegn.
Outre le service de nounou à la demande, la start-up a intégré la réservation de cuisiniers, de tuteurs ou encore d’agents d’entretien à la demande. Elle veut introduire d’autres profils pour fournir des services encore plus complets.
« Actuellement, Mogzit inscrit activement sur sa plateforme des diplômés de l'enseignement supérieur en soins infirmiers cliniques, en travail social et en psychologie, ce qui lui permet d'accroître sa main-d'œuvre. Ces diplômés peuvent embarquer sur Mogzit et nous rejoindre s'ils répondent aux critères », a déclaré Samrawit Tarekegn.
Adoni Conrad Quenum
Lire aussi :
Informaticien, il a une vaste expérience dans l’analyse prédictive. Sa société Cognira aide les commerçants, grossistes ou détaillants, à mieux gérer et optimiser leurs promotions.
Hatem Sellami (photo) est un informaticien tunisien diplômé du Georgia Institute of Technology, où il a obtenu en 1995 un doctorat en ingénierie informatique, et du Georgia Tech Scheller College of Business, où il a obtenu en 1996 un master en finance et gestion de la technologie. Il est un cofondateur et le président-directeur général de Cognira.
Fondée en 2015, Cognira est une entreprise, basée aux Etats-Unis, qui fournit aux détaillants et aux grossistes des solutions dédiées à la gestion des promotions. Son objectif est de simplifier la collaboration, d’analyser les résultats antérieurs et de mettre en place des promotions plus avisées et performantes.
Grâce à l’intégration de la science des données et de l’intelligence artificielle, l’entreprise a conçu une solution innovante, PromoAI, qui permet aux détaillants et aux grossistes de mieux planifier, exécuter, analyser et optimiser les promotions.
A travers Cognira, Hatem Sellami a permis à ses clients d’augmenter leur chiffre d’affaires d'environ 8 % et de réduire leurs stocks et déchets de 25 % en moyenne. L’entreprise a reçu plusieurs prix et distinctions. Elle a été reconnue comme l’une des entreprises privées à la croissance la plus rapide aux Etats-Unis par Inc. Magazine en 2019 et 2020 et par le Financial Time en 2020, 2021 et 2022.
« Les efforts que nous déployons à Cognira pour développer et favoriser une culture qui apporte de la valeur à nos clients et notre détermination à apporter de l’innovation à la gestion de la promotion s’avèrent être à l’avant-garde de notre succès », a déclaré Hatem Sellami.
Entrepreneur en série, Sellami a cofondé en 2005 Predictix, une société de conseil spécialisée dans l’analyse prédictive. Avant que l’entreprise ne soit rachetée en 2014 par Infor, une société informatique, il a fait passer son chiffre d’affaires à plus de 20 millions de dollars.
Par ailleurs, sa carrière professionnelle a commencé en 1997 dans la société Retek, spécialisée dans les prévisions pour le commerce de détail, où il a été, jusqu’en 2005, data scientist et responsable des prévisions de la demande.
Melchior Koba
Lire aussi :
Kwik, une start-up nigériane opérant dans la livraison au dernier kilomètre, a annoncé le jeudi 24 août le lancement KwikShelf, un service d’entreposage et d’exécution de commandes pour les acteurs de l'e-commerce. « KwikShelf permettra aux entreprises et aux commerçants nigérians de placer leurs stocks à rotation rapide au cœur de Lagos et de livrer leurs commandes à leurs clients en un temps record », a déclaré Romain Poirot-Lellig, président-directeur général de la jeune pousse.
Lire aussi :
Entre les mastodontes Uber, Bolt ou encore InDriver, les solutions locales d’e-mobilité réussissent tant bien que mal à se frayer un chemin dans le secteur pour concurrencer ces start-up étrangères.
Yookoo Ride est une solution numérique développée par une jeune pousse sud-africaine. Elle permet aux utilisateurs de faire appel à des taxis depuis son application mobile pour effectuer les courses en ville. La start-up, basée à Johannesburg, a été fondée en 2014 par Temesgen Tesfay.
L’application mobile est accessible sur Android et sur iOS. L’utilisateur, après téléchargement, crée un compte en renseignant ses informations. Après cette étape, il peut accéder au service de transport. Comme la plupart des applications de transport à la demande, lorsque l’utilisateur veut effectuer une course, Yookoo Ride utilise sa position géographique pour proposer des chauffeurs. Il faut noter qu’hormis la distance, le type de voiture est également fonction du tarif de la course.
En ce qui concerne les tarifs, Yookoo Ride a intégré une fonction pour les passagers étudiants. En effet, ceux-ci bénéficient de réductions à cause de leur statut. La start-up accorde également une grande importance à la sécurité. Elle intègre un bouton d’urgence qui envoie une notification dans leurs locaux en cas de menace. De plus, les chauffeurs et les passagers sont soumis à la reconnaissance facile avant chaque course. C’est un moyen de garantir leur sécurité.
L’application intègre un portefeuille numérique « The Ybank » pour le paiement des courses. Il facilite les paiements à plusieurs si vous devez vous partager les frais de la course. Néanmoins, il est possible de payer en espèces après la course ou par carte bancaire. Depuis son lancement, la version Android de l’application mobile a été téléchargée plus de 10 000 fois.
Adoni Conrad Quenum
Lire aussi :
Namibie : Lefa connecte chauffeurs et passagers via son application mobile
Après son retour en Algérie, Nacer Eddine Gacem a décidé de se lancer dans le monde de l'entrepreneuriat. Il a fondé une start-up et a développé une application pour se lancer dans la livraison, notamment la nuit.
Noofy est une application mobile développée par une jeune pousse algérienne. Elle permet aux utilisateurs de se faire livrer des plats de restaurants ou encore des produits d’épicerie. La start-up, basée à Alger, a été fondée en 2022 par Nacer Eddine Gacem.
l'application est disponible sur iOS et sur Android, l’utilisateur devra la télécharger et créer un compte avec son numéro de téléphone. S’il veut commander de la nourriture, il pourra opter pour les restaurants ou les fast-food disponibles sur l’application. Que ce soit pour des plats locaux ou occidentaux, l’utilisateur saura se satisfaire des choix disponibles sur la solution. S’il veut se ravitailler en produits d’épicerie, il optera plutôt pour les magasins, les supérettes et/ou les supermarchés.
Avant le choix d’un restaurant ou d’un magasin, il faudra renseigner votre position géographique pour que Noofy vous propose en priorité les établissements les plus proches. Cette disposition permet d’optimiser le temps de livraison puisque la jeune pousse veut livrer ses clients dans la demi-heure suivant leurs commandes. Outre ces deux services, Noofy propose également la livraison de tabac et de médicaments à la demande.
Les livreurs de la jeune pousse circulent à vélo. C’est un clin d’œil à l’environnement pour réduire, à leur échelle tout au moins, les émissions de gaz à effet de serre. Par ailleurs, il faut noter que Noofy est spécialisé dans les livraisons de nuit. En effet, c’est l’absence d’un tel service de nuit qui a motivé Nacer Eddine Gacem de se lancer dans le secteur.
« Lorsque le fondateur et PDG de Noofy, Nacer Eddine Gacem est revenu à Alger en 2022, il a découvert une ville pleine d'excellents restaurants ouverts la nuit, mais il a été étonné qu'il n'y ait pas d'option pour la livraison de nourriture et d'épicerie ainsi que la livraison de tabac la nuit », indique la plateforme.
L’idée a plus ou moins de succès puisqu'après un an d’existence dans la capitale Alger, la version Android de son application mobile a été téléchargée plus d’un millier de fois, d’après les données de Play Store. La start-up rêve de s'étendre dans les autres grandes villes du pays comme Oran, Constantine, Sétif ou encore Tlemcen.
Adoni Conrad Quenum
Lire aussi :
Dans le but de suivre l’évolution des enfants dans leur cursus scolaire, trois tech entrepreneurs ont décidé de mettre en place une solution sur mesure pour connecter les écoles, les parents, les professeurs et les élèves.
Dozzia est une solution edtech développée par une jeune pousse nigériane. Elle permet aux utilisateurs, en l’occurrence les parents et l’administration scolaire, de suivre l’évolution du travail de leurs enfants. La start-up, basée à Lagos, a été fondée en 2021 par Mubarak Robyn, Solomon Ayodele et Tosin Amoo.
« Nous avons développé une solution via trois applications mobiles et web. Une pour les parents, une autre pour les enseignants et une troisième pour l’école. Dans l’application, les professeurs remplissent des informations à propos de l’enfant qui sont ensuite traitées par nos outils d’intelligence artificielle pour enfin être partagées vers les parents concernés. Cela leur permet de savoir sur quelles matières il faut travailler avec leurs enfants et ainsi les aider à s’améliorer », explique Mubarak Robyn.
La solution dispose d’une application, accessible sur iOS et sur Android, mais pour la prise en main, il est indispensable que la start-up dépêche une équipe pour former les utilisateurs. Néanmoins, chaque utilisateur doit disposer d’un compte. Ainsi, les parents peuvent suivre les notes de leurs enfants et leur évolution. Les professeurs peuvent envoyer des rapports ou faire des observations spécifiques sur un élève, ce qui sera vu par les parents et l’administration de l’école.
Hormis cette fonctionnalité, Dozzia propose une fiche de présence virtuelle pour le personnel et les élèves, la journalisation des notes ou encore la création d’événements. Par ailleurs, la start-up offre une période d’essai d’un trimestre aux établissements pour expérimenter la solution. Après cela, les écoles sont libres de souscrire ou non à un abonnement.
Adoni Conrad Quenum
Lire aussi :