Après avoir travaillé pendant cinq ans dans des firmes américaines telles que Yahoo, Bassem Bouguerra a décidé de rentrer dans son pays, la Tunisie. Il y lance une jeune pousse peu avant la pandémie de Covid-19.
IntiGo est une solution numérique d’e-mobilité développée par une start-up tunisienne. Elle permet aux utilisateurs de se déplacer dans les villes du pays en taxi-scooter et en VTC, et de faire livrer des colis au dernier kilomètre. La start-up, basée à Tunis, a été fondée en 2019 par Bassem Bouguerra et Nebil Jridet. Depuis son lancement, elle a déjà levé 1,6 million $ pour entre autres développer sa technologie, élargir ses offres et accélérer sa croissance en Tunisie.
« Nous mettons à la disposition de notre clientèle des voitures confortables et des modèles récents. Nous proposons également des réductions par le biais de codes promos et nous n’augmentons pas les prix lors des heures de pointe », a expliqué Bassem Bouguerra.
Disposant d’une application mobile accessible sur Android et sur iOS, l’utilisateur devra se créer un compte pour accéder à IntiGo. S’il veut effectuer une course, il renseigne l’adresse dans l’application et lance la recherche. Les résultats affichent les tarifs et les divers moyens de transport. L’utilisateur opte pour l’un ou l’autre et si éventuellement pour le même moyen de transport il a plusieurs choix, il peut choisir un conducteur en fonction du nombre d’étoiles (qui est la note sur l’application attribuée par les précédents clients) ou de la proximité de sa position géographique.
Outre le transport urbain, la jeune pousse s’occupe de la livraison de colis, de nourriture et des produits d’épicerie. Elle dispose de sept entrepôts où éventuellement stocker les articles. Il faut signaler que la jeune pousse a connu un boom de la livraison pendant la période de la pandémie de Covid-19. D’après la start-up, elle atteignait 2 000 livraisons par semaine, mais ces chiffres sont retombés à 600 après le retour à la normale.
En 2023, IntiGo revendique plus de 200 000 courses et 60 000 téléchargements de son application mobile. D’après les statistiques de Play Store, la version Android a été téléchargée plus de 50 000 fois ce qui corrobore les chiffres avancés par la start-up. Bassem Bouguerra rêve d’expansion mais, « il faut juste choisir le bon timing, la bonne destination et surtout un bon produit qui puisse concurrencer à l’international. Toutes les options sont ouvertes », ajoute-il.
Adoni Conrad Quenum
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Le secteur du commerce électronique a connu une explosion en Afrique pendant la pandémie. Les services de livraison ont également bénéficié de ce boom et se sont multipliés partout sur le continent.
Wiikko est une place de marché numérique développée par une start-up congolaise. Elle permet de connecter les consommateurs à divers commerces et assure la livraison de colis en cas de transactions commerciales. La start-up, basée à Kinshasa, a été fondée en 2019 par Eric Bemba.
Disposant d’une application mobile accessible sur Android et sur iOS, l’utilisateur devra se créer un compte après téléchargement de l’application. Il pourra directement accéder aux boutiques en ligne des enseignes présentes sur Wiikko. Que ce soit pour l’achat de nourritures dans un restaurant ou dans un fast-food, ou encore de produits dans un supermarché, la jeune pousse congolaise dispose des partenaires commerciaux pour assurer ces services.
Après l’achat, ce sera à sa flotte de livreurs de s’occuper de la livraison au dernier kilomètre. Depuis l’application, le client fournit donc toutes les informations nécessaires pour que tout se déroule convenablement. Wiikko s’engage pour que les livraisons soient effectuées dans l’heure par des professionnels formés à cette fin. « Nous avons aidé plus de 50 chauffeurs à fournir un meilleur service de livraison grâce à la formation. Avant Wiikko, la plupart d'entre eux étaient des chauffeurs de taxi-moto non enregistrés », indique la plateforme.
La jeune pousse d’Eric Bemba revendique plus d’un millier de marchands sur sa plateforme, plus de 50 000 commandes livrées, plus de 25 000 utilisateurs et plus de 16 000 clients actifs. Les données de Play Store corrobore les chiffres relatifs au nombre d’utilisateurs puisque la version Android de l’application a déjà été téléchargée plus de 50 000 fois.
Par ailleurs, Wiikko a des rêves d’extension et d’expansion. Dans un premier temps, elle veut s’implanter dans toutes les grandes villes de la République démocratique du Congo. Actuellement, elle est présente uniquement à Kinshasa, la capitale et plus grande ville du pays avec ses 16 millions d’habitants. « Jusqu’à 5 millions de personnes sont actives sur les réseaux sociaux ici. Et leur nombre croît chaque année. C’est ce public-là que nous visons », a déclaré Eric Bemba.
Après cette étape, la start-up veut aller à l’assaut du continent noir. « Notre vision est de devenir le service de livraison panafricain détenant l’un des plus grands réseaux de partenaires marchands et livreurs sur le continent pour promouvoir une croissance économique soutenue, partagée et durable, le plein emploi productif et un travail décent pour tous », peut-on lire sur la plateforme.
Adoni Conrad Quenum
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Sabi, une place de marché numérique nigériane business-to-business, a annoncé la semaine dernière la réussite d’un tour de table de série B d’un montant de 38 millions $. Ce nouveau cycle de financement porte la valeur de la jeune pousse à 300 millions $. Opérant au Nigeria, au Kenya et en Afrique du Sud, Sabi affiche des chiffres impressionnants pour une start-up lancée en 2021. Avec ces fonds, elle compte se renforcer sur ses marchés avant d’éventuellement songer à de nouvelles expansions.
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L’ancien patron de la multinationale française de communication Publicis, Maurice Lévy, a lancé le lundi 15 mai au Palais de Tokyo une nouvelle plateforme numérique artistique baptisée « YourArt » (www.yourart.art).
Selon Maurice Lévy, YourArt veut devenir la plateforme art et tech mondiale de référence, permettant aux artistes professionnels et amateurs d’exposer et de vendre leurs œuvres.
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Du 16 au 20 mai se déroule à Dakar la première édition de la semaine du numérique. Baptisé « Senegal Connect », c'est l’occasion pour les start-up de se faire découvrir par les politiques, les investisseurs potentiels et le grand public et de recevoir éventuellement des récompenses.
Caytu Robotics a remporté en début de semaine le Grand Prix du chef de l’Etat pour l’innovation numérique lors de la première édition de la semaine du numérique. C’est la deuxième fois que ce prix est décerné et les jurés se sont laissés séduire par la technologie de la jeune pousse de Sidy Ndao fondée en 2020, qui permet de contrôler des robots à distance de n’importe où dans le monde. Elle reçoit un montant de 30 millions FCFA (50 000) pour soutenir sa croissance.
« Créez des tâches, assignez des robots, gérez le déploiement et analysez les données d'une flotte de robots. La plateforme robotique de Caytu est la première solution de robotique en tant que service. Notre logiciel est agnostique en matière de robots et peut donc intégrer n'importe quel matériel/application robotique grâce à notre API », indique la plateforme.
Caytu dispose d’une application mobile depuis laquelle on peut passer des commandes. La phase pilote se déroule sur le campus de Brigham Young University (BYU) aux Etats-Unis et permet aux étudiants, préalablement sélectionnées, et au personnel de commander de la nourriture au restaurant universitaire. Depuis Dakar, l’équipe de Caytu se charge de piloter les robots sur le campus jusqu’à la livraison.
« Nous mettons en œuvre une approche de contrôle partagé collaboratif IA-humain pour mettre la touche humaine au centre de la robotique et ainsi libérer le plein potentiel des robots et créer de nouvelles opportunités pour les individus et les entreprises. Nous avons rendu la téléopération aussi intuitive et facile que possible ; en utilisant simplement notre application Android & iOS, n'importe qui avec un téléphone portable peut devenir un pilote Caytu », peut-on lire sur la plateforme.
Par ailleurs, il faut souligner que le choix de ce campus n’est pas anodin. Un professeur de robotique de cette université, Benjamin Terry, participe au projet. Son objectif est de mieux comprendre les interactions entre les robots et les humains, donc il recueille des informations à cette fin pendant la phase pilote. A terme, Caytu veut créer un réseau mondial de robots de livraison autonomes mais pour l’instant, après BYU, la jeune pousse sénégalaise veut s’étendre à d’autres universités dans le monde.
Adoni Conrad Quenum
Après avoir lancé des applications de comparaisons de prix, le tech entrepreneur a décidé de mettre en place une solution pour connecter les utilisateurs aux bons plans et pour faire connaître le business d’autres entrepreneurs à travers des offres spéciales.
Fomo est une solution numérique développée par une jeune pousse sud-africaine. Elle permet aux utilisateurs d’accéder à des offres spéciales dans les restaurants ou pour des activités. Elle utilise la géolocalisation pour montrer les spécialités des restaurants, des boissons, ou encore des activités à absolument faire près de chez vous. La start-up, basée au Cap, a été fondée en 2020 par Ryan Marx et Jacqueline du Plessis.
Disposant d’une application mobile accessible sur iOS et sur Android, l’utilisateur, après téléchargement sur Play Store ou App Store, peut s’inscrire et accéder aux diverses fonctionnalités. A l’ouverture de l’application, elle demandera un accès à votre position géographique car elle a besoin de cette information pour géolocaliser les restaurants près de votre position où vous pouvez bénéficier des offres spéciales Fomo. Outre les restaurants, s’il y a un endroit dans le secteur où l’utilisateur peut faire du parapente, de l’équitation ou visiter un musée ou un spa, l’application le suggère également.
« Nous avons créé cette application parce que nous en avions assez de rester au lit un samedi ou d'avoir un mercredi de paresse où nous n'avons pas envie de préparer le dîner, en nous posant la sempiternelle question... où devrions-nous aller dîner ? Ou quelle activité passionnante pouvons-nous faire aujourd'hui ? », peut-on lire sur la plateforme.
C’est également un moyen pour les propriétaires de ces endroits de faire connaître leur business au grand public. Fomo offre donc de la publicité aux entrepreneurs qui, au lieu de dépenser dans les publications sponsorisées sur les réseaux sociaux, peuvent offrir des avantages tels que des offres spéciales Fomo. Depuis son lancement, la plateforme connaît un succès fulgurant puisque la version Android de son application, d’après les données de Play Store, a déjà été téléchargée plus d’une centaine de milliers de fois.
En septembre 2022, la start-up signe un partenariat avec Google dans le but de favoriser l’adoption de son système de réservation en ligne permettant aux restaurants de gérer leurs réservations, une fonction lancée au troisième trimestre 2021, par le biais de l’application. « Il s'agit d'une étape importante pour FOMO, car nous cherchons à accroître l'accessibilité pour les Sud-Africains de faire et de gérer leurs réservations dans leurs restaurants préférés à la fois sur l'application, ainsi que par le biais de Google Search ou Maps, rapidement et efficacement, stimulant davantage une industrie en difficulté affectée par le Covid-19 », a déclaré Jax Marx dans le cadre de la signature du partenariat.
Adoni Conrad Quenum
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L’investisseur Plug and Play a annoncé le mardi 16 mai un deuxième investissement dans Chari, une start-up marocaine d’e-commerce business-to-business pour les produits de grandes consommation. Le montant investi n’a pas été divulgué.
« La scène marocaine des start-up se développe, avec de plus en plus d'entreprises qui obtiennent des financements à des stades de croissance plus avancés. Nous sommes ravis de faire partie de cet écosystème dynamique, et nous sommes particulièrement enthousiastes au sujet de Chari », a indiqué Aziz El Hachem, le directeur pour l'Afrique du Nord de Plug and Play.
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Disposant d’un solide réseau de petits et moyens détaillants, la fintech Fawry a décidé de lancer une solution de livraison pour les marchands. Pour cela, elle a noué un partenariat pour se déployer sur le marché égyptien.
Roaderz est une solution numérique développée par la licorne égyptienne Fawry. Elle permet aux commerçants de faire livrer des marchandises à leurs clients par une flotte de livreurs indépendants en publiant une annonce via une application mobile. La start-up a été fondée en 2022 après la signature d’un accord entre Fawry, Samer Gharaibeh (fondateur de la start-up de livraison Mylerz), Ammar Zawaideh (un expert en finance d’entreprise) et Softec Technologies.
« Notre objectif avec Roaderz est de créer une solution qui peut également avoir un impact social plus large, en mettant les petites entreprises sur un pied d'égalité avec les grands concurrents, en offrant aux coursiers des opportunités de travail et de revenus flexibles, et en réduisant les émissions de carbone en diminuant le nombre moyen de kilomètres parcourus par un envoi avant qu'il n'atteigne l'utilisateur final », a affirmé Ashraf Sabry, le président-directeur général de Fawry.
La solution dispose d’une application mobile accessible sur Android et sur iOS. Les marchands devront télécharger l’application et s’y inscrire pour accéder aux diverses fonctionnalités. Lorsqu’un marchand a besoin des services d’un livreur, il publie sa demande via l’application et un des livreurs disponibles pourra se saisir de la course. Il faut signaler que les agents de livraison sont des travailleurs indépendants et sont rémunérés en fonction du nombre de courses effectuées.
A la récupération du colis, le marchand peut voir depuis l’application une estimation du temps de livraison et suivre son colis en temps réel jusqu’à sa récupération par le client. Depuis son lancement, la version Android de l’application a déjà été téléchargée plus d’un millier de fois.
Par ailleurs, il faut noter que la fintech égyptienne s’occupera des paiements sur la plateforme de livraison. Pour l’instant, l’ambition de Roaderz est de s’étendre dans tous les gouvernorats d’Egypte. Une expansion dans d’autres pays ou dans la région Afrique du Nord et Moyen-Orient n’a pas été évoquée.
Adoni Conrad Quenum
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Outre la technologie, elle a mis au cœur de sa politique l’atteinte de certains objectifs de développement durable qui se rapportent à la qualité de l’éducation et à la réduction des inégalités liées au genre.
iSchool est une plateforme edtech qui permet aux enfants de 6 à 18 ans de se former en développement de logiciels, en intelligence artificielle, en big data, en robotique ou encore en Internet des objets (IoT). Développée par une jeune pousse égyptienne, elle est basée au Caire et a été fondée en 2018 par Mohamed Algawish, Mustafa AbdelMon'em, Ebrahim Youssef et Mohamed Nabil. L’edtech a, depuis son lancement, levé 160 000 $ pour développer sa plateforme et s’étendre à d’autres marchés de la région Afrique du Nord et Moyen-Orient.
La solution ne dispose pas d’une application mobile et il faut absolument passer par un navigateur pour accéder à la plateforme via l’adresse web. Depuis un smartphone ou un ordinateur, il est donc possible de surfer sur le site et de découvrir les divers programmes technologiques. Pour les jeunes de 6 à 8 ans, un programme de codage qui leur fournira les bases du code et leur permettra d’avoir une autre vision du monde. Entre 9 et 12 ans, ils pourront apprendre des langages informatiques tels que Python ou encore JavaScript et à partir de 13 ans, ils commenceront à construire leur portefeuille de projets technologiques en vue de préparer leur formation universitaire ou d’entrer sur le marché du travail.
Pour atteindre ses objectifs, l’edtech opte pour la méthode STEAM (Science, Technologies, Ingénierie, Arts, Mathématiques) qui permet aux élèves d'apprendre par l’expérimentation afin de mieux assimiler les concepts inhérents à chaque discipline. Les cours se déroulent en arabe et en anglais et les apprenants sont regroupés en groupes de 4 à 6 élèves de la même tranche d’âge pendant 2 heures 30 minutes chaque semaine.
En 2018, l’edtech a été lauréate du concours de start-up Bizex. Elle revendique cette année plus de 10 000 élèves inscrits, dispose de plus de 250 formateurs et plus de 650 000 heures de formations dispensées. D’après ses données, ses étudiants sont principalement au Canada, aux Etats-Unis, en Egypte, au Soudan, en Jordanie ou encore en Palestine.
Adoni Conrad Quenum
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Il est un entrepreneur avec plus de 17 années d’expérience dans les domaines de la technologie et du conseil. Il permet aux fabricants de biens de consommation d’écouler plus facilement leurs marchandises.
Onyekachi Izukanne (photo) est le président-directeur général de TradeDepot, une plateforme numérique qui met en relation les petits détaillants africains et les producteurs mondiaux de biens de consommation.
Fondée en août 2016 par Onyekachi Izukanne, Michael Ukpong et Ruke Awaritefe, l’entreprise propose plusieurs services. D’abord, elle collecte des informations commerciales réelles, provenant de transactions réelles, dans le but de classer les produits qu’elle réceptionne dans les bons magasins de détail au moment opportun.
Elle s’occupe de l’inventaire, de l’expédition, des retours et du service à la clientèle des fournisseurs par l’intermédiaire de ces centres de distribution implantés à travers l’Afrique. L’entreprise accorde aussi des microcrédits aux détaillants pour leur permettre d’acheter davantage de produits dans le but d'accroître leur activité.
« Nous nous concentrons sur la distribution, qui est un problème très concret, car pour acheter n’importe quel article dont nous avons besoin, la distribution est nécessaire pour l’acheminer du fabricant jusqu’à nous. Qu’il s’agisse d’une chemise, d’un produit alimentaire ou d’un article numérique, il faut qu’il y ait une distribution », a déclaré Onyekachi Izukanne lors d’un entretien avec Nairametrics en 2022.
Grâce à la plateforme de commerce électronique business to business de TradeDepot, les produits des fournisseurs peuvent être commandés par les magasins de détail 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, et cela sans risque de rupture de stock des produits dans les points de vente.
En 2020, TradeDepot comptait déjà plus de 200 employés et environ 40 000 micro-détaillants utilisant sa plateforme pour se procurer des produits ménagers de base auprès de fabricants comme Unilever, Nestlé, Danone, Kellogg’s…
Avant TradeDepot, Onyekachi Izukanne a cofondé C2G Consulting, une entreprise de conseil et d’intégration de solutions d’entreprises aux entreprises. Il y a occupé le poste de partenaire de gestion entre 2004 et 2017 et est depuis 2018 le directeur non exécutif de l’entreprise.
Sa carrière professionnelle a cependant commencé en 2013 à Mobilizr LLC, une entreprise qui fournit aux marques une plateforme de marketing numérique axée sur le bouche-à-oreille et alimentée par une vaste communauté d’utilisateurs de médias sociaux mobiles, où il était conseiller.
Melchior Koba
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