L’immobilier est un secteur en pleine croissance sur le continent. Les investisseurs font de plus en plus confiance aux différents projets du secteur et les tech entrepreneurs proposent des solutions intéressantes pour faciliter les transactions immobilières.
Sakneen est une solution proptech développée par une jeune pousse égyptienne. Elle permet aux utilisateurs d’acheter ou de vendre une maison ou un 0. La proptech, basée au Caire, a été fondée en 2019 par Hussein El Kheshen, Ramy Khorshed et Dana Khater. Elle a déjà levé environ 1,3 million $ pour accélérer sa croissance.
Ne disposant pas d’une application mobile, l’utilisateur devra passer par un navigateur pour accéder à la plateforme. Il faudra ensuite créer un compte en remplissant un formulaire puis vous aurez le droit de surfer sur Sakneen. La proptech montre chaque maison sur une carte et fournit une évaluation précise pour réduire le stress lié à l'achat ou à la vente.
« Sakneen Valuation est basé sur un algorithme de tarification unique que nous avons conçu pour apporter information et transparence au secteur immobilier en Egypte. Nous recueillons plus de 30 points de données uniques par maison pour nous assurer que nos repères sont un point de départ pertinent pour les conversations entre vendeurs et acheteurs », indique la plateforme.
Que vous soyez acheteurs ou vendeurs, Sakneen fait le nécessaire pour fournir toutes les informations indispensables pour finaliser toutes les transactions immobilières. Par ailleurs, si l’utilisateur recherche un bien spécifique, il peut se servir de la barre de recherche en fournissant des informations telles que le lieu et son budget maximum. L’algorithme se chargera de filtrer les biens qui ne remplissent pas les critères.
Selon Omar Khashaba, directeur chez le fond de capital risque égyptien Algebra Ventures, « Sakneen peut se différencier de manière significative en réinventant l'expérience de recherche et en gérant l'offre de manière innovante ». En 2020, la proptech égyptienne a participé au programme de l’accélérateur californien Y Combinator.
Adoni Conrad Quenum
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Depuis 2020, la transformation numérique s’est accélérée en Afrique. Le numérique a commencé à s’imposer comme une option incontournable et les populations ne rechignent plus pour se tourner vers les alternatives qu’offre ce secteur.
Tupuca est une solution numérique développée par une jeune pousse angolaise. Elle permet aux utilisateurs de commander des repas et de se faire livrer à domicile. La start-up, basée à Luanda, a été fondée en 2015 par Erickson Mvezi, Patrice Espírito Santo, Sydney Texeira et Wilson Ganga.
« Nous avons réalisé que les habitants de Luanda avaient du mal à se déplacer pour aller chercher de la nourriture et d'autres produits de première nécessité… Luanda compte plus de deux millions de personnes ayant le pouvoir d'achat pour utiliser notre service. Notre objectif est de continuer à ajouter des raisons pour que les gens utilisent nos services », avait indiqué Erickson Mvezi en 2017.
Disposant d’une application mobile accessible sur iOS et sur Android, l’utilisateur devra se créer un compte avant d’avoir accès aux divers services. La jeune pousse a signé des partenariats avec des milliers de restaurants pour permettre aux utilisateurs de retrouver leurs restaurants favoris sur la plateforme.
Depuis quelques années, Tupuca a ajouté d’autres services comme les commandes dans les épiceries, les petits commerces, ou encore les services postaux. Les livreurs de la firme peuvent ainsi également effectuer des courses dans certaines enseignes de la ville pour le compte des clients. Le succès de la solution a été immédiat dans le pays. Depuis son lancement, la version Android de l'application a déjà été téléchargée plus de 100 000 fois, selon les statistiques de Play Store.
En 2017, Tupuca a remporté l’étape angolaise du concours Seedstars puis en 2018, elle a réussi un tour de table d’un montant de 340 000 $ pour soutenir sa croissance. En 2022, elle commence son expansion en se lançant en République démocratique du Congo.
Bonne nouvelle chers kinois.
— Tupuca RDC (@TupucaRdc) May 28, 2022
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N'attendez pas la pénurie, commandez maintenant et vous l'avez. pic.twitter.com/pfS6tWZHjE
Adoni Conrad Quenum
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Elle a acquis plus de sept années d’expérience dans le secteur pour avoir travaillé avec plusieurs entreprises d’e-commerce. Elle dirige la start-up Yoonema qui connecte les vendeurs et les acheteurs via sa place de marché.
Mame Fatou Ba (photo) est une cheffe d’entreprise sénégalaise expérimentée en gestion et en e-commerce. Diplômée de l’université polytechnique Hauts-de-France où elle a obtenu une licence en langues étrangères appliquées (Anglais-Espagnol) en 2011, et de l’université de Lille où elle a obtenu un master en commerce et management des affaires internationaux, elle est la directrice générale de Yoonema.
Nommée en mars 2022, elle doit assurer la croissance de cette entreprise de commerce électronique qui donne aux vendeurs l’accès à une boutique en ligne sécurisée, à des options de paiement faciles, à des outils de marketing et à une base de données établie de plus de 1 000 clients. Fondée en 2019, l’entreprise, qui est une place de marché, offre des produits de haute qualité et une expérience transparente aux acheteurs et aux vendeurs en Afrique de l’Ouest.
« Yoonema regroupe les différentes étapes du parcours commerçant-acheteur, du premier contact à la réalisation d’une transaction et au-delà, en passant par le marketing continu et la sensibilisation des clients. Nous simplifions l’expérience à la fois pour le vendeur et pour le client en comblant le fossé de la facilitation des transactions. En outre, Yoonema offre une plateforme de paiement sécurisée qui établit et renforce la confiance dans le parcours acheteur-vendeur, tout en imitant le paysage de paiement quotidien connu des clients, et en offrant également des paiements avec les principales cartes de crédit pour convenir à notre base de clients internationaux déjà établie », a déclaré Mame Fatou Ba à Disrupt Africa en février 2023.
En janvier 2023, la start-up a été sélectionnée par Startupbootcamp AfriTech parmi les 11 start-up qui participeront à la troisième édition de l’accélérateur Africa Startup Initiative Program (ASIP). Elle bénéficiera de 18 000 dollars de fonds propres en plus de 750 000 dollars de crédits, de services et d’avantages en nature.
Mame Fatou Ba a rejoint Yoonema en janvier 2023 en tant que directrice de programme senior. Sa carrière professionnelle a cependant commencé en 2011 à Asepex, une institution publique qui accompagne les acteurs du secteur de l’export, où elle était une stagiaire au département textile et artisanat. En 2012, elle a également fait un stage à Soft Solutions en tant qu’assistante marketing international.
Après un stage au département du commerce d’Ecobank Sénégal et un autre en tant qu’assistante commerciale à UBA Group en 2013, elle a été embauchée par ouiCarry, une société de transit, au poste d’agent du service clientèle. En 2014, elle a été promue directrice du service clientèle et des achats de la société. Après avoir quitté ouiCarry, elle a travaillé en freelance en tant que consultante et gestionnaire d’entreprise pour des entreprises de commerce en ligne avant de rejoindre Yoonema.
Melchior Koba
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Après la création d’une entreprise spécialisée dans le tourisme en France, Jean-fabrice Gnohi a décidé de mettre en place une solution tech dans son pays d’origine la Côte d’Ivoire. C’est ainsi qu’il s’est lancé dans le secteur de la mobilité.
Monbolide est une solution numérique développée par une jeune pousse ivoirienne. Elle permet aux utilisateurs de louer des voitures de luxe en un temps record. La start-up, basée à Abidjan, a été fondée en 2022 par Jean-Fabrice Gnohi.
La solution dispose d’une application mobile accessible sur iOS et sur Android. Il faut créer un compte après téléchargement de l’application pour avoir accès aux diverses voitures présentes sur la plateforme. L’utilisateur n’a pas besoin de souscrire à un abonnement ou d’effectuer toute autre démarche pour avoir le droit de louer un véhicule sur Monbolide.
On retrouve des véhicules pour tous les budgets comme une Mercedes de 2016 à 150 000 FCFA (environ 244 $) par jour, une Range Rover Sport à 250 000 FCFA par jour, ou encore une Peugeot de 2011 à 30 000 FCFA par jour. Il est également possible d’effectuer des réservations, notamment quand on voudrait louer une marque spécifique de véhicule. Pour cela, vous fournirez des informations telles que votre localisation, la date du début de la location et la date de fin.
Par ailleurs, des particuliers peuvent décider de faire louer des voitures via la jeune pousse. Il suffit d’appuyer sur le bouton « ajouter une annonce » et suivre le processus. Grâce à un partenaire de Monbolide, un tracker peut être installé sur votre véhicule pour que vous puissiez connaître sa position à tout instant. Selon la start-up, il est possible de gagner jusqu’à 500 000 FCFA en louant votre véhicule. Monbolide est uniquement présent en Côte d’Ivoire mais elle prévoit une expansion en Afrique de l’Ouest.
Adoni Conrad Quenum
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Il s’est bâti une solide expérience dans l'e-commerce et la logistique. Sa nomination à la tête de Jumia au Sénégal témoigne de la confiance de la société en sa capacité à diriger une grande équipe de professionnels.
Lionel Mobi (photo) est un chef d’entreprise camerounais spécialisé dans le secteur de la technologie. Il est titulaire d’un bachelor en science et génie des matériaux obtenu à l’université de Buea en 2009 et d’un master en chimie industrielle obtenu à l’université de Douala en 2010. Egalement titulaire d’un master en gestion de la chaîne d’approvisionnement obtenu en 2015 à l’université catholique Saint Jérôme de Douala, il est le directeur général de Jumia au Sénégal.
Jumia est une plateforme d'e-commerce avec plus de 500 millions d’internautes et active dans 11 pays en Afrique. Le 23 février passé, la société a annoncé la nomination de Lionel Mobi en tant que son nouveau directeur général au Sénégal. Ce dernier aura donc pour principale mission de continuer à faire de Jumia, la plateforme leader de l’e-commerce au Sénégal.
Jumia a annoncé la nomination de @LionelMobi en tant que nouveau Directeur Général de Jumia #Sénégal.#ecommerce #ceo #jumia #jumiasn #jumiagroup pic.twitter.com/Abr9xLfOqd
— Jumia Sénégal (@JumiaSN) February 23, 2023
Heureux de sa nomination, Lionel Mobi déclare : « je suis vraiment ravi de revenir chez Jumia Sénégal, pour diriger une grande équipe de professionnels et, de poursuivre la mission de Jumia dans la transformation de l’économie africaine grâce au commerce électronique. L’e-commerce connaît une croissance rapide au Sénégal, et je pense que le moment est venu d’accompagner cette évolution et d’avoir un impact sur la vie des Sénégalais via Internet, aussi bien dans les grandes villes que dans les zones rurales et reculées ».
En effet, Lionel Mobi avait déjà été embauché par Jumia en 2014 en tant que directeur des opérations logistiques et d’achat de la société au Cameroun. Entre 2016 et 2019, il a été chef des opérations de Jumia Cameroun et en 2017, il a occupé le même poste pour la société au Sénégal. De 2020 à 2021, il a également été directeur des opérations pour Jumia Ghana.
Il a quitté Jumia en 2021 pour devenir le directeur national de Gozem au Bénin. Gozem est une société offrant des services de commandes de véhicules en ligne, d'e-commerce et des services financiers. Il a dirigé l’entreprise jusqu’à sa nouvelle nomination à Jumia.
La carrière professionnelle de Lionel Mobi a commencé en 2010 à l’archidiocèse de Douala où il était un agent junior des achats en laboratoire. En 2012, il a rejoint KBA International, une société fournissant principalement des solutions de logistique et de transport terrestre pour les entreprises industrielles, comme responsable logistique.
Melchior Koba
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Alors que les firmes de transport à la demande prolifèrent sur le continent, le covoiturage ne connaît pas le même succès. Pourtant, ce segment de l’e-mobilité peut être une solution efficace contre les bouchons dans les grandes villes africaines.
Wabeyi est une solution de covoiturage développée par une jeune pousse ivoirienne. Elle permet aux utilisateurs de mettre les passagers en relation avec les conducteurs fréquentant le même itinéraire. La start-up a été fondée en 2017 par Emmanuel Bilé.
La solution dispose d’une application mobile accessible sur iOS et sur Android. Il faut donc créer un compte après téléchargement de l’application et fournir vos informations personnelles. Après l’inscription, il est commode d’enregistrer vos itinéraires favoris dans l’application, ce qui facilite son utilisation au quotidien. Si vous voulez être un conducteur, Wabeyi prend quelques jours pour vérifier votre profil avant de vous accorder ou pas ce badge. La start-up met un point d’honneur à la sécurité des passagers.
Il faut signaler que la plateforme n’opère pas dans le transport à la demande dans son sens strict. Elle est dans le covoiturage donc le conducteur est peut être un fonctionnaire qui se rend au travail et prend tous les matins et tous les soirs le même trajet, ce qui arrange le passager. Il est également possible qu’un conducteur programme une virée à l’intérieur du pays et qu'un passager se rende au même endroit.
C’est pour cette raison que l’option Wabeyi peut être très avantageuse en matière de prix. « Soyez rémunéré en aidant des personnes à se déplacer. Transportez les personnes ayant le même itinéraire que vous », peut-on lire sur la plateforme. Selon les statistiques de Play Store, la version Android de l’application a déjà été téléchargée plus de 1 000 fois.
Adoni Conrad Quenum
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Après des études au Royaume-Uni, ce tech entrepreneur a décidé de rentrer dans son pays pour lancer une start-up. Quelques années plus tard, malgré les difficultés, il a mis en place une solution utile à la population de la capitale de la Libye.
Presto Eat est une solution numérique développée par une jeune pousse libyenne. Elle permet à ses utilisateurs de se faire livrer de la nourriture et des produits d’épicerie. La start-up, basée à Tripoli, a été fondée en 2020 par Ammar Hmid.
« Nous voulons être l'application de tout pour les Libyens. Malgré la croissance, les fonds de capital-risque et autres investisseurs ne souhaitent pas investir dans l'entreprise. Ceux qui ont répondu voulaient que je fasse pour eux une analyse des risques sur le marché libyen. Mais ce n'est pas mon travail, mon travail en tant que fondateur est de développer mon entreprise », a indiqué Ammar Hmid.
La solution dispose d’une application accessible sur iOS et sur Android. Après téléchargement, il faut créer un compte ce qui donne accès aux restaurants partenaires de la jeune pousse. L’utilisateur peut ainsi passer sa commande et être livré n’importe où dans la ville de Tripoli et ses alentours. Depuis le lancement de ses services, Presto Eat a déjà livré plus de 250 000 commandes.
La jeune pousse emploie plus de 500 employés libyens ; elle a un partenariat avec plus 380 structures qui ont recours à ses divers services et dispose de plus 13 magasins et points de départ dans la ville de Tripoli. Ce dernier point permet d’être rapide dans l’exécution des livraisons. Une fonction permet au client de suivre en temps réel le parcours de sa commande.
Selon les statistiques de Play Store, la version Android de l’application a déjà été téléchargée plus de 100 000 fois. Malgré ce succès, Presto Eat a du mal à attirer des investisseurs. Les raisons évoquées sont entre autres l’instabilité politique qui règne en Libye depuis 2011 et aussi l’absence d’un écosystème technologique dans le pays. Pourtant, la jeune pousse rêve d’étendre ses services à d’autres villes du pays en l’occurrence à Benghazi et à Misrata.
Cette extension est pour le moment un rêve de son fondateur qui déplore également le manque d’intérêt des riches libyens pour le secteur technologique. « Les Libyens n'ont pas une forte mentalité de start-up car il existe d'autres secteurs rentables dans lesquels travailler et investir, comme l'importation et les produits de grande consommation, ou même la fonction publique », a affirmé Ammar Hmid.
Adoni Conrad Quenum
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La Chine veut mettre en place un réseau d’environ 13 000 satellites, appartenant à China Satellite Network Group Co, en orbite basse autour de la Terre dans le but de rivaliser avec le projet Starlink de la firme SpaceX. Nommé dossier GW, l’objectif est d’empêcher l’entreprise d’Elon Musk de monopoliser ce nouveau marché, elle qui a prévu de lancer d’ici 2027 une constellation de 12 000 satellites pour fournir l'Internet partout dans le monde.
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La justice est réservée aux personnes nantis et aux grosses entreprises. Ce point de vue est ancré dans l’imaginaire collectif, et pour aider toutes les couches de la population et les petites et moyennes entreprises dans ce secteur, une tech entrepreneure togolaise a décidé de lancer une solution.
Miabéloya est une solution numérique développée par une jeune pousse togolaise. Elle permet aux particuliers et aux entreprises d’accéder à des services juridiques en cas de situation nécessitant l’accompagnement de professionnels du droit. La start-up, basée à Lomé, a été fondée en février 2021 par Nadia Anwone.
La solution ne dispose pas d’application mobile. Il faut passer par un navigateur pour se rendre sur l’adresse web de la jeune pousse. De là, il est possible de prendre contact avec les professionnels du droit de cette legaltech et soumettre vos problèmes. Vous avez le choix entre remplir un formulaire dans lequel vous exposerez votre situation après avoir renseigné vos informations personnelles ou cliquer sur l’icône de WhatsApp pour discuter éventuellement de façon instantanée avec un employé de la jeune pousse.
La start up vous apporte son soutien dans la lutte pour la protection des intérêts des petites et moyennes entreprises, met en place une bonne stratégie de sécurisation des biens immobiliers, etc. Elle est spécialisée en droit commercial, en droit des sociétés, en droit immobilier, en droit du travail et en droit fiscal. Pour des situations juridiques dans ces secteurs, la legaltech peut être un allié de poids pour trouver des solutions viables.
Miabéloya offre la première consultation aux clients et les juristes du cabinet, lorsqu'ils s’occupent d’un dossier, agissent rapidement pour que tout rentre dans l’ordre dans les plus brefs délais. Si vous souhaitez recourir à leur service, la jeune pousse propose des forfaits. Pour l’assistance juridique, il y a un forfait basique qui coûte 10 000 FCFA (environ 16 $) et un forfait premium à 50 000 FCFA. En cas de création d’entreprise, la legaltech facture 80 000 FCFA pour une Société à responsabilité limitée et 200 000 FCFA pour une Société par actions simplifiées ou une Société anonyme.
Adoni Conrad Quenum
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Coca-Cola, la société américaine spécialisée dans les boissons non alcoolisées va commencer à expérimenter des outils d'intelligence artificielle (IA), dont ChatGPT, dans son marketing et ses communications numériques.
Dans un communiqué, le géant des boissons gazeuses a déclaré qu’il voyait des possibilités d'améliorer ses efforts de marketing grâce à l'IA, et qu'il « explorait des moyens d'améliorer » ses opérations et ses capacités commerciales.
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