La start-up éthiopienne Medstore lance une place de marché numérique pour permettre aux utilisateurs de vendre et d'acheter du matériel médical en ligne, ainsi que de publier des appels d'offres pour du matériel médical et de s'y abonner.

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Dans le but d'aider les populations à accéder aux services de radiologie à des prix compétitifs, des tech entrepreneurs se sont associés pour mettre en place une solution d'e-santé sur mesure.

Rology est une plateforme d’e-santé développée par une start-up égyptienne éponyme. Elle permet aux patients de prendre rendez-vous avec des radiologues via sa plateforme de téléradiologie assistée par l’IA. La jeune pousse, basée au Caire, a été fondée en 2017 par Amr Abodraiaa, Moaaz Hossam, Mahmoud Eldefrawy et Bassam Khallaf. L’objectif de la healthtech est de résoudre le problème de la pénurie de radiologues sur le continent.

C’est via sa plateforme web que les utilisateurs peuvent décrocher un rendez-vous avec des spécialistes en radiologie. Ils peuvent ainsi passer en direct quelques minutes après avoir rempli les formalités d’usage. La jeune pousse propose un essai gratuit, mais faudrait remplir un formulaire en fournissant des informations telles que nom, prénom, hôpital ou encore le type d’analyses. Après le rendez-vous, le patient reçoit un rapport du spécialiste dans les douze heures, et si c’est une urgence, il est disponible en 90 minutes.

Rology travaille avec une centaine d’hôpitaux et a réussi quelques tours de table (1 million $ au total) pour s’étendre en Afrique et au Moyen-Orient. Elle est aujourd'hui présente dans huit pays.

En 2020, le cofondateur Amr Abodraiaa avait déclaré « qu’ils ont pu constater comment les services de Rology aidaient les hôpitaux à offrir des soins rapides et précis à leurs patients et comment ils pouvaient littéralement sauver la vie des patients. Ils sont  impatients d'étendre la plateforme de Rology au marché de l'Afrique et du Moyen-Orient où les services de Rology sont requis et, en fin de compte, aider les hôpitaux à offrir de meilleurs soins à leurs patients ».

Adoni Conrad Quenum

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Le groupe pharmaceutique marocain Pharma 5 a inauguré le mardi 21 mars à Casablanca sa Smart Factory, une nouvelle unité industrielle ultra-connectée qui permettra au groupe d’augmenter ses capacités de production et de soutenir la souveraineté sanitaire du royaume.

Fruit d’une étroite collaboration entre le savoir-faire marocain en matière d’industrie pharmaceutique et les meilleures expertises internationales, la Smart Factory est dotée entre autres d’objets interconnectés dans le big data et d’une usine complètement monitorée à distance grâce à des capteurs installés à la fois dans les locaux et dans les équipements.

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La Guinéenne Fatoumata Ly permet aux femmes d’accéder à de meilleurs soins en matière de sexualité et de reproduction

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Elle est une entrepreneure préoccupée par le bien-être des femmes. Avec une amie, elle a développé pour ces dernières un système de santé inclusif, moderne et plus attentif à leurs besoins.

Fatoumata Ly (photo) est une entrepreneure d’origine guinéenne. Titulaire d’un bachelor en sciences du langage obtenu à l’université Paul Valéry à Montpellier 3 en 2010 et d’un master en marketing et gestion de la relation client obtenu en 2012 à OMNES Education, elle est une cofondatrice et la présidente-directrice générale de Ninti.

Fondée en 2021 par Fatoumata Ly et Olga Kokshagina, Ninti est une entreprise de technologies médicales qui conçoit des solutions pour aider les femmes à bénéficier de meilleurs soins en matière de sexualité et de reproduction. Son objectif est de rendre les soins de santé non seulement plus accessibles et inclusifs pour tous, mais aussi plus personnalisés afin que les individus aient la possibilité de prendre en charge leur propre santé et de se soutenir mutuellement.

D’après les fondatrices, Ninti est née de leurs propres expériences douloureuses. « Ayant eu des centaines de conversations avec des personnes ayant un parcours complexe en matière de santé sexuelle et génésique, j’ai vu de mes propres yeux les obstacles et les stigmates qui peuvent empêcher les femmes d’accéder aux soins dont elles ont besoin. C’est pourquoi j’ai cofondé Ninti. Pour faire tomber ces barrières et fournir aux femmes les ressources et le soutien dont elles ont besoin pour prendre des décisions éclairées concernant leur santé », a écrit Fatoumata Ly sur son compte LinkedIn.

Ainsi, Ninti a conçu une plateforme numérique qui permet aux employeurs de proposer à leurs salariés un contenu fondé sur des données afin que ces derniers puissent mieux vivre leur parcours de santé de la préconception à la ménopause. Par le biais de la plateforme, les employés peuvent également bénéficier de soins dispensés par des professionnels et appartenir à une communauté sur laquelle ils peuvent s’appuyer via des événements et des cercles.

Vice-présidente de SINGA France, une organisation citoyenne internationale qui accélère l’inclusion des immigrés, elle est membre du conseil d’administration de Learn Afghanistan et de SISTA, un collectif de femmes entrepreneurs et investisseuses qui promeut plus de diversité dans l’économie numérique en encourageant notamment plus d’investissements dans les entreprises dirigées par les femmes.

En 2018, elle a confondé You’re Welcome App, une application pour générer des revenus supplémentaires pour les hôtels. Elle était la responsable des opérations de l’entreprise jusqu’en 2020. Cependant, après son bachelor, elle a commencé à travailler, en 2011, pour Efma (devenu Qorus), une organisation à but non lucratif travaillant dans le secteur financier, en tant que coordonnatrice d’événements. En 2014, elle a été promue responsable des événements de l'entreprise.

Parallèlement, elle était la leader locale de Levo League en France, une communauté florissante, en ligne et hors ligne, de jeunes professionnels, de modèles et d’entreprises innovantes, entre 2014 et 2019. Après une pause professionnelle en 2020, elle travaille à Bayes Impact, une organisation qui a pour mission de créer des services publics gérés par les citoyens, en tant que cheffe de projet senior indépendante en 2021.

De 2021 à 2022, elle était la cheffe de projet de l’Institut Covid-19 Ad Memoriam qui lutte contre la Covid-19. Avec son équipe, elle a créé une plateforme permettant aux citoyens de partager leur expérience de la pandémie.

Melchior Koba

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Le développement des solutions technologiques s’impose comme une alternative pour résoudre nombre de problèmes inhérents au continent. Au Kenya, un tech entrepreneur veut aider les populations à bien prendre soin de leur santé en cas de maladie.

Snark Health est une solution numérique développée par une jeune pousse kényane. Elle permet aux patients de se faire soigner en ligne par des médecins parfois sans avoir à débourser de sou. La healthtech a été fondée en 2020 par Hank Selke.

« Snark Health est la prochaine génération de soins de santé construits autour de la relation médecin-patient. Nous aidons les patients à améliorer leur accès aux soins de santé et à réduire leurs coûts de soins. Nous aidons les médecins à gagner plus d'argent », indique la plateforme.

L’application de la solution est uniquement accessible sur Android. L’utilisateur doit, après son téléchargement, s’inscrire en remplissant un formulaire où il doit renseigner le nom, le prénom, le numéro de téléphone, l’email, le groupe sanguin, la tension artérielle, etc. Ces données vont permettre aux médecins de prendre connaissance d’un certain nombre d’informations sur le patient avant d’effectuer une quelconque consultation en ligne depuis la plateforme.

Peu importe la couche sociale à laquelle le patient appartient, il peut accéder aisément aux soins sans forcément recourir à une assurance maladie. Pour cela, Snark Health a mis en place une cryptomonnaie nommée Hippocratic Coin. « Hippocratic Coin fonctionne comme un compte d'épargne. Lorsque vous devez payer des soins de santé, vous pouvez échanger Hippocratic Coin contre M-Pesa pour effectuer un paiement », peut-on lire sur la plateforme.

Par ailleurs, la healthtech dispose également d’un code USSD pour les patients situés dans les zones rurales. Malgré les efforts des autorités et de diverses organisations pour rendre Internet accessible à tous, il existe encore des régions où les populations ont du mal à accéder à Internet. L’option du code USSD compense ce vide et permet aux populations de ne pas être totalement exclues de la révolution en cours sur le continent.

En 2022, Snark Health a figuré dans la liste des douze start-up africaines sélectionnées pour la première cohorte de l'accélérateur FAST. Il a été créé par le géant américain de la technologie Microsoft, en partenariat avec Flapmax, avec pour but de renforcer et de faire évoluer l'écosystème numérique africain. Le programme a duré douze semaines et les participants ont bénéficié de 250 000 $ en crédits cloud Microsoft Azure, d’un accès à Microsoft 365, à Dynamics 365, aux interfaces de programmations OpenAI et à Microsoft for Startups Founders Hub.

Adoni Conrad Quenum

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Ancré dans l’écosystème entrepreneurial en tant que responsable d’incubateur, investisseur providentiel et conseiller en transactions, il a travaillé avec des entreprises sociales et cherche à améliorer l’accès à des soins de santé abordables et de qualité supérieure en Afrique.

Wilfred Njagi (photo) est un informaticien kényan diplômé de l’université d’Egerton où il a obtenu sa licence en 2010. Egalement titulaire d’un master en administration des affaires obtenu à la Università Cattolica del Sacro Cuore en Italie en 2019, il est un cofondateur et le président-directeur général de Villgro Africa.

Fondé en 2015 par Wilfred Njagi, Robert Karanja et Rob Beyer, Villgro Africa est un incubateur d’entreprises en phase de démarrage et un investisseur d’impact qui soutient les entreprises émergentes du secteur de la santé en Afrique. Il leur offre une expérience d’incubation personnalisée pour les aider à développer efficacement leurs idées et à naviguer dans l’écosystème des start-up africaines.

Entre 2015 et 2022, l’incubateur a investi plus de 1,36 million de dollars dans 36 jeunes entreprises kényanes du secteur de la santé. Au nom de toute l’équipe Villgro Africa, Wilfred Njagi figure sur la liste 2022 des Meaningful Business 100 qui célèbre les dirigeants qui associent profit et raison d'être pour contribuer à la réalisation des objectifs mondiaux des Nations unies.

Dans le cadre de ses projets de développement du secteur en Afrique de l’Est, Wilfred Njagi et ses collaborateurs prévoient d’ouvrir un centre d’innovation biotechnologique. « Alors que nous continuons à nous développer, nous sommes enthousiastes à l’idée de lancer un centre d’innovation biotechnologique qui créera une valeur partagée en utilisant la diversité génétique de l’Afrique de l’Est pour accélérer le développement de médicaments, de vaccins et de diagnostics pour le contrôle et l’élimination des maladies liées à la pauvreté, des maladies rares, des maladies tropicales négligées et des maladies non transmissibles », a déclaré Wilfred Njagi au début du mois de mars 2023.

La carrière professionnelle de Wilfred Njagi a commencé en mai 2010 à Africa Venture Capital Assocation, une association qui promeut l’investissement privé en Afrique, en tant qu’assistant administratif. En septembre, il devient développeur web du Programme des Nations unies pour l’Environnement (PNUE) au Kenya. En 2012, il est embauché comme collaborateur marketing à Tanasuk Technologies, une entreprise de développement de solutions technologiques pour la communication en ligne.

Melchior Koba

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A cause de la difficulté de certaines populations à accéder aux soins de santé, les healthtech se multiplient sur le continent, proposant des solutions intéressantes pour faciliter le quotidien des populations.

CheckMe Health est une solution numérique développée par une jeune pousse égyptienne. Elle permet aux utilisateurs d’accéder à des services de prélèvement sanguin dans des laboratoires partenaires. La healthtech a été fondée en 2020 par Nesma El Talawy et Adham Youssef.

« Checkme vous offre une expérience simple et fluide à partir du téléchargement de votre ordonnance, de la réalisation de vos tests de laboratoire à domicile et de la réception de vos résultats sur votre application », indique la plateforme.

La solution dispose d’une application mobile accessible sur Android et sur iOS. Pour accéder aux divers services, il faudra créer un compte. Vous avez la possibilité de sélectionner un test médical ou de télécharger directement une ordonnance depuis la plateforme, de comparer les tarifs appliqués par les divers laboratoires partenaires puis, une fois le choix effectué, vous pouvez prendre une réservation. Un représentant viendra vous effectuer le prélèvement à domicile et les résultats seront envoyés sur l’application mobile quand ils seront disponibles.

La start-up qui revendique plus de 100 000 utilisateurs a annoncé l’acquisition, en décembre 2022, de DoctorOnline, une autre healthtech qui fournit des diagnostics à la demande.

Nesma El Talawy explique que « cette acquisition s'inscrit dans la stratégie d'expansion dans la région et dans le cadre de l'élargissement des services. Selon le McKinsey Global Institute, les coûts économisés par les technologies de la santé pour le secteur de la santé pourraient se situer entre 1 500 et 3 000 milliards de dollars américains par an d'ici 2030, ce qui rend des acquisitions comme celle-ci essentielles dans leur impact économique dans la région ».

Adoni Conrad Quenum

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Il est un scientifique et un chercheur médical spécialisé dans les domaines de la radiologie, de l’ingénierie biomédicale, de la biochimie et de la biophysique moléculaire. Titulaire de plusieurs brevets d’invention, il fait partie des plus grands scientifiques du 21e siècle.

Samuel Achilefu (photo) est un professeur de radiologie, d’ingénierie biomédicale, de biochimie et de biophysique moléculaire originaire du Nigeria. Il est actuellement le président du département d’ingénierie biomédicale de l’University of Texas Southwestern Medical Center.

Diplômé de l’université de Nancy en France où il a obtenu son doctorat en chimie et science des matériaux en 1991, il a suivi une formation postdoctorale sur le transport de l’oxygène dans les systèmes biologiques et la science hématologique à l’université d’Oxford au Royaume-Uni. Avec son équipe, le Dr Samuel Achilefu a inventé des lunettes anticancéreuses.

Avant la création de ces lunettes, les chirurgiens avaient du mal à enlever complètement les tumeurs cancéreuses pendant une opération. C’est la raison qui l’a poussé à fabriquer ces lunettes de haute technologie, à infrarouge, qui permettent aux médecins de distinguer les cellules malignes des cellules normales pendant la chirurgie.

« Les chirurgiens m’ont dit que l’un de leurs problèmes était de voir de belles images statiques sur les IRM et les tomodensitogrammes, mais lorsqu’ils entrent dans la salle d’opération, ils n’ont vraiment rien. C’est comme si on travaillait dans le noir », explique Samuel Achilefu en 2015.

Les lunettes ont déjà servi dans plus de 27 opérations de patients atteints de cancers de la peau, du foie et du sein. Pour repérer les cellules cancéreuses, Samuel Achilefu et son équipe ont expliqué qu’il faut d’abord faire briller ces dernières en injectant au patient un marqueur fluorescent infrarouge qui est capté par les lunettes.

En tant qu’inventeur, Samuel Achilefu a déjà plus de 65 brevets américains. Il est l’auteur de plus de 300 articles scientifiques publiés. Sa carrière professionnelle a commencé en 1993 à la Mallinckrodt Medical où il était chercheur principal. En 2001, il a rejoint la Washington University School of Medicine in St. Louis en tant que professeur et directeur du laboratoire de radiologie optique.

L’inventeur a déjà reçu des dizaines de prix pour son travail dans la santé. En 2014, il a reçu le St. Louis Award et le prix de l’innovation médicale. En 2015, il a obtenu le prix de l’innovateur de St. Louis. En 2015, il devient le premier récipiendaire du prix de chercheur émérite du Programme de recherche sur le cancer du sein et reçoit le prix du chercheur émérite du ministère de la Défense US.

Samuel Achilefu est aussi le lauréat du prix du chercheur émérite en 2018 remis par l’Academy for Radiology & Biomedical Imaging Research. Il a reçu le prestigieux Britton Chance Biomedical Optics Award en 2019 aux USA. En 2021, il est élu à l’Académie nationale de médecine, l’une des plus hautes distinctions dans le domaine de la santé et de la médecine.

Melchior Koba

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Il croit fermement qu’avec les technologies comme l’intelligence artificielle, l’apprentissage automatique et la télémédecine, il peut optimiser l’efficacité des services de santé. Avec un collègue, il fonde DoctorAI qui connecte les patients aux acteurs de la santé.

Kevin Muragijimana (photo) est un médecin rwandais diplômé de l’université du Rwanda en 2019. Il est le président-directeur général et l’un des cofondateurs de DoctorAI, une entreprise de technologie médicale qui a pour mission de moderniser les services de santé en Afrique.

Fondée en 2019 par Kevin Muragijimana et David Ndayishimiye, également médecin, DoctorAI utilise l’intelligence artificielle pour détecter, avec une précision de plus de 90 %, les lésions du cancer du sein sur les mammographies, les maladies du thorax sur les radiographies, les maladies cardiaques à partir des bruits du cœur ausculté, les parasites du paludisme sur les frottis sanguins, entre autres.

La start-up envisage de proposer d’autres services tels que le télédépistage, l’éducation à la télésanté, la télépharmacie et la télémédecine. Son application, qui regroupe tous ses services et fonctionnalités, permet aux gens d’exprimer leurs préoccupations sur la santé, aux médecins d’améliorer le bien-être de la communauté, aux pharmaciens de distribuer plus simplement des médicaments et aux chercheurs d’avoir un impact sur le monde.

« Nous proposons d’autres services qui seront disponibles ultérieurement, comme des consultations en ligne avec des médecins spécialistes et des pharmaciens agréés. Le marché comprendra également la télémédecine et la télépharmacie. Nous avons l’intention de nous étendre à l’échelle mondiale. Nous avons fait en sorte que nos canaux de distribution soient si faciles à utiliser que nos programmes logiciels au sein de l’application DoctorAI sont accessibles à tous ceux qui possèdent un smartphone, partout dans le monde », a déclaré Kevin Muragijimana à Disrupt Africa en mars 2023.

Kevin Muragijimana est aussi le consultant médical coordinateur d’AFRI-ONC, une entreprise spécialisée dans le renforcement de l’information et de la recherche sur le cancer, y compris l’enregistrement des cancers. Il est aussi médecin au ministère rwandais de la Santé. Avant de fonder son entreprise, il a travaillé, en 2019, en tant que stagiaire au Centre Hospitalier Universitaire de Bicêtre, en France.

Melchior Koba

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Le premier incubateur insurtech au Rwanda, organisé par la compagnie de réassurance PTA (ZEP-RE) en partenariat avec l'ONG Westerwelle Startup Haus, sélectionnera 25 start-up pour un Hackathon Insurtech le mois prochain, et cinq équipes par la suite pour rejoindre un programme d'incubation de six mois.

Le programme s'intéresse particulièrement aux start-up dans les domaines de la fintech, de l'agritech, de l'e-santé, de la legaltech, de la climate tech et des solutions basées sur la blockchain.

Les candidatures sont ouvertes ici jusqu'au 15 mars.

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