L’Afrique couve actuellement une jeunesse innovante, de plus en plus en quête de soutien pour entreprendre. Le groupe Orange qui croit en l’impact social des sociétés technologiques s’est engagé à les accompagner depuis plusieurs années à travers divers programmes.

La société de téléphonie mobile Orange Cameroun a dévoilé les trois lauréats de l’édition 2023 du Prix Orange de l'entrepreneur social en Afrique et au Moyen-Orient (POESAM) le jeudi 20 juillet à Douala. Il s’agit d’Armelle Touko avec sa solution numérique « Adinkra Jeunesse », de Philippe Ohandja Ayina avec « Clinic Home » et d’Ashangndowah Akwo avec Nkwa Tech Ltd, qui remportent respectivement les premier, second et troisième prix de la compétition nationale.

Avec « Andira Jeunesse », Armelle Touko s’est démarquée des autres candidats en développant une plateforme web et mobile sur laquelle des enfants peuvent accéder à des livres numériques et les lire hors connexion Internet. Son premier prix lui octroie la somme de 3 000€.

Avec « Clinic Home », Philippe Ohandja Ayina a développé « un hôpital virtuel dédié à la médecine à domicile de famille et à la télémédecine ». Il souhaite à travers cette solution faciliter l’accès des populations de toutes les classes sociales à des soins médicaux de qualité à moindre coût. Son prix lui a valu une récompense de 1 500 €.

Pour Ashangndowah Akwo, la somme  décrochée par son troisième prix s’élève à 750 €. Le jury a été séduit par son application mobile « Nkwa » qui permet aux utilisateurs d'épargner de manière disciplinée de l’argent afin d’atteindre des objectifs précis.

Comme il est désormais de coutume, un prix spécial féminin a également été décerné. Il est allé à Olivia Kamga, porteuse du projet « Services For Aged » qui met en relation du personnel médical et paramédical avec des personnes âgées vivant en milieu rural. La jeune dame bénéficiera d'un accompagnement technique d’Orange Cameroun ainsi que d'une dotation financière de 1 500 €.

Pour cette édition du Poesam, un total de 245 candidatures a été reçu et examiné par les jurys. Seules 11 candidatures ont été retenues pour la finale. Parmi celles-ci figuraient des solutions comme Mon Combi,  Kiss and Go ou encore Ajuoza.

Grâce à sa première place, Armelle Touko aura l’opportunité de concourir pour le grand prix Poesam international qui oppose les premiers prix de toutes les filiales d’Orange en Afrique et au Moyen-Orient. Seuls trois lauréats seront sélectionnés. En fonction de leur classement, ils remporteront respectivement les somme de 25 000 €, 15 000 € et 10 000 €.

Samira Njoya

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L’industrie pharmaceutique en Afrique est souvent confrontée aux problèmes d’accès et de disponibilité des médicaments. Afin d’y remédier, Joseph Paul, un jeune médecin, développe des solutions basées sur la technologie pour améliorer la chaîne d’approvisionnement.

Joseph Paul (photo) est un médecin tanzanien diplômé de la Muhimbili University of Health and Allied Science. En 2020, il fonde la start-up Dawa Mkononi, dont il est le président-directeur général, avec pour vision de construire la plus grande chaîne de franchise africaine pour la chaine d’approvisionnement pharmaceutique business to business (B2B).

La mission de Dawa Mkononi est de favoriser l’accès et la disponibilité des médicaments dans les communautés africaines. Mettant donc l’accent sur l’amélioration de la chaîne d’approvisionnement pharmaceutique, elle se base sur les données et facilite les transactions de gros avec divers acteurs, tels que les pharmacies, les points de vente automatisés de médicaments (ADDO) et les établissements de santé comme les hôpitaux et les cliniques, et ce, grâce à son application dédiée.

En octobre 2022, la start-up de Joseph Paul, déjà membre d’Ennovate Hub et de FWD Accelerator, a été sélectionnée pour rejoindre le programme PesaTech Accelerator, un programme d’accélération fintech conçu pour les entreprises tanzaniennes.

La start-up est également représentée aux Africa’s Business Heroes 2023 avec la sélection de Kilalo Mjema, cofondatrice et responsable des ressources humaines de Dawa Mkononi, parmi les 50 finalistes.

Avant Dawa Mkononi, Joseph Paul a fondé en 2018 Daktari Mkononi, un système qui permet aux gens de communiquer avec des professionnels de la santé par simple appel. Assistant de recherche de l'USAID en 2013, le médecin fut, entre 2017 et 2018, le coordinateur de projet de l’association humanitaire Rotaract.

En 2018, il rejoint Orbeat, une healthtech qui résout les problèmes d’obésité et de surpoids, en tant que conseiller médical. Entre 2019 et 2022, il a travaillé en tant que médecin dans les hôpitaux Muhimbili National Hospital et Shree Hindu Mandal Hospital avant de se consacrer pleinement à sa carrière au sein de Dawa Mkononi.

Melchior Koba

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Il est un médecin expérimenté avec des compétences en matière de planification stratégique, de pratique médicale et de technologies de l’information dans le domaine de la santé. Afin de simplifier les procédures chirurgicales dans la région MENA, il fonde une place de marché pour les chirurgiens.

Ahmed Elawady (photo) est un chirurgien ophtalmologiste égyptien diplômé de l’université du Caire, où il a obtenu en 2011 son bachelor en médecine, et de l’Al-Azhar University où il a fini en 2014 ses études de troisième cycle en ophtalmologie. Il est le président-directeur général et le fondateur de BokDoc.

Ahmed Elawady a fondé BokDoc en 2018 avec Mohamed Aldmohy, Ali Galal et Kareem Sallam. L’entreprise est la première place de marché pour les chirurgiens dans la région du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord (MENA). Elle permet de réserver les procédures chirurgicales rapidement et sans tracas. Via sa plateforme, les patients ont la possibilité de comparer les chirurgiens, poser des questions, télécharger des documents médicaux et programmer des examens et des procédures.

Le réseau de BokDoc est constitué de plus de 70 hôpitaux et centres médicaux, ainsi que de plus de 1 500 chirurgiens et médecins. Elle a déjà été l’intermédiaire de plus de 2 000 chirurgies et traite plus de 30 spécialités médicales. Pour toutes les chirurgies ou procédures, la start-up offre un service de paiement échelonné amortissable sur une période allant jusqu’à 60 mois afin de permettre à tous les patients de payer selon leur moyen. L’entreprise a fait partie, en 2022, du top 45 des meilleures start-up des AfricaTech Awards.

Ahmed Elawady a également fréquenté, entre 2012 et 2014, l’université américaine du Caire où il a étudié l’administration et la gestion hospitalière. En 2013, il devient un spécialiste certifié par l’International Council of Ophthalmology, une organisation sise à Londres qui œuvre pour l’amélioration de l’enseignement de l’ophtalmologie et l’accès à des soins oculaires de la plus haute qualité.

En 2014, il est embauché en tant qu'ophtalmologue de l’Al Oyoun Al Dawli Hospital du gouvernorat du Caire, en Egypte. De 2016 à 2017, il travaille pour High Care Hospital de l’Arabie saoudite au poste de directeur médical.

Melchior Koba

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Dans le but d’aider les populations à accéder plus aisément aux soins de santé, les start-up opérant dans les technologies de la santé se sont avérées des alternatives crédibles. En RDC, un tech entrepreneur propose une solution sur mesure à ses compatriotes.

Congo Medika est une solution d’e-santé développée par une start-up congolaise. Elle permet aux patients de prendre des rendez-vous en ligne chez un médecin à domicile ou dans un cabinet médical, de se faire livrer des médicaments à domicile et d’obtenir des conseils de santé. Basée à Kinshasa, la jeune pousse a été fondée en 2021 par Emmanuel Epenge.

L’accès aux divers services de la solution requiert la création d’un compte. Il faut renseigner son e-mail et un pseudonyme puis vous aurez accès aux divers services de la plateforme. En fonction de vos maux et si vous voulez prendre un rendez-vous à domicile ou dans un établissement médical, vous suivez la procédure. Il faudra encore fournir vos informations personnelles, choisir la date et l’heure du rendez-vous puis envoyer la demande.

Après cette étape, vous serez contacté pour que vous preniez connaissance des détails de la consultation. Outre ce service, la plateforme d’e-santé dispose également d’une pharmacie en ligne. Il est possible de se procurer divers types de produits et de se faire livrer à domicile. Congo Medika fournit quelques informations sur tous les médicaments vendus dans la pharmacie en ligne de la jeune pousse.

Le service de conseils santé dispose des rubriques blog et vidéo. Le blog est un ensemble d’articles publiés sur la plateforme qui abordent divers sujets relatifs à la santé. Les vidéos traitent du même type de sujets en des formats plutôt courts pour faciliter l’assimilation. Congo Medika embarque aussi une fonction de messagerie qui permet aux utilisateurs de partager leurs expériences via des messages privés. Par ailleurs, il faut souligner que la solution dispose d’une application accessible sur Android. La healthtech revendique plus de 120 professionnels de santé travaillant en son sein.

Adoni Conrad Quenum

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Originaire du Cameroun, elle a travaillé pendant plusieurs années en France et aux Etats-Unis dans des institutions financières. Cependant, de retour en Afrique centrale, elle s’installe en République du Congo et y fonde une start-up spécialisée dans la santé digitale.

Joelle Itoua Owona (photo) est une banquière de formation reconvertie dans la santé digitale. Originaire du Cameroun, elle a fondé, en République du Congo, la start-up de technologie médicale AfriWell Health, dont elle est la présidente-directrice générale.

Fondée en 2022, la start-up met à disposition une plateforme numérique qui met en relation les patients du Congo avec des professionnels de la santé du monde entier de manière rapide et efficace. Son objectif est de créer 500 000 connexions patients/médecins au cours de ses 5 premières années.

Les fonctionnalités que propose la plateforme AfriWell Health sont multiples et diverses. Elle propose des services de réservation de rendez-vous en ligne et de consultation vidéo. Elle permet également de faire une évaluation des médecins et de consulter son historique médical en ligne. Tous ces services ont été mis en œuvre pour que les Congolais puissent mieux gérer leur santé.

Afin de rendre plus efficace sa solution, elle a signé des partenariats avec plusieurs hôpitaux internationaux. Entre autres, il s’agit d’Euracare au Ghana et au Nigeria, de la clinique Zaghouan en Tunisie, de Memorial et Dent-Health en Turquie et de Narayana Health en Inde. La start-up a d’ailleurs été sélectionnée en tant que participante de la cohorte 2023 du programme Google For Startups : Women Founders.

Joelle Itoua Owona est diplômée de l’ESCP Business School, où elle a obtenu un master en 2008, et de la MIT Sloan School of Management où elle a obtenu un master en administration des affaires axé sur la finance en 2016. Avant de se lancer dans la santé digitale, elle a travaillé pour plusieurs institutions financières en Europe et aux Etats-Unis.

En 2008, elle a travaillé pour Crédit Agricole CIB de France en tant qu’analyste juniore. En 2009, elle a rejoint le groupe bancaire HSBC en tant que manager internationale à New York aux Etats-Unis. Elle a également travaillé pour Bank of America Merril Lynch entre 2016 et 2023 au poste de banquière d’investissement chargée de la couverture des soins de santé.

Melchior Koba

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La santé est un indicateur clé des progrès d’un pays. Afin d’améliorer l’accès à la santé en Afrique, Novartis a lancé l’accélérateur HealthTech Hub Africa qui aide les entrepreneurs à développer des technologies révolutionnaires qui relèvent les défis croissants de l’Afrique dans le secteur.

HealthTech Hub Africa est un accélérateur panafricain hybride de technologies de la santé ayant pour objectif de favoriser le développement des healthtech en Afrique et d’accélérer ces innovations dans les systèmes de santé publique grâce à la collaboration avec les partenaires gouvernementaux.

Fondé en 2021 par la fondation Novartis, il dispose d’un espace communautaire et d’un espace physique de co-working à Kigali, au Rwanda. Il propose à ses membres un programme d’innovation immersif, des masterclass sur la préparation à l’investissement, des opportunités de mise en relation avec des partenaires des secteurs public et privé, un mentorat et la possibilité de tester et de valider leurs solutions dans le domaine de la santé publique.

Actuellement, l’accélérateur se concentre sur quatre domaines thématiques de la santé. Il s’agit de la santé cardiovasculaire, du cancer du sein, de la santé et soin virtuels, ainsi que de l’optimisation de la prise de décision basée sur les données. Les start-up qu’il accélère sont donc celles qui proposent des solutions technologiques relevant les défis dans ces domaines.

Lors de la première cohorte de l’accélérateur, 30 start-up ont été sélectionnées suite à l’Africa HealthTech Challenge, et la start-up gagnante, Insightiv Technologies, qui a développé une technologie avancée pour aider les radiologues à détecter plus rapidement les maladies potentiellement mortelles, a reçu une subvention de 30 000 dollars de la part de la fondation Novartis. La cohorte 2023 a déjà été lancée et accueille 30 start-up de croissance et 10 scale-up.

HealthTech Hub Africa organise aussi d’autres challenges comme l’AI4Health Challenge, le Data4Health Challenge et le Cardiovascular Health Innovation Challenge (Play4Health), dont les lauréats, Medtech Africa et WeCare Digital Health ont été dévoilés le 23 juin 2023.

L’accélérateur est également soutenu par plusieurs partenaires. Entre autres, il s’agit de Patrick J McGovern Foundation, The Global Fund, Norrsken, Village Reach, dRx Capital, Centre for the Fourth Industrial Revolution Rwanda, Rwanda Biomedical Centre, du ministère de la Santé de la République du Rwanda et d’Impact Hub Dakar.

Melchior Koba

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La République du Congo a lancé en début de cette année, un projet d'accélération de la transformation numérique. Dans le but de l’accompagner dans ce processus de numérisation, des partenaires ont lancé l’application « Mangwele » visant à améliorer le système d’information sanitaire.

Les autorités congolaises et japonaises ont procédé le mercredi 5 juillet, au Centre de santé intégré Tenrikyo de Makélékélé, au lancement de l’application « Mangwele », un système de rappel de vaccination par SMS.

Le nouveau système vise entre autres à rappeler aux parents, notamment les mères, les rendez-vous vaccinaux de leurs enfants selon le calendrier du Programme élargi de vaccination (PEV).

« A travers ce projet, le personnel de santé pourra entre autres suivre l’état de l’enregistrement des naissances et suivre les vaccinations de chaque enfant en enregistrant ces informations dans une base de données nationale. Ce système permettra d’effectuer un suivi individualisé et de s’assurer que tous les enfants reçoivent tous les vaccins nécessaires, même s’ils changent de région », a expliqué Satoko Morito, la première secrétaire de l’ambassade du Japon au Congo, représentante de l’ambassadeur.

Le lancement de Mangwele s’inscrit dans le cadre du Projet d’appui au système numérique de la santé pour la lutte contre les maladies infectieuses en Afrique piloté par le Fonds des Nations unies pour l’enfance (UNICEF). La mise en œuvre de l’application, quant à elle, a été financée par le gouvernement du Japon à hauteur de 3,3 millions de dollars.

La République démocratique du Congo et le Bénin sont les deux autres pays bénéficiaires du financement du Japon pour la mise en œuvre du projet relatif à l’introduction du numérique pour la lutte contre les maladies infectieuses en Afrique.

A terme, le projet contribuera sans doute à l’amélioration des performances de la vaccination. Il favorisera également l'analyse et l'utilisation des données en temps réel permettant de mieux estimer la couverture vaccinale, y compris la vaccination de routine et de la Covid-19.

Samira Njoya

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MyDawa, une plateforme de pharmacie en ligne basée au Kenya et opérant dans la région de l'Afrique de l'Est, a levé 20 millions de dollars de financement auprès de l'investisseur privé Alta Semper Capital.

Les fonds obtenus permettront à l'entreprise créée en 2016 de développer sa plateforme mais également d'étendre ses services en dehors de l'Afrique de l'Est.

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C’est au cours de sa dernière année en médecine qu’Imad Chakri a eu l’idée de mettre en place une application mobile pour aider les médecins et les professionnels de la santé dans leur travail au quotidien.

PocketDoc est une solution numérique développée par une jeune pousse marocaine. Elle permet aux utilisateurs, en l’occurrence les médecins, d’accéder à des informations pertinentes et pratiques pour mieux prendre en charge les patients. La start-up, basée à Casablanca, a été fondée en 2018 par le docteur Imad Chakri (photo).

« Bien que j'ai passé les 7 dernières années à mémoriser des informations médicales, j'oublie sans cesse des informations importantes, qu'il s'agisse d'une prescription ou d'un diagnostic lorsque je travaille au service des urgences de l'hôpital ou dans un centre de santé. Il n’existait pas de solution, alors j’ai dû à plusieurs reprises me dispenser des patients pour rechercher sur Google ou appeler un collègue, ou traiter les symptômes du patient et non les causes de sa maladie », a déclaré Imad Chakri.

La solution dispose d’une application mobile accessible sur iOS, Android et sur l’AppGallery de Huawei. L’utilisateur s’inscrit après téléchargement de l’application puis il accède aux diverses fonctionnalités. On y retrouve entre autres une liste plus de 300 pathologies dans 23 spécialités médicales, un dictionnaire contenant toute la sémiologie médicale, une vingtaine de certificats médicaux prêts à l’emploi ou encore un espace de partage entre médecins et professionnels de santé.

La start-up gagne de l’argent grâce aux abonnements des médecins et des professionnels de santé et aux publicités des annonceurs. D’après les données de Play Store, l’application a déjà été téléchargée plus de 50 000 fois.

PocketDoc a des ambitions d’expansion. « Après avoir lancé l'application, nous avons observé un trafic important en provenance d'autres pays comme l'Algérie, la Tunisie, le Sénégal, la Guinée, le Cameroun et la France. […] Notre objectif est d'être présent dans tous les pays francophones », a expliqué Imad Chakri.

Adoni Conrad Quenum

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Le mardi 27 juin, la filiale sud-africaine de Fujifilm, un fabricant japonais de matériel photographique numérique et analogique opérant aussi en imagerie médicale, et Uni Medical Supplies, une entreprise namibienne spécialisée dans la distribution et le service après-vente d'équipements et de consommables médicaux et scientifiques, ont lancé un projet qui relie des hôpitaux géographiquement éloignés, en l’occurrence ceux de Katutura State, Onandjokwe State, Oshakati State, Rundu Intermediate et Windhoek Central, grâce aux plateformes Synapse Radiology Information System (RIS) et Picture Archiving and Communication System (PACS) de Fujifilm.

« Nous remercions le ministère namibien de la santé et des services sociaux d'avoir compris la valeur de cette plateforme et les avantages qu'elle présente pour le système de santé du pays », a déclaré Taro Kawano, directeur général de la filiale sud-africaine de Fujifilm.

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