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Après la création d’une entreprise spécialisée dans le tourisme en France, Jean-fabrice Gnohi a décidé de mettre en place une solution tech dans son pays d’origine la Côte d’Ivoire. C’est ainsi qu’il s’est lancé dans le secteur de la mobilité.

Monbolide est une solution numérique développée par une jeune pousse ivoirienne. Elle permet aux utilisateurs de louer des voitures de luxe en un temps record. La start-up, basée à Abidjan, a été fondée en 2022 par Jean-Fabrice Gnohi.

La solution dispose d’une application mobile accessible sur iOS et sur Android. Il faut créer un compte après téléchargement de l’application pour avoir accès aux diverses voitures présentes sur la plateforme. L’utilisateur n’a pas besoin de souscrire à un abonnement ou d’effectuer toute autre démarche pour avoir le droit de louer un véhicule sur Monbolide.

On retrouve des véhicules pour tous les budgets comme une Mercedes de 2016 à 150 000 FCFA (environ 244 $) par jour, une Range Rover Sport à 250 000 FCFA par jour, ou encore une Peugeot de 2011 à 30 000 FCFA par jour. Il est également possible d’effectuer des réservations, notamment quand on voudrait louer une marque spécifique de véhicule. Pour cela, vous fournirez des informations telles que votre localisation, la date du début de la location et la date de fin.

Par ailleurs, des particuliers peuvent décider de faire louer des voitures via la jeune pousse. Il suffit d’appuyer sur le bouton « ajouter une annonce » et suivre le processus. Grâce à un partenaire de Monbolide, un tracker peut être installé sur votre véhicule pour que vous puissiez connaître sa position à tout instant. Selon la start-up, il est possible de gagner jusqu’à 500 000 FCFA en louant votre véhicule. Monbolide est uniquement présent en Côte d’Ivoire mais elle prévoit une expansion en Afrique de l’Ouest.

Adoni Conrad Quenum     

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Posted On jeudi, 02 mars 2023 08:18 Written by

Les edtech prolifèrent sur le continent depuis la crise de la Covid 19. C’est une alternative aux formations traditionnelles et leur succès s’explique, entre autres, par le fait qu’elles permettent aux apprenants d’apprendre autrement et de mieux disposer de leur temps.

Mara Academy est une plateforme numérique développée par une jeune pousse béninoise. Elle permet aux utilisateurs d’accéder à des formations en ligne dans diverses filières d’étude, en l’occurrence le marketing digital, le social media manager... L’edtech, basée à Cotonou, a été fondée en 2021 par Hadjara Ahouantchede. Mara Academy veut offrir à chaque Africain une expérience d'apprentissage unique.

La solution ne dispose pas d’une application mobile. Il faut passer par un navigateur et se rendre directement sur l’adresse web de la start-up. L’utilisateur devra soumettre sa candidature à l’une des formations proposées en remplissant un formulaire. Cette première étape passée, il faudra passer un test d’entrée si éventuellement la candidature est retenue. Il faudra absolument remplir un certain nombre de conditions pour passer cette étape.

Il faudrait entre autres avoir entre 18 et 30 ans ; vivre au Bénin, au Togo, au Niger ou en Côte d'ivoire ; être sans emploi, être disponible pour la formation et pour l'emploi ou encore avoir au minimum un niveau Bac +2. La troisième étape consiste à effectuer des interviews en ligne avec l’équipe de la jeune pousse puis passer à la signature des documents d’inscription.

Mara Academy veut donner une éducation de qualité à chaque Africain et leur servir de passerelle vers le monde de l'emploi en mettant en place le programme Youth Employment Accelerator YEA. « Pas de prêts, pas de frais cachés. Nous serons payés quand vous le serez. Après l'obtention de votre emploi vous nous payerez 30 % de votre salaire sur 12 à 24 mois », peut-on lire sur la plateforme.

Grâce aux entreprises partenaires, elle aide les apprenants à décrocher un emploi décent après une formation de 52 semaines. De plus, tout au long de la formation, les apprenants passent du temps en entreprise où ils ont chacun des mentors qui suivent leur évolution.

Adoni Conrad Quenum

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Posted On mercredi, 01 mars 2023 15:40 Written by

Alors que les firmes de transport à la demande prolifèrent sur le continent, le covoiturage ne connaît pas le même succès. Pourtant, ce segment de l’e-mobilité peut être une solution efficace contre les bouchons dans les grandes villes africaines.

Wabeyi est une solution de covoiturage développée par une jeune pousse ivoirienne. Elle permet aux utilisateurs de mettre les passagers en relation avec les conducteurs fréquentant le même itinéraire. La start-up a été fondée en 2017 par Emmanuel Bilé.

La solution dispose d’une application mobile accessible sur iOS et sur Android. Il faut donc créer un compte après téléchargement de l’application et fournir vos informations personnelles. Après l’inscription, il est commode d’enregistrer vos itinéraires favoris dans l’application, ce qui facilite son utilisation au quotidien. Si vous voulez être un conducteur, Wabeyi prend quelques jours pour vérifier votre profil avant de vous accorder ou pas ce badge. La start-up met un point d’honneur à la sécurité des passagers.

Il faut signaler que la plateforme n’opère pas dans le transport à la demande dans son sens strict. Elle est dans le covoiturage donc le conducteur est peut être un fonctionnaire qui se rend au travail et prend tous les matins et tous les soirs le même trajet, ce qui arrange le passager. Il est également possible qu’un conducteur programme une virée à l’intérieur du pays et qu'un passager se rende au même endroit.

C’est pour cette raison que l’option Wabeyi peut être très avantageuse en matière de prix. « Soyez rémunéré en aidant des personnes à se déplacer. Transportez les personnes ayant le même itinéraire que vous », peut-on lire sur la plateforme. Selon les statistiques de Play Store, la version Android de l’application a déjà été téléchargée plus de 1 000 fois.

Adoni Conrad Quenum

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Posted On mardi, 28 février 2023 17:13 Written by

Après des études au Royaume-Uni, ce tech entrepreneur a décidé de rentrer dans son pays pour lancer une start-up. Quelques années plus tard, malgré les difficultés, il a mis en place une solution utile à la population de la capitale de la Libye.

Presto Eat est une solution numérique développée par une jeune pousse libyenne. Elle permet à ses utilisateurs de se faire livrer de la nourriture et des produits d’épicerie. La start-up, basée à Tripoli, a été fondée en 2020 par Ammar Hmid.

« Nous voulons être l'application de tout pour les Libyens. Malgré la croissance, les fonds de capital-risque et autres investisseurs ne souhaitent pas investir dans l'entreprise. Ceux qui ont répondu voulaient que je fasse pour eux une analyse des risques sur le marché libyen. Mais ce n'est pas mon travail, mon travail en tant que fondateur est de développer mon entreprise », a indiqué Ammar Hmid.

La solution dispose d’une application accessible sur iOS et sur Android. Après téléchargement, il faut créer un compte ce qui donne accès aux restaurants partenaires de la jeune pousse. L’utilisateur peut ainsi passer sa commande et être livré n’importe où dans la ville de Tripoli et ses alentours. Depuis le lancement de ses services, Presto Eat a déjà livré plus de 250 000 commandes.

La jeune pousse emploie plus de 500 employés libyens ; elle a un partenariat avec plus 380 structures qui ont recours à ses divers services et dispose de plus 13 magasins et points de départ dans la ville de Tripoli. Ce dernier point permet d’être rapide dans l’exécution des livraisons. Une fonction permet au client de suivre en temps réel le parcours de sa commande.

Selon les statistiques de Play Store, la version Android de l’application a déjà été téléchargée plus de 100 000 fois. Malgré ce succès, Presto Eat a du mal à attirer des investisseurs. Les raisons évoquées sont entre autres l’instabilité politique qui règne en Libye depuis 2011 et aussi l’absence d’un écosystème technologique dans le pays. Pourtant, la jeune pousse rêve d’étendre ses services à d’autres villes du pays en l’occurrence à Benghazi et à Misrata.

Cette extension est pour le moment un rêve de son fondateur qui déplore également le manque d’intérêt des riches libyens pour le secteur technologique. « Les Libyens n'ont pas une forte mentalité de start-up car il existe d'autres secteurs rentables dans lesquels travailler et investir, comme l'importation et les produits de grande consommation, ou même la fonction publique », a affirmé Ammar Hmid.

Adoni Conrad Quenum

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Posted On mardi, 28 février 2023 11:32 Written by

Après que l’un de ses fondateurs a convaincu deux camarades de classe et son meilleur ami de se lancer dans l’aventure, cette fintech est bien en place et aide les particuliers et les entreprises dans la résolution quotidienne des situations relatives aux finances.

Paydunya est une solution fintech développée par une jeune pousse sénégalaise. Elle permet aux particuliers et aux entreprises de se faire payer en ligne ou à distance facilement, rapidement et en toute sécurité grâce à une large gamme de moyens de paiement incluant les porte-monnaie électroniques et les cartes bancaires. La fintech, basée à Dakar, a été fondée en 2015 par Aziz Yérima, Christian Palouki et Youma Fall.

« Paydunya propose aux entreprises et institutions financières une suite de solutions digitales multicanales qui facilite l’émission et la réception de paiements sur site Internet ou application mobile ainsi que la collecte et le déboursement de paiements de masse », indique la plateforme.

Depuis son site web ou son application mobile, accessible sur iOS et sur Android, les utilisateurs peuvent avoir accès à divers services financiers. Il faut néanmoins s’inscrire après téléchargement de l’application pour utiliser les fonctionnalités de la solution. Il est possible d’envoyer et de recevoir des fonds via Mobile Money ou encore les cartes bancaires Visa et MasterCard.

La fintech revendique aujourd’hui plus de 50 000 transactions par jour, dispose de plus de 1 000 entreprises comme clients et est présente dans six pays de la sous-région. La version Android de l’application mobile a été téléchargée, d’après les statistiques de Play Store, plus de 100 000 fois. PayDunya perçoit entre 1,5 % et 2,5 % de commission en fonction du pays pour un flux mensuel de 200 (0,32 $) à 9 999 999 FCFA et entre 1,4 % et 2,4 % pour un flux mensuel entre 10 000 000 FCFA et 99 999 999 FCFA.

Adoni Conrad Quenum  

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Posted On lundi, 27 février 2023 15:06 Written by

La justice est réservée aux personnes nantis et aux grosses entreprises. Ce point de vue est ancré dans l’imaginaire collectif, et pour aider toutes les couches de la population et les petites et moyennes entreprises dans ce secteur, une tech entrepreneure togolaise a décidé de lancer une solution.

Miabéloya est une solution numérique développée par une jeune pousse togolaise. Elle permet aux particuliers et aux entreprises d’accéder à des services juridiques en cas de situation nécessitant l’accompagnement de professionnels du droit. La start-up, basée à Lomé, a été fondée en février 2021 par Nadia Anwone.

La solution ne dispose pas d’application mobile. Il faut passer par un navigateur pour se rendre sur l’adresse web de la jeune pousse. De là, il est possible de prendre contact avec les professionnels du droit de cette legaltech et soumettre vos problèmes. Vous avez le choix entre remplir un formulaire dans lequel vous exposerez votre situation après avoir renseigné vos informations personnelles ou cliquer sur l’icône de WhatsApp pour discuter éventuellement de façon instantanée avec un employé de la jeune pousse.

La start up vous apporte son soutien dans la lutte pour la protection des intérêts des petites et moyennes entreprises, met en place une bonne stratégie de sécurisation des biens immobiliers, etc. Elle est spécialisée en droit commercial, en droit des sociétés, en droit immobilier, en droit du travail et en droit fiscal. Pour des situations juridiques dans ces secteurs, la legaltech peut être un allié de poids pour trouver des solutions viables.

Miabéloya offre la première consultation aux clients et les juristes du cabinet, lorsqu'ils s’occupent d’un dossier, agissent rapidement pour que tout rentre dans l’ordre dans les plus brefs délais. Si vous souhaitez recourir à leur service, la jeune pousse propose des forfaits. Pour l’assistance juridique, il y a un forfait basique qui coûte 10 000 FCFA (environ 16 $) et un forfait premium à 50 000 FCFA. En cas de création d’entreprise, la legaltech facture 80 000 FCFA pour une Société à responsabilité limitée et 200 000 FCFA pour une Société par actions simplifiées ou une Société anonyme.

Adoni Conrad Quenum

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Posted On vendredi, 24 février 2023 18:10 Written by

Après s’être lancée dans le secteur du covoiturage, Gokada s’est tournée vers la logistique pendant la période de la Covid-19, précisément en mars 2020. Malgré la disparition de son fondateur en juillet 2020, la start-up connaît depuis lors le succès sur ce segment.

Gokada est une solution numérique développée par une jeune pousse nigériane. Elle permet aux utilisateurs d’accéder au service de livraison de colis et de nourriture. La start-up, basée dans l’Etat de Lagos et lancée à la base comme un service de covoiturage, a été fondée en 2017 par le bangladais-américain Fahim Saleh. Il est mort en 2020 et c’est Olutosin Oni qui occupe actuellement le poste de président-directeur général de la firme. Depuis son lancement, Gokada a levé environ 12,4 millions $ pour soutenir sa croissance.

La solution dispose d’une application mobile accessible sur iOS et sur Android. Il faut s’inscrire sur la plateforme après téléchargement de l’application mobile pour avoir accès aux divers services. Que vous soyez un particulier ou une entreprise, la jeune pousse peut être la solution pour vos problèmes de livraison. Que ce soit pour le ramassage de colis, la livraison à plusieurs endroits ou encore la commande de nourriture, Gokada dispose de la main-d'œuvre nécessaire pour remplir ces tâches.

Il faut signaler que la solution embarque la fonction de suivi en temps réel. Elle permet de connaître la position du livreur, par la même occasion celle de votre colis ou de votre nourriture, à tout instant. Aussi, le service « ramassage de colis » peut être planifié à l’heure près. En ce qui concerne les tarifs, Gokada ne facture que la livraison. Peu importe le poids du colis, s’il peut être livré en une fois, l’utilisateur paiera pour la seule course.

La start-up revendique plus de 1 200 livreurs et affirme avoir effectué plus d’un million de livraisons avec sa flotte en moins d’un an. La version Android de son application a déjà été téléchargée plus de 100 000 fois et elle prévoit de s’étendre à d’autres Etats du Nigeria, dans les mois à venir, après Ibadan dans l’Etat d’Oyo en septembre 2021.

Adoni Conrad Quenum  

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Posted On vendredi, 24 février 2023 08:15 Written by

Depuis la crise de la Covid-19, les plateformes d’éducation en ligne connaissent un succès florissant. Les start-up du secteur attirent de plus en plus de capitaux et de nouvelles entreprises se lancent.

Almentor est une plateforme d’apprentissage en ligne développée par une jeune pousse égyptienne. Elle permet aux internautes de s’instruire en ligne grâce à des vidéos dans divers secteurs. La start-up a été fondée en 2016 par Ihab Fikry (photo, au centre). L’edtech a déjà levé environ 14,5 millions $ pour soutenir sa croissance en Afrique du Nord et au Moyen Orient.

« Almentor propose une multitude de cours et de conférences capables de nourrir les jeunes Arabes, d'améliorer leurs expériences personnelles et de servir leur cheminement de carrière en leur fournissant ce qu'ils méritent pour faire avancer leur carrière sur tous les fronts », a indiqué Ihab Fikry.

La solution dispose d’une application mobile accessible uniquement sur Android. Pour avoir accès aux formations, il faut impérativement créer un compte sur l’application ou se rendre à son adresse web via un navigateur. L’utilisateur peut ainsi opter pour la classe d’un professeur plutôt que d’un autre. Il faut rappeler que les contenus sont en arabe et la plupart des visiteurs et des professeurs sont arabophones.

L’accès aux classes nécessite le paiement de frais mensuels. Ils sont fixés à 7,5 $ et les catégories sont : arts et conception ; photographie et cinéma ; les ressources humaines ; la gestion ; l'art de vivre ; le théâtre ; le sport ; les affaires ; la communication d'entreprise ; les médias numériques ; ventes et marketing ou encore la technologie. Almentor propose donc plusieurs choix à l’utilisateur s’il désire se faire former dans un domaine.

En plus des contenus vidéo, l’edtech dispose d’une docuthèque où les utilisateurs peuvent enrichir leurs connaissances. Par ailleurs, la solution connait du succès auprès de son public, l’application mobile a déjà été téléchargée plus de 50 000 fois d’après les statistiques de Play Store.

Adoni Conrad Quenum

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Posted On jeudi, 23 février 2023 08:35 Written by

Avec le développement des commerces électroniques, le secteur de la logistique surfe sur cette vague. Les tech entrepreneurs saisissent cette opportunité et rendent service dans le même temps aux populations qui ont besoin de ce type de service.

Droppa est une solution numérique développée par une jeune pousse sud-africaine du même nom. Elle permet aux utilisateurs, les particuliers et les entreprises, de faire livrer leurs colis et leurs marchandises partout en Afrique du Sud. La start-up a été fondée en 2015 par Khathutshelo Mufamadi.

La solution dispose d’une application mobile accessible sur iOS, sur Android et sur Huawei. Après téléchargement, l’utilisateur devra créer un compte pour avoir accès aux diverses fonctionnalités. On peut s’inscrire comme particulier, comme entreprise ou comme chauffeur. Pour les commerces électroniques, la jeune pousse propose l’intégration de son interface de programmation sur leur plateforme. Les clients pourront être livrés directement après leurs achats.

Droppa dispose également d’un portefeuille que l’on recharge pour payer les services au sein de l’application. Ce moyen de paiement est plus pratique pour s’acquitter des frais de livraison et d’expédition. De plus, grâce à son partenariat avec Skynet, une entreprise également spécialisée dans la logistique, Droppa a accédé au service de messagerie de l’entreprise. Il est donc possible depuis ce partenariat de demander à être livré via le service de messagerie.

Il faut signaler que la jeune pousse sud-africaine est en pleine croissance. La version Android de son application a déjà été livrée plus de 10 000 fois, selon les statistiques de Play Store.

Adoni Conrad Quenum

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Posted On mercredi, 22 février 2023 15:28 Written by

Les pays africains disposent d’un potentiel touristique important. Ces atouts ne sont pas exploités de façon optimale. Dans le but de booster ce secteur au Kenya, des tech entrepreneurs ont mis en place une solution.

Tripitaca est une solution numérique développée par une jeune pousse kényane du même nom. Elle permet aux utilisateurs, en l’occurrence les touristes, de trouver des logements non loin des endroits qu’ils visitent. La start-up a été fondée en 2021 par Peter Wachira et Collins Muthinja.

La solution ne dispose pas d’une application mobile. Il faut se rendre sur l’adresse web de la jeune pousse pour y accéder. Que vous soyez un propriétaire de logements ou un touriste à la recherche de chambres pour un court séjour, il faut absolument s’inscrire sur la plateforme et créer un compte. Après cette étape, le touriste peut utiliser la barre de recherche pour renseigner les informations telles que la ville où il recherche le logement, le nombre de personnes ou encore la durée de son séjour.

Tripitaca permet aux propriétaires de logements et aux hôtels de concocter des forfaits pour leurs clients. Ils peuvent ainsi offrir des services sur mesure en fonction des besoins spécifiques du client et le facturer en conséquence. Pour le client, il permet de payer en plusieurs tranches. La jeune pousse aide également en cas d’urgence. Si une visite est plus longue que prévu et se termine tard, il est possible de bénéficier même de rabais si vous voulez réserver.

Par ailleurs, Tripitaca propose aux propriétaires de logement des aides financières en cas de besoin. Vous aurez accès à un crédit pour aider votre entreprise à se remettre sur les rails. En février 2023, Tripitaca a été sélectionnée avec quatre autres jeunes pour participer au programme d’accélération de Baobab Network. En plus d’un programme de soutien, les start-up recevront chacune un montant de 50 000 $ et rencontreront des investisseurs potentiels lors de la journée de démonstration.

Adoni Conrad Quenum

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Posted On mardi, 21 février 2023 17:06 Written by
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