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Dans le but de faciliter la distribution des produits pharmaceutiques, trois tech entrepreneurs, disposant de plus de 25 ans d’expérience dans le secteur, ont décidé de mettre en place une solution.

i’SUPPLY est une solution d’e-santé développée par une jeune pousse égyptienne. Elle permet aux pharmacies de se ravitailler en produits pharmaceutiques depuis ses plateformes web et mobile. La start-up, basée au Caire, a été fondée en 2021 par Ibrahim Emam, Moustafa Zaki et Ramzy Mohamed.

Le 6 juin dernier, elle a levé un montant de 2,5 millions $ pour soutenir ses plans d'expansion, améliorer ses capacités de financement des petites et moyennes pharmacies et faire progresser ses offres fintech.

« Nous visons encore plus haut en nous efforçant d'obtenir une licence de l'Autorité égyptienne de régulation financière afin de répondre aux besoins de financement en constante évolution des petites et moyennes pharmacies. Notre engagement inébranlable à répondre à la demande croissante du marché en matière de financement, en comblant le manque de fonds de roulement des pharmacies et des petits distributeurs, reste au cœur de notre mission », a indiqué Ibrahim Emam.

La solution dispose d’une application mobile accessible sur iOS, sur AppGallery et sur Android où elle a déjà été téléchargée plus de 10 000 fois, d’après les données de Play Store. L’utilisateur, après téléchargement, crée un compte pour accéder aux services de la start-up. Sur la place de marché numérique, il pourra s’approvisionner en produits pharmaceutiques de son choix chez de nombreux distributeurs.

i’SUPPLY se veut l’alternative qui résout tous les problèmes de chaîne d’approvisionnement sur ce segment. Elle met ainsi à la disposition des utilisateurs des outils qui permettent de disposer des informations et des analyses en temps réel de la situation du marché. Entre autres, il est possible d’avoir une vue complète de la distribution des divers produits, de connaitre les niveaux de stocks, les performances commerciales, l’efficacité de la chaîne d’approvisionnement ou encore les tendances du marché.

La healthtech égyptienne revendique plus de 10 000 pharmacies sur sa place de marché, plus de 200 petites et moyennes entreprises de distribution offrant un portefeuille de plus de 10 000 produits pharmaceutiques.

Adoni Conrad Quenum

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Posted On mercredi, 19 juin 2024 10:27 Written by

Le nom de cette start-up signifie « étonnement » en langue bambara, une langue véhiculaire du Mali. Elle s’applique à innover et à surprendre dans sa façon d’appréhender l’éducation avec, entre autres, son application mobile.

Kabakoo est une solution edtech développée par la jeune pousse malienne Kabakoo Academies. Elle permet aux utilisateurs d’accéder à des formations en ligne dans divers domaines. La start-up, basée à Bamako, a été fondée en 2019 par Yanick Kemayou et Michèle Traoré. L'objectif est de former des jeunes capables de concevoir et de mettre en œuvre des solutions adaptées aux défis spécifiques de leurs communautés.

Pour atteindre ce but, en plus de ses campus physiques dans plusieurs villes du continent, la jeune pousse a mis en place une application mobile accessible uniquement sur Android. Depuis son lancement, elle a déjà été téléchargée plus de 100 000 fois, d’après les données de Play Store. L’utilisateur, après téléchargement, pourra se créer un compte et accéder aux diverses formations proposées sur la plateforme mobile de la start-up.

« Nous mettons en relation des jeunes, des communautés locales et des personnes ouvertes d'esprit du monde entier pour résoudre ensemble des problèmes concrets en utilisant des technologies de pointe et des savoirs autochtones. L'expérience d'apprentissage Kabakoo permet aux jeunes Africains d'acquérir les compétences nécessaires pour générer de la valeur en créant des entreprises, en trouvant des emplois et en surmontant les inégalités entre les hommes et les femmes », indique la jeune pousse.

L’edtech malienne mise sur un programme d'études centré sur l'apprenant, en l’occurrence sur l’apprentissage créatif basé sur des projets et l'intégration des connaissances locales, conçu pour que les apprenants acquièrent et développent des compétences en matière de fabrication numérique et de technologies pour la fabrication distribuée. Son approche innovante a été plébiscitée par de nombreuses institutions dont l'Union africaine, l'Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO) ou encore le Forum économique mondial comme une innovation majeure dans le paysage mondial de l'éducation.

Adoni Conrad Quenum

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Posted On vendredi, 14 juin 2024 15:35 Written by

Dans le but d’aider les agriculteurs, en l’occurrence les petits exploitants agricoles, deux tech entrepreneurs ont mis en place une solution sur mesure.

FarmHouse est une solution agritech développée par la start-up zambienne eMsika. Elle permet aux utilisateurs d’acheter des produits agricoles et de demander des conseils agricoles à un chatbot basé sur l’IA. La start-up, basée à Lusaka, a été fondée en 2016 par Gilbert Mwale et Elton Chirwa. Elle a annoncé le jeudi 13 juin, par le biais de Gilbert Mwale, son projet de s’étendre en Tanzanie, au Nigeria, en Egypte et au Zimbabwe.

La solution dispose d’une application mobile accessible sur iOS et sur Android où elle a déjà été téléchargée plus d’un millier de fois, d’après les statistiques de Play Store. L’utilisateur, après téléchargement, se crée un compte et accède aux divers services proposés par la jeune pousse. Il faut souligner que FarmHouse se concentre sur la fourniture de conseils techniques à la ferme et à la vente d'intrants agricoles de qualité pour les besoins des petits éleveurs de volaille et de bétail dans les zones urbaines.

« FarmHouse permet aux agriculteurs d'accéder à des formations, à des intrants et à des contacts avec d'autres agriculteurs, tandis qu'eMsika a récemment lancé un programme d'adhésion des agriculteurs appelé FarmHouse Plus. Elle a également créé un magasin physique et s'est associée à des fournisseurs multinationaux », a indiqué Gilbert Mwale à Disrupt Africa.

La start-up propose des abonnements, dont le plus accessible s’élève à 149 kwachas zambiens (environ 5,64 $), pour accéder à un certain nombre de services. C’est d’ailleurs l’un des moyens, en plus de la marge réalisée sur les ventes des divers produits agricoles, par lequel FarmHouse génère des revenus. Elle revendique avoir formé environ 8 000 agriculteurs avec ses programmes de formation.

Adoni Conrad Quenum

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Posted On jeudi, 13 juin 2024 13:26 Written by

Avec le passage à la version 2 de son application mobile en juin 2024, la fintech Zepargn passe un cap dans son processus de croissance. Elle veut lancer de nouvelles fonctionnalités et proposer d’autres produits à ses utilisateurs.

Zepargn est une solution fintech développée par une jeune pousse béninoise. Elle permet aux utilisateurs d’épargner de l’argent en se fixant des objectifs. La start-up, basée à Cotonou, a été fondée en 2023 par Alao Lawal. Elle a pour mission de démocratiser l'accès aux services financiers, en permettant à chaque individu de gérer et d'optimiser ses épargnes de manière simple et sécurisée, quel que soit son statut bancaire.

« Zepargn est un compagnon financier conçu pour vous aider à atteindre vos rêves. Il vous permet de définir des objectifs d'épargne personnalisés, que ce soit pour un achat important, des vacances de rêve ou un fonds d'urgence. Zepargn automatise le processus d'épargne, envoie des rappels et suit vos progrès, facilitant ainsi la concrétisation de vos aspirations financières », explique la jeune pousse.

L’application mobile est accessible sur iOS et sur Android où elle a déjà été téléchargée plus d’une centaine de fois. Pour accéder aux divers services de l’entreprise, l’utilisateur devra donc télécharger l’application et se créer un compte en quelques clics. Il faudra ensuite configurer un objectif d’épargne et définir les paramètres. Après cette étape, l’utilisateur peut commencer à effectuer des dépôts réguliers ou ponctuels depuis sa carte bancaire ou son compte mobile money.

Depuis le tableau de bord, il est possible de suivre l’évolution de son épargne avec les différents outils de suivi mis à disposition par la jeune pousse. Ceci permet à l’utilisateur de savoir où il en est à chaque fois dans son processus d’épargne. Alao Lawal a déclaré à We Are Tech Africa que Zepargn a enregistré plus de 1 500 utilisateurs actifs et plus de 15 millions FCFA (24 370 USD) épargnés sur la plateforme depuis son lancement.

« Cependant, pour continuer à accroître cette adoption, nous prévoyons des campagnes de sensibilisation ciblées pour éduquer les non bancarisés sur les avantages de notre solution, l'amélioration continue de l'expérience utilisateur basée sur les retours, le lancement de nouvelles fonctionnalités et produits attractifs comme l'épargne rémunérée et en groupe et le crédit », a-t-il ajouté.

La fintech béninoise est présente dans une dizaine de pays, mais elle envisage une meilleure présence dans la sous-région ouest-africaine. Elle compte, entre autres, introduire une fonctionnalité d'éducation financière avec des contenus ciblés sous forme de gamification, étendre son offre de services à d'autres segments de la population, notamment les petites entreprises ou encore établir des partenariats stratégiques avec des institutions financières et d’assurance pour offrir des produits diversifiés et adaptés aux besoins des populations.

Adoni Conrad Quenum

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Posted On jeudi, 13 juin 2024 04:05 Written by

D’un nom signifiant « nouveau déballage » en langue soussou (l’une des langues les plus parlées en Guinée), la start-up Arabinènè veut révolutionner le commerce en ligne.

Arabinènè est une plateforme de commerce en ligne développée par une jeune pousse guinéenne. Organisée sous la forme d’une place de marché, elle permet aux utilisateurs de se procurer divers articles en ligne depuis leur ordinateur ou leur smartphone. La start-up, basée à Conakry, a été fondée en 2019 par Thierno Mamoudou Sow. Elle a pour objectif d'amener les Guinéens à vendre et acheter leurs produits via Internet et faire la promotion des produits locaux à l’international.

« Arabinènè compte révolutionner le secteur commercial guinéen et générer une centaine d’emplois directs, des milliers indirectement sur l’étendue du territoire national, dans différents types d’activités, de la marketplace en passant par le dropshipping jusqu’à la livraison des produits », indique la start-up.

La solution dispose d’une application mobile accessible uniquement sur Android. Téléchargée plus d’un millier de fois, elle permet à l’utilisateur, après la création de son compte, d’accéder aux boutiques en ligne de la place de marché. En fonction des articles recherchés, que ce soit des produits électroniques, de beauté ou encore des équipements de maison et de bureau, l’utilisateur se rend dans l’onglet dédié pour effectuer ses courses.

Arabinènè met néanmoins en avant plusieurs boutiques en ligne sur sa homepage en fonction de divers critères. Entre autres, il existe la rubrique « Top des ventes du jour » qui agrège les articles des boutiques qui ont été le plus vendus dans la journée ; « Les dernières tendances », « La convoitise des clients » ou encore « Les recommandations de la plateforme ». La plateforme dispose d’un service de livraison qui permet de livrer dans la ville de Conakry et en région dans un délai de 2 à 72 heures, selon les distances. Par ailleurs, Arabinènè n’est pas encore disponible sur toute l'étendue du territoire guinéen. C’est la prochaine étape pour soutenir sa croissance.

Adoni Conrad Quenum

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Posted On mardi, 11 juin 2024 12:28 Written by

En 2021, le Béninois Raynald Ballo a lancé RMobility, un service de covoiturage créé sur le modèle de l’entreprise française Blablacar. L’entreprise vient de lancer son service de voiture de transport avec chauffeur (VTC).

Au Bénin, l’application de covoiturage RMobility a lancé une offre de VTC le 7 juin dernier. L’information a été annoncée lors d’une conférence de presse organisée par l’entreprise.

« Nous croyons que la mobilité doit être accessible, sécurisée et pratique pour tous. En lançant un service de VTC, nous voulons offrir une solution plus flexible et plus efficace […] car, nous avons observé une demande croissante pour des options de transport modernes et fiables », a déclaré Raynald Ballo, fondateur de RMobility.

L’entreprise a expliqué avoir mis en service une flotte d’une cinquantaine de véhicules qui tenteront de convaincre les Béninois sur un marché du VTC de plus en plus concurrentiel. Pour s’assurer de convaincre les utilisateurs, l’entreprise a ajouté à ses offres de covoiturage et de VTC la possibilité de réserver, depuis son application, des tickets de bus et des billets d’entrée pour des événements.

Pour promouvoir tous ces services, RMobility compte sur son application et ses outils numériques. D’après le fondateur de l’entreprise, ils ont déjà permis à RMobility d’attirer 20 000 utilisateurs.

Servan Ahougnon

Posted On lundi, 10 juin 2024 17:05 Written by

En Afrique, de plus en plus de femmes jonglent entre leur carrière professionnelle et leur vie de mère. Le jumelage est souvent compliqué pour nombre d’entre elles, c’est ce qui a motivé ces tech entrepreneurs à mettre en place une solution.

Preggify est une solution d’e-santé développée par une jeune pousse nigériane. Elle permet aux utilisatrices, en l’occurrence les femmes enceintes, d’accéder à des soins tout au long de leur grossesse. La jeune pousse, basée à Lagos, a été fondée en 2022 par Ifunanya Lilian Igweze et Daniel Temitayo. Elle a pour vision de créer un monde où la grossesse et la garde des enfants ne sont pas des obstacles à la carrière professionnelle des femmes.

« Preggify est une plateforme de santé qui fournit aux femmes africaines à revenus moyens et élevés en âge de procréer des soins maternels faciles, abordables et accessibles. Notre technologie de pointe permet aux femmes d'accéder à un soutien médical personnalisé et à des ressources, de la pré-grossesse à la post-grossesse, avec confiance et facilité », indique la start-up.

La solution ne dispose pas d’une application mobile. Il faut passer par un navigateur pour accéder au site Internet. De là, l’utilisatrice pourra se créer un compte en fournissant des informations telles que les nom et prénom, l’adresse e-mail, le numéro de téléphone, la date de naissance et le sexe. Après cette étape, elle recevra un mot de passe à usage unique (OTP) dans sa boite e-mail pour lui permettre de se connecter à la plateforme.

Il existe une version premium et une version gratuite où l’utilisatrice pourra se sentir soutenue par une communauté de femmes enceintes ou ayant déjà connu cette période une ou plusieurs fois. La start-up offre ainsi un espace numérique où les femmes qui font carrière peuvent accéder à des ressources et à un soutien sur mesure pour concilier maternité et vie professionnelle.

Entre autres, les utilisatrices ont accès à un journal alimentaire, à des cours hebdomadaires en direct, à des séances de remise en forme pendant la grossesse, à un soutien avant et après une césarienne, à une éducation sur les soins en épisiotomie, à l’aide à l’allaitement ou encore au soutien mental. Preggify travaille à l’intégration de professionnels de la santé et aux rendez-vous virtuels avec les médecins sur sa plateforme.

Adoni Conrad Quenum

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Posted On lundi, 10 juin 2024 12:42 Written by

La pandémie de Covid-19 a accéléré la mise en place de cette jeune pousse, qui étudiait le marché togolais pour apporter des solutions digitales au secteur de l’événementiel. Depuis lors, elle fait son bonhomme de chemin et a été associée à plus de 150 événements depuis son lancement.

Klumer est une solution numérique développée par l’entreprise Eods Communication. Elle permet aux utilisateurs de se procurer les tickets d’événements en ligne depuis leur ordinateur ou leur smartphone. La start-up, basée à Lomé, a été fondée en 2018 par Fiacre Dagbegnon.

« Klumer est une plateforme événementielle dotée d’un écosystème complet, conçu pour offrir une assistance optimale aux organisateurs d’événements dans la réalisation de leurs objectifs en termes de ciblage de leur public », indique la jeune pousse.

L’application est disponible sur iOS et sur Android où elle a déjà été téléchargée plus d’un millier de fois, d'après les statistiques de Play Store. L’utilisateur, après téléchargement, crée son compte et accède aux services de la jeune pousse. Outre le service e-Ticket qui fonctionne comme une billetterie en ligne et permet de se procurer les tickets de divers événements depuis la plateforme de Klumer, la start-up embarque les services e-Voting, e-Collect et e-Score.

Comme leur nom l’indique, e-Voting permet d’organiser des votes en ligne en un seul clic ; e-Collect aide à effectuer des appels de fonds et des dons sociaux de manière transparente et e-Scoring facilite l’accompagnement des divers événements compétitifs avec un tableau de score digitalisé.

« Klumer a été développé sur le format de Facebook et Instagram. Aujourd'hui, on n’a rien à envier à ce que les développeurs de la Silicon Valley ont réalisé en matière de développement de réseaux sociaux. La seule différence, c’est au niveau de leur logistique que nous n’avons pas encore », a déclaré en février 2023 Fiacre Dagbegnon à Togo First

La start-up togolaise revendique plus de 810 000 utilisateurs, ainsi qu'avoir couvert plus de 150 événements depuis son lancement. Elle a été sélectionnée, avec neuf autres start-up togolaises, pour participer à la deuxième édition du salon technologique Gitex Africa à Marrakech, au Maroc, du 29 au 31 mai derniers.

Adoni Conrad Quenum

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Posted On vendredi, 07 juin 2024 13:01 Written by

Conforme aux normes du système comptable ouest-africain, cette solution de comptabilité en ligne est accessible dans 17 pays d’Afrique. Elle facilite la gestion des comptes aux petites et moyennes entreprises, aux entrepreneurs indépendants ou encore aux cabinets comptables.

Iwo est une solution de technologie financière développée par une jeune pousse béninoise. Elle permet aux entreprises de gérer leur comptabilité en ligne depuis un ordinateur ou un smartphone. La start-up, basée à Cotonou, a été fondée en 2020 par Razak Hachimou.

« Il [Iwo] vous permet de produire vos états financiers aux normes en un clic, gérer votre comptabilité en toute simplicité et de bénéficier d'un suivi expert par nos équipes. Iwo vous évite les pertes de données en cas de pertes de PC, tablettes ou téléphones. Vous pouvez accéder à vos données en tout lieu, à tout moment et depuis n'importe où grâce à Internet », indique la start-up.

La solution ne dispose pas d’une application mobile. L’utilisateur devra se rendre sur la plateforme Internet de la start-up pour accéder à la solution. Iwo donne la possibilité d’essayer la solution gratuitement et pour cela, il faut cliquer sur le bouton « Essayer gratuitement ». La suite du processus implique la création d’un compte avec les informations personnelles telles que le nom, le prénom, l’adresse e-mail ou encore le numéro de téléphone et les informations professionnelles telles que la raison sociale de l’entreprise ou encore son adresse physique.

Après cette étape, il pourra accéder aux nombreuses fonctionnalités de la solution gratuitement pendant 14 jours pour se faire son propre avis. « La fonctionnalité phare de Iwo est la caisse qui facilite la tenue de la comptabilité par les entrepreneurs ou responsables d'entreprises n'ayant pas de compétences comptables, ou les moyens de recruter un comptable ou un cabinet comptable. La caisse facilite la tenue de comptabilité sans les manœuvres débit-crédit », explique la jeune pousse.

Outre la caisse, on retrouve des fonctionnalités comme le plan comptable, le grand livre, les états financiers, les projets ou encore les opérations. Après la période d’essai, il faut souscrire à un abonnement pour utiliser Iwo. L’utilisateur déboursera 3 000 FCFA (environ 5 $) par mois pour accéder au forfait Envol, 3 500 FCFA pour le Mature et 5 000 FCFA pour le forfait Expertise.

Adoni Conrad Quenum

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Posted On jeudi, 06 juin 2024 12:07 Written by

Le développement du e-commerce sur le continent entraîne une hausse de la demande en logistique. Ce secteur englobe la livraison du dernier kilomètre, et pour combler ce vide, un tech entrepreneur a mis en place une solution adaptée au marché de son pays.

Forcelog est une solution numérique développée par une jeune pousse marocaine. Elle permet aux utilisateurs, notamment les e-commerçants et les professionnels du commerce, de livrer des commandes ou des colis à leurs clients. La start-up, basée à Casablanca, a été fondée en 2021 par Anas Bouziane.

La solution ne dispose pas d’une application mobile. Pour accéder aux services de la start-up, il faut se rendre sur son site Internet. L’utilisateur clique sur le bouton « Devenir client » et arrive sur une page où il doit remplir un formulaire avec son nom, le nom de son entreprise, une adresse e-mail, la ville où se situe le siège social de son entreprise, etc. Après cette étape, il accède à un espace de travail pour suivre ses activités avec Forcelog.

« Nos prestations comprennent un service de ramassage gratuit depuis votre boutique ou magasin de stockage sans quantité minimum, un stockage dans nos locaux jusqu’à déclenchement des commandes auprès de vos clients, la préparation et l’emballage des produits si nécessaire, et enfin l’expédition des colis et la livraison à l’adresse du client », explique la start-up.

Forcelog revendique livrer vers 240 destinations au Maroc. La start-up propose des délais de livraison de 24 heures pour les grandes villes comme Casablanca, Rabat et Marrakech, et de deux jours pour les petites villes. L’utilisateur peut suivre en temps réel depuis son espace de travail l’évolution des livraisons grâce au système de tracking. Les tarifs, quant à eux, commencent à partir de 18 dirhams marocains (environ 1,81 $) par commande livrée.

Adoni Conrad Quenum

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Posted On mercredi, 05 juin 2024 13:07 Written by
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