Le gouvernement du Burkina Faso a procédé, le vendredi 7 juin à Ouagadougou, au lancement officiel de la plateforme e-certificat de nationalité burkinabè. Accessible à travers le lien : https://ecertificat-nationalite.gov.bf/, cette plateforme innovante permet aux citoyens de déposer et de suivre leur demande de certificat de nationalité en ligne.

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En Afrique, l'inclusion financière est devenue un enjeu majeur pour de nombreux gouvernements et régulateurs financiers. Des initiatives sont mises en œuvre pour renforcer l'accès aux services financiers et les rendre accessibles à un plus grand nombre de personnes.

Le projet d'interopérabilité des moyens de paiement mobiles est désormais opérationnel en Algérie. Le commutateur mis en œuvre à cet effet, nommé « Switch mobile », a été lancé le lundi 3 juin à Alger. Grâce à cette innovation, les clients des banques actives en Algérie, ainsi que ceux d'Algérie Poste, pourront désormais effectuer des transactions interbancaires de paiement et des virements de compte à compte de manière instantanée en utilisant un code QR.

S’exprimant sur le bien-fondé de ces innovations, le ministre des Finances, Laaziz Fayed, a affirmé qu'elles « sont l'aboutissement d'un plan de travail et d'une stratégie minutieuse lancés par les autorités publiques, dans le cadre de l'application des dispositions de la loi monétaire et bancaire dans son volet inhérent au développement ».

Le lancement de ce service marque selon Laaziz Fayed une deuxième étape dans le processus de modernisation et de développement des modes de paiement, en garantissant un switch pour paiements et virements qui relie toutes les applications des banques et celles d'Algérie Poste au mobile. Il s’inscrit dans le cadre de la Stratégie nationale de paiement électronique qui vise à renforcer l'inclusion financière en Algérie.

Selon le gouvernement, l’objectif est de consentir davantage d'efforts pour généraliser les services de paiement mobile et intensifier les actions de promotion de ces services. Le lancement de ce service devrait améliorer le e-paiement en Algérie, renforçant ainsi l'efficacité et la sécurité des transactions financières.

D'après les chiffres officiels, le nombre de transactions mobiles entre janvier et mars derniers a atteint plus de 13 millions, pour une valeur de plus de 9 milliards de dinars algériens (66,9 millions USD). Le nombre de cartes interbancaires et de cartes d'Algérie Poste a été estimé à plus de 17 millions au 31 mars, tandis que le nombre de guichets automatiques bancaires (GAB) est passé à plus de 3 868, enregistrant plus de 45,9 millions d'opérations pour un montant global de plus de 859 milliards de dinars algériens durant le premier trimestre.

Samira Njoya

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Le gouvernement tunisien voit la 5G comme un moyen d’accélérer la transformation numérique de plusieurs secteurs de l’économie comme l’agriculture, l’éducation, le transport... L’exécutif a fixé la date de lancement de l’ultra haut débit dans le pays à novembre 2024.

La Tunisie bénéficiera de l’expertise de la Corée du Sud pour le déploiement de la 5G. Cela fait partie des clauses d’un protocole d’accord de partenariat signé entre Nizar Ben Neji (photo, à droite), ministre tunisien des Technologies de la communication, et son homologue sud-coréen Lee Jong Ho (photo, à gauche). L’accord a été signé en marge du Forum mondial des leaders des TIC qui s’est tenu à Séoul en parallèle avec le premier Sommet Corée - Afrique, du mardi 4 au mercredi 5 juin.

La signature de ce protocole d’accord intervient quelques semaines après que la Tunisie a dévoilé sa feuille de route pour le déploiement de la 5G. Selon la feuille de route, l’octroi des licences et le lancement commercial de l’ultra haut débit sont prévus respectivement pour septembre et novembre 2024. Certains opérateurs télécoms tunisiens ont même déjà testé la technologie mobile de dernière génération.

L’avènement de la 5G s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre de la « Stratégie nationale de transformation numérique 2025 » de la Tunisie. Ladite stratégie vise principalement à accélérer la numérisation de l’administration, à sécuriser le cyberespace national, à garantir la souveraineté numérique et à instaurer un climat de confiance numérique indispensable à la réalisation des projets de digitalisation.

L’ultra haut débit devrait notamment faciliter l’utilisation des domiciles intelligents ; les villes intelligentes ; l’e-learning, l’e-gouvernement, la vidéo 3D ; la télémédecine ; la réalité virtuelle et la réalité augmentée ; le streaming ; l’intelligence artificielle ; l’Internet des objets (IdO)…

Isaac K. Kassouwi

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En 2022, seulement 34 % de la population en Afrique de l'Ouest et centrale avait accès à une connexion haut débit, selon la Banque mondiale. Pour améliorer cette situation, des initiatives régionales sont en cours pour accroître le taux de connectivité dans ces régions.

La mise en œuvre du câble sous-marin de télécommunications Amilcar Cabral, destiné à relier le Cap-Vert, la Gambie, la Guinée, la Guinée-Bissau, le Liberia et la Sierra Leone, prend progressivement forme. Une délégation de la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO), conduite par M. Sediko Douka, commissaire aux infrastructures, à l'énergie et à la digitalisation, a rencontré M. Nouha Traoré, secrétaire général du ministère des Postes, des Télécommunications et de l’Economie numérique de la Guinée, le lundi 3 juin, pour discuter du développement de ce projet stratégique.

« Les discussions ont porté sur plusieurs points clés du projet, notamment son caractère régional et son importance pour l’intégration de la CEDEAO, les étapes techniques clés à mettre en œuvre, l’obtention des permis nécessaires au déploiement du câble, ainsi que les aspects financiers du projet », a indiqué le ministère guinéen chargé du numérique dans un communiqué.

L’initiative intervient plus d’un an après la signature d’un protocole d’accord avec la Commission de la CEDEAO pour le développement du projet. Dans le cadre de ce partenariat, les six Etats concernés se sont engagés à participer au processus d’évaluation de la faisabilité technique, économique, financière, sociale et environnementale du projet, ainsi qu’à mobiliser les ressources nécessaires à sa mise en œuvre. La Commission de la CEDEAO se chargera de coordonner la réalisation du projet en interagissant avec les pays bénéficiaires, les bailleurs de fonds et autres parties prenantes.

La Guinée et la Gambie, à travers le Programme régional d’intégration numérique en Afrique de l’Ouest (WARDIP), ont mobilisé un financement de la Banque mondiale pour la mise en œuvre du projet. Le projet, d’un coût estimé à plus de 90 millions de dollars, est crucial pour la région.

Une fois réalisé, le câble sous-marin Amilcar Cabral devrait renforcer la capacité des télécommunications internationales, améliorer l’accès aux services numériques et fournir la redondance essentielle pour garantir la résilience de l’Internet à haut débit dans les pays concernés. Il est également prévu que ce câble améliore l’infrastructure numérique nécessaire pour attirer les investissements étrangers, créer des emplois et soutenir le développement de l’économie numérique dans la région.

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L'Afrique connaît une croissance fulgurante de l'utilisation des mobiles. Cette croissance s'accompagne d'un certain nombre de défis en matière de sécurité mobile, qui menacent les utilisateurs et les entreprises.

Le ministre gabonais de l'Economie numérique et des Nouvelles technologies de l'information, le général de brigade Bonjean Rodrigue Mbanza, a reçu le lundi 3 juin une délégation du groupe turc iF Elektronik Ltd., en présence du personnel de l'Agence de régulation des communications électroniques et des postes (ARCEP). Cette visite marque l'aboutissement de négociations intenses entre le ministère et iF Elektronik Ltd. ; elle ouvre la voie à un partenariat clé pour la technologie M.E.I.R (Mobile Equipment Identity Register) au Gabon.

Le projet inclut le renforcement de la sécurité des équipements mobiles comme les téléphones et la création d’un centre de compétence. Il vise également à augmenter les revenus du gouvernement par des taxes complémentaires, à lutter contre le vol et le clonage des téléphones en réduisant le marché illégal, à créer dès le démarrage du projet 30 emplois pour des ingénieurs gabonais avec un transfert de compétences, et à éliminer la contrebande et la contrefaçon des équipements mobiles.

Le projet M.E.I.R sera financé entièrement par iF Elektronik Ltd., sans aucun coût pour le gouvernement gabonais. Il est prévu de générer 38 millions de dollars par an, dont 26 millions en revenus de taxes et 12 millions en frais de service. Il s'inscrit dans la volonté du gouvernement gabonais de promouvoir le développement de l'économie numérique et de renforcer la sécurité des communications électroniques.

La mise en place du projet est prévue dans les trois mois suivant la signature du protocole d'accord. Ce partenariat stratégique permettra au Gabon de renforcer la sécurité des communications électroniques, de protéger les utilisateurs contre la fraude et le vol, d'améliorer la qualité des services de télécommunications et d'offrir une meilleure expérience aux utilisateurs, tout en stimulant l'innovation et la croissance économique dans le secteur des technologies de l'information et de la communication.

Samira Njoya

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L'inclusion numérique est essentielle pour atteindre les objectifs de développement durable et garantir un avenir prospère. Le Lesotho, en collaboration avec des partenaires internationaux, déploie à cet effet des initiatives pour combler la fracture numérique.

Dans le cadre d'une initiative visant à accélérer la transformation numérique au Lesotho et à améliorer l'accès aux services publics par des moyens numériques, le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) et le ministère de l'Information, de la Communication, de la Science, de la Technologie et de l'Innovation (MICSTI) ont récemment lancé un modèle innovant de points de vente des services électroniques du gouvernement.

Cette initiative vise à autonomiser les micro, petites et moyennes entreprises (MPME) en leur permettant d'offrir des services numériques essentiels au sein de leurs communautés, contribuant ainsi à réduire la fracture numérique et à promouvoir l'inclusion numérique au Lesotho.

Ce modèle de points de vente, mis en œuvre à titre expérimental par le Laboratoire Accelerator du PNUD, s'inscrit dans la stratégie globale du PNUD visant à élargir la portée de l'inclusion numérique au Lesotho. Sa mise en œuvre permettra aux communautés rurales et reculées d'accéder à des services gouvernementaux essentiels, tels que les transactions administratives, les paiements numériques et les services d'information, sans avoir à se rendre dans les bureaux souvent éloignés des prestataires de services traditionnels.

L’initiative constitue une avancée majeure vers la réalisation de l'engagement du gouvernement de garantir un accès équitable aux services publics pour tous les citoyens, y compris ceux résidant dans les zones les plus défavorisées du pays. Selon Nthati Moorosi (photo, à droite), la ministre chargée des TIC, au moins 40 écoles et 10 services postaux deviendront des centres de services électroniques.

L'implantation de ces points de vente devrait générer des retombées positives à plusieurs niveaux. Elle stimulera l'économie locale en soutenant les petites entreprises et en créant de nouvelles opportunités d'emploi. Elle accroîtra également l'accès de la population aux services numériques essentiels, favorisant ainsi l'inclusion financière et l'autonomisation des communautés. Enfin, elle contribuera à réduire les coûts et les délais associés à l'accès aux services gouvernementaux, améliorant ainsi la qualité de vie des citoyens.

Samira Njoya

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Le gouvernement malgache s’est engagé à faire profiter le pays des bénéfices de la révolution technologique. En parallèle du développement des infrastructures, il met également l'accent sur la formation d'une main-d'œuvre hautement qualifiée.

Madagascar ambitionne de créer un institut international d'intelligence artificielle appliquée pour l’océan Indien. Une convention de partenariat, visant à lancer l'étude de faisabilité de ce projet, a été signée le vendredi 31 mai à Marrakech entre Tahina Razafindramalo (photo, à droite), ministre malgache du Développement numérique, des Postes et des Télécommunications, et Serge Miranda (photo, à gauche), professeur à l'Université Côte d'Azur et à l’École supérieure des technologies industrielles avancées (ESTIA) en France.

Selon le département ministériel, « la création de cet institut stimulera l'innovation et la croissance économique à Madagascar, tout en offrant des opportunités accrues en matière d'éducation et d'emplois de qualité. Cette initiative démontre également que le partenariat public-privé peut être bénéfique pour les pays émergents ».

Ce projet rassemble les sociétés DATUM Consulting - Groupe ArkeUp, l’école ESTIA et le ministère chargé du Développement numérique. L’institut s'aligne avec la vision stratégique du pays en matière d'économie numérique, visant à propulser Madagascar comme un acteur clé dans le domaine de l'IA au sein de la sous-région. Il fait partie intégrante du Plan stratégique du numérique (PSN) 2023-2028, lequel souligne que le pays souffre d'un déficit de 40 000 techniciens, indispensables à la réalisation d'une véritable transformation numérique sur le territoire.

L’étude de faisabilité du projet devrait permettre d’identifier les besoins spécifiques, les ressources nécessaires ainsi que les étapes clés pour la mise en œuvre de l'institut. Elle évaluera également les impacts économiques, éducatifs et sociaux de l'initiative, tout en tenant compte des défis et des opportunités liés à l'intégration de l'IA dans les différents secteurs économiques et sociaux de Madagascar. Ce projet ambitieux vise non seulement à combler le déficit de compétences techniques, mais aussi à positionner Madagascar comme un centre d'excellence en intelligence artificielle dans la région de l'océan Indien.

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Lors de la première édition du Gitex Africa, les deux entités se sont alliées pour collaborer dans le secteur du numérique au Sénégal. Elles signent un autre accord un an plus tard à cette même fin.

Sénégal Numérique SA (SENUM SA), la société publique chargée de la gestion des infrastructures numériques au Sénégal, et Elm, une société saoudienne spécialisée dans les solutions numériques, ont signé le jeudi 30 mai un protocole d’accord lors de la deuxième édition du Gitex Africa à Marrakech au Maroc (29 au 31 mai).

« Le protocole d’accord, signé par Al-Ameen Al-Hazmi [photo, à gauche], directeur des solutions intégrées chez Elm et Cheikh Bakhoum [photo à droite], directeur général de Sénégal Numérique, décrit la collaboration entre Elm et Sénégal Numérique pour la création et l’exploitation d’un centre d’archivage numérique. Ils rechercheront également des partenaires financiers pour financer le projet et développer l’infrastructure informatique au profit des agences gouvernementales du Sénégal », peut-on lire dans le communiqué publié par la firme saoudienne le vendredi 30 mai.

Ce partenariat s’inscrit dans le cadre de SENUM SA d’atteindre ses objectifs à l’horizon 2025, conformément au document de stratégie « Sénégal numérique 2025 ». Il permettra de favoriser les échanges de connaissances entre l’Arabie saoudite et le Sénégal et de stimuler le secteur technologique afin d’en faire un secteur porteur dans les deux pays. Par ailleurs, il faut signaler que SENUM SA et Elm ne sont pas à leur premier protocole d’accord.

En juin dernier, lors de la première édition du salon technologique Gitex Africa qui s’est également déroulé à Marrakech au Maroc, les deux entités ont signé un partenariat dans lequel la firme saoudienne devrait accompagner SENUM SA dans l'utilisation de la technologie pour stimuler la croissance économique, améliorer les services publics, autonomiser les citoyens du Sénégal et par conséquent favoriser l'inclusion numérique.

S’exprimant sur le nouveau partenariat, Majid bin Saad Al Arifi, porte-parole officiel et vice-président-directeur général du secteur marketing d’Elm, affirme : « nous restons fidèles à notre engagement en faveur des projets de collaboration et de la promotion de l’innovation et de la croissance dans le secteur numérique. Nous espérons également que ce partenariat produira des avantages économiques et sociaux tangibles, en stimulant le développement grâce aux solutions techniques innovantes et aux capacités d’Elm pour permettre une vie numériquement connectée ».

Adoni Conrad Quenum

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Bien que le secteur du commerce électronique en Afrique soit prometteur, il doit néanmoins faire face à de nombreux défis. Le développement de ce secteur exige une collaboration étroite entre divers acteurs.

La République de Guinée envisage de collaborer avec la Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement (CNUCED) pour dynamiser le secteur du commerce numérique. La ministre guinéenne des Postes, des Télécommunications et de l'Economie numérique, accompagnée de ses collaborateurs, a discuté à cet effet avec Shamika Sirimanne, directrice de la technologie, de l'innovation et de la recherche à la CNUCED, en marge du Sommet mondial sur la société de l'information qui s’est tenu à Genève du lundi 27 au vendredi 31 mai.

« L’objectif de cette rencontre était d’explorer des pistes de coopération entre la Guinée et la CNUCED en particulier dans le domaine du commerce électronique. La ministre Pricemou a présenté l'état de la digitalisation en Guinée, soulignant les défis et les opportunités », indique le communiqué du ministère.

Au cours de cette rencontre, la Guinée a sollicité l'appui de la CNUCED pour l'élaboration d'un cadre réglementaire favorable au développement du commerce électronique et pour le renforcement des compétences numériques des Guinéens à travers une assistance technique.

L'organisation onusienne a accueilli favorablement cette demande et s'est engagée à faciliter les contacts au sein du système des Nations unies pour promouvoir les services numériques et postaux en Guinée. De plus, elle a recommandé une collaboration étroite entre le ministère des Postes et celui du Commerce afin de favoriser le développement du commerce en Guinée.

Cette rencontre entre le ministère guinéen du numérique et la CNUCED s’inscrit dans la continuité des actions gouvernementales visant à promouvoir le secteur du commerce électronique en Guinée. Ce secteur, en plein essor, représentait déjà 10 millions de dollars en 2020, avec un taux de croissance annuel de 20 %, selon la Fondation du e-commerce et de la vente à distance (Fevad).

Samira Njoya

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Le Premier ministre ivoirien, Robert Beugré Mambé (photo), a procédé, le jeudi 30 mai, au lancement d’une plateforme numérique dédiée au contenu local dans les activités pétrolières et gazières. Ce portail innovant vise à valoriser les compétences et les sociétés ivoiriennes dans l’industrie pétrolière et gazière. L'objectif est de faire des ressources minérales et énergétiques un des nouveaux leviers de croissance en Côte d'Ivoire.

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