Dans le but de faciliter l’organisation des événements et l’acquisition des billets par le public, un tech entrepreneur ivoirien a développé une solution technologique.

SkanTicket est une solution technologique développée par la jeune pousse ivoirienne Skan Technologies. D'une part, elle permet aux promoteurs d'événements de créer des événements sur mesure, de proposer des billets et/ou des invitations en ligne, de promouvoir l'événement et de gérer le contrôle d'accès le jour J. D'autre part, elle offre aux populations la possibilité de se procurer des billets pour divers événements en ligne. La start-up a été lancée par Nancy Aphey Anicet Amani.

L’application est accessible sur iOS et sur Android. L’utilisateur, après téléchargement, peut créer son compte en renseignant son adresse e-mail et un mot de passe. Après cela, il peut mettre en place des billetteries en ligne s’il est un promoteur d’événements ou un acheter les billets d’événement disponibles sur la plateforme. Pour chaque événément créé, SkanTicket fournit un minisite que le promoteur personnalise avec le logo de l’événement, les images, etc.

Si le promoteur dispose d’un site ou s’il en a prévu pour l’événement, il peut, depuis son espace organisateur, intégrer la billetterie en exportant d’un simple copier-coller le widget. Vous n’avez pas besoin de compétences particulières en informatique pour utiliser l’outil. Après la mise en vente des billets, il faudra attendre les 1er et 16 de chaque mois pour recevoir l'argent des ventes réalisées. Il est reversé par virement bancaire. Il est également possible de ne recevoir l'argent qu'après la fin de l'événement.

SkanTicket, qui intègre les paiements par mobile money des opérateurs télécoms MTN et Orange, perçoit 5% de toutes les ventes. Elle prévoit également un code USSD pour permettre aux utilisateurs ne disposant pas de smartphones de faire des opérations sur la plateforme. Depuis son lancement, la version Android de l’application mobile a déjà été téléchargée plus de 10 000 fois. En 2023, la jeune pousse a été sélectionnée avec neuf autres start-up parmi les lauréats de l’AFD Digital Challenge.

Adoni Conrad Quenum

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Dans le but de faire profiter les habitants de leur ville de la révolution technologique en cours, trois tech entrepreneurs ont mis en place une start-up opérant dans la livraison de nourriture.

Capsa Food est une solution développée par une jeune pousse tunisienne. Elle permet aux utilisateurs de commander de la nourriture en ligne et de se faire livrer à l’endroit de leur choix, à la maison, au bureau ou ailleurs. La start-up, basée dans la ville de Gafsa, a été fondée en 2023 par Oussama Dhahri, Amine Chortani et Hadil Fouli.

La solution dispose d’une application mobile accessible sur Android et sur les smartphones de Huawei via AppGallery. L’utilisateur, après téléchargement, devra se créer un compte pour accéder aux services de la start-up. Plusieurs restaurants de la ville de Gafsa, des fast-foods aux entités spécialisées dans les mets locaux, sont accessibles sur l’application.

Après le choix de la nourriture, il faudra valider la commande et renseigner sa position pour la livraison. De la commande à la livraison , il est possible de suivre en temps réel la position du livreur depuis l’application mobile. Le paiement s’effectue à la réception de la commande.

Selon la fréquence des commandes dans un restaurant plutôt qu’un autre ou des mets proposés, l’algorithme de l’application met en avant certaines entités. En fonction de votre position géographique, elle vous propose aussi les restaurants les plus proches. C’est un moyen d’optimiser le temps de livraison une fois la commande passée.

Capsa Food opère uniquement à Gafsa, une ville de moins de 100 000 habitants située à 360 kilomètres au sud de la capitale Tunis. D’ailleurs le nom de la start-up provient de l’ancien nom de la ville, Capsa. Depuis son lancement plus tôt cette année, la version Android de l’application mobile a déjà été téléchargée plus de 5 000 fois.

Adoni Conrad Quenum

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Maroc : Vesttys stimule le marché des articles d’occasion via sa plateforme de commerce en ligne

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Pendant ses études en France, cette tech entrepreneure a découvert une plateforme où il était possible de vendre les articles qu’on utilisait plus. A son retour au Maroc, elle lance sa start-up en reprenant le concept.

Vesttys est une plateforme de commerce en ligne développée par une jeune pousse marocaine. Elle permet, d’une part, de vendre des anciens articles et, d’autre part, d’en acheter à des tarifs intéressants. La start-up, basée à Tanger, a été fondée en 2020 par Mariam Ben Omar. Se définissant comme une plateforme de vide-dressing, elle a pour objectif de favoriser le marché de la seconde main dans le royaume chérifien.

« Lors de mes années d’étude en France, j’ai compris à un moment que j’avais une dépendance au shopping, je me retrouvais avec plusieurs articles que je n’utilisais pas. La plupart d’entre eux restaient avec l’étiquette. [...] une copine m’a parlé d’une plateforme qui permettait de mettre en vente ses vêtements : une sorte de vide dressing virtuel. Je suis donc moi-même devenue vendeuse sur le site en créant mon propre dressing. Quelques années plus tard, je suis rentrée définitivement au Maroc, c’est là que j’ai commencé à ressentir l’importance de cette plateforme dans mon quotidien », explique Mariam Ben Omar.

C’est donc de cette expérience personnelle qu’est né le concept de Vesttys. La solution ne dispose pas d’une application mobile. Il est néanmoins possible de surfer sur la plateforme et de découvrir les articles disponibles. Entre autres, on retrouve des vêtements traditionnels et modernes, des produits de beauté, des articles pour enfant, des accessoires, etc.

Pour en poster ou en acheter, il est indispensable de disposer d’un compte. Il vous faudra une adresse email pour créer le compte et une carte de crédit pour l’activer. Le processus est gratuit mais la carte est liée au compte au cas où l’utilisateur voudrait effectuer des achats.

De plus, la start-up ne perçoit aucune commission sur les achats ou les ventes des utilisateurs. Elle a toutefois mis en place une fonction qui permet de booster les pages de vente. « Une option Boost permet de faire apparaître le dressing ou l’article en première position, c’est-à-dire lors de la recherche d’un article précis, la personne ayant souscrit à cette option verra son produit apparaître en premier dans la sélection avant les autres », indique Mariam Ben Omar.

Adoni Conrad Quenum

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Lengo AI une start-up sénégalaise qui fournit, aux entreprises de biens de grande consommation, des données sur les performances de leurs produits chez les petits détaillants a annoncé la semaine dernière la réussite d’un tour de table. Le montant de l’opération n’a pas été divulgué mais les fonds serviront à développer sa technologie, à renforcer son équipe et à soutenir sa croissance sur le continent.

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Les plateformes d’éducation à distance sont devenues une alternative de choix sur le continent. Elles se multiplient et proposent des formations de plus en plus adaptées aux apprenants.

Super Fny est une plateforme edtech développée par une jeune pousse égyptienne. Elle permet aux utilisateurs d’accéder à des formations professionnelles en suivant des contenus vidéos en ligne. La start-up, basée à Alexandrie, a été fondée en 2016 par Ahmed Anwar et Ramy Elmasry. L’objectif est d’améliorer les compétences des techniciens et des étudiants de l’enseignement technique pour mieux les préparer aux défis du marché de l’emploi.

La solution ne dispose pas d’une application mobile. Il faudra passer par un navigateur et accéder au site web. De là, l’utilisateur pourra se créer un compte et découvrir les diverses formations accessibles sur la plateforme. Entre autres, on peut citer les cours de maroquinerie et de techniques de fabrication du cuir, la fabrication de sacs ou de portefeuilles, les bases de l’entrepreneuriat, etc. Certains cours sont accessibles gratuitement alors que d’autres sont payants. Il faut compter jusqu’à 150 livres égyptiennes (environ 4,85 $) pour souscrire à certains cours.

Outre la formation, la start-up facilite la connexion avec des entreprises à la recherche de techniciens. Ainsi, elle permet à ses apprenants de trouver des contrats de travail grâce aux compétences acquises pendant la durée de leur formation. Par ailleurs, Super Fny dispose de plus de 35 partenaires, de plus de 34 000 stagiaires, de plus de 200 formateurs et propose une soixantaine de formations.

Présente dans 17 gouvernorats d'Egypte, elle veut s’étendre dans le monde arabe et pour cela, elle a réussi en 2022 un tour de table. Le montant de l’opération n’a pas été divulgué mais les fonds, provenant d’OBM Education et de PCS Edventures, seront utilisés pour développer sa technologie et accélérer sa croissance en Egypte et dans le monde arabe.

Adoni Conrad Quenum

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Depuis quelques années, les applications de transport à la demande sont devenues de véritables concurrents des taxis traditionnels. Pour répondre sur ce segment, des associations de taxis ont décidé de se lancer également sur ce segment.

Yo!Taxi est une application mobile développée par une start-up sud-africaine. Elle permet aux utilisateurs de commander des taxis pour effectuer leurs divers déplacements en ville. La start-up, basée à Durban, a été lancée en 2019 par douze associations de taxis avec compteur du KwaZulu-Natal pour concurrencer les géants Uber et Bolt.

L’application est accessible sur iOS et sur Android. L’utilisateur, après téléchargement, devra se créer un compte avec son numéro de téléphone et une adresse email pour accéder au service. Pour commander un taxi, il devra saisir la destination dans le champ dédié puis appuyer sur le bouton « Get my Yo!Taxi ? » pour envoyer la demande aux conducteurs de la région. Après cette étape, il faudra cliquer sur « Pick me up from here » après le choix du chauffeur si plusieurs sont proposés puis confirmer le prix de la course après l’estimation de l’application.

Les informations du conducteur sont accessibles en cliquant sur son profil. La jeune pousse collecte et vérifie les informations de tous les chauffeurs avant leur première course. Elle a mis en place des garde-fous tels que les caméras, un bouton de secours ou encore un traqueur de véhicule pour assurer la sécurité des occupants du taxi.

Outre le transport à la demande, la firme sud-africaine propose également des services de livraison. Que ce soit pour de la nourriture dans un restaurant de la place ou un colis, les chauffeurs sont disponibles pour effectuer les courses. Depuis son lancement, la version Android de l’application a été téléchargée plus de 10 000 fois.

Adoni Conrad Quenum

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Dans le but de permettre aux populations d’accéder à une main-d'œuvre correcte, deux tech entrepreneurs ont décidé de lancer une solution pour connecter artisans et clients.

Saweblia est une plateforme numérique développée par une jeune pousse marocaine. Elle permet aux utilisateurs d’accéder aux artisans tels que les électriciens, les plombiers, les bricoleurs ou encore les peintres pour effectuer des travaux dans leur maison, dans leur bureau ou dans leur boutique. Basée à Casablanca, la start-up a été fondée en 2015 par Reda Lakhlifi et Mohammed Ait Addi. Elle a pour but de révolutionner le marché du dépannage en luttant contre les prestataires malhonnêtes.

La solution ne dispose pas encore d’une application mobile. Il faut donc passer par le site web ou le réseau social WhatsApp pour accéder aux services. Que ce soit pour la réparation d’une poignée de porte, une panne électrique, une fuite d’eau ou encore pour une serrure bloquée, Saweblia dispose de main-d'œuvre pour régler ces problèmes.

« Tous nos artisans ont un statut légal et leur identité ainsi que leur casier judiciaire sont vérifiés par nos équipes.Nos artisans suivent un processus en plusieurs étapes pour nous assurer de leur expertise métier et leur savoir-être.Ils passent plusieurs niveaux de validation avant d'arriver chez vous. Lorsqu’ils sont validés, nous les formons à notre charte qualité interne et faisons un suivi permanent pour nous assurer d’une qualité de service continue », explique la start-up.

Les interventions sont disponibles sur Casablanca et sur Marrakech. L’utilisateur n’a pas besoin de disposer d’un compte. Il devra juste cliquer sur le bouton « je veux une intervention », puis choisir la ville et sélectionner la panne parmi la liste proposée. Si vous voulez effectuer plusieurs travaux, il faudra effectuer une demande personnalisée et pour cela, l’utilisateur décrit exactement sa situation et ajoute des photos pour être mieux pris en charge par le chargé de relation client.

« Nous pouvons être amenés à organiser une visite avec l’un de nos coordinateurs de travaux pour les demandes complexes. Lorsque le besoin est clair, nous vous envoyons un devis dans un délai allant de 20 minutes à 48 heures (dépendamment de la nature des travaux à réaliser). Dès que vous confirmez le devis, nous programmons une intervention selon vos disponibilités », explique la plateforme.

Saweblia propose divers moyens de paiements aux clients après la réalisation des travaux. Entre autres, on peut citer le paiement en ligne par carte bancaire sur le site Internet, le chèque, le virement bancaire ou encore le paiement en espèces. Par ailleurs, si le coût de la commande dépasse les 1 000 dirhams marocains (environ 97 $), la start-up demande le versement d’un acompte.

Adoni Conrad Quenum

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Il est un développeur de logiciels expérimenté qui a fait ses preuves dans plusieurs entreprises. Sa société Comparoshop utilise l’IA pour optimiser les services d’e-commerce au Cameroun et en Afrique.

Didier Tagne (photo) est cofondateur de Comparoshop, une entreprise qui utilise l’intelligence artificielle pour améliorer l’e-commerce en Afrique. Il est né au Cameroun et a commencé ses études supérieures en 2018 à l’université de Douala en informatique avant d’abandonner pour se consacrer pleinement à sa passion : le codage.

En 2022, il lance le projet de Comparoshop et propose des solutions business to business (b2b) et business to consumer (b2c). Pour les consommateurs, l’entreprise a développé un moteur de recherche pour organiser les sites web spécialisés dans le commerce électronique. Son objectif est de faciliter l’accès aux informations sur les produits et les services disponibles en ligne, en permettant aux utilisateurs de comparer les prix, les caractéristiques et les avis des clients. La solution n’est disponible qu’au Cameroun et en Algérie pour le moment.

Aux e-commerçants, Comparoshop offre la possibilité de disposer d’un site de vente prêt à l’emploi. Elle leur permet d’automatiser la mise en ligne des catalogues produits, d’améliorer l’expérience utilisateur et le taux de conversion du panier d’achats, de suivre les tendances du marché et la concurrence en temps réel. Elle aide aussi les marchands à mener des campagnes marketing en utilisant une approche de ciblage.

Actuellement, Didier Tagne est le spécialiste en grattage de données de la société de cybersécurité égyptienne Buguard, un développeur de logiciels de la structure financière camerounaise Malea Investment et du SAMU ATC. Son parcours professionnel a commencé en 2020 chez Net Africa SARL, une entreprise informatique, où il a été développeur full-stack jusqu’en 2022.

Il a aussi travaillé à distance pour plusieurs autres sociétés. Il a notamment été développeur web Python pour des entreprises telles que HBC (2021-2022), une société qui fournit des services aux entreprises tels que la gestion des ressources humaines, et Cyberzone (2021), une start-up de cybersécurité. D’août 2022 à janvier 2023, il a été un développeur web de l’agence numérique FBK-COMPANY au Cameroun.

Bénéficiaire du programme Africa by IncubMe en 2022, Didier Tagne a reçu plusieurs prix nationaux et internationaux. Toujours en 2022, il a été lauréat du Douala Hackathon organisé par KELMASS SARL, du TechStars AI émis par l’African Artificial Intelligence Society et du Cybersecurity Challenge de QuickDo Canada.

Melchior Koba

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Inspiré par le russe Telegram, deux entrepreneurs éthiopiens ont décidé de mettre en place une application plus adaptée à leurs compatriotes. Le succès a été presqu’immédiat.

Hulugram est une application mobile développée par une jeune pousse éthiopienne. Elle permet aux utilisateurs d’accéder à plusieurs services tels que les conversations instantanées, les paiements en ligne, les boutiques en ligne ou encore un traducteur. La start-up, basée à Addis-Abeba, a été fondée en 2021 par Leoul Mekonnenet et Tabor Shiferaw.

La solution dispose d’une application mobile uniquement accessible sur Android. L’utilisateur, après téléchargement, devra se créer un compte avec son numéro de téléphone. L’application renvoie un code qui lui permet de continuer le processus. Il aura à configurer son profil puis pourra accéder aux divers services d'Hulugram. Entre autres, il est possible de configurer sa photo de profil, de partager des stories comme sur Instagram, d’échanger des messages avec ses contacts et des personnes à proximité de sa position.

Appelé « Nearby », c’est une fonction qui répertorie les cent personnes les plus proches de la position de l’utilisateur. Il est possible de communiquer avec ces personnes en appuyant sur l’icône se trouvant en bas à droite, puis sur « Nearby » pour choisir le profil avec lequel vous voulez interagir. « Pour afficher des détails sur les personnes, les utilisateurs peuvent cliquer sur l'icône de l'avatar. Les utilisateurs peuvent activer ou désactiver la visibilité de leur profil en cliquant sur l'icône située en haut à droite de l'écran », indique la plateforme.

Quant à la fonction « Market », elle permet de vendre ou d’acheter en ligne. En optant pour la vente, l’utilisateur peut créer sa boutique en ligne et y ajouter les articles qu’il veut vendre. Par contre, en appuyant sur l’icône d’achat, il peut accéder à de nombreuses boutiques en ligne pour effectuer son shopping. Outre cette fonction, il est possible d’accéder à une gamme variée de musique depuis Hulugram et de faire traduire des textes dans une vingtaine de langues.

Depuis son lancement, l’application a déjà été téléchargée plus de 500 000 fois. En 2023, elle a été sélectionnée pour la cohorte d’été de l’accélérateur Techstars Toronto.

Adoni Conrad Quenum

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La Banque centrale du Kenya (CBK) a récemment signé un accord permettant au Kenya de rejoindre le système panafricain de paiement et de règlement (PAPSS).

Cette intégration vise à permettre aux entreprises du pays de faire des achats, de transférer de l’argent, de payer des salaires, de négocier des actions ou d’effectuer le règlement des transactions commerciales de grande valeur en utilisant les devises locales.

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