L'accès au financement demeure un défi majeur pour de nombreuses entrepreneures en Afrique. Malgré leur ingéniosité et leur détermination, de nombreuses entrepreneures se heurtent à des obstacles lorsqu'il s'agit d'obtenir les capitaux nécessaires pour démarrer ou développer leurs entreprises.

L'Organisation mondiale du commerce (OMC) et le Centre du commerce international (ITC) ont lancé, le dimanche 25 février, un fonds de 50 millions de dollars pour encourager l'adoption des technologies numériques par les femmes chefs d'entreprise. Il s'agit du Fonds pour les femmes exportatrices dans l'économie numérique (WEIDE). Il est destiné aux Africaines, mais également aux entrepreneures des autres pays en développement et moins avancés. Il vise à aider les femmes à tirer parti des opportunités offertes par le commerce international et l'économie numérique.

S’exprimant sur le bien-fondé de cette initiative, Pamela Coke-Hamilton, la directrice exécutive d'ITC, a déclaré que le fonds aidera les femmes à réunir le capital nécessaire pour leurs activités. « Maintes et maintes fois, les femmes des pays en développement nous ont indiqué que l'accès au financement était leur principal obstacle au commerce. Grâce à ce nouveau fonds, les entrepreneures disposeront des ressources dont elles ont besoin pour faire des affaires à l'international et en ligne ».

En Afrique, l’accès limité au financement reste le premier obstacle rencontré par les entrepreneures. Ces dernières sont confrontées aux difficultés à accéder aux prêts bancaires et aux capitaux nécessaires pour démarrer ou développer leurs entreprises en raison de normes sociales, de politiques discriminatoires ou d'un manque de garanties.

En lançant ce fonds doté initialement de 5 millions de dollars par les Emirats arabes unis, les deux partenaires espèrent favoriser l’autonomisation des femmes dans le commerce et les aider à développer et promouvoir leur entreprise en ligne. Selon la directrice générale de l'OMC, Ngozi Okonjo-Iweala (photo au centre), le commerce numérique, et plus particulièrement le commerce des services fournis par voie numérique, est le segment du commerce international à la croissance la plus rapide, soit 8 % en moyenne depuis 2005.

« A l'ère du commerce numérique, ceux qui ont été laissés pour compte lors de la première vague de mondialisation ont la possibilité d'en profiter à leur tour, et de faire les choses différemment. La numérisation nous offre des opportunités sans précédent de faire avancer l'autonomisation économique des entrepreneures, d'uniformiser les règles du jeu et de favoriser une croissance inclusive », a déclaré Ngozi Okonjo-Iweala.

Samira Njoya

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Inspiré par l’écosystème Weixin/WeChat de Tencent et son milliard d'utilisateurs mensuels actifs, Orange Middle East and Africa a décidé de signer un partenariat stratégique.

L’opérateur télécoms Orange veut doubler l’adoption de sa super-app Max it d’ici 2025. Le groupe français a décidé à cet effet de signer un partenariat avec le chinois Tencent Cloud le mardi 27 février lors du Mobile World Congress à Barcelone, en Espagne.

Orange utilisera « Tencent Cloud’s Mobility framework et la solution Tencent Cloud Mini Program Platform (TCMPP) afin de créer une plateforme ouverte pour Max it permettant d’intégrer une large gamme de mini-apps au sein de sa super-app ». L’objectif est d’enrichir l’écosystème de Max it et d’améliorer l’expérience client et partenaire pour les entreprises et les populations d’Afrique et du Moyen-Orient.

S’exprimant sur le partenariat, Jérôme Hénique, directeur général d’Orange Middle East and Africa, explique que : « ce partenariat avec Tencent Cloud est une étape clé dans notre vision d’offrir des services innovants et à haute valeur ajoutée à nos utilisateurs. Enrichir Max it avec des mini-apps innovantes est essentiel pour renforcer sa proposition de valeur, augmenter sa pénétration auprès des clients d’Orange et de ceux qui ne le sont pas, et amplifier notre impact social ».

Max it, lancée en novembre dernier, est une super application mobile développée par Orange qui regroupe tous les services d’Orange et de ses partenaires. La firme française veut positionner sa super-app dans cette partie du monde comme un hub de tous les services sur mobile. Déployée dans une demi-douzaine de pays à son lancement, elle s’élargira à huit autres destinations au premier trimestre de cette année avant de couvrir tous les pays où le groupe est présent avant la fin de l’année.

Adoni Conrad Quenum

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Les producteurs agricoles sont souvent confrontés à des problèmes pour écouler leurs marchandises. Cette solution numérique vient régler ce problème en les connectant directement aux clients potentiels.

mLouma est une place de marché numérique développée par une agritech sénégalaise. Elle permet aux producteurs agricoles et aux fournisseurs d’intrants d’accéder aisément à leur clientèle via une plateforme web et mobile. La start-up, basée à Dakar, a été fondée en 2012 par Aboubacar Sidy Sonko.

L’application est accessible uniquement sur Android où l’utilisateur, après téléchargement, peut se créer un compte. Il a l'option de créer un compte de producteur agricole ou de client. Pour l’un ou l’autre, il fournit les informations nécessaires et finalise la procédure. S’il a opté pour un compte client, il pourra effectuer ses achats directement sur l’application ou sur la plateforme web. On y retrouve diverses boutiques en ligne qui commercialisent des produits locaux.

Pour faciliter les paiements sur la plateforme, l’agritech a intégré plusieurs systèmes de paiement par mobile money. Pour la livraison, elle s’est tournée vers la start-up sénégalaise Yobante Express. Outre l’application mobile et la plateforme web, mLouma dispose d’un code USSD. Il faut ainsi composer un code et suivre la procédure. « Ce service a été développé pour permettre aux personnes qui ne disposent pas d’un accès à Internet de pouvoir se renseigner sur les produits et le prix, mais également d’envoyer les produits à vendre sur la plateforme mLouma. Ces données seront enregistrées et affichées au niveau de la plateforme web après validation », explique la jeune pousse.

Depuis son lancement, l’application mobile a déjà été téléchargé plus d’une centaine de fois, d’après les données de Play Store. En 2013, mLouma a été lauréate de la m-Agri Challenge organisée par la Banque mondiale.

Adoni Conrad Quenum

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Après un accident à 15 ans qui l’a éloigné de l’école pendant 6 mois, ce tech entrepreneur a décidé de mettre en place une edtech. Trois ans plus tard, il réalise son rêve avec un associé qu’il rencontre en 2021.

Klas est une solution edtech développée par une jeune pousse nigériane. Elle permet aux utilisateurs, en l’occurrence ceux qui désirent donner des formations ou vendre des contenus, de créer leur école en ligne sur sa plateforme web. La start-up a été fondée en 2022 par Nathan Nwachuku et Lekan Adejumo. Depuis son lancement, elle a déjà levé 1,3 million $ pour développer sa technologie et soutenir sa croissance.

« On peut l'envisager de la même manière que Shopify. Ce qu'ils font pour les boutiques en ligne où tout le monde peut créer sa boutique et vendre n'importe quoi en ligne, c'est ce que Klas essaie de faire pour ses utilisateurs en les aidant à créer des écoles en ligne et à organiser des cours », a indiqué Nathan Nwachuku au média TechCrunch.

La solution ne dispose pas d’une application mobile. Il faut se rendre sur son site Internet et créer un compte en fournissant : nom, prénom, numéro de téléphone et adresse e-mail. Il faudra créer un mot de passe pour valider la création du compte. L’utilisateur pourra ensuite parfaire la création de son école en ligne dans le domaine de son choix. Des écoles sont disponibles en codage, en finance, en art ou encore en apprentissage de langues étrangères. Klas offre le choix de dispenser ses cours en direct, avec des contenus vidéos préenregistrés ou encore avec des ebooks.

L’edtech a mis en place plusieurs outils qui facilitent son utilisation. Là où les autres edtech intègrent des outils comme Google Meet ou Zoom pour fournir des expériences de classe, Klas a mis en place KlasLife. Selon Nathan Nwachuku, cet outil n'utilise pas d'interface de programmation vidéo et il a été construit à partir de zéro avec une architecture vidéo tout à fait unique. « Nous nous concentrons sur un écosystème fermé, contrairement à ces autres grandes entreprises, qui sont essentiellement des boîtes à outils d'intégration et où tout est entièrement intégré dans la plateforme », affirme-t-il.

La start-up propose plusieurs types de forfaits : un forfait gratuit qui permet déjà de vendre un certain nombre de services comme des cours enregistrés et des ebooks, et deux forfaits payants. L’un est affiché à 29 $/mois et l’autre, qui n’est pas encore lancé, à 99 $/mois. Elle compte lancer d’autres services à l’endroit des entreprises, notamment le perfectionnement de leurs employés, pour augmenter ses revenus. Klas revendique plus de 5 000 écoles en ligne et plus de 300 000 étudiants en février 2024. Elle vise les 100 000 écoles en ligne à l’horizon 2027.

Adoni Conrad Quenum

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Favorisé par la pandémie de Covid-19, le commerce en ligne devrait croître de manière significative en Afrique au cours des dix prochaines années. Pour ce faire, il est urgent de mettre en place un cadre réglementaire favorable au e-commerce.

En marge de la treizième Conférence ministérielle (CM13) de l’Organisation mondiale du commerce (OMC) qui se tient à Abou Dhabi aux Emirats arabes unis, l’OMC et la Banque mondiale ont présenté le samedi 24 février un nouveau projet baptisé « Digital Trade for Africa ». Ce projet vise à aider les pays africains à profiter pleinement des avantages du commerce numérique, à améliorer leurs perspectives de développement afin de créer des emplois et faire reculer la pauvreté.

« Le commerce numérique est l'un des segments du commerce qui connaît la croissance la plus rapide dans le monde d'aujourd'hui. Les jeunes et les femmes du continent africain ont montré qu'ils étaient capables de tirer parti de ces opportunités. L'Afrique ne représente que 1 % du commerce des services numériques, mais je considère qu'il s'agit d'une opportunité à saisir pour le continent », a déclaré Ngozi Okonjo-Iweala, la directrice générale de l’OMC.

Le projet s'appuie sur une note d'orientation conjointe de la Banque mondiale et de l'OMC présentée aux responsables africains en juillet 2023. Intitulée « Faire du commerce numérique un catalyseur du développement africain », cette note appelle à la création d'un environnement réglementaire favorable au commerce numérique.

Ainsi dans le cadre du nouveau projet, la Banque mondiale et l’OMC veilleront à ce que l'infrastructure numérique, telle que la connectivité physique et les systèmes de paiement électronique, soit complétée par un cadre réglementaire complet dans plusieurs pays africains qui accusent du retard. Il sera également question d’identifier les obstacles à la participation au commerce numérique, recommander des actions politiques et concevoir des interventions financées par la Banque mondiale.

L’objectif est de permettre à l’Afrique de relever son économie grâce à l’e-commerce. Selon le cabinet de conseil en économie numérique TechCabal Insights dans un rapport publié le 12 octobre 2023, le chiffre d’affaires global des plateformes de commerce électronique actives en Afrique devrait atteindre 59,18 milliards de dollars en 2027 contre 32,49 milliards seulement en 2022 et 13,58 milliards en 2018.

Samira Njoya

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Dans le but de permettre aux populations d’accéder aisément à des produits locaux, des tech entrepreneures ont mis en place la plateforme Soreetul, qui signifie « ce n’est pas loin » en wolof.

Soreetul est une plateforme de commerce électronique développée par une jeune pousse sénégalaise. Elle permet aux utilisateurs de se procurer des produits locaux tels que les produits frais, les produits cosmétiques ou encore les fruits et légumes. La start-up a été fondée en 2013 par Awa Caba, Idrissa Diatta, Ndèye Awa Guèye et Bineta Coudy De.

« L’idée du projet Soreetul vient du fait que nous avions constaté que les consommateurs avaient du mal à retrouver les produits locaux dans les grandes surfaces ou les boutiques. Les femmes qui travaillent dans le secteur de la transformation des produits n’ont pas non plus accès au marché puisqu’étant dans les zones reculées de la capitale », a indiqué Awa Caba en 2015.

La solution ne dispose pas d’une application mobile. Il faut directement se rendre sur la plateforme web et se créer un compte en renseignant ses informations personnelles. Après cette étape, l’utilisateur peut naviguer entre les pages web du commerce en ligne pour découvrir la diversité de produits locaux proposés. En cliquant sur le produit de son choix, il pourra en apprendre davantage, l’ajouter à son panier et passer à l’action en confirmant le paiement. Il pourra se faire livrer ou passer récupérer sa commande dans l'un des points de vente de la jeune pousse.

Soreetul propose également des produits pour la fête de la Tabaski dans un onglet « Spécial Tabaski ». L’utilisateur y trouvera tout ce qui se rapporte à la fête et pourra effectuer ses courses depuis le confort de sa maison. L’onglet « cadeaux » est pour les personnes qui veulent offrir des cadeaux à leurs proches. La plateforme propose plusieurs packs sur mesure qui sont idéaux pour des cadeaux à un tiers.

En novembre 2016, la jeune pousse sénégalaise a remporté le premier prix de la compétition Pitch AgriHack. A cet effet, elle a bénéficié d’une subvention d’un montant de 15 000 €.

Adoni Conrad Quenum

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Arnergy, une start-up nigériane operant dans les technologies propres, a annoncé la semaine dernière la réussite d’un tour de table d’un montant de 3 millions $. Fondée en 2013 par Femi Adeyemo et Kunle Odebunmi, la start-up compte utiliser les fonds pour étendre ses opérations sur le continent et accélérer l’adoption de ses services par les populations.

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Dans le but d’aider les conducteurs traditionnels de taxi face à l’influence croissante des applications de transport à la demande, les autorités ghanéennes lancent une initiative concurrente qui leur est dédiée.

L’application « Tap & Go Transport » sera mis en service ce lundi 19 février. L’annonce a été faite la semaine dernière par le vice-président ghanéen, Mahamudu Bawumia. L’objectif est de formaliser et d’harmoniser le secteur du transport informel avec le lancement d'une solution publique de transport à la demande.

L’application, disponible sur iOS et sur Android, se décline en deux versions : l’une pour les utilisateurs et l’autre pour les chauffeurs de taxi. Les utilisateurs pourront commander des taxis pour effectuer leurs courses et de leur côté, les chauffeurs recevront les alertes lorsqu’un utilisateur optera pour leur service. Il faut également signaler que sur Tap and Go, les utilisateurs ont le choix entre les voitures privées qui fonctionnent comme des taxis et les taxis compteurs traditionnels de la ville.

Le secteur des transports est en pleine mutation sur le continent avec la prolifération des applications en ligne de mobilité. Les start-up africaines opérant dans le secteur ont levé 48 millions $ en 2023, d’après les données de Partech Africa ; selon la plateforme allemande de données et d'intelligence économique Statista, le chiffre d'affaires du « Ride-hailing & Taxi » devrait atteindre cette année 4,13 milliards $.

En décembre dernier, lors des tests de Tap and Go, Nana Nimako Asiamah, le président du Syndicat des transports routiers privés du Ghana (GPRTU), a expliqué que « le lancement de cette application, grâce au soutien et aux efforts du vice-président Bawumia, est une intervention opportune pour sauver notre activité ». Pour rappel, l’application a été testée dans plusieurs zones de la capitale Accra comme l'aéroport, East Legon, l'université du Ghana, Circle/Kaneshie ou encore Dansoman.

Adoni Conrad Quenum

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Dans le but d’aider les entreprises à rationaliser leurs dépenses en frais juridiques, des tech entrepreneurs ont mis en place une solution sur mesure.

Hence Technologies est une solution numérique développée par une jeune pousse basée à au Rwanda et au Royaume-Uni. Elle permet aux utilisateurs, en l’occurrence les entreprises, de se mettre en relation avec les avocats qu’il faut en cas de problèmes juridiques. La start-up, fondée en 2020, a déjà levé environ 2,6 millions $ pour soutenir sa croissance.

La solution ne dispose pas d’une application mobile. Il faut se rendre sur l’adresse web via un navigateur pour accéder à la plateforme. En fonction du service recherché, l’utilisateur peut prendre rendez-vous sur la plateforme. « Une fois que nous aurons convenu d'une date et d'une heure qui vous conviennent, nous vous enverrons une invitation à la session. Lors de cette session, un membre de notre équipe vous présentera le logiciel en tête-à-tête et vous aurez la possibilité de discuter de vos besoins professionnels individuels et de poser des questions », explique la jeune pousse.

Pour atteindre ses objectifs, Hence utilise des données de diverses sources. La start-up intègre toutes ces données pour mieux apprécier les diverses situations qu’elle doit résoudre. En fonction de la nature du problème juridique, du lieu où il se déroule et des considérations de coût, son algorithme fera le nécessaire pour faire le choix idoine pour l’entreprise.

Steve Heitkamp, cofondateur de Hence, expliquait en 2022 que « la plupart des solutions existantes sont des solutions de marché qui veulent vraiment qu'une transaction ait lieu. [...] Nous avons creusé spécifiquement dans ce domaine et construit un produit qui aide les gens à trouver les bons avocats ; vraiment un point de départ pour leurs besoins ».

Présente sur trois continents, Hence veut passer un cap en travaillant avec de plus grandes entreprises. Pour cela, elle veut se baser sur les talents technologiques de Kigali au Rwanda, où elle dispose d’un siège social, pour amorcer sa conquête du monde.

Adoni Conrad Quenum

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Dans un communiqué publié le mardi 13 février, le fonds de capital-risque tunisien 216Capital Ventures a annoncé sa participation au cycle de financement de 1,5 million $ de Logidoo, une jeune pousse panafricaine opérant dans la logistique. Les fonds seront utilisés « pour étendre son empreinte à travers l'Afrique, en se concentrant sur des marchés clés comme le Congo, la Gambie, la Guinée-Conakry, le Mali et la Mauritanie ».

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