En combinant technologie de pointe, durabilité et flexibilité, cette jeune pousse propose une solution de stationnement intelligente adaptée aux besoins contemporains des villes et des entreprises.
Parket est une solution numérique développée par une jeune pousse sud-africaine. Elle propose une plateforme tout-en-un qui offre une alternative moderne aux systèmes traditionnels de stationnement en intégrant des technologies telles que la reconnaissance automatique des plaques d'immatriculation ou encore les QR codes. La start-up, basée dans la ville du Cap, a été fondée en 2019 par Joshua Raphael.
La solution dispose d’une application mobile accessible sur iOS et sur Android où elle a déjà été téléchargée plus de 10 000 fois, selon Play Store. Conçue pour les propriétaires de parkings commerciaux, résidentiels et de détail, Parket permet une gestion en temps réel des accès, des paiements et de l'occupation des places.
« Certains clients ont beaucoup d'espaces de stationnement vacants, nous prenons donc une commission sur les revenus générés pour le client. D'autres souhaitent remplacer entièrement leur équipement de stationnement existant par notre solution sans billet, pour laquelle nous proposons une redevance mensuelle, un investissement ou un coût par transaction. [...] Nous sommes assez flexibles pour adapter notre tarification aux besoins de nos clients. Notre chiffre d'affaires augmente de mois en mois », a indiqué Joshua Raphael.
Les utilisateurs peuvent réserver et payer leur stationnement via l'application, tandis que les visiteurs occasionnels peuvent accéder aux parkings grâce à des QR codes envoyés par SMS, sans avoir besoin de télécharger l'application. Cette approche sans contact et sans ticket réduit les coûts opérationnels et améliore l'expérience utilisateur.
En identifiant et en monétisant les places inoccupées, Parket transforme les espaces de stationnement sous-utilisés en sources de revenus supplémentaires pour les propriétaires. Actuellement, elle gère des dizaines de milliers de places de stationnement en Afrique du Sud, avec une présence dans plusieurs provinces. L'entreprise prévoit d'étendre ses opérations à Johannesburg et au KwaZulu-Natal, tout en explorant des partenariats internationaux pour exporter sa solution.
Adoni Conrad Quenum
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Diplômé en finance, il possède une solide expérience dans les fusions et acquisitions au sein de grandes entreprises en France et au Maroc. Aujourd’hui, il exploite les technologies numériques pour simplifier la gestion des commerces.
Anas Laghezali (photo) est un expert en finance et un entrepreneur en série marocain. Il est le président-directeur général de Lacaisse.ma, une solution de caisse enregistreuse connectée.
Fondée en 2016, Lacaisse.ma propose une solution tout-en-un conçue pour simplifier la gestion des entreprises commerciales. Elle permet notamment d’optimiser la gestion des stocks, de réaliser des inventaires précis et de mettre à jour les fiches techniques en temps réel. Elle facilite également la création de devis et de factures professionnelles, avec une interface intuitive qui rend les transactions commerciales plus fluides et efficaces.
Grâce à son intégration avec les plateformes de livraison, Lacaisse.ma permet aux commerçants de gérer leurs ventes en ligne de manière optimale. Ses nombreuses fonctionnalités offrent une vue d’ensemble de l’activité, accessible à tout moment, sur différents supports (ordinateur, tablette ou smartphone), que ce soit sur place ou à distance.
Aujourd’hui, Anas Laghezali évolue au sein du département « fusions, acquisitions et partenariats » du groupe OCP SA, un acteur mondial spécialisé dans les solutions de nutrition végétale et la gestion durable des sols. Avant de lancer Lacaisse.ma, il a cofondé en 2015 Sam, une start-up de covoiturage dont il a été le PDG jusqu’en 2017.
Anas Laghezali a commencé sa carrière professionnelle en 2012 chez Société Générale Corporate and Investment Banking en France, en tant qu’analyste en fusions et acquisitions. En 2014, il rejoint Crédit Agricole CIB au même poste. Puis, en 2017, il intègre la banque d’investissement marocaine Burj Capital en tant qu’associé en M&A et capital-investissement.
Melchior Koba
Edité par Sèna D. B. de Sodji
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Dans une Afrique où l’efficacité logistique et la gestion des stocks posent encore des défis, cette jeune pousse nigériane entend apporter une réponse technologique adaptée.
RetailLoop est une solution d’e-commerce développée par une start-up nigériane. Elle propose une solution tout-en-un destinée aux chaînes de magasins, combinant intelligence artificielle, analyse de données, gestion d’inventaire et automatisation des opérations. La jeune pousse basée à Austin (USA) et Lagos (Nigeria) a été fondée en 2022 par Emeka Ehinze, avec l’ambition de révolutionner la gestion des réseaux de vente en Afrique.
Concrètement, elle permet aux distributeurs de surveiller en temps réel les performances de leurs magasins, de gérer automatiquement les réassortissements et d’optimiser la distribution selon la demande locale. Elle vise ainsi à améliorer la disponibilité des produits tout en réduisant les coûts opérationnels.
La solution ne dispose pas d’application mobile. Il faut directement se rendre sur la plateforme en ligne et se créer un compte pour accéder aux fonctionnalités de RetailLoop. Notons que son modèle SaaS (software-as-a-service) lui permet de cibler aussi bien les grandes enseignes que les opérateurs régionaux en croissance. La solution peut réduire jusqu’à 30% les pertes liées aux ruptures de stock et améliorer la rentabilité des enseignes grâce à des décisions basées sur les données.
Après avoir séduit plusieurs distributeurs au Nigeria, RetailLoop cherche désormais à s’étendre sur d’autres marchés africains. Dans un contexte de transformation numérique rapide en Afrique, elle suit une vague de start-up africaines qui misent sur la technologie pour structurer et professionnaliser le commerce de détail. En s’attaquant à la complexité des opérations multimagasins, la jeune pousse se positionne comme un acteur clé de l’optimisation logistique sur le continent.
Adoni Conrad Quenum
Edité par : Feriol Bewa
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Face à une digitalisation croissante du commerce, les petites entreprises sud-africaines peuvent se tourner vers cette solution pour franchir le cap du numérique.
BoxCommerce est une solution numérique développée par une jeune pousse sud-africaine. Elle permet aux petites entreprises de créer une boutique en ligne sans expertise technique. Hébergement, design, gestion des stocks, paiements ou encore livraisons : tout est intégré dans une interface pensée pour fonctionner sur le mobile. La start-up, basée dans la ville de Johannesburg, a été fondée en 2019 et est dirigée par Craig Mcleod.
La solution dispose d’une application mobile accessible sur Android où elle a déjà été téléchargée plus d’un millier, selon Play Store. L’utilisateur se crée un compte et accède aux diverses fonctionnalités pour créer sa boutique en ligne puis la gérer depuis son tableau de bord. Elle intègre les systèmes de paiement locaux et mise sur leur simplicité pour faciliter la prise en main de la boutique en ligne préalablement créée.
En mai 2025, BoxCommerce a annoncé son implantation aux Émirats arabes unis, tout en affirmant maintenir une priorité sur le continent africain. Pour Craig Mcleod, « les Émirats arabes unis constituent un marché stratégique pour BoxCommerce. [...] Avec le commerce mobile dominant et plus de 70% de la population effectuant des achats en ligne, le pays est sur la bonne voie pour augmenter la taille de son marché du commerce électronique à 48 milliards de dinars émirati [environ 13 milliards USD, Ndlr] d'ici 2028. Notre plateforme est conçue pour aider les entreprises locales à tirer parti de cette croissance explosive ».
Cette expansion témoigne d’une ambition de construire un outil flexible et accessible, capable de soutenir les petites entreprises partout dans le monde. Alors que l’e-commerce reste encore marginal dans de nombreuses régions d’Afrique, cette solution sud-africaine illustre une tendance de fond : celle d’une innovation née sur le continent, au service de ses propres défis.
Adoni Conrad Quenum
Edité par : Feriol Bewa
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Au Nigeria, l’accès à l’enseignement supérieur reste un défi majeur pour de nombreuses familles en raison des coûts élevés des frais de scolarité. Pour y faire face, la fintech PressPayNg propose une solution numérique innovante destinée à aider les parents à financer les études de leurs enfants.
PressPayNg est une solution fintech développée par une jeune pousse nigériane. Elle permet aux utilisateurs, en l’occurrence les parents d’élèves, d’épargner progressivement en vue du paiement des frais universitaires de leurs enfants. Son objectif est de permettre à chacun un parcours éducatif sans interruption pour défaut de moyens financiers. La start-up a été fondée en 2021 par Abiola Metilelu.
« Le coût moyen des universités publiques au Nigeria se situe entre 125 et 500 USD par an, le coût moyen des établissements privés est de 2700 USD par an et le taux annuel moyen d'abandon dans l'enseignement supérieur est de 18%. L'accessibilité et le financement de l'éducation sont devenus des défis fondamentaux pour les Nigérians » a indiqué la jeune pousse.
La solution dispose d’une application mobile accessible sur iOS et sur Android, où elle a été téléchargée plus 10 000 fois, selon Play Store. Outre l’épargne, elle offre également un accès à des prêts éducatifs flexibles, à des bourses et à des possibilités de parrainage, grâce à des partenariats avec des établissements d’enseignement, des entreprises et des donateurs.
La jeune pousse a pour mission de démocratiser l’accès à l’éducation grâce à la technologie. En facilitant la planification financière, elle s’adresse aussi bien aux parents qu’aux étudiants eux-mêmes, souvent confrontés à l’incertitude financière au moment des inscriptions.
Cette approche s’inscrit dans une dynamique plus large d’inclusion financière et sociale, où les fintechs jouent un rôle clé pour combler les lacunes laissées par les mécanismes traditionnels. Avec sa vision à long terme, PressPayNg ambitionne de bâtir un écosystème durable de financement de l’éducation, du premier versement de frais à l’insertion professionnelle, contribuant ainsi à une société plus équitable et mieux outillée pour l’avenir.
Adoni Conrad Quenum
Edité par : Feriol Bewa
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La start-up marocaine Chari, spécialisée dans les solutions e-commerce et fintech pour les épiceries de quartier, a conclu un partenariat stratégique de sept ans avec Visa pour promouvoir l'inclusion financière au Maroc. Cette collaboration vise à intégrer davantage de petits commerçants dans le système financier formel en transformant les transactions en espèces en paiements numériques via des terminaux de point de vente (POS).
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Face aux difficultés à localiser certains médicaments en pharmacie au Burkina Faso, une solution numérique bouleverse les habitudes. Elle vise à améliorer la traçabilité et assurer la sécurité des produits de santé, dans un environnement où la contrefaçon de médicaments demeure un problème.
Alliance Pharma est une application mobile développée par l’entreprise burkinabé Nonga Sarl. Elle permet de localiser rapidement les pharmacies disposant d’un médicament recherché, sans avoir à se déplacer inutilement. Elle propose aussi aux organismes de santé et entreprises des solutions numériques pour optimiser la gestion de la santé de leurs employés et/ou collaborateurs. Le projet a été lancé en 2021 par Kaleb Kapioko, un pharmacien de profession.
L’application est disponible sur iOS et sur Android où elle a déjà été téléchargée plus de 10 000 fois, selon Play Store. L’utilisateur se crée un compte et peut être mis en relation avec les officines disposant des produits demandés. Grâce à une base de données régulièrement mise à jour par les pharmacies partenaires, il effectue une recherche rapide par nom de médicament ou principe actif, et accède aux informations essentielles : disponibilité, nom de la pharmacie, localisation et contacts.
En plus de la géolocalisation des points de vente, Alliance Pharma propose un système de messagerie intégré qui permet aux utilisateurs de poser des questions ou de confirmer la disponibilité d’un médicament en temps réel. L’entreprise ambitionne d’élargir le réseau de pharmacies partenaires, tout en intégrant à terme des fonctionnalités supplémentaires comme la commande en ligne et la livraison à domicile.
Alliance Pharma s’inscrit ainsi dans une dynamique de numérisation du système de santé au Burkina Faso, en rapprochant efficacement l’offre pharmaceutique du besoin réel des patients.
Adoni Conrad Quenum
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À l’heure où les transactions en ligne connaissent une expansion fulgurante en Afrique, la Tanzanie s’engage dans un processus d’adaptation de sa fiscalité numérique. L’objectif est de capter les revenus générés par les plateformes, qu’elles soient locales ou étrangères.
Entre juillet 2024 et mars 2025, le gouvernement tanzanien a collecté 192,78 milliards de shillings tanzaniens (environ 71,5 millions de dollars) de recettes fiscales auprès de 1820 entreprises opérant en ligne, principalement dans le secteur des paris numériques. Ces chiffres ont été partagés au Parlement le mercredi 29 avril par le vice-ministre de l’Industrie et du Commerce, Exaud Kigahe (photo).
À cette même occasion, le responsable gouvernemental a annoncé que la Tanzanie finalise actuellement une stratégie nationale de commerce électronique. Cette feuille de route vise à adapter le cadre réglementaire aux évolutions du marché numérique et à maximiser les recettes fiscales générées par ce secteur en plein essor.
Parmi les mesures clés, la stratégie prévoit de renforcer les infrastructures des technologies de l'information et de la communication, de réviser les politiques publiques et les réglementations en vigueur, ainsi que d’améliorer les services de communication, de transport et de logistique. Elle met également l’accent sur la sécurisation des transactions en ligne et la sensibilisation du public à l’adoption des plateformes numériques.
Cette stratégie viendra s’articuler avec le dispositif fiscal déjà en place pour encadrer les services numériques. Depuis juillet 2022, la Tanzanie applique une taxe sur les services numériques (DST) de 2 % aux fournisseurs non-résidents de services électroniques, en plus d’une retenue à la source de 3 % pour les plateformes facilitant les échanges. Ces services sont également soumis à la TVA à un taux de 18 %. Ce cadre vise à assurer que les revenus générés localement, notamment par des acteurs étrangers, soient imposés équitablement.
En misant sur cette stratégie, les autorités espèrent stimuler l’usage du commerce en ligne, renforcer la collecte fiscale et lutter contre les activités numériques non déclarées. L’enjeu pour les autorités sera désormais de consolider cette croissance tout en encadrant les risques associés au secteur numérique, en particulier dans des domaines sensibles tels que les jeux d’argent en ligne.
Samira Njoya
Edité par Sèna D. B. de Sodji
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Depuis la pandémie de la Covid-19, l’apprentissage en ligne s’est popularisé en Afrique. Cette jeune pousse sénégalaise surfe sur cette nouvelle norme pour démocratiser l’accès l’éducation via son application mobile.
Yello est une solution edtech développée par une jeune pousse sénégalaise. Elle permet aux utilisateurs, en l’occurrence les élèves des classes de Seconde, Première et Terminale, d’accéder à des résumés de cours pratiques en texte et en audio. La start-up, basée dans la ville de Dakar, a été fondée par Stéphane Mancabo, Mohamed Aly Sidibe et Abdoulaye Ndiaye.
« Chez Yello, notre vision est de réinventer l'éducation en Afrique en la rendant accessible, interactive et personnalisée, grâce à des solutions numériques adaptées à chaque élève. Nous visons à briser les barrières à l'apprentissage en fournissant un environnement favorable et engageant qui favorise la croissance, la curiosité et la réussite des élèves du secondaire à travers le continent », a indiqué la start-up.
L’application mobile est disponible sur iOS et sur Android où elle a déjà été téléchargée plus de 10 000 fois, selon Play Store. Toutefois, la jeune pousse revendique une communauté de plus de 80 000 élèves, plus de 2 millions d’heures d’écoute et plus de 89% de taux de réussite au baccalauréat.
Pour accéder aux contenus de Yello, l’utilisateur télécharge l’application depuis Play Store (Android) ou l'App Store (iPhone). Il crée ensuite un compte puis accède aux contenus gratuits de l’application. S’il souhaite aller plus loin et accéder à des fonctionnalités supplémentaires, un abonnement payant est disponible.
L’edtech intègre plus d’un millier de résumés de cours, des quiz et des exercices pour progresser, des audios, des fiches de révision, des astuces et méthodes pour consolider ses acquis et viser l’excellence. Elle est également pensée pour répondre aux contraintes de connectivité et de coût, notamment en zones rurales, avec son mode hors connexion. Avec Yello, l’utilisateur peut ainsi apprendre à son rythme.
Incubée au sein de Teranga Tech et soutenue par le programme Orange Corners Dakar, la start-up mise également sur un système de parrainage intégré pour stimuler l’engagement communautaire et étendre son audience. En s’appuyant sur l’audio comme levier d’inclusion, Yello s’inscrit dans la dynamique des edtech africaines qui réinventent l’apprentissage pour répondre aux réalités locales.
Adoni Conrad Quenum
Edité par : Feriol Bewa
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Une jeune pousse tunisienne innove en croisant e-commerce, marketing et gamification. Elle révolutionne la gestion des invendus des marques et l'engagement des consommateurs via sa solution numérique.
En Tunisie, la start-up Millim propose une approche originale pour écouler les invendus : les transformer en lots à gagner via des jeux-concours en ligne. Via sa plateforme web, elle permet aux marques partenaires de donner une nouvelle visibilité à leurs stocks non écoulés tout en dynamisant leur image auprès des consommateurs. La start-up a été fondée en 2024 par Ayed Mami (photo) et Rahma Ben Abid.
« Nous permettons aux marques de transformer leurs invendus en expériences interactives via des jeux-concours, offrant ainsi aux consommateurs une nouvelle manière de découvrir, d’interagir et de gagner » a indiqué Rahma Ben Abid.
La solution ne dispose pas d’une application mobile. L’utilisateur s’inscrit sur la plateforme web et participe aux différents jeux et concours ludiques en ligne proposés par Millim. Chaque lot mis en jeu provient directement d'invendus, offrant ainsi une seconde chance à des articles neufs, mais souvent délaissés par les circuits traditionnels de distribution. Notons que les utilisateurs peuvent également gagner des points de fidélité, échangeables contre des biens et services au sein d'un réseau de partenaires.
Soutenue par le programme d'acceleration Orange Fab d'Orange Tunisie, Millim fait partie des jeunes pousses tunisiennes mises en avant pour leur capacité d'innovation. En combinant déstockage et engagement digital, la start-up s'inscrit dans une tendance qui amène à repenser la relation entre les marques et les consommateurs dans une logique plus durable et interactive.
À terme, la jeune pousse tunisienne ambitionne d'élargir son réseau de marques partenaires et d'exporter son modèle dans d’autres pays. À l’heure où les marques cherchent à mieux gérer leurs surplus tout en captant l’attention d’un public de plus en plus volatil, cette solution pourrait séduire bien au-delà du marché tunisien.
Adoni Conrad Quenum
Edité par : Feriol Bewa
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