L’immobilier est l’un des secteurs porteurs du continent. Pour profiter des opportunités du secteur, des tech entrepreneurs ont mis en place une solution numérique pour faciliter les investissements.

AlphabloQ est une solution numérique développée par une jeune pousse kényane du même nom. Elle permet aux utilisateurs d’acquérir et de vendre des biens immobiliers. La start-up, basée à Nairobi, a été fondée en 2022 par Trevor Kimani et John Mbui.

« Nous rendons les investissements immobiliers accessibles et rentables pour les investisseurs comme vous. En quelques étapes simples, vous pouvez vous aussi commencer à créer un patrimoine à long terme et générer des flux de trésorerie passifs mensuellement », indique la plateforme.

La solution ne dispose pas d’une application mobile. Il faudrait passer par un navigateur pour y accéder puis s’inscrire avec ses données personnelles. Après ça, l’utilisateur peut accéder aux différentes fonctionnalités intégrées à la solution. Il est possible de configurer votre compte en tant qu’investisseur ou comme vendeur. L’un ou l’autre vous donne des avantages intéressants.

Alors que l’investisseur cherche à acquérir des biens immobiliers ou une partie de ces biens, le vendeur met ses biens à la disposition de la start-up pour exploitation. A la fin du mois, chacun d’eux gagnera des revenus et si un investisseur veut se retirer, « notre fonction de négociation facile à utiliser facilite l'entrée et la sortie de tout investissement immobilier simplement en achetant ou en vendant votre part », peut-on lire sur la plateforme.

En janvier 2023, AlphabloQ a été sélectionnée avec onze autres start-up technologiques africaines pour participer au programme de l'accélérateur ARM Labs Lagos Techstars. L’initiative donne accès jusqu'à 120 000 $ en financement par actions et à d'autres types de soutien.

Adoni Conrad Quenum

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Entre les embouteillages et la qualité des voies, se déplacer dans les grandes villes africaines peut être compliqué. Pour aider les étudiants à se rendre plus facilement aux cours, des tech entrepreneurs ont décidé de mettre en place une solution sur mesure.

Schoolz est une solution numérique développée par une jeune pousse égyptienne. Elle permet aux utilisateurs, en l’occurrence les étudiants, de se rendre au campus. La start-up a été fondée en 2020 par Hosni Ahmed, Abdel Monsef Ismail et Ayman Hamza.

« Dans la première semaine de lancement, nous avons transporté le premier groupe d'élèves dans leurs écoles, puis nous avons transporté les enfants au club pendant le week-end. Rapidement, les écoles, les académies sportives et les clubs nous ont contactés pour faire appel à nos services. Nous leur avons immédiatement fourni les outils et la technologie de transport, que ce soit en utilisant notre flotte ou en utilisant le système Schoolz pour gérer le processus de transport de manière fluide et complète », a affirmé Hosni Ahmed.

La solution dispose d’une application mobile accessible sur iOS et sur Android. Il faut, dans un premier temps, télécharger l’application puis s’y inscrire. Après cette étape, l’utilisateur peut accéder à l’itinéraire des bus et prendre ses dispositions. Pour les enfants, ce sont les parents qui disposent du compte. Ils peuvent suivre en temps réel la position du bus.

Pour assurer la sécurité des uns et des autres, la start-up affirme utiliser des technologies modernes, des chauffeurs qualifiés, des superviseurs dans chaque véhicule et des caméras à l'intérieur de chaque bus. D’ailleurs, ces dispositions ont fait croître les téléchargements de la version Android de son application mobile. Plus de 5 000 téléchargements ont été effectués depuis le PlayStore.

Par ailleurs, il faut signaler que la jeune pousse veut se diversifier dans d’autres secteurs. Elle veut se développer dans le domaine des affaires et fournir des solutions SaaS à des entreprises en Arabie saoudite et en Egypte.

Adoni Conrad Quenum

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Passionnée par l’entrepreneuriat, elle veut contrôler toute la chaîne de valeur alimentaire afin de réduire considérablement les pertes de récoltes et de revenus des producteurs en Egypte. Avec son frère, elle développe une solution technologique pour atteindre ses objectifs.

Farah Emara (photo) est la présidente-directrice générale de la start-up agritech FreshSource. Originaire d’Egypte, elle est diplômée de la London School of Economics and Political Science où elle a obtenu un master en management en 2017.

Elle a fondé FreshSource avec son frère Omar Emara et a pour objectif de créer des systèmes alimentaires frais plus durables, grâce aux données et à la technologie, afin de transformer la vie des producteurs, des entreprises et des consommateurs.

L’idée de création de la start-up est née d’un constat fait par les deux cofondateurs. En effet, en Égypte, environ 30 % des récoltes des agriculteurs sont perdues en raison des mauvaises conditions de post-récolte, de stockage et de transport, ce qui met en péril la sécurité alimentaire du pays. Aussi, à cause du nombre élevé d’intermédiaires dans la chaîne d’approvisionnement et du manque de transparence, les producteurs perdent environ 80 % de leur revenu potentiel. 

Ainsi, avec plus de 80 employés, la start-up, lancée en 2018 à partir du Caire, gère l’ensemble de la chaîne de valeur des aliments frais, notamment le transport, le stockage et le conditionnement dans des entrepôts frigorifiques et des installations appropriées. Elle fournit aux producteurs des prix plus cohérents et vend au marché à un taux réduit.

Aujourd’hui, la plateforme qui sert des clients dans 11 villes égyptiennes veut devenir la principale plateforme de la chaîne d’approvisionnement agricole dans la région du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord, en changeant la façon dont les produits frais sont achetés, transportés et vendus. Elle a déjà transporté plus de 10 000 tonnes de produits et réalise plus de 1 000 livraisons par semaine.

« FreshSource bouleverse l’industrie agricole égyptienne en rationalisant la chaîne de valeur grâce à la technologie. Nous sommes la première plateforme B2B de la région pour les fruits et légumes frais, connectant les producteurs aux entreprises en exploitant les données et la technologie et en fournissant des solutions du dernier kilomètre », affirmait l’entrepreneure en 2022.

Avant de fonder FreshSource, Farah Emara a travaillé, entre 2012 et 2016, pour Endeavour, une communauté mondiale d’entrepreneurs à fort impact, en tant que gestionnaire de l’équipe de sélection et de croissance des entrepreneurs égyptiens. Elle a ensuite rejoint l’entreprise de biens de consommation Procter & Gamble où elle a travaillé en tant que gestionnaire d’entreprise stratégique pour le Proche-Orient jusqu’en 2018.

Sa start-up fait partie des 14 entreprises sélectionnées pour participer à l’Africa Tech Summit qui se passera les 15 et 16 février. En 2022, Farah Emara a été récompensée du Prix de l’agriculture numérique de l’année, décerné par la Banque mondiale et la Société financière internationale. 

Melchior Koba

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Jand2Gidi est une solution numérique développée par une start-up nigériane. Elle permet aux utilisateurs, en l’occurrence les commerçants, d’expédier leurs colis à l’international et d’assurer les livraisons à l’intérieur du pays. La start-up, basée à Londres, a été fondée en 2013 par Ujama Akpata et Kikelomo Fola-Ogunniya.

Pour accéder aux diverses fonctionnalités de la solution, il faudra se rendre sur sa plateforme en passant par un navigateur car elle ne dispose pas d’une application mobile. Après cette étape, il faut s’inscrire et créer un compte. L’utilisateur peut ainsi accéder au tableau de bord et s’il veut savoir comment fonctionne le service d’importation de la start-up, il lui faudra effectuer un abonnement et suivre le processus.

L’utilisateur peut s’abonner avec une seule adresse. S’il en veut une seconde, il devra payer mais cette fois-ci, Jand2Gidi effectue une réduction de 50 % sur le montant. Une fois les adresses obtenues, il est possible de faire envoyer des colis partout dans le monde. Il faut signaler qu’après avoir complété tout le processus, il faudrait étiqueter le colis exactement comme indiqué afin de recevoir des notifications dès la livraison à l’adresse de la jeune pousse.

Entre autres, Jand2Gidi proposent des services tels que des exportations du Nigeria vers n'importe quel pays du monde, les livraisons locales à Lagos via son service de vélos ou de camionnettes, des livraisons depuis Lagos et Abuja vers les 36 Etats du Nigeria, des services de transport et de déménagement ou encore le fret maritime de machinerie lourde, de voitures, d'articles volumineux d'autres pays vers le Nigeria.

En janvier 2023, la jeune pousse a été sélectionnée avec dix autres start-up pour participer à la troisième édition de l'accélérateur Africa Startup Initiative Program (ASIP). Les lauréats recevront un montant de 18 000 $ en fonds propres en plus de 750 000 $ de crédits, de services et de valeur en nature.

Adoni Conrad Quenum

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Dans le but d’augmenter la visibilité de l’artisanat égyptien, des tech entrepreneurs ont décidé de mettre en place une solution pour aider les artisans du pays à mieux vendre leurs articles, non seulement en Egypte, mais aussi dans le monde entier.

Muqbis est une solution de commerce électronique développée par une jeune pousse égyptienne. Elle permet aux utilisateurs, en l’occurrence les artisans locaux, d’attirer de nouveaux clients. La start-up a été fondée en 2021 par Iman El Wasifi, Mohamed Nasser et Kareem Hussein.

Pour accéder aux services de Muqbis, il faut se rendre directement sur l’adresse web de la boutique en ligne via un navigateur. Il est possible de surfer sur les diverses pages sans s’inscrire mais pour effectuer des achats, une inscription s’impose. Que ce soit de la poterie, de la broderie, des bijoux, des accessoires, des peintures d’art ou encore du travail de laiton, le commerce en ligne propose des produits de toutes sortes. Les artisans locaux proposant les articles dans ces diverses catégories disposent d'un espace numérique où ils peuvent vendre leurs produits dans toute l’Egypte et aussi à l’international.

Il faut signaler que l’algorithme de la plateforme met en valeur certains produits comme les meilleures ventes, les articles les mieux notés ou encore les articles en solde. Cette action permet d’augmenter la visibilité de certains articles, ce qui peut booster les ventes. En ce qui concerne les moyens de paiement, la boutique en ligne a préféré miser sur les cartes bancaires. Aucune solution de paiement mobile n’est disponible sur la plateforme.

Muqbis a mis en place une politique de retour en cas de défaillance. La start-up donne 30 jours pour retourner tout article défectueux à compter de la date à laquelle vous l'avez reçu. Aussi, pour être admissible à un retour, votre article doit être inutilisé et dans le même état que vous l'aviez reçu. Par ailleurs, Muqbis prévoit un plan d’expansion et elle a levé des fonds en décembre 2022 pour soutenir ce projet.

Adoni Conrad Quenum  

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La start-up sud-africaine d’e-commerce Yebo Fresh, spécialisée dans la commande et la livraison de produits d’épicerie et alimentaires frais aux épiceries des townships, a annoncé le mardi 24 janvier la levée réussie de 78 millions de rands (près de 4,5 millions $). Fruit d’un investissement en capital de pré-série A mené par Enza Capital (auquel ont participé Elea Foundation, Harvest, Endeavour, E4EAFrica) et d’une subvention du Fonds pour l'emploi, l’argent permettra à Yebo Fresh de se développer davantage, de renforcer considérablement son infrastructure et d'attirer de nouveaux talents.

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Dans le but d’aider les agriculteurs et les producteurs de produits frais, un tech entrepreneur a mis en place une solution pour connecter ces lieux de cultures avec des vendeurs locaux et du monde entier.

Mahaseel Masr est une solution numérique développée par une jeune pousse égyptienne. Elle permet de mettre les propriétaires de fermes en relation avec les acheteurs afin qu’ils puissent s’approvisionner en produits frais. La start-up a été fondée en 2019 par Mohamed Abdel Rahman.

« La demande de fruits et légumes de premier ordre à des prix compétitifs affiche une forte croissance, tirée par une augmentation rapide de la population mondiale et une sensibilisation accrue au numérique, en plus d'un besoin exigeant de stabilité de la chaîne d'approvisionnement mondiale », indique Mohamed Abdel Rahman.

La solution dispose d’une application mobile accessible sur Android. De là, les deux parties peuvent, après téléchargement et création d’un compte, faire des affaires. Il faut entrer le produit recherché dans la barre de recherches et la plateforme fournit les résultats. Autrement dit, elle fournit les fermes qui disposent des produits et leur position par rapport au votre. Ainsi, c’est en fonction des prix et de la localisation des fermes que l’acheteur prendra sa décision d’achat ou non.

Il faut signaler que la start-up s'appuie également sur la technologie de profilage géospatial des fermes (GPS) qui optimise la traçabilité des fermes enregistrées sur la plateforme pour améliorer son efficacité. A ce jour, elle revendique plus de 28 000 fermes et plus du million de tonnes de récoltes. Elle dispose d'acheteurs locaux mais aussi internationaux, ce qui facilite l’écoulement des produits. Selon le Play Store, la version Android de la solution a été téléchargée plus d’une centaine de fois.

Adoni Conrad Quenum

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Se déplacer dans les grandes villes africaines n’est pas une sinécure. Les solutions de mobilité se multiplient pour faciliter la tâche aux populations. Des tech entrepreneurs ont mis en place une solution et y ont intégré le problème du réchauffement climatique pour le bien-être de la planète.

Metro Africa Xpress est une solution numérique de mobilité développée par une start-up nigériane du même nom. Elle permet à ses utilisateurs de se mettre en contact avec des conducteurs de motos-taxis et de véhicules à énergie propre. La start-up a été lancée en 2015 par Adetayo Bamiduro et Chinedu Azodoh. Depuis son lancement, la start-up a déjà levé plus de 64 millions $ pour soutenir sa croissance dans la sous-région.

La solution dispose d’une application mobile accessible sur iOS et sur Android. Il faudra s’inscrire après téléchargement pour accéder aux fonctionnalités. « L'application MAX offre tout ce dont les opérateurs de transport auraient besoin pour se connecter aux clients ayant besoin d'un trajet (MAX Go), et aux entreprises ayant besoin de services de livraison (MAX Now) », peut-on lire sur la plateforme.

La start-up est également tournée vers la protection de la planète. C’est pour cette raison qu'elle fournit à ses chauffeurs des engins et des automobiles électriques. « Nous fournissons un accès au financement, à la propriété d'un véhicule, à un permis et à des forfaits d'assurance pour aider nos chauffeurs afin qu'ils puissent se concentrer sur l'acheminement de nos clients et de nos marchandises en toute sécurité vers leurs destinations », indique la plateforme.

MAX revendique plus de 18 000 chauffeurs, plus de 17 millions de trajets et plus de 150 millions de kilomètres parcourus. Par ailleurs, la start-up affirme que ses conducteurs ont des revenus moyens avoisinant les 12 $ par jour et jusqu'à 15 $ par jour une fois qu'ils acquièrent la pleine propriété de leur véhicule électrique. Actuellement présente dans sept villes africaines, elle veut passer à une dizaine de villes courant 2023.

Adoni Conrad Quenum

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En Afrique, le secteur de l'agriculture est essentiel pour assurer la subsistance des personnes vivant dans les zones rurales et leur fournir des revenus. Cependant la plupart des petits agriculteurs n’ont pas accès aux nouvelles technologies, ce qui ralentit leurs activités à l’ère où le numérique prime.

Heifer International, une organisation non gouvernementale internationale qui lutte contre la pauvreté et la faim dans le monde, va collaborer avec Mastercard pour faciliter l'accès des agriculteurs d'Afrique aux moyens d'e-paiement. C’est ce qu’a annoncé Mastercard à travers un communiqué publié le mercredi 25 janvier.

Dans le cadre de ce partenariat, Heifer International et Mastercard vont connecter des millions de petits exploitants agricoles d'Afrique subsaharienne au Community Pass de Mastercard, une plateforme numérique qui offrira une visibilité aux agriculteurs et qui leur permettra d'être payés plus facilement et plus rapidement pour leurs produits, et leur créera une présence numérique.

« Nous restons déterminés à faire en sorte que les petits exploitants agricoles disposent des ressources et du soutien nécessaires pour prospérer en tirant parti de l'innovation et de partenariats clés. Nous sommes fermement convaincus que les petits exploitants agricoles jouent un rôle primordial pour assurer la résilience et l'autosuffisance alimentaire agricole du continent », a déclaré, Adesuwa Ifedi, première vice-présidente des programmes pour l'Afrique de Heifer International.

En effet, les petits exploitants agricoles occupent une place importante dans l’économie africaine. Selon la Banque africaine de développement (BAD), l’agriculture contribue pour environ 30 % au PIB du continent. Néanmoins, ces agriculteurs, vivant majoritairement dans les zones éloignées et souvent hors ligne, ne parviennent pas facilement à écouler leurs produits et faire des transactions commerciales numériques.

En s’associant, Heifer International et Mastercard ambitionnent de faire progresser la numérisation et l'inclusion financière de ces agriculteurs. Le Community Pass de Mastercard permettra de relever les défis d'infrastructure qui se posent lors de la numérisation des communautés rurales, tels que le manque de fiabilité de la connectivité, le faible taux de possession de smartphones et l'absence d'identification ou d'accréditation cohérente.

Samira Njoya 

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La croissance économique et démographique dans les grandes villes africaines ont entre autres conduit à des difficultés de stationnement des véhicules. Pour aider les automobilistes de la ville de Lagos, un tech entrepreneur nigérian a mis en place une solution numérique.

Parkwell est une solution numérique développée par une start-up nigériane. Elle permet aux conducteurs de trouver aisément des places de parking dans la ville de Lagos. La start-up a été fondée en 2020 par Philip Ogunnaike.

La solution dispose d’une application mobile accessible sur iOS et sur Android. Il faudrait dans un premier temps télécharger l’application sur le Play Store ou l'App Store puis créer un compte avec son numéro de téléphone. Après cette étape, l'utilisateur peut surfer dans l’application et rechercher avec le GPS une place de parking. Effectuer une réservation puis profiter de votre place de parking en toute quiétude.

En ce qui concerne le paiement, la plateforme explique que « le prix total d'une réservation sur Parkwell est basé sur le tarif horaire ou journalier fixé par l'hôte, plus l'ajout d'autres frais ou coûts déterminés par le propriétaire du parking ou Parkwell, qui peuvent inclure une assurance de stationnement ». Il faut signaler que l’utilisateur notifie dans l’application la période ou le temps pour lequel il loue la place de parking. Néanmoins, il est possible de prolonger la location de la place en se rendant sur l’application. Notez que sa version Android a déjà été téléchargée plus de 500 fois.

Par ailleurs, les prestations sur Parkwell ne peuvent être payées en espèces. La start-up a intégré un portefeuille via lequel il est possible de payer, mais l’utilisateur peut opter pour les cartes de crédit ou de débit. Cette année, la start-up a été sélectionnée avec dix autres pour participer à la troisième édition de l'accélérateur Africa Startup Initiative Program (ASIP) qui se déroulera à Dakar au Sénégal. Les jeunes pousses sélectionnées recevront un montant de 18 000 $ en fonds propres et 750 000 $ de crédits, de services et de valeur en nature.

Adoni Conrad Quenum

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