Il propose une approche différente du règlement des achats au Maroc. Il permet aux particuliers de maîtriser leurs dépenses, facilitant ainsi l’accès aux biens et services dont ils ont besoin.

Brahim Zaid (photo) est un entrepreneur marocain spécialisé dans l’innovation financière. Il est le fondateur et directeur général d’Alya, une solution marocaine de paiement fractionné qui permet d’acheter immédiatement et de régler plus tard, en 2, 3 ou 4 mensualités.

Fondée en 2022, Alya se positionne comme un outil destiné à étaler le règlement des achats sur plusieurs mois. L’objectif est de permettre aux utilisateurs d’accéder à un bien ou un service sans avancer la totalité du montant, tout en répartissant le paiement pour mieux organiser leurs dépenses.

Alya s’appuie sur un système de paiement échelonné sans intérêts ni frais additionnels. L’utilisateur connaît dès le départ le montant total et l’échéancier exact. Ce fonctionnement limite les risques liés aux coûts d’endettement et répond aux interrogations fréquentes autour des solutions de crédit.

Alya est agréée par Bank Al-Maghrib et respecte les normes de la Commission nationale de contrôle de la protection des données à caractère personnel. La solution est également intégrée au Centre monétique interbancaire (CIM), ce qui renforce son cadre de fonctionnement.

Brahim Zaid est titulaire d’un bachelor en économie et finance obtenu en 2014 à l’université de Melbourne, en Australie. Il est aussi diplômé de l’université de Sydney, où il a obtenu en 2016 un master en gestion.

Il démarre sa carrière professionnelle en 2012 comme président de la Melbourne Microfinance Initiative. En 2015, il devient adjoint aux finances et aux opérations chez CliniCloud, une entreprise spécialisée dans les technologies appliquées à la santé. L’année suivante, il est consultant étudiant chez Deloitte à Sydney, avant de rejoindre Artesian en tant qu’analyste en capital-risque.

De retour au Maroc, il intègre Boston Consulting Group, une société de conseil aux entreprises, en 2019 comme associé. En 2020, il rejoint Southbridge A&I, une société marocaine de conseil en stratégie, en tant que consultant sénior. Entre 2021 et 2023, il travaille en indépendant comme consultant en stratégie.

Melchior Koba

Lire aussi:

Maroc : Younes Benboujida simplifie l’achat et la revente de voitures d’occasion

Published in Tech Stars

Au Nigeria, la fintech Karsa se présente comme une porte d’entrée vers le système bancaire américain. C’est un moyen simple, sécurisé et rentable de recevoir, épargner et dépenser des dollars, tout en profitant du potentiel des stablecoins.

Karsa est une solution développée pour une fintech nigériane éponyme. Elle propose aux Nigérians une solution bancaire virtuelle en dollars américains, avec un compte USD entièrement numérique et une carte Visa virtuelle. La start-up a été lancée en 2024 par Shahryar Hasnani et Dale Wilson.

« Au Nigeria, transférer de l'argent à l'international revient encore à utiliser une douzaine d'outils différents. Vous êtes payé via une application, vous convertissez votre argent via une autre, vous placez vos économies dans une troisième, et vous ne pouvez toujours pas dépenser facilement ces dollars », a déclaré Shahryar Hasnani à Disrupt Africa. Et d’ajouter : « il n'existe pas de solution simple et fiable pour gérer son argent à l'international, en particulier pour les travailleurs à distance, les freelances et tous ceux qui souhaitent conserver des dollars américains ».

La solution dispose d’une application mobile, accessible sur iOS et sur Android où elle a été téléchargée plus d’un millier de fois, selon les données de Play Store. Grâce à Karsa, les utilisateurs peuvent non seulement recevoir des paiements en dollars (par exemple depuis des marketplaces comme Upwork ou Fiverr), mais également envoyer des fonds vers n’importe quel compte bancaire dans le monde, avec des frais réduits. Le service vise à rendre plus fluide la mobilité financière pour les travailleurs internationaux, les freelances et toute personne ayant des revenus ou des obligations en devise étrangère.

La fintech permet également d’épargner en dollars tout en générant un rendement. Le site annonce un taux d’intérêt de 4 à 5 %, lié à des rendements sur des instruments « US Treasury yield ». Cette fonctionnalité permet aux utilisateurs de protéger leur épargne contre la volatilité du naira tout en bénéficiant d’un rendement attractif en dollars.

En matière de dépenses, Karsa indique que les utilisateurs pourront payer avec une carte Visa virtuelle à l’international, avec des frais parmi les plus compétitifs. La « roadmap » de la fintech prévoit aussi le lancement d’une carte physique à l’avenir.

Au Nigeria, où l’adoption des stablecoins est déjà très élevée, l’offre de Karsa pourrait séduire les utilisateurs souhaitant un refuge sécurisé et liquide dans une monnaie forte.

Adoni Conrad Quenum

Edité par M.F. Vahid Codjia 

Lire aussi:

Ghana : Soko Job aide à recruter du personnel en ligne

Published in Solutions

En observant les limites des outils de paiement disponibles, il a choisi d’en repenser l’usage. Il a conçu une interface qui réorganise la relation aux services de transfert d’argent.

Casimir Akuete Domlan (photo) est un entrepreneur togolais spécialisé dans le développement de solutions de technologie financière. Il est le directeur général de LeGombo, une fintech qu’il a fondée avec Attisso Luz Koumedzro.

Lancée en 2020 sous le nom d’eGo Transfert, LeGombo permet d’envoyer, de recevoir et de gérer de l’argent depuis une application ou une interface en ligne. La plateforme propose une manière d’exécuter ses transactions quotidiennes en contournant les contraintes récurrentes associées aux opérateurs ou aux systèmes de paiement établis.

La start-up repose sur une application et une interface web qui regroupent les opérations de l’utilisateur. Il s’agit d’un système qui relie l’utilisateur aux services financiers nécessaires (mobile money, cartes et autres moyens de paiement) afin d’exécuter ses opérations. Au-delà de l’envoi et de la réception d’argent, LeGombo offre des solutions de paiement en ligne. Les utilisateurs peuvent générer une carte virtuelle utilisable sur les plateformes de commerce en ligne et sur les services numériques. En octobre 2025, la société a étendu ses activités au Bénin et au Burkina Faso.

Casimir Akuete Domlan est titulaire d’une licence en architecture des logiciels obtenue en 2017 à l’École supérieure de gestion, d’informatique et de sciences (ESGIS) au Togo. Il détient également un certificat de manager d’unité opérationnelle délivré en 2021 par Ascencia Business School en France.

Entre 2017 et 2018, il a été community manager de l’ONG ASMADE, une organisation burkinabè engagée dans l’amélioration des conditions de vie et de travail. Il exerçait en parallèle comme community manager et informaticien pour Orange au Burkina Faso. En 2021, il a effectué un stage en gestion de projet innovant au sein de Togo Invest Corporation S.A.

En 2020, il a remporté le premier prix OpenHack organisé par NunyaLab et le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD). En 2022, il a obtenu le premier prix des Togo Digital Awards dans la catégorie « réalisation de l’année ».

Melchior Koba

Lire aussi:

Grâce à sa plateforme web, Kidolé facilite le pilotage des campagnes publicitaires

Published in Tech Stars

Au Nigeria, Juicyway veut s’imposer comme une fintech de référence. Elle est soutenue par une équipe issue de la banque, de la finance de change et des technologies de paiement.

Juicyway est une solution fintech développée par une jeune pousse nigériane éponyme. Elle permet tant aux particuliers qu’aux entreprises d’envoyer, de recevoir et de détenir des devises étrangères via une seule plateforme. La start-up a été fondée en 2021 par Ife Johnson, Justin Ziegler et Idris Ibrahim.

La solution répond aux contraintes souvent rencontrées en Afrique, notamment l’accès difficile à la liquidité en $, les taux de change défavorables et les délais longs pour les paiements internationaux.  Elle dispose d’une application mobile accessible sur iOS et sur Android où elle a déjà été téléchargée plus de 10 000 fois, selon les statistiques de Play Store.

« Nous avons identifié un manque évident en matière de plateforme de change et de paiement axée sur le B2B [business-to-business, Ndlr], capable d'offrir des comptes en dollars américains au nom des entreprises pour les créances internationales, de fournir des conversions de devises compétitives par l'intermédiaire de fournisseurs de liquidités réglementés et de permettre des règlements rapides à l'aide de stablecoins et de rails fiduciaires », a indiqué Ife Johnson à Disrupt Africa.

Concrètement, Juicyway permet d’ouvrir des comptes multidevises (naira, dollar américain, dollar canadien, livre sterling, euro, etc.) et même des portefeuilles de cryptomonnaie ; de recevoir des paiements internationaux via des comptes en dollar américain ou dollar canadien à votre nom, ce qui simplifie la facturation à l’étranger et aussi d’envoyer des fonds ou de convertir des devises à des taux compétitifs, et ce directement dans l’application.

L’entreprise se distingue par l’intégration d’infrastructures de paiement, de conversion de devises et de stablecoins, pour faciliter les échanges internationaux. Elle revendique un volume d’échanges déjà supérieur à 1 milliard $ et une base de plus de 12 000 clients entreprise. Juicyway se positionne donc comme une plateforme unique pour fluidifier les transferts internationaux, la réception de devises étrangères et la gestion multidevise, un pas important pour la digitalisation des paiements en Afrique.

Adoni Conrad Quenum

Edité par M.F. Vahid Codjia

Lire aussi:

Tunisie : WildyNess propose des circuits touristiques via sa plateforme

Published in Solutions

Il réorganise la manière dont les PME enregistrent et encaissent leurs ventes. Son approche place le smartphone au centre de la gestion commerciale.

Michael Okoye (photo) est un entrepreneur et un cadre nigérian installé à Abuja. Il est le fondateur et le directeur général de LooseChange, une entreprise de technologie financière dédiée aux petites et moyennes entreprises.

Créée en 2019, LooseChange a pour objectif de transformer le téléphone du commerçant en terminal de paiement sans équipement supplémentaire. Sa solution centralise la facturation et les données clients pour simplifier les encaissements et la gestion financière au quotidien. La start-up propose une suite logicielle permettant aux PME d’accepter des paiements numériques, d’émettre des factures et de tenir une comptabilité simplifiée à partir d’un smartphone.

Avec son offre, la plateforme réduit les coûts d’équipement, améliore la traçabilité des transactions et automatise l’émission des factures et reçus. L’objectif est de proposer un guichet unique permettant aux commerçants de suivre leurs ventes, d’exporter des rapports et de gérer leurs créances à partir d’une seule interface, quels que soient les modes de paiement utilisés.

En parallèle, Michael Okoye siège au conseil d’administration du Nur Outreach Programme for Drugs Education & Reintegration, une organisation nigériane engagée dans la prévention de la toxicomanie et la prise en charge des troubles de santé mentale. Il est diplômé de Caritas University au Nigeria, où il a obtenu un bachelor en génie électrique et électronique.

Il débute sa carrière professionnelle en 2012 en tant que responsable du développement exécutif chez Pyrich Group, une société spécialisée dans le développement de logiciels et le conseil en technologies de l’information et de la communication. En 2015, il rejoint Topaz ICT Solutions comme responsable du développement commercial jusqu’en 2019. En 2018, il était aussi le responsable des programmes du Conseil national de la jeunesse du Nigeria.

Melchior Koba

Lire aussi:

Dojah : Oluwatobiloba Ololade lutte contre la fraude en ligne

Published in Tech Stars

Il s’intéresse à un aspect souvent négligé du cycle financier : la réconciliation des données. Grâce à sa solution technologique, il renforce la transparence des échanges économiques et améliore la gestion financière.

Informaticien de formation, Tanoor Dieng (photo) est un entrepreneur sénégalais engagé dans le développement de solutions technologiques adaptées aux besoins des entreprises africaines. Il est cofondateur et directeur général de Juboo, une plateforme de réconciliation automatisée des flux financiers multisources conçue pour les équipes financières et opérationnelles.

Fondée en 2023, Juboo permet aux entreprises de garder la maîtrise de leurs flux financiers en automatisant le rapprochement entre différentes sources de données : banques, opérateurs de mobile money et journaux comptables. L’outil identifie rapidement les écarts et associe automatiquement les écritures comptables sans intervention manuelle.

La solution repose sur l’intelligence artificielle pour extraire et comparer les transactions à partir de fichiers PDF, d’images de relevés bancaires ou de journaux comptables, grâce à la reconnaissance optique de caractères (OCR) et à la vision par ordinateur. Des modèles d’apprentissage automatique permettent également de rapprocher des opérations même en l’absence d’identifiants communs entre systèmes hétérogènes.

Juboo intègre les données de plusieurs partenaires financiers et s’adapte aux particularités de chaque entreprise, quel que soit son environnement technologique. Elle s’adresse aux directions financières, comptables et opérationnelles qui gèrent des flux multicanaux et cherchent à fiabiliser leurs rapprochements entre systèmes internes, banques et opérateurs de paiement.

En parallèle, Tanoor Dieng est cofondateur et directeur des produits de Baamtu Technologies, une entreprise spécialisée dans les systèmes d'information, la science des données et l’intelligence artificielle. Fondée en 2008, Baamtu accompagne les organisations dans la mise en place de logiciels de gestion intégrée (ERP) et dans leurs projets de transformation numérique.

Diplômé de l’université de Caen Normandie en France, il y a obtenu en 2003 une maîtrise en informatique, puis un diplôme d’études approfondies en algorithmique et intelligence artificielle en 2004.

Melchior Koba

Lire aussi:

OneNine veut rendre l’IA universelle en valorisant les langues africaines

Published in Tech Stars

Au Cameroun, cette start-up opérant dans les technologies financières se positionne comme une solution innovante qui vise à rendre le paiement échelonné accessible à un public plus large.

MoloMoloPay est une solution fintech développée par une jeune pousse camerounaise éponyme. Elle permet aux utilisateurs de « réserver un produit, puis d’épargner progressivement jusqu’à pouvoir le récupérer ». La start-up, qui a des sièges sociaux à Abidjan en Côte d’Ivoire, à Douala au Cameroun et à Maurice, a été lancée en 2023 par Oussoumanou Sehou (photo).

La solution dispose d’une application mobile accessible sur iOS et sur Android où elle a déjà été téléchargée plus de 100 000 fois, selon les données de Play Store. Pour accéder aux services proposés, l’utilisateur installe l’application, s’inscrit en quelques minutes, choisit un objectif (smartphone, électroménager, moto…) puis effectue des versements réguliers selon son rythme. Une fois l’objectif atteint, l’article est disponible.

1 Molo

Ce modèle répond à des besoins spécifiques comme un fort usage du mobile money (Orange Money, MTN MoMo…), et une population jeune peu équipée mais désireuse d’accéder à des biens durables. L’application s’intègre à ces moyens de paiement et revendique +5000 produits dans +100 catégories via ses points partenaires, plus de 250 000 utilisateurs actifs et plus de 10 milliards FCFA (environ 17,6 millions $) de chiffre d’affaires depuis son lancement.

L’émergence de MoloMoloPay intervient dans un contexte où les solutions de paiement numérique se multiplient, mais où le modèle « acheter maintenant, payer plus tard » reste peu démocratisé. En s’orientant vers un système d’épargne intégrée plutôt que de crédit, l’application réduit les risques pour l’utilisateur et élargit l’accès au « paiement échelonné » à ceux qui n’ont pas accès aux solutions bancaires classiques.

Pour les commerçants partenaires, cela ouvre un nouveau canal de distribution. Leurs produits deviennent accessibles à une plus large clientèle, sans avance de fonds jusqu’au versement complet.

Les défis restent néanmoins nombreux : maintenir la discipline d’épargne, assurer la logistique de livraison des articles, et gagner la confiance des utilisateurs dans un environnement numérique encore en développement.

Adoni Conrad Quenum

Published in Solutions

Dans un secteur où les transactions restent souvent manuelles, il propose une alternative numérique. Sa solution simplifie l’échange d’argent pour les acteurs de l’économie informelle.

Kosta Scholiadis (photo) est un entrepreneur sud-africain actif dans le secteur des technologies financières. Il est le fondateur et le directeur général de Street Wallet, une start-up qui conçoit des solutions de paiement destinées à l’économie informelle.

Fondée en 2021, Street Wallet propose une plateforme de paiement et de gestion des encaissements conçue pour simplifier les transactions quotidiennes. Elle permet aux utilisateurs d’accepter des paiements, d’effectuer des versements et de recevoir leur argent sans complexité technique. L’objectif est d’offrir un outil clair et efficace pour améliorer la gestion de la trésorerie et soutenir l’activité des petits commerçants.

La solution s’adresse principalement aux vendeurs de rue, gardiens de parking, commerces de proximité et structures multisites souhaitant accélérer leurs encaissements et mieux fidéliser leur clientèle. Les paiements se font par QR code, utilisable aussi bien par le client que par le commerçant. Street Wallet garantit la disponibilité des fonds dès le lendemain, renforçant ainsi la stabilité financière des utilisateurs.

En août 2025, la start-up a levé 350 000 dollars pour étendre sa présence du Cap et de Durban à Johannesburg d’ici la fin de l’année. Un mois plus tard, elle a acquis Digitip, une plateforme spécialisée dans les pourboires numériques pour les travailleurs informels.

Avant Street Wallet, Kosta Scholiadis a lancé Sportnet, une base de données panafricaine dédiée au football et à la détection de jeunes talents. En 2016, il avait fondé en Afrique du Sud Total Football Academy, un centre de formation pour jeunes footballeurs.

Diplômé de l’université du Cap, il y a obtenu en 2022 un bachelor en modélisation financière et évaluation d’actifs. Entre 2019 et 2020, il a travaillé comme data analyst chez eGaming SA et a été l’entraîneur principal du club de football Goal50 United FC, évoluant en troisième division sud-africaine. De novembre 2021 à juillet 2025, il a occupé le poste de responsable produit chez AirPortr, une plateforme technologique londonienne spécialisée dans la gestion des bagages pour les compagnies aériennes.

Melchior Koba

Lire aussi:

Landile Mabele conçoit des drones autonomes pour optimiser les opérations industrielles

Published in Tech Stars

AfricInvest Fund IV prend une participation minoritaire significative dans Arrow Holding, groupe régional de technologies RH (Ressources Humaines) et d’intérim actif en Afrique et au Moyen-Orient. L’investissement financera la transformation digitale, le lancement d’un hub d’intelligence artificielle, et des acquisitions pour bâtir une plateforme panafricaine de staffing, favorisant mobilité des talents, emploi formel et bonnes pratiques de conformité.

Lire aussi:

La start-up Anda lève 3,4 millions $ pour financer les mototaxis en Angola

Published in Breves_Simple

Le fonds First Circle Capital obtient 6 millions de dollars (3,4 milliards de FCFA) de la Société financière internationale pour soutenir des fintech en phase de pré-amorçage et d’amorçage à travers l’Afrique. L'objectif est de constituer un portefeuille de 24 entreprises, avec appui opérationnel et préparation aux Series A. Le fonds a déjà réalisé 15 investissements sur huit marchés africains, 30 % des entreprises étant dirigées ou cofondées par des femmes.

Lire aussi:

Meta soutient 12 start-up IA en Afrique avec 200 000 dollars de subventions

Published in Breves_Simple
Page 3 sur 91

Please publish modules in offcanvas position.