Dans le but d’analyser des données sur le comportement des consommateurs sud-africains, des tech entrepreneurs ont décidé de mettre en place une application sur mesure.

Maholla est une solution technologique développée par une jeune pousse sud-africaine. Elle permet aux utilisateurs de gagner des points bonus sur tous les achats effectués. La start-up, basée à Amsterdam et au Cap, a été fondée en 2021 par Adam Reilly et Jed da Silva. Depuis son lancement, elle a levé environ 2,1 millions $ pour entre autres soutenir sa croissance.

L’application est accessible sur iOS et sur Android. L’utilisateur créera un compte avec son e-mail et son numéro de téléphone puis il commencera à scanner ses reçus dans l’application. Peu importe le magasin dans lequel il a effectué ses courses, il bénéficiera des points bonus qui, accumulés, vont valoir divers cadeaux tels que les temps d’antenne, l’accès à des jeux intégrés à l’application… Les points gagnés peuvent être plus importants lorsque les reçus scannés viennent des marques partenaires de la start-up.

La start-up utilise ces données à des fins de marketing. « Les données recueillies par plus d'un demi-million de reçus sur l'application Maholla indiquent que les membres de notre jeunesse se tournent vers les grossistes et les détaillants en vrac pour joindre les deux bouts », explique Adam Reilly dans un rapport. Maholla utilise ainsi son application pour recueillir des données sur les habitudes de consommation des Sud-Africains, ce qui pourrait aider ses firmes partenaires à ajuster leur politique au besoin.

La start-up est en pleine croissance. Le nombre de téléchargements de la version Android de son application a déjà passé la barre des 100 000 et elle a réussi, en avril dernier, un tour de table d’un montant de 1,5 million $. Maholla a enregistré plus de 8,5 millions de reçus, d’après ses données.

Adoni Conrad Quenum

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Le secteur africain de l’e-mobilité attire les géants du monde entier. Au Soudan, un tech entrepreneur s’est associé avec ses amis pour mettre en place une solution pour les concurrencer dans son pays.

Tirhal est une solution technologique développée par une jeune pousse soudanaise. Elle permet de mettre en relation passagers et chauffeurs dans quatre régions du Soudan. Basée à Khartoum, la start-up a été fondée en 2016 par Mohamed Elzakey, Omer Elzakey, Yaser Abba et Siddig Eltaj. Depuis son lancement, elle a déjà levé environ 500 000 $ pour soutenir sa croissance et développer sa technologie.

« La vision de Tirhal est de travailler pour faciliter la vie des gens en fournissant divers services de transport qui conviennent à tous les groupes », indique la plateforme.

La solution dispose d’une application mobile accessible sur iOS et sur Android. L’utilisateur s’inscrit en créant un compte, ce qui lui permet d’avoir accès aux diverses fonctionnalités de l’application. Pour faire une course, il suffit d’entrer sa destination, le type de véhicule et le point de départ, puis Tirhal affiche le tarif de la course. Il est également possible de faire une réservation de taxi pour une course ultérieure.

La start-up propose également des services de livraison. Que ce soit pour faire livrer un colis ou recevoir sa commande d’un restaurant de la ville, Tirhal dispose d’une flotte de plus de 200 motos pour effectuer la livraison dans les villes où elle opère. Pour les taxis, la start-up en possède 2 900 et ils ont déjà parcouru plus de 100 000 kilomètres. Pourtant les débuts n’ont pas été simples.

« Lorsque nous avons commencé, nous n'avions que trois voitures, celle de mon oncle et celles de deux de mes amis. Aujourd'hui, nous avons 45 000 conducteurs et 4,5 millions de clients », a expliqué Mohamed Elzakey en 2019.

Tirhal encaisse 10% du tarif de la course. C’est un faible pourcentage en comparaison à ce que perçoivent les start-up opérant dans le secteur. Néanmoins, cette stratégie, couplée à la qualité des véhicules de la flotte, a permis à la jeune pousse de s’imposer sur le marché soudanais. D'après les statistiques de Play Store, la version Android de l'application a déjà été téléchargée plus d'un million de fois.

En 2023, elle a fait partie des finalistes de l’AfricaTech Awards, un événement qui s’est déroulé le 15 juin dernier en marge du salon technologique parisien VivaTech.

Adoni Conrad Quenum

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Chari, une start-up marocaine d’e-commerce et de distribution, a récemment obtenu 1,5 millions de dollars de Verod-Kepple Africa Ventures (VKAV), le fonds de capital-risque lancé par le nigérian Verod et le japonais Kepple.

Selon les responsables de VKAV, l’investissement fournira l’élan nécessaire à Chari pour conduire ses plans de croissance et permettra de poursuivre le développement de son infrastructure de services financiers pour les masses.

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Pour conquérir le marché de leur pays, ces tech entrepreneurs ont reproduit le modèle d’Uber. Cette option est un succès et même sans levées de fonds significatives, la start-up est en pleine croissance.

Kubinga est une super application développée par une jeune pousse angolaise. Elle permet aux utilisateurs d’accéder à des services de VTC, de livraison de colis, de téléconsultation avec des experts (médecins, avocats, etc.) ou encore d’artisans à la demande. La start-up, basée à Luanda, a été fondée en 2017 par Darryl Nequetela, Emerson Paim et Alan Santos.

L’application mobile est accessible sur iOS et sur Android. L’utilisateur, après téléchargement, devra se créer un compte grâce à ses réseaux sociaux ou en utilisant son e-mail. Après cette étape, il pourra avoir accès à tous les services que propose la solution. « Il vous suffit de vous inscrire une fois sur cette application pour commencer à réserver des courses en taxi, envoyer des colis, commander de la nourriture et des produits d'épicerie en ligne et embaucher des esthéticiennes, des dépanneuses, des professeurs particuliers, des plombiers et bien d'autres professionnels », indique la plateforme.

Outre les téléconsultations, la plupart des services proposés par Kubinga requiert le déplacement des prestataires. Il est donc indispensable d’entrer votre position géographique pour suivre en temps réel la prestation si c’est éventuellement une livraison de colis. Il faut signaler que Kubinga s’est d’abord lancé dans la réservation de taxi puis a ajouté les services de livraison.

En 2018, la start-up a remporté l’étape angolaise du concours Seedstars. « Le fait d'avoir remporté l'événement Seedstars Luanda m'a fait comprendre que le travail acharné et l'engagement à apporter des solutions sont les meilleures raisons de justifier les longues nuits de travail et les réunions matinales pour apporter une valeur ajoutée à notre personnel et à notre communauté », a expliqué Emerson Paim.

La jeune pousse est toujours focalisée sur son extension locale mais elle aurait des vues sur d’autres pays lusophones du continent et ceux de la Communauté de développement de l’Afrique australe (SADC).

Adoni Conrad Quenum

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Alors que le secteur du commerce en ligne était en plein boom sur le continent, ce tech entrepreneur a décidé de se lancer dans le secteur de la livraison. Il a mis en place une application et propose un nouveau modèle pour se démarquer de la concurrence.

Fondée en 2020 par Yasser Hassan, Gooo Delivery est une application mobile qui permet aux utilisateurs de commander de la nourriture, des médicaments ou encore des produits d’épicerie. Depuis son lancement, la start-up basée à Gizeh a déjà levé environ 5 millions $ pour entre autres soutenir sa croissance en Egypte et développer sa technologie.

L’application mobile est disponible sur iOS, sur Android et dans l’AppGallery de Huawei. L’utilisateur devra disposer d’un compte, ce qui lui permet d’accéder aux boutiques partenaires de la start-up. Il pourra ainsi passer ses commandes dans ces boutiques et sera livré par les livreurs de la jeune pousse.

Contrairement aux autres start-up opérant dans le secteur de la livraison, Good Delivery propose plusieurs offres aux clients. En effet, outre le fait que le prix de la livraison est indépendant de la valeur de la commande, la jeune pousse propose un système d’enchères où plusieurs livreurs proposent un tarif pour effectuer la livraison et l’utilisateur opte pour ce qui lui convient le mieux. « Gooo a une grande compréhension du marché local, et c'est pourquoi le développement de notre plateforme est différent », indique Yasser Hassan.

D’après les données de Play Store, l’application enregistre plus de 50 000 téléchargements. Elle est donc en pleine croissance et rêve de conquérir le Moyen-Orient. « Les facteurs de succès pour l'étape actuelle sont le développement de nos capacités techniques, le développement de l'équipe et l'intégration, afin de tirer davantage parti de la confiance des clients que nous avons gagnée jusqu'à présent et d'atteindre nos objectifs », déclare Yasser Hassan.

Adoni Conrad Quenum

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Malgré le faible taux de pénétration d’Internet et des smartphones, les réseaux sociaux occupent une place importante dans le quotidien des Africains. Certains tech entrepreneurs locaux ont décidé de construire des solutions africaines répondant à ce besoin.

Turaco est une plateforme de réseau social développée par une jeune pousse centrafricaine. Elle permet aux utilisateurs d’interagir en publiant des avis, des photos, des vidéos ou encore en écoutant de la radio. Fondée en 2021 par Gamando Marius Roméo (photo, à droite), la jeune pousse a signé le vendredi 30 juin un accord de partenariat avec l’institut privé Gutschool pour qu'il dispose d'un compte sur Turaco et y publie les informations relatives à l’université comme sur Facebook ou encore sur Twitter.

« Turaco est un réseau social créée par un Centrafricain pour les Centrafricains et l'objectif est de pousser les filles et fils de ce pays à utiliser ce réseau social. Comme en Marketing, l’application Turaco est un produit et il faut le consommer. Nous cherchons à dynamiser cette application, raison pour laquelle nous lançons un appel aux jeunes de tout âge de venir sur cette plateforme pour se connecter librement et à moindre coût », a déclaré Roméo Marius Gamando.

La solution dispose d’une application mobile accessible uniquement sur Android. L’utilisateur, après téléchargement, va créer un profil et commencer à interagir avec ses contacts déjà présents sur la plateforme. Il est entre autres possible de contacter les autres utilisateurs par messagerie privée, de créer des groupes de discussions ou de rejoindre ceux qui existent déjà, d’écouter la radio ou encore d’accéder aux informations via les médias de masse.

« A travers ce réseau, les compatriotes d’ici et d’ailleurs peuvent suivre l’actualité du pays et écouter en direct plusieurs radios. La nouveauté est que les abonnés peuvent déjà faire des appels comme sur Messenger », indique Roméo Marius Gamando, trois mois après le déploiement de l’application.

Depuis son lancement, la version Android de l’application a déjà été téléchargée plus d’un millier de fois, d’après les statistiques de Play Store. La firme centrafricaine multiplie les actions pour faire adopter sa solution par sa population. Elle a plusieurs fois récompensé les meilleurs utilisateurs en leur partageant des smartphones.

Adoni Conrad Quenum

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Alors que la transformation numérique s’accélère, la Tunisie veut accélérer le développement de son secteur télécoms. Le pays d’Afrique du Nord voit dans les Etats-Unis un allié de taille pour atteindre cet objectif. 

Le ministre tunisien des Technologies de la communication, Nizar Ben Neji (photo à gauche) et son homologue chinois, Jin Zhuanglong (photo, à droite), ont signé, mardi 27 juin à Tianjin, un mémorandum d'entente dans le domaine technologies de l'information et de la communication (TIC), a annoncé l’agence Tunis Afrique Presse.

L’accord signé en marge d'une visite de Nizar Ben Neji en Chine vise à consolider la coopération des deux pays dans les TIC.

Le protocole prévoit la coopération dans un certain nombre de domaines, notamment les questions législatives et juridiques, l’infrastructure numérique, la recherche et l'innovation, le développement des compétences, le développement des technologies numériques, la cybersécurité, l'économie numérique, l'échange d'expertise.

La signature de ce protocole d’accord s’inscrit dans le cadre des actions engagées par le gouvernement tunisien en faveur de la transformation numérique. En janvier dernier, l’Instance nationale des télécommunications de Tunisie (INTT) avait signé un protocole d’accord similaire avec la Federal Communications Commission (FCC), le régulateur des télécoms des Etats-Unis d’Amérique, en vue de développer le secteur télécoms de leur pays respectif.

Le nouveau protocole permettra à la Tunisie de profiter de l’expertise chinoise et d’avancer considérablement vers la réalisation des objectifs de sa stratégie numérique dont l’échéance est prévue en 2025. Du côté de la Chine, le protocole donnera l'opportunité aux entreprises technologiques de l’empire du Milieu de s’implanter et multiplier leurs investissements en Tunisie.

Samira Njoya

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Comme de nombreux pays africains, la République démocratique du Congo dispose d’un important capital touristique. Pour permettre aux Congolais de la diaspora et aux étrangers de venir le découvrir, une start-up a mis en place une solution.

Yebo est une solution numérique développée par une start-up congolaise. Elle permet aux utilisateurs, en l’occurrence les étrangers et les membres de la diaspora africaine, de visiter la République démocratique du Congo en empruntant des circuits touristiques concoctés sur mesure. La start-up a été fondée en 2021 par Nelson Badibangi.

« Yebo est une solution innovante qui regroupe tous les tours-opérateurs en un seul lieu avec les meilleures offres de services touristique, afin de le rendre plus proches des consommateurs locaux et internationaux », peut-on lire sur la plateforme.

La solution dispose d’une application mobile depuis laquelle l’utilisateur, après son téléchargement, peut s’inscrire. Il pourra ensuite découvrir les offres de la jeune pousse et, en fonction de ses goûts, des activités et aussi de ses moyens financiers, il pourra opter pour l’un ou l’autre des circuits. Une barre de recherche permet de filtrer les circuits qui ne rentrent pas dans votre budget.

Que ce soit pour le transport lors du voyage, le logement court séjour, les accès touristiques aux diverses activités des parcs nationaux ou privés et/ou des sites touristiques en RDC, Yebo s’occupe de tout. La start-up assiste également lors des démarches administratives pour l’obtention du visa d’accès au pays. Elle a établi des contacts avec les autorités congolaises pour faciliter les différentes démarches. D’ailleurs, il est possible d’accéder au site des ambassades congolaises depuis la plateforme de Yebo.

La jeune pousse propose plus de 52 circuits touristiques. En juin 2023 lors de la semaine canadienne à Kinshasa, elle remporte le prix de l’entreprise congolaise à fort impact sur la coopération entre le Canada et la République démocratique du Congo.

Adoni Conrad Quenum

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Après avoir passé plusieurs années aux Etats-Unis, il rentre dans son pays natal le Togo pour fonder une start-up dans le but de réduire les coûts des frais de transport.

Lomé Taxi est une solution de VTC développée par une jeune pousse togolaise. Elle permet aux utilisateurs de se déplacer dans la ville en voiture à petits coûts en permettant aux clients allant dans la même direction de se partager les frais de transport. La start-up, fondée par Afery Johnson (photo, à gauche) en 2019, opère sur 11 zones délimitées dans l’espace urbain de la ville de Lomé.

« Le covoiturage à Lomé Taxi est né du besoin de baisser un peu le coût transport pour nos clients. Face à la hausse répétitive des prix du carburant, nous avons dû élever nos tarifs et nous avons remarqué qu’il y avait une baisse de l’utilisation de nos services qui est due à la cherté de la vie. En réfléchissant, nous avons trouvé une solution qui devrait permettre à nos clients de toujours utiliser nos services, et d’une manière abordable », a déclaré Afery Johnson.

La solution ne dispose pas d’une application mobile. Les utilisateurs y accèdent en passant par un navigateur. Il faudra entre autres renseigner des informations telles que la date de départ, l’heure de départ, le quartier de départ et la destination, le numéro de téléphone, l’adresse mail ou encore le nombre de passagers. Cette dernière information est nécessaire pour notifier à la start-up que vous êtes ouvert à partager votre course avec un tiers.

Outre la plateforme web, il est possible de recourir aux réseaux sociaux comme WhatsApp pour faire une réservation. Les SMS et les appels directs sont aussi des moyens de contacter la jeune pousse pour une réservation.

Lomé Taxi revendique plus de 25 voitures dans son parc et 5 bureaux dans la ville. Le tarif pour effectuer une course vers le centre-ville est de 2 000 FCFA ; il est de 3 000 FCFA vers les zones périphériques. Par ailleurs, elle propose un service spécial pour les personnes venues de l’extérieur.

« Le chauffeur vient les chercher à l'aéroport pour leur lieu de résidence, et pour ceux qui ne veulent plus louer des voitures qui leur coûtent chères durant leur séjour, le patron de la structure met à disposition son parc automobile pour leur déplacement selon leur emploi du temps à des tarifs très démocratiques », peut-on lire sur la plateforme.

Adoni Conrad Quenum

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Après une carrière professionnelle au Royaume-Uni, Amr Fawzi, un diplômé en génie mécanique, s’est associé avec trois amis pour embrasser le secteur entrepreneurial. Avec leur solution, ils ont révolutionné le secteur de la livraison au pays des pyramides.

GoodsMart est une solution numérique développée par une jeune pousse égyptienne qui permet aux ménages de commander, depuis une application mobile, des courses la veille et de recevoir le lendemain au réveil. La start-up, basée au Caire, a été fondée en 2013 par Ahmed Fawzi, Ahmed Sudan, Amr Fawzi et Rami Nassar. Depuis son lancement, elle a réussi à lever environ 4,4 millions $ pour soutenir sa croissance en Egypte.

« GoodsMart offre à ses clients la possibilité de commander une grande variété de produits couvrant la plupart des catégories nécessaires à tout ménage grâce à son application. […] L'objectif principal de GoodsMart est de répondre à l'évolution des besoins des ménages grâce à une solution sans tracas qui leur permet d'économiser du temps et des efforts, et d'améliorer ainsi leur bien-être », a déclaré Amr Fawzi.

Contrairement à ses concurrents, la jeune pousse a mis en place un système particulier. Il faut, dans un premier temps, télécharger l’application mobile qui est accessible sur iOS et sur Android. L’utilisateur devra ensuite créer son compte puis l’équipe de GoodsMart va le contacter pour l’activer puis fixer une date pour l’installation de la GoodsMart Box, une boîte dans laquelle les livreurs de la start-up mettent tous les produits commandés.

« Une fois votre compte activé et votre GoodsMart box installée chez vous, vous pouvez commencer à commander tout ce dont vous avez besoin via l'appli toute la journée jusqu'à 22h pour le recevoir le lendemain matin dans votre GoodsMart box sécurisé sans que l'on frappe à votre porte », peut-on lire sur la plateforme.

La start-up propose deux formules d’abonnement : la mensuelle facturée à 150 livres égyptiennes (environ 4,85 $) et l’annuelle à 1 420 livres égyptiennes. Il est important de signaler qu’avec l’abonnement, l’utilisateur ne paie plus les frais de livraison. Selon les données de Play Store, la version Android de l’application a déjà été installée plus de 50 000 fois.

Adoni Conrad Quenum

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