La start-up estonienne d’e-mobilité Bolt se lance en République démocratique du Congo. L’information a été relayée par plusieurs médias locaux. C’est le seizième pays dans lequel Bolt se déploie sur le continent. Comme au Botswana, en Namibie, au Zimbabwe et en Egypte où la jeune pousse s’est lancée plutôt dans l’année, elle renoncera aux frais de commission des chauffeurs pour faciliter sa croissance sur son nouveau marché.
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ORA Technologies, une start-up marocaines opérant dans le développement des solutions de commerce électronique, a annoncé le mardi 13 mars la réussite d’un tour de table d’un montant de 1,5 million $. Les fonds, mobilisés auprès d’entrepreneurs locaux, seront utilisés pour développer sa technologie, notamment pour lancer un portefeuille numérique, et accélérer sa croissance.
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Après des études supérieures à l’Institut supérieur de technologie d’Antananarivo, il se lance dans l’entrepreneuriat numérique avec la mise en place d’un réseau social éducatif qui a évolué pour devenir une edtech.
Isikaray est une solution edtech développée par une jeune pousse malgache. Elle permet aux utilisateurs, en l’occurrence les élèves des collèges et lycées, d’accéder à des formations et des cours vidéo. La start-up, basée à Antananarivo, a été lancée en 2022 par Louis Venceslas Tsira.
La solution ne dispose pas d’une version web. Elle est seulement disponible sous la forme d’une application mobile accessible uniquement sur Android. L’utilisateur, après téléchargement, peut se créer un compte et accéder aux divers services de l’application. La bibliothèque des cours et des formations est disponible en streaming et en téléchargement, ce qui permet de visualiser les contenus hors connexion.
L’application dispose d’un mode gratuit et d’un mode payant. Pour passer à celui-ci, il faut appuyer sur le bouton éponyme ce qui permettra d’accéder à toute la palette de fonctionnalités qu’offre l’edtech. En effet, outre les cours et les formations, Isikaray intègre un réseau social où les utilisateurs peuvent interagir. Il est accessible lorsque le mode payant est activé.
L’utilisateur peut ainsi acheter des forfaits exclusifs pour accéder aux contenus de la plateforme, notamment avec l’opérateur Orange. Si le forfait est activé, l’on peut voir la date d’expiration du forfait dans un cadre noir situé en haut de l’écran d’affichage. Avant qu’il n’expire, l’utilisateur peut télécharger les vidéos de cours et de formations de son choix, discuter via le réseau avec d’autres lycéens, etc.
Par ailleurs, il faut souligner que les formations d’Isikaray ne disposent pas encore de certification et ne sont pas diplômantes, mais selon la start-up, cela fait partie de leurs objectifs.
Adoni Conrad Quenum
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Dans le but de faciliter les courses pour les populations de Kinshasa, un tech entrepreneur a mis en place une start-up spécialisée dans la vente en ligne.
eMart.cd est une plateforme de commerce en ligne développée par une jeune pousse congolaise. Elle permet aux utilisateurs de faire leurs courses en ligne. La start-up, basée à Kinshasa, a été fondée en 2016 par Bonny Maya.
« Nous permettons aux producteurs locaux d’exposer leurs produits et d’avoir de nouveaux débouchés. La diaspora congolaise peut approvisionner sa famille en denrées alimentaires, chaque mois, en réglant sa commande sur notre site web. Nous encourageons et assurons la promotion des produits made in Congo, afin d’inciter à consommer local. Et commercialisons aussi des produits importés », a indiqué Bonny Maya.
La solution est seulement accessible sur le web donc il faut passer par un navigateur pour accéder au site Internet. Sans disposer d’un compte, l’utilisateur peut surfer sur la plateforme et découvrir les divers produits en vente, en l’occurrence les produits locaux. Entre autres on retrouve sur eMart.cd des fruits et légumes, des boissons et des jus ou encore divers types de farine (semoule, blé, maïs, etc.).
Pour valider une commande, l’utilisateur est tenu de fournir un certain nombre d’informations telles que le nom, le prénom, le pays ou encore la ville de facturation. Ces informations sont nécessaires puisque la jeune pousse donne la possibilité aux membres de la diaspora d’effectuer les commandes depuis leur situation géographique pour faire livrer à leur famille au Congo. Il faut souligner qu’en fonction de la disponibilité des produits et de la zone de livraison, le délai et le tarif de la livraison peuvent varier. En ce qui concerne les paiements, la jeune pousse intègre des solutions de paiements mobiles, les cartes bancaires et les paiements en espèces à la livraison.
Bonny Maya a également créé une start-up qui opère dans la livraison pour gérer les commandes sur eMart.cd. Néanmoins, cette jeune pousse n’est pas uniquement dédiée à sa plateforme en ligne. Elle collabore également avec d’autres entreprises dans le cadre de la livraison des colis. Par ailleurs, outre la vente en ligne, eMart.cd développe d’autres sources de revenus pour soutenir sa croissance. La plateforme se tourne vers la publicité pour différentes entreprises pour augmenter ses marges.
Adoni Conrad Quenum
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Dans le but de mettre en lumière les artistes gabonais, un tech entrepreneur a décidé de mettre en place un annuaire numérique accessible à tous. C’est ainsi que Dengui, qui signifie « trouver » en langue simba, a été lancé.
Dengui est une solution numérique développée par une jeune pousse gabonaise. Elle permet aux utilisateurs, en l’occurrence le grand public, de se mettre en relation avec les artistes locaux dans toutes les provinces du pays. La start-up a été lancée en 2024 par Franck Stéphane Dibault.
« Dengui veut dire trouver en simba, langue du Gabon. C’est donc une plateforme qui permet de trouver plus facilement les acteurs culturels gabonais en fonction des besoins exprimés par celui qui les cherche, et même en fonction de la région où l’on se trouve. Par exemple, si vous cherchez cadreur Mouila, le site vous affichera tous les cadreurs répertoriés dans cette ville, originaire ou simplement résident », a indiqué Franck Stéphane Dibault.
La solution ne dispose pas d’une application mobile. Il faut se rendre sur le site web depuis un navigateur pour y surfer. L’utilisateur n’est pas tenu de créer un compte pour accéder aux coordonnées de l’artiste qu’il recherche. Cette fonction est réservée aux artistes tels que les musiciens, les sculpteurs, les peintres, les photographes, les créateurs de mode ou encore les architectes.
Ceux-ci, pour s’enregistrer, devront fournir des informations telles que leur adresse e-mail, leur province d’origine ou celle de résidence, leur nom d’artiste, leurs nom et prénom, leurs numéros ou encore une description de leur profil. Toutes ces dispositions facilitent les recherches aux utilisateurs pour prendre contact avec un artiste inscrit sur Dengui. La plateforme est donc une forme d’annuaire numérique qui regroupe les professionnels et amateurs d’arts.
L’utilisateur, en fonction de ses recherches, peut accéder à la fiche d'un artiste enregistré sur l’annuaire. Il y trouvera toutes les informations nécessaires pour prendre contact avec lui en dehors de la plateforme, de ses médias sociaux à son adresse e-mail en passant par son numéro de téléphone professionnel.
Adoni Conrad Quenum
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Après des études en France et des stages et postes à Goldman Sachs, Rothschild & Co ou encore à Deloitte, ce tech entrepreneur sénégalais a décidé de rentrer en Afrique pour mettre en place sa start-up.
Socium est une solution numérique développée par une jeune pousse sénégalaise. Elle permet aux utilisateurs de rechercher et de trouver de l’emploi, et aux entreprises de dénicher les talents en quête d’emploi ou de nouveaux challenges. La start-up, basée à Dakar, a été fondée en 2021 par Samba Lo.
En 2022, Socium a levé un montant de 1 million d’euros pour développer sa technologie et accélérer sa croissance sur le continent. Elle dispose de hubs à Abidjan, en Côte d’Ivoire, et à Douala, au Cameroun, où la start-up s’est implantée en novembre 2023 pour mieux se déployer dans la région Afrique centrale.
« Socium vient d’une expérience personnelle. Quand je vivais encore à Paris, j’ai eu envie de revenir en Afrique et très rapidement, l'expérience a été très pénible parce que c'était très difficile de trouver des offres d'emploi en ligne. Je me suis rendu compte qu'il y avait un problème autour de l'accès à l'emploi, même pour quelqu'un qui a peut-être un background assez intéressant », a indiqué Samba Lo à We Are Tech Africa.
La solution ne dispose pas d’une application mobile. Il faut se rendre sur le site web pour accéder aux diverses offres d’emploi disponibles. L’utilisateur n’a pas besoin de disposer d’un compte au préalable sur la plateforme. S’il trouve une offre d’emploi qui l’intéresse, il clique sur le post et fournit son adresse e-mail et son curriculum vitae.
Avant de poursuivre la procédure, Socium met à la disposition de l'utilisateur des contenus vidéos qui permettent de s’informer sur l’entreprise dans laquelle l’on postule. Entre autres, il pourra découvrir le secteur dans lequel exerce l’entreprise, sa culture, les valeurs qu’elle prône ou encore les avantages à y travailler.
La jeune pousse sénégalaise se positionne également sur le segment de la digitalisation des processus de ressources humaines pour les entreprises. L’objectif est de permettre aux entreprises qui opèrent sur le continent d’être plus efficientes dans leur fonctionnement, la gestion de leurs ressources humaines, c’est-à-dire la gestion de leurs bulletins de paie, de leurs demandes de congés, de leur performance, etc.
Pour mieux gérer ces volets, Socium s’est tournée vers l’utilisation de l’intelligence artificielle générative pour automatiser un certain nombre de tâches. « Aujourd’hui, quand je régis une fiche de poste sur Socium, c'est fait automatiquement. Quand j'ai des candidats qui postulent chez moi, j'ai des algorithmes de scoring qui me disent qui sont les candidats les plus adaptés, etc. », explique Samba Lo.
Adoni Conrad Quenum
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Après des études au Canada, ce tech entrepreneur a occupé divers postes depuis 1992 et a lancé une entreprise en 2012. Il s’est lancé dans l’aventure de TooShare en 2020.
TooShare est une plateforme de réseau social développée par une jeune pousse sénégalaise. Elle permet aux utilisateurs de partager divers contenus tels que des photos, des vidéos, des documents et de créer ou d’accéder à des cours en ligne. La solution a été lancée en 2021 par Abdoulaye Mbengue.
La solution dispose d’une application mobile accessible uniquement sur Android. L’utilisateur, après téléchargement, crée un compte avec ses informations personnelles. Après cette étape, il faudra cocher des cases où la plateforme propose de fournir des informations relatives aux centres d’intérêt. L’utilisateur pourra ensuite accéder à son fil d’actualité où il ne verra que les comptes des personnes partageant les mêmes centres d’intérêt que lui. Il pourra partager un texte, une photo, une vidéo, un document ou encore accéder à Eduspace.
C’est via cet espace qu’il pourra découvrir les classes en ligne où diverses matières sont enseignées. En fonction des centres d’intérêt, l’utilisateur pourra retrouver des classes dispensant des cours en codage, en marketing, en mathématiques ou encore en graphisme. En 2023, le réseau social a permis aux élèves sénégalais de mieux réviser pour les examens de fin d’année à cause du contexte politique dû aux manifestations pro-Sonko qui ont perturbé le déroulement de l’année scolaire.
Il faut souligner qu’en cliquant sur le bouton « Créer » dans le coin supérieur droit, l’utilisateur peut créer des quiz, partager des astuces et des cours, créer un groupe de discussion ou encore une classe en ligne. Il pourra ajouter des contenus de son choix pour enrichir sa classe en ligne, ce qui pourra attirer d’autres utilisateurs cherchant à s’instruire. Depuis le lancement de TooShare, la version Android de l’application mobile a été téléchargée plus de 10 000 fois, d’après les statistiques de Play Store.
Adoni Conrad Quenum
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En février 2023, l’estonien Bolt a annoncé un investissement de 500 millions $ sur les deux prochaines années pour accélérer sa croissance en Afrique. Depuis le début de l’année 2024, la start-up multiplie les expansions sur le continent.
La start-up estonienne d’e-mobilité Bolt s’est lancée au Caire, en Egypte. L’annonce a été faite par le cofondateur Martin Villig dans un post sur X le lundi 4 mars.
L’Egypte est le quinzième pays dans lequel Bolt s’étend, le deuxième en Afrique du Nord après la Tunisie en 2019. La jeune pousse compte s’imposer sur ce marché en supprimant pendant les six premiers mois sa commission de 15% perçus chez les chauffeurs et en offrant une réduction de 50% aux clients.
.@BoltApp launched in #Cairo, Egypt this week ahead of my #LEAP24 visit for #Mobility talks in Saudi Arabia. Read about Bolt's plans for MENA expansion.
— Martin Villig 🇪🇪 (@waldec) March 4, 2024
PS. @koodjohvi @Kunnapas open for MENA partnerships for teaching new coding talent by 🇪🇪 experiencehttps://t.co/E7sq7OqRyJ
Eduard Suchanek, directeur régional de Bolt pour le Moyen-Orient et l'Afrique du Nord, affirme : « l'entrée de Bolt dans l'une des plus grandes économies d'Afrique du Nord souligne notre engagement à révolutionner la mobilité dans la région. En proposant des services de covoiturage adaptés aux besoins des particuliers et des entreprises, Bolt vise à offrir aux Egyptiens des options de transport pratiques, fiables et abordables ».
Bolt soutient sa croissance sur le continent dans un contexte marqué par le ralentissement des financements dans le secteur technologique. Les investissements ont diminué de 54 % à 2,3 milliards $, selon les données du fonds de capital-investissement Partech Africa. Cette tendance baissière a affecté la plupart des segments dont l’e-mobilité où le total de capital levé est passé de 195 millions $ en 2022 à 48 millions $ en 2023, soit une chute de plus de 75 %, d’après la même source. La start-up estonienne a déjà mis en place son plan de croissance en décidant dès février 2023 d’investir 500 millions $ sur le continent africain sur les deux prochaines années.
Avec sa nouvelle expansion en Egypte, Bolt veut conquérir l’Afrique du Nord et le Moyen-Orient (MENA), une région où elle est peu présente et qui est dominée par l’américain Uber et l’émirati Careem.
Adoni Conrad Quenum
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Avec pour objectif de contribuer à l’essor de l’économie numérique sur le continent, un tech entrepreneur a mis en place une solution edtech. Il veut atteindre 10 millions d’Africains dans les 10 prochaines années.
GetBundi est une solution edtech développée par la firme nigériane Wings of Justice Limited. Elle permet aux utilisateurs d’accéder à des contenus éducatifs dans le domaine des sciences, de la technologie, de l'ingénierie et des mathématiques (STEM) et des compétences numériques. La plateforme a été lancée en juin 2022 par Osita Oparaugo.
« GetBundi ne remplace pas la méthode traditionnelle d'enseignement ou l'école secondaire physique. Il s'agit plutôt d'un complément qui peut être utilisé comme aide à l'enseignement, pour soutenir l'apprentissage continu des élèves scolarisés et comme guide d'étude pour les élèves non scolarisés ou scolarisés à domicile », indique le fondateur de l’edtech lors du lancement de la solution.
GetBundi, en plus de sa plateforme web, dispose d’une application mobile accessible sur iOS et sur Android. L’utilisateur, après téléchargement, devra se créer un compte pour accéder aux différents contenus disponibles sur la plateforme. Il peut opter, en fonction de ses besoins, pour les STEM ou pour les compétences numériques telles que l’intelligence artificielle, le codage, le marketing digital ou encore la cybersécurité. L’edtech met gratuitement à la disposition de ses utilisateurs certains cours.
Osita Oparaugo a mis en place la stratégie The GetBundi Vision 2032 pour atteindre dix millions d’Africains dans les dix prochaines années. L’edtech dispose de 107 instructeurs et de 2 733 étudiants. Elle dispense 21 cours en direct et 117 vidéos de cours sont accessible sur ses plateformes web et mobile. Depuis son lancement, la version Android de l’application mobile a déjà été téléchargée plus d’un millier de fois, d’après les données de Play Store.
Adoni Conrad Quenum
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Par le biais de KudiGo, l’entrepreneur propose une infrastructure technologique qui redéfinit la manière dont les micros et petites entreprises opèrent en Afrique. Son but est de transformer le paysage du commerce de détail sur le continent.
Kingsley Abrokwah (photo) est un jeune entrepreneur et un informaticien ghanéen. Il est le fondateur et le principal facilitateur de KudiGo, une start-up qui a pour objectif de renforcer le commerce de détail africain grâce à des solutions technologiques locales.
Fondée en 2017, KudiGo offre une infrastructure de commerce numérique omnicanal pour les détaillants de micro et petites entreprises en Afrique. Ses solutions comprennent une vitrine en magasin, une boutique en ligne sans code, un bot WhatsApp et des solutions de données pour les entreprises. La start-up propose également une infrastructure en marque blanche pour les produits de grande consommation, les banques, les fintechs et d’autres parties prenantes.
Le Ghanéen est titulaire d’un diplôme professionnel supérieur en ingénierie des réseaux obtenu en 2010 à la National Institute of Information Technology (NIIT) Ghana Ring Road Centre. Depuis octobre 2017, il est un consultant de Topia Technology Consult, une entreprise spécialisée dans l’infrastructure cloud, la sécurité dans le cloud et la stratégie numérique. Il est aussi, depuis février 2024, un mentor d’entreprise d’Ashesi Venture Incubator, un incubateur qui forme les entrepreneurs émergents à intégrer dans leurs modèles d’entreprise des résultats axés sur les ODD (objectifs de développement durable).
Avant KudiGo, Kingsley Abrokwah avait cofondé, en 2013, Chillax, une application mobile qui fournit des recommandations de sorties sur mesure, dont il était le chef d’équipe jusqu’en 2015. Il a également travaillé pour plusieurs entreprises.
Entre 2010 et 2022, il a dirigé PentiumTech successivement en tant qu’associé gérant et président-directeur général. Parallèlement, l’entrepreneur travaille, entre 2014 et 2015, pour Apurimac Media, un média numérique et une agence de marketing basée en Afrique du Sud, en tant que responsable du développement des affaires. En 2023, il occupe le poste de consultant exécutif intérimaire de iJANU, une société de technologie de l’e-mobilité qui se concentre sur la mobilité écologique et équitable dans les marchés africains.
Kingsley Abrokwah a été un élève de la Meltwater Entrepreneurial School of Technology (MEST) entre 2013 et 2014. En 2013, il a remporté le Startup Weekend Accra avec sa solution Chillax. Il a aussi été finaliste à DemoAfrica en 2017.
Melchior Koba
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