Il est un entrepreneur avec plus de 17 années d’expérience dans les domaines de la technologie et du conseil. Il permet aux fabricants de biens de consommation d’écouler plus facilement leurs marchandises.

Onyekachi Izukanne (photo) est le président-directeur général de TradeDepot, une plateforme numérique qui met en relation les petits détaillants africains et les producteurs mondiaux de biens de consommation.

Fondée en août 2016 par Onyekachi Izukanne, Michael Ukpong et Ruke Awaritefe, l’entreprise propose plusieurs services. D’abord, elle collecte des informations commerciales réelles, provenant de transactions réelles, dans le but de classer les produits qu’elle réceptionne dans les bons magasins de détail au moment opportun.

Elle s’occupe de l’inventaire, de l’expédition, des retours et du service à la clientèle des fournisseurs par l’intermédiaire de ces centres de distribution implantés à travers l’Afrique. L’entreprise accorde aussi des microcrédits aux détaillants pour leur permettre d’acheter davantage de produits dans le but d'accroître leur activité.

« Nous nous concentrons sur la distribution, qui est un problème très concret, car pour acheter n’importe quel article dont nous avons besoin, la distribution est nécessaire pour l’acheminer du fabricant jusqu’à nous. Qu’il s’agisse d’une chemise, d’un produit alimentaire ou d’un article numérique, il faut qu’il y ait une distribution », a déclaré Onyekachi Izukanne lors d’un entretien avec Nairametrics en 2022.

Grâce à la plateforme de commerce électronique business to business de TradeDepot, les produits des fournisseurs peuvent être commandés par les magasins de détail 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, et cela sans risque de rupture de stock des produits dans les points de vente.

En 2020, TradeDepot comptait déjà plus de 200 employés et environ 40 000 micro-détaillants utilisant sa plateforme pour se procurer des produits ménagers de base auprès de fabricants comme Unilever, Nestlé, Danone, Kellogg’s…

Avant TradeDepot, Onyekachi Izukanne a cofondé C2G Consulting, une entreprise de conseil et d’intégration de solutions d’entreprises aux entreprises. Il y a occupé le poste de partenaire de gestion entre 2004 et 2017 et est depuis 2018 le directeur non exécutif de l’entreprise.

Sa carrière professionnelle a cependant commencé en 2013 à Mobilizr LLC, une entreprise qui fournit aux marques une plateforme de marketing numérique axée sur le bouche-à-oreille et alimentée par une vaste communauté d’utilisateurs de médias sociaux mobiles, où il était conseiller.

Melchior Koba

Lire aussi :

Nigeria : Temitope Ogunsemo conçoit et déploie des logiciels pour les institutions pédagogiques

Published in Tech Stars

Wasoko, une start-up kényane opérant dans le secteur du commerce électronique, a annoncé le vendredi 12 mai son expansion sur le marché zambien. Son objectif est de supprimer les couches de distributions dans le pays et d’offrir des services et des prix abordables aux commerçants zambiens qui pourront directement passer leurs commandes depuis l’application de la start-up. Pour atteindre ses objectifs, Wasoko a précisé qu’elle investira plus d’un million de dollars en Zambie.

Lire aussi : 

Kenya : Wasoko, une solution d'e-commerce B2B déjà présente sur plusieurs marchés africains

La start-up d'e-commerce Wasoko lance un centre d'innovation en partenariat avec le gouvernement de Zanzibar

Published in Breves_Simple

DigsConnect, une start-up sud-africaine d’annonces immobilières, a annoncé le lundi 8 mai, par l'intermédiaire de sa cofondatrice Alexandria Procter, l’investissement d’Intaba Capital, une société sud-africaine d’investissement et de conseil dirigée par des femmes, dans son tour de table de série A en cours. Le montant investi n’a pas été dévoilé.

Lire aussi : Twitter a lancé les messages directs cryptés

Published in Breves_Simple

Les tech entrepreneurs africains proposent de plus en plus de solutions locales pour améliorer le quotidien des professionnels de divers secteurs. La proptech, bien que moins en vue que d’autres secteurs technologiques, a son lot d’innovations.

ReOS est une plateforme proptech développée par une start-up sud-africaine. Elle permet aux professionnels de la location, les agences et les travailleurs indépendants, d’automatiser la plupart de leurs tâches mensuelles telles que la facturation, les recouvrements, les paiements, les communications ou encore les rapports. La jeune pousse, basée dans la ville du Cap, a été fondée en 2018 par Craig Buckley.

« Il y a eu beaucoup d'enthousiasme autour de la technologie de location ces dernières années, avec un certain nombre de nouveaux entrants dans l'industrie. Cependant, ces entreprises ont eu tendance à se concentrer sur le libre-service, avec des modèles de vente directe aux consommateurs destinés aux locataires, aux propriétaires et aux propriétaires. Pour la plupart, ces produits cherchent à éliminer l'agent. ReOS a adopté un point de vue différent, reconnaissant que la plus grande opportunité réside dans le fait de permettre aux professionnels de la location d'offrir plus de valeur à leurs clients à grande échelle », a indiqué Craig Buckley.

C’est depuis sa plateforme web que les utilisateurs peuvent accéder à la solution. Il faudra créer un compte et faire installer l’application web sur les ordinateurs de vos bureaux ou alors, si vous êtes en freelance dans le secteur, l’installer sur l’ordinateur professionnel. La gestion des baux et du portefeuille, la gestion de l’argent, la génération des rapports financiers ou encore la fourniture d’un accès à distance avec un stockage dans le cloud sont autant de fonctionnalités proposées par la solution sud-africaine.

La start-up propose plusieurs formules d’abonnements pour les entreprises opérant dans le secteur immobilier. En fonction de leur portefeuille, elle adapte ses tarifs et offre un certain nombre d’avantages à chaque type d’entreprise. Le fondateur de la jeune pousse rêve d’expansion. « ReOS a été conçu en pensant aux marchés internationaux et, par conséquent, ce serait une progression naturelle pour nous », a-t-il indiqué en octobre 2020.

Adoni Conrad Quenum

Lire aussi :

Ethiopie : Garri rend le transport de marchandises plus facile grâce à sa solution numérique

Published in Solutions

De nombreux cas d’harcèlements ont été rapportés par des femmes pendant leur trajet à bord d’un VTC. Une tech entrepreneur a décidé de mettre en place une solution pour faciliter le quotidien des femmes, non seulement en tant que conductrice mais aussi en tant que passagère.

An Nisa Taxi est une solution numérique développée par une start-up kényane. Elle permet aux utilisateurs, en l’occurrence les femmes, de se déplacer aisément sans avoir à subir des cas de harcèlement lors de leur trajet ou pendant leur temps de travail. La start-up, basée à Nairobi, a été fondée en 2018 par Mehnaz Sarwar.

« Nous avons une équipe de conductrices et nous prenons en charge les femmes et les enfants. Nous faisons également des forfaits mensuels pour les parents et pour les femmes qui travaillent. Nous responsabilisons nos conductrices en leur offrant de meilleurs tarifs tout en travaillant dans un environnement sûr pour nos conductrices et nos clients », a indiqué Mehnaz Sarwar.

Disposant d’une application mobile accessible uniquement sur Android (la version iOS est en cours de développement, d’après les infos de la start-up), l’utilisatrice peut naviguer dans l’application après la création de son compte. Elle choisit un type de véhicule et en fonction de son trajet et de sa position, l’application lui suggère les conductrices les plus proches géographiquement. Depuis l’application mobile, il est donc possible de réserver des trajets, de suivre l'arrivée de la conductrice et de payer avec le smartphone. La politique d’An Nisa Taxi est si rigide qu’une femme ne peut prendre le taxi avec son compagnon, sauf en cas d’urgence.

En ce qui concerne le modèle économique, An Nisa fait des marges grâce aux abonnements des clients, aux partenariats avec des entreprises et aussi avec les trajets quotidiens. La jeune pousse perçoit 15 % de commission sur les courses de ses conductrices et celles-ci sont des « travailleuses indépendantes ». Elles doivent disposer de leur véhicule avant de rejoindre la firme de VTC et elles sont maitresses de leur temps de travail. Néanmoins, elles passent par la case vérification après leur inscription sur une plateforme dédiée avant de devenir des conductrices estampillées An Nisa.

Depuis son lancement, la start-up kényane est toujours autofinancée. Elle n’a pu attirer des investisseurs malgré une bonne croissance ces dernières années. D’après ses données, elle a franchi cette année la barre des 10 000 utilisateurs et elle espère s’étendre en Arabie saoudite où elle dispose de nombreux partenaires.

Adoni Conrad Quenum 

Lire aussi : 

Ghana : Solar taxi utilise des voitures électriques pour assurer le transport urbain

Cameroun : la start-up de transport à la demande Ongo lance ses activités à Yaoundé et à Douala

Uber, Bolt, Moja Ride, Gozem… les applis de VTC prennent de la valeur sur un marché africain peu préparé

Published in Solutions

Bien que de nationalités nigériane et ghanéenne, ces deux tech entrepreneurs ont fait leurs études à Maurice où ils ont décidé de lancer leur start-up. Pour eux, c’est le meilleur endroit pour lancer leur solution pour mieux s’intégrer aux marchés de l’Afrique australe.

Vite est une solution numérique développée par une start-up mauricienne. Elle permet entre autres aux utilisateurs de se rendre d’un point A à un point B en ayant recours aux chauffeurs partenaires de la start-up. La jeune pousse opère aussi dans la livraison de colis. Basée à Grand Baie, elle a été fondée en 2017 par Isaac Agyemang et Ukeme Augustine Jonah. En 2020, elle a réussi un tour de table d’un montant non dévoilé pour développer sa technologie et accélérer sa croissance.

La solution dispose d’une application mobile accessible sur iOS et sur Android. L’utilisateur, après téléchargement de l’application, va s’inscrire et accéder aux diverses fonctionnalités. Il aura le choix de recourir au service de transport à la demande ou de livraison de colis s’il veut se faire livrer de la nourriture, des épices… ou faire faire une course. La plateforme intègre un lien WhatsApp qui permet d’utiliser l’application de messagerie instantanée en cas de problème.

Vite revendique plus de 700 chauffeurs partenaires, plus de 10 000 clients servis et plus de 24 500 voyages et commandes effectués. Elle a signé des partenariats avec diverses entités pour être plus efficaces au quotidien. Par exemple, elle dispose de plus de 250 partenaires restaurateurs pour lesquels la start-up assure des services de livraison.

Depuis son lancement, la version Android de l’application mobile a été téléchargée plus de 10 000 fois. « Si vous voulez faire des affaires et faire avancer les choses en douceur en Afrique, Maurice est certainement le point de départ. C'est la porte d'entrée de la région de la SADC [regroupement de 16 pays d’Afrique Australe, Ndlr] », a indiqué Anthony Takyi, directeur marketing de la start-up. La plateforme poursuit sa croissance et espère s’étendre dans la sous-région dans les années à venir.

Adoni Conrad Quenum

Lire aussi : 

Bonbell simplifie la commande en ligne et la livraison de nourriture en Egypte

Ethiopie : Garri rend le transport de marchandises plus facile grâce à sa solution numérique

Published in Solutions

Il est difficile pour les professionnels de continuer à se former à cause des contraintes liées au travail. L’apprentissage en ligne s’impose comme une alternative intéressante pour changer la donne et leur permettre d’étudier de nouvelles choses.

Zedny est une solution edtech développée par une start-up égyptienne. Elle permet aux utilisateurs, en l’occurrence les personnes travaillant déjà dans une entreprise, d’acquérir des connaissances dans divers domaines. Basée au Caire, l’edtech a été fondée en 2018 par Basil Khattab et Mohamed Youssef El Baz. Elle a levé environ 1,2 million $ pour soutenir sa croissance.

« Zedny fournit le contenu en arabe car c'est la langue avec laquelle la plupart des employés en Egypte parlent et pensent. Actuellement, à part Zedny, il n'y a pas de plateforme d'apprentissage et de développement multi-compétences localisée en arabe qui a tout », a indiqué Basil Khattab.

La solution ne dispose pas encore d’une application mobile donc c’est depuis la plateforme web que les utilisateurs peuvent accéder aux diverses fonctionnalités. Il faudra, dans un premier temps, créer un compte mais il est possible d’avoir une idée des contenus de Zedny en parcourant la homepage. L’identité des instructeurs, les livres et les contenus spécialisés ont également été mis en avant pour donner le choix aux utilisateurs.

Selon Mohamed Youssef El Baz, « il est essentiel que les entreprises commencent à explorer des solutions modernes de formation et de développement afin d'engager leur main-d'œuvre et de développer les compétences de leurs employés ». Zedny s’inscrit dans ce cadre et offre une solution sur mesure pour les professionnels du monde arabe.

A son lancement, Zedny embarquait plus de 200 cours en ligne et 400 résumés vidéo animés, ce qui avoisinait plus de 5 000 heures d’apprentissage. L’accession aux contenus requiert la souscription à un abonnement mensuel de 40 $, trimestriel de 100 $, semestriel de 180 $ et annuel de 300 $. Outre l’Egypte, son pays d’origine, elle est présente dans le Moyen-Orient et espère s’étendre dans tout le monde arabe.

Adoni Conrad Quenum

Lire aussi : 

Nigeria : l’usage de l’edtech durant un an dans 9393 ménages ruraux y a fait reculer la non scolarisation de 42% (étude)

OTO Courses favorise l’apprentissage individuel et personnalisé en ligne en Egypte et au Moyen-Orient

Afrique du Sud : Ambani utilise la réalité augmentée et la gamification pour faciliter l’apprentissage des langues

Published in Solutions

Après qu’un de ses anciens employés ait été arrêté pour avoir acheté un smartphone volé, ce tech entrepreneur a décidé de se lancer dans le commerce en ligne de smartphones reconditionnés.

Développée par une jeune pousse kényane, Badili est une plateforme de commerce en ligne spécialisée dans la vente de smartphones. Elle permet à ses utilisateurs de se procurer des smartphones à des tarifs très compétitifs puisque la firme elle-même achète des smartphones usagés chez des particuliers qu’elle revend ensuite en ligne après les avoir reconditionnés.

Basée à Nairobi, la start-up a été fondée en 2022 par Rishabh Lawania et Keshu Dubey. Depuis son lancement, elle a pu lever environ 3,9 millions $ pour entre autres développer sa technologie et accélérer sa croissance sur le continent.

« Un de mes anciens employés au Kenya a été arrêté pour avoir acheté un téléphone volé, et j'ai été touché par le fait que la plupart des gens ne peuvent pas vraiment acheter d'appareils électroniques d'occasion ici, car la seule option qu'ils ont est le marché gris, qui est risqué. C'est à ce moment-là que l'idée de Badili a germé. Je me suis dit qu'il fallait vraiment que quelque chose change », a déclaré Rishabh Lawania.

Ne disposant pas encore d’une application mobile, c’est depuis la plateforme web de la solution que les utilisateurs peuvent accéder aux divers articles. Il est possible de naviguer sur la plateforme et de découvrir toutes les gammes de smartphones disponibles. Infinix, Apple, Samsung, Realme ou encore Oppo sont autant de marques de téléphones intelligents qu’on peut se procurer sur Badili. L’avantage principal de cette plateforme est le tarif qui est, d'après la start-up, moins de la moitié du prix d’achat du neuf.

« Nous offrons une alternative aux personnes qui ne veulent pas payer le prix fort pour un appareil, et je suis plus enthousiasmé par le fait que nous sommes en mesure d'aider de nombreux consommateurs à acheter leur premier smartphone », renchérit Rishabh Lawania.

Il faut noter que Badili permet aux particuliers de leur revendre également leurs smartphones. Grâce à son algorithme d'estimation de prix qui prend en compte des paramètres tels que l'âge du téléphone et le modèle, elle calcule la valeur du téléphone. Ensuite, les techniciens de la firme s’occupent de le remettre en état pour la commercialisation. Par ailleurs, il est aussi possible de faire réparer un smartphone sur la plateforme.

Badili envisage une expansion à travers tout le continent. « Nous nous lançons en Ouganda et en Tanzanie et avons établi des partenariats solides avec des fabricants d'équipements d'origine (OEM). Au cours des six prochains mois, nous nous étendrons à quelques marchés d'Afrique de l'Ouest afin de mettre un pied dans certains des principaux marchés d'Afrique », a affirmé Rishabh Lawania dans le cadre d’un tour de financement réussi en décembre 2022.

Adoni Conrad Quenum

Lire aussi : Au Kenya, Kapu numérise le secteur informel de la vente au détail des produits de consommation

Published in Solutions
vendredi, 05 mai 2023 16:51

Kenya : TopUp Mama devient Caantin

Dans un communiqué publié le jeudi 4 mai, la start-up kényane TopUp Mama, spécialisée dans la fourniture de produits alimentaires aux restaurants, a annoncé son changement de nom et la refonte de sa plateforme. Elle s’appelle désormais Caantin.

« Cette nouvelle identité de marque et cette plateforme améliorée incarnent notre engagement à stimuler la contribution de l'industrie de la restauration au PIB de l'Afrique et à offrir un meilleur accès au financement aux restaurants et aux fournisseurs », peut-on lire dans le communiqué.

Lire aussi :  Kenya : TopUp Mama, une solution qui aide les restaurants à prospérer

Published in Breves_Simple

Anciennement ToLet.com, elle a fusionné avec Jumia House en 2017 pour devenir PropertyPro. La plateforme veut devenir l’une des plus importantes jeunes pousses opérant dans le secteur de la proptech en Afrique.

PropertyPro est une solution proptech développée par une jeune pousse nigériane. Elle permet, grâce à ses plateformes web et mobile, de trouver des biens immobiliers à louer et/ou à acheter. Basée à Lagos, la start-up a été fondée en 2013 par Dapo Eludire, Fikayo Ogundipe, Muyiwa Kolawole, Seyi Ayeni et Sulaiman Balogun. Elle a levé environ 1,4 million $ pour soutenir sa croissance au Nigeria.

La solution dispose d’une application mobile accessible sur Android et sur iOS. Pour accéder aux diverses annonces immobilières sur la plateforme, il n’est pas indispensable de disposer d’un compte. Que ce soit des terrains, des appartements ou encore des maisons dans de grandes villes ou dans des banlieues résidentielles, l’utilisateur saura se satisfaire.

La plateforme embarque une barre de recherche où il faut renseigner la localisation, le nombre de chambres, votre budget minimum et également votre limite. Ainsi, grâce à son algorithme, la solution vous proposera des biens sur mesure en fonction de vos conditions. Il est possible de voir les photos et de lire les descriptions, mais pour accéder aux informations qui permettront de passer à l’action, il devient indispensable de disposer d’un compte.

Outre les commissions perçues après les transactions, les revenus de PropertyPro proviendront des frais d’abonnements des agents immobiliers qui feront passer leurs annonces sur la plateforme. La start-up, avec plus de à 60 000 annonces immobilières, revendique être la principale plateforme immobilière du Nigeria. Par ailleurs, la version Android de l’application mobile a déjà été téléchargée plus de 10 000 fois.

Adoni Conrad Quenum

Lire aussi : 

Kenya : Silqu automatise les processus de gestion immobilière

Au Nigeria, Spleet réinvente la location et l’achat des biens immobiliers en ligne

Published in Solutions
Page 21 sur 49

Please publish modules in offcanvas position.