RLabs propose des programmes de formation, d’autonomisation et d’incubation pour les jeunes et les femmes. Elle a déjà touché des dizaines de millions de personnes et diplômé 2 millions d’individus.

Reconstructed Living Lab (RLabs) est une organisation sociale sud-africaine fondée en 2009 par Marlon Parker, un entrepreneur et innovateur passionné par la technologie. Le dirigeant actuel de RLabs est Christine Taphel, une psychologue et linguiste de formation.

L’objectif principal de RLabs est de créer des environnements et des systèmes où les gens sont impactés et transformés par l’espoir, l’innovation, la technologie, la formation et les opportunités économiques. Elle propose plusieurs activités et programmes pour atteindre sa vision.

A travers RLabs Academy, l’organisation lance des programmes gratuits de compétences spécialisées pour les membres de la communauté qui les aident à se développer sur le plan personnel, à saisir des opportunités économiques (emplois, entreprises, etc.) ou à poursuivre leurs études. L’académie propose aussi des stages et des emplois, ainsi que l’élaboration de programmes d’études par l’intermédiaire de son RLabs Course Lab.

RLabs met à la disposition de sa communauté le RLabs Innovation Lab qui collabore actuellement avec diverses organisations internationales, des entreprises privées et des partenaires du secteur public afin d’élaborer des solutions visant à favoriser le changement social. RLabs a également mis en place Venture Studio, un programme d’incubation d’un an, dont l’objectif est de créer des entreprises à fort impact qui conduisent à la création d’emplois.

Egalement préoccupé par l’autonomisation des femmes, RLabs propose plusieurs programmes de formation et initiatives. Le JUNK.Fund qui permet de collecter des fonds pour investir et soutenir une nouvelle femme entrepreneur chaque mois est l’une de ces initiatives.

RLabs a eu un impact considérable en Afrique et dans le monde. A ce jour, RLabs a impacté 50 millions de personnes et 2 millions de diplômés en sont sortis. L’organisation a soutenu 5 500 entreprises. En 2017, elle a reçu le SA Blog Awards du meilleur blog éducatif. L’année suivante, elle remporte le Google Impact Awards. En 2022, elle reçoit le prix de l’innovateur social de l’année émis par Schwab Foundation et le Forum économique mondial.

Melchior Koba

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KivuHub se présente comme un hub pour la communauté entrepreneuriale technologique. Il propose des espaces virtuels pour les start-up et les entrepreneurs désireux d’impacter le monde avec la technologie et d’élever l’est de la RD Congo.

KivuHub est un accélérateur technologique et un espace de coworking virtuel basé en République démocratique du Congo. Il a été fondé en 2017 par Eliud Aganze et d'autres cofondateurs dont Patrick Nahayo, Julien Ntibonera et Marius Mathondo. Son objectif principal est de soutenir et de promouvoir les start-up, les petites et moyennes entreprises et les projets innovants dans le domaine des nouvelles technologies.

Le centre offre des services de formation, de mentorat, de mise en relation avec des investisseurs, de gestion de projet web, de création graphique, de développement web/mobile/logiciel et de cybersécurité. Il dispose également d’une plateforme en mode hybride cloud qui permet aux entrepreneurs d’héberger leurs applications web et mobiles.

En plus de ses activités principales, KivuHub a lancé des programmes spécifiques pour soutenir les femmes, les filles et les jeunes entrepreneurs afin d’innover dans la technologie en améliorant les compétences numériques, en résolvant les problèmes communautaires, en protégeant l’environnement, en renforçant les compétences commerciales en réseautage et en informatique.

La plateforme Girls in Tech du centre a pour objectif de créer entre 2022 et 2025 un chemin vers l’égalité, l’éducation de qualité et la promotion de l’inclusion des femmes dans le numérique dans l’est de la RD Congo.

KivuHub travaille avec différents réseaux d’investisseurs et d’autres hubs dans la région pour relever les défis complexes auxquels le monde est confronté. Il est un membre actif d’AfriLabs et d’autres groupes de démarrage.  

Melchior Koba

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L'Afrique est riche en ressources naturelles, mais fait face à de nombreux défis, notamment la sécurité alimentaire, le changement climatique, la pauvreté et le chômage des jeunes. Pour les relever, blueMoon Incubator encourage l'innovation et l'entrepreneuriat dans le secteur agricole.

blueMoon Incubator est le premier incubateur de jeunes entreprises agroalimentaires en Ethiopie. Fondé en 2016 par Eleni Gabre-Madhin, une entrepreneure en série responsable de l’innovation du PNUD Afrique, blueMoon Incubator a pour mission de découvrir, d'incuber et d'investir dans des idées et des équipes fondatrices exceptionnelles dans le domaine agricole.

blueMoon Incubator propose un programme intensif de quatre mois, organisé deux fois par an à Addis-Abeba, auquel participent 10 équipes de 2 à 3 entrepreneurs sélectionnées parmi des centaines de candidatures. Les start-up bénéficient d'un accompagnement personnalisé, d'une formation, d'un accès à un réseau d'investisseurs, de prestataires de services et de partenaires stratégiques, ainsi que d'un financement initial de 200 000 birrs éthiopiens (environ 3 500 dollars) en échange de 10 % du capital.

Les start-up ont également accès à un accompagnement pendant 12 mois par des mentors externes bénévoles, eux-mêmes professionnels du monde des affaires, pour les soutenir individuellement et en tant qu'équipe.

A la fin de l'incubation, les start-up disposent d'un certain nombre d'options différentes par l'intermédiaire de blueMoon Ventures pour leurs prochains tours de financement. L’incubateur propose des espaces de coworking multifonctionnels, des bureaux, des espaces de réunion informels et formels, ouverts 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 et dotés d'un wifi à haut débit.

Membre du réseau AfriLabs, blueMoon a signé des partenariats avec plusieurs entreprises et institutions. Les institutions partenaires de l’incubateur sont entre autres Iceaddis, Digital Opportunity Trust, The xHub, The MasterCard Foundation et Aspen Network of Development Entrepreneurs.

Melchior Koba

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Au cœur de l’innovation africaine, WoeLab est une organisation visionnaire. Dirigé par Sénamé Koffi Agbodjinou, le centre a rapidement évolué pour devenir un pionnier dans le domaine de la technologie et de l’accompagnement des jeunes innovateurs.

Fondé en août 2012, WoeLab est un espace de création technologique qui accueille, forme, incube et accélère des projets de start-up en Afrique. Basé à Lomé, au Togo, et ouvert dans le cadre du projet HubCité de la plateforme L’Africaine d’architecture, ce laboratoire de fabrication a été créé par Sénamé Koffi Agbodjinou (photo, à gauche), un jeune chercheur indépendant, architecte et anthropologue togolais.

Le WoeLab est plus qu’un simple laboratoire. C’est un espace de créativité ouvert et participatif, un incubateur de start-up et un lieu de formation informelle. Il regroupe une trentaine de jeunes qui fabriquent divers appareils à partir de composants collectés dans des poubelles géantes.

L’une des réalisations les plus remarquables de WoeLab est la W.Afate 3D Printer, la première imprimante 3D africaine open source 100 % recyclage. Cette imprimante 3D est issue de déchets électroniques, plusieurs exemplaires ont déjà été vendus.

Le laboratoire accompagne gratuitement les artisans du centre dans leurs projets technologiques et les initie à la fabrication numérique. Il propose également des programmes éducatifs pour les jeunes, comme le « 3DprintAfrica Educative », qui vise à leur apprendre à concevoir des systèmes adaptés aux imprimantes 3D et à produire des objets utiles pour leur environnement.

WoeLab se définit comme un espace de « démocratie technologique » où chacun peut participer à l’innovation et au développement du savoir-faire humain, tout en respectant l’environnement et la culture locale.

La diversité de ses programmes est aussi un atout majeur pour les jeunes. Il a développé des projets résolvant plusieurs problèmes urbains comme la gestion des déchets (SCoPE), les ressources alimentaires et énergétiques (Urbanattic) et la monnaie numérique (Sys’Woe).

Le fablab a été remarqué par la NASA en 2013 et a terminé dans le top 30 (sur plus de 700 projets dans le monde) des finalistes du « Special Challenge » organisé chaque année par l’agence spatiale américaine. Il dispose de 1 300 m² d’espaces de coworking et a déjà formé plus de 500 boursiers. Le centre héberge 12 start-up et a organisé 200 événements publics et gratuits. Il est soutenu par 30 partenaires actifs dans le monde entier.

Melchior Koba

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Depuis 2012, les filles de diverses régions du Ghana sont formées aux compétences numériques. La ministre chargée des TIC veut tout mettre en place pour continuer cette œuvre.

Ursula Ewusu-Ekuful, ministre ghanéenne des Communications et de la Digitalisation, a annoncé le mardi 31 octobre la création d’un fonds fiduciaire pour pérenniser le programme Girls-In-ICT, littéralement les filles dans les TIC (technologies de l’information et de la communication). L’annonce a eu lieu lors de la célébration dans la ville de Koforidua de la journée Girls In ICT Climax.

Selon la ministre, l'avenir est numérique et les femmes en font partie intégrante. Le programme Girls-In-ICT doit se poursuivre et pour cela, elle a invité le ministère chargé de l’Education et plusieurs entreprises telles que MTN ou encore Vodafone à s’impliquer dans la réalisation du projet.

L’initiative de la journée Girls In ICT a été lancée en 2012 par l’Union internationale des télécommunications. Le but est de plaider en faveur de la promotion de l'égalité entre les hommes et les femmes, ainsi que de l'autonomisation des filles et des femmes par le biais des TIC. Les autorités ghanéennes ont saisi l’occasion pour mettre en place le programme éponyme dans le but de soutenir l'éducation des femmes et des filles de diverses régions du pays dans le domaine des TIC ; de susciter l'intérêt des jeunes filles pour les études en sciences, technologie, ingénierie et mathématiques ; ou encore d’exposer les jeunes filles aux opportunités existant dans le secteur des TIC.

Pour rappel, plus de 10 980 filles ont bénéficié des formations aux compétences numériques, au codage ou encore à la cybersécurité depuis le lancement du programme en 2012.

Adoni Conrad Quenum

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En tant que programme d’accélération, Afriquia 50 Sprints offre aux start-up innovantes, dans les domaines de la mobilité et des énergies nouvelles, une opportunité unique de se développer et de se faire connaître sur la scène internationale.

Afriquia 50 Sprints est un programme d’accélération et de financement créé par Afriquia, une entreprise marocaine de distribution de carburants, en partenariat avec l’incubateur HEC Paris à Station F, le plus grand campus de start-up au monde. Le programme vise à soutenir les start-up marocaines, africaines et internationales qui innovent à travers des concepts disruptifs dans le domaine de la mobilité et des énergies nouvelles.

Le programme a été lancé en 2020. Il offre aux sprinters (start-up sélectionnées) un accès à un réseau d’experts, de mentors, de partenaires et d’investisseurs, ainsi qu’un financement. Les start-up bénéficient également d’un espace de travail au sein de Station F à Paris, où elles peuvent profiter d'un écosystème dynamique et diversifié d’innovation.

Les start-up sélectionnées pour intégrer le programme Afriquia 50 Sprints développent généralement des solutions dans les domaines des services partagés, de l’autonomie, de l’électrique et la connectivité ou encore la ville intelligente, les infrastructures et le dernier kilomètre.

L’incubation à Station F des start-up sélectionnées au programme dure trois mois. Les sprinters bénéficient d’un accompagnement de tuteurs et entrepreneurs, d’une participation à divers ateliers et événements thématiques en présence d’experts et d’une évaluation de leur projet par un jury à la fin du programme. Pendant toute la durée d’incubation à l’incubateur HEC Paris, Afriquia prend en charge les frais de déplacement et d’hébergement des start-up.

Parmi les start-up qui ont rejoint le programme Afriquia 50 Sprints, on peut citer Pip Pip Yalah, une application de covoiturage inter-villes, et Cathedis, une solution e-logistique 100 % digitalisée qui optimise la gestion des flux de marchandises entre les acteurs du transport. La réussite de ces start-up est un témoignage de l’impact positif du programme sur l’écosystème entrepreneurial.

Melchior Koba

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CINOLU est un hub d’innovation qui soutient les jeunes innovateurs et entrepreneurs de la RDC. Il propose des programmes et des services d’incubation adaptés au contexte local, tels que des formations, du mentorat, du réseautage, du financement et de l’accès au marché.

Le Centre d’Innovation de Lubumbashi (CINOLU) a été fondé en 2015. Avec Berry Numbi, un ingénieur en électromécanique, comme directeur général, il a pour mission de stimuler la compétitivité régionale des jeunes innovateurs et entrepreneurs de la RD Congo à travers l’innovation, la technologie et l’entrepreneuriat.

CINOLU permet aux jeunes innovateurs et entrepreneurs, en particulier aux entreprises en phase de démarrage, aux start-up et aux petites et moyennes entreprises innovantes, d’accéder à des connaissances commerciales, d’accroître leur sens des affaires et leur réseau.

Le centre offre un espace de coworking, organise des camps d'entraînement, des stages, des expositions et conférences et met en place des programmes d’incubation et de mentorat. En 2018, il a été sélectionné par Elan pour organiser, à Lubumbashi, le programme d’incubation des gagnants du Congo Tech Days Hackathon.

De plus, CINOLU formule des projets et des plaidoyers pour des politiques publiques en faveur des acteurs de l’entrepreneuriat innovant en ligne. Il met également à la disposition des entrepreneurs, des mentors et des coachs une gamme variée de workshops.

En dehors de ses programmes habituels, le centre dispose d’un laboratoire de femmes, appelé Femmes360, qui travaille à l’autonomisation des femmes et des filles dans les domaines de la technologie et de l’innovation.

Depuis sa création, CINOLU, composé de plus de 15 mentors et coachs et avec plus de 1 000 bénéficiaires, a développé plus de 150 projets et mis en place plus de 8 programmes. Il travaille avec des partenaires gouvernementaux, des entreprises et des organisations comme AfriLabs, Afric'Innov, Innovation for Policy Foundation (I4Policy), Meta, Silikin Village, RLabs et Enabel.

Melchior Koba

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Harhub est une communauté qui favorise la collaboration et l’innovation. Elle offre une formation entrepreneuriale appropriée aux jeunes, des services d’incubation, du mentorat, du coaching et une assistance technique aux entrepreneurs.

Hargeisa Hub (Harhub) est un espace d’innovation, de co-working et de formation qui soutient les entrepreneurs et les innovateurs en Afrique. Fondé en 2018 par l’organisation Shaqodoon et dirigé par Mahamoud Batalaale, un spécialiste de l’investissement et du développement des affaires, il vise à réduire le taux de chômage des jeunes au Somaliland.

HarHub met en place des programmes d’incubation et d’accélération pour les jeunes entrepreneurs afin de les aider à améliorer leurs offres, à pénétrer un nouveau marché, à valider leurs idées et à se développer. Son programme d’incubation phare, Harhub Business Incubation, est conçu pour permettre aux entrepreneurs, aux nomades numériques… de disposer d’un espace sécurisé pour favoriser la croissance et la durabilité des start-up. Ainsi, Harhub permet aux entrepreneurs de collaborer avec d’autres personnes grâce à un environnement de coworking. Les membres de ses programmes bénéficient de son réseau mondial de spécialistes.

Le centre développe aussi des programmes de formation et d’investissement pour fournir une formation de haute qualité et un accès unique au financement pour les start-up et les petites et moyennes entreprises en phase de démarrage, afin que les jeunes entrepreneurs à faibles revenus, mais innovants, puissent s’établir à leur compte.

A travers son programme d’accélération, il aide les jeunes entreprises à se développer, à s’étendre et à pénétrer de nouveaux marchés. Acceptant tous les types d’entreprises innovantes, Harhub accorde une attention particulière aux entreprises des secteurs de l’agriculture, de l’élevage, de l’énergie et de la technologie.

Harhub dispose de plusieurs installations dans lesquelles il organise des événements et des rencontres autour du numérique, de l’entrepreneuriat et du développement social. Parmi ces événements, on distingue la Startup Huddle qui rassemble des entrepreneurs en herbe et émergents, des entreprises et des consultants du Somaliland. Cette dernière peut être définie comme un événement de mise en réseau qui facilite les relations entre les entrepreneurs.

Membre du réseau AfriLabs, il est soutenu par le PNUD, Crosswise Works et Oxfam, entre autres. En matière d’impact, Harhub a reçu 2 805 candidatures, investi dans 124 start-up, formé 520 jeunes, créé 161 emplois, incubé 61 start-up, organisé 120 événements de réseautage et mentoré 146 jeunes. Ces statistiques témoignent de l’impact significatif de Harhub sur l’écosystème entrepreneurial local.

Melchior Koba

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A travers ses programmes innovants et son engagement envers l’éducation et l’autonomisation des jeunes, Africa ICT Right veut participer à la construction d’un avenir numérique pour l’Afrique.

Fondée en 2007 et ayant pour directeur général Daniel Kwaku Ganyoame, Africa ICT Right (AIR) est une organisation à but non lucratif basée au Ghana qui se consacre à combler le fossé numérique en construisant un avenir plus équitable et technologiquement avancé pour tous. Elle utilise les outils des technologies de l’information et de la communication (TIC) comme catalyseur pour aborder des problèmes nationaux critiques liés à l’agriculture, la santé, le genre, l’éducation et l’autonomisation des jeunes.

Ses programmes d’éducation travaillent à en améliorer l’accès et la qualité en équipant les écoles de laboratoires informatiques et en formant les enseignants en STEM (science, technologie, ingénierie et mathématiques) sur la manière d’intégrer les TIC dans l’enseignement et l’apprentissage. Elle travaille avec des écoles et des communautés dans plusieurs régions pour faire des dons d’ordinateurs, mettre en place des laboratoires TIC à travers les projets Iteach ICT, Computer 4 Change et Connecting the Unconnected.

A travers son programme Girls in Tech, l’organisation se concentre sur la réduction de l’écart entre les sexes dans le secteur technologique en éduquant, en inspirant et en équipant les lycéennes de compétences et de ressources en matière de codage et de technologie numérique afin qu’elles puissent poursuivre des opportunités dans les domaines STEM.

Le programme agricole d’AIR, quant à lui, vise à améliorer les compétences des petits exploitants en leur proposant des techniques agricoles abordables, biologiques et écologiquement durables. L’organisation déploie également un programme de formation à l’entrepreneuriat appelé WeThrive Program.

L’impact d’AIR est significatif. L’organisation a mis en place plus de 4 laboratoires numériques et plus de deux laboratoires STEM. Elle a déjà formé plus de 798 jeunes, plus de 69 entrepreneurs et plus de 226 enseignants dans plus de 105 écoles. Elle a atteint plus de 19 595 étudiants et a fait don de plus de 525 ordinateurs.

En reconnaissance de son travail exceptionnel, Africa ICT Right a remporté en 2018 le prix de la Motorola Solutions Foundation pour son programme Girls in Tech. En 2021, elle a été la lauréate du prix de la meilleure entreprise d’e-santé aux Africa Technovate Awards.

Melchior Koba

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L’accélérateur Impact Lab a annoncé le mardi 24 octobre les 13 start-up lauréates (3 tunisiennes, 4 ivoiriennes et 6 marocaines) de la deuxième cohorte de son programme Launchpad Agritech. « Launchpad Agritech offre aux start-up sélectionnées un accompagnement personnalisé pour définir leur stratégie de croissance, accéder à de nouveaux marchés et collaborer avec des acteurs clés du secteur agro-alimentaire en Afrique francophone », peut-on lire dans le communiqué.

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