A travers ses programmes de formation, ses conseils et ses solutions technologiques, Innovations Hub Liberia aide les particuliers à atteindre leur objectif et les entreprises à franchir une nouvelle étape dans leur processus de développement.

Innovations Hub Liberia (iHub Liberia) est une société qui a pour objectif de fournir des formations et des services de premier ordre pour aider les individus et les institutions à prospérer à l’ère du numérique. Fondée en 2019, elle est dirigée par l’informaticien Philip Bargin qui en est le directeur exécutif.

Innovations Hub Liberia est une entreprise de formation et de conseil en entrepreneuriat social qui veut améliorer le paysage numérique au Liberia et en Afrique. Pour atteindre ses objectifs, l’entreprise propose des formations en entreprise et des formations professionnelles, pour permettre aux individus d’acquérir les compétences nécessaires pour lancer leur carrière dans des domaines à forte croissance tels que les technologies de l’information et la collecte de données.

« Nous veillons à ce que les participants disposent d’une communauté d’apprentissage simple et complète où ils peuvent partager leurs idées, poser des questions et se mettre au défi avec les nouveaux outils appris au cours de la formation. Nous utilisons WhatsApp comme plateforme d’interaction et d’autres plateformes de réunion telles que Google Meets, Zoom et Microsoft Teams pour les cours et les sessions en direct », peut-on lire sur le site de l’entreprise.

Innovations Hub Liberia offre souvent des événements dédiés pour sensibiliser aux avantages de la technologie pour les entreprises, mettre en relation les étudiants et les experts de l’industrie… Elle organise des séminaires d’entreprises, des camps d'entraînement et de conseil en technologies de l’information et de communication (TIC).

En outre, iHub Liberia fournit des services de conception graphique, de branding, de conception et refonte de sites web, de réseaux informatiques, de développement de bases de données et d’assistance informatique.

Melchior Koba

Lire aussi:

Le Libérien Oliver Wleh Klark remporte le prix du fondateur 2023 de l'Afrique de l'Ouest aux Global Startup Awards

Published in Tech Stars

Dz Hadina Tech est un acteur clé dans le domaine de l’innovation en Algérie et en Afrique. Grâce à ses programmes et à son soutien aux start-up, il contribue à la relance économique de son pays et à la promotion de l’entrepreneuriat numérique.

Dz Hadina Tech est un incubateur numérique né avec l’objectif de promouvoir l’innovation dans de nombreux domaines en Algérie. Il se concentre en particulier sur les jeunes porteurs de projets innovants, en les orientant lors de leurs démarrages ou lors du développement de leurs start-up.

L’incubateur a été fondé par Chaouche Adlane, Benamar Abdelfatah et Abdelkarim Chelali. Ce dernier, gérant actuel de Dz Hadina Tech, est un diplômé de l’école des hautes études commerciales de Koléa option finance et comptabilité. Il est également un cofondateur et le directeur des finances et responsable de la communication de la Fondation algérienne pour la promotion de l’entrepreneuriat et l’appui aux start-up (AFPESS).

Dz Hadina Tech offre aux start-up un soutien technique, des formations, des conseils, ainsi que des mentors qui orientent les nouvelles entreprises et leur permettent d’éviter les erreurs courantes. Parmi les programmes principaux de l’incubateur, on trouve le Dz Excellence Camp et l’Open Innovation Program.

Le Dz Excellence Camp est un programme national pour les jeunes porteurs de projets, les développeurs et les concepteurs. Il est axé sur l’innovation, la créativité et l’originalité dans plusieurs domaines et secteurs en Algérie.

L’Open Innovation Program est un programme qui connecte et crée des relations de travail et de business entre les innovateurs, les entreprises et les grands groupes. A travers des challenges, il soutient et accompagne les projets innovants et accélère les efforts de recherche et développement des entreprises.

Selon les statistiques disponibles, l’incubateur a reçu plus de 300 candidatures, a réussi à lancer plus de 8 start-up, a créé plus de 20 opportunités professionnelles, et a actuellement plus de 15 entreprises incubées. Ces résultats sont le témoignage de son impact en Algérie et en Afrique.

Melchior Koba

Lire aussi:

En Algérie, Walid Ghanemi met en ligne les législations, réglementations et décisions de justice

Published in Tech Stars

Softstart BTI offre un écosystème complet de soutien incluant mentorat, conseils et opportunités de mise en réseau. Il favorise le développement d’entreprises numériques innovantes à l’échelle internationale.

Fondé en 2006, Softstart Business and Technology Incubator (Softstart BTI) est un incubateur de start-up technologique basé à Johannesburg en Afrique du Sud. Il est né de la fusion de Softstart Trust et Bodibeng Technology Incubator et ambitionne de devenir le leader dans la fourniture de services d’incubation d’entreprises technologiques aux entrepreneurs numériques.

Les institutions fondatrices de l’incubateur sont le Conseil pour la recherche scientifique et industrielle (CSIR), l’université de Pretoria (UP), l’université de technologie de Tshwane (TUT) et l’Agence de développement des petites entreprises (SEDA). Son conseil d’administration est dirigé par Dick Sono, un ingénieur électrique.

L’objectif de Softstart BTI est de contribuer au processus de création d’entreprises numériques innovantes et compétitives à l’international. Il propose une gamme complète et intégrée de services de soutien aux entreprises, notamment un espace d’incubation, des services de conseil et de mentorat, ainsi que des opportunités de regroupement et de mise en réseau. 

Les services de l’incubateur incluent le mentorat, le coaching, la formation, la gestion financière et le financement, les ressources humaines, la communication et le marketing. Les entreprises en phase de démarrage au sein de Softstart BTI sont entourées d’individus partageant les mêmes idées et ont accès à toutes les ressources offertes par l’incubateur pour développer leur entreprise jusqu’à ce qu’elle atteigne son plein potentiel commercial.

L’incubateur abrite, dans son centre, plus de 60 entreprises diverses appartenant à des Noirs, et plus de 100 entreprises hors campus et virtuelles figurent dans ses bases de données. Il bénéficie du soutien et du parrainage du programme technologique SEDA (STP), un programme relevant de l’agence de développement des petites entreprises d’Afrique du Sud.

Melchior Koba

Lire aussi:

En Afrique du Sud, Phumi Körber propose une plateforme de vente de vêtements d’occasion

Published in Tech Stars

Le manque de financement des start-up demeure un défi majeur pour le développement économique du continent. Bien que le paysage entrepreneurial africain soit dynamique et en croissance, de nombreuses start-up rencontrent des difficultés à obtenir les investissements nécessaires pour démarrer.

Le nigérian Iyinoluwa Aboyeji (photo, à gauche), cofondateur des start-up Andela et Flutterwave, s'est associé à l'entrepreneure technologique Mia von Koschitzky-Kimani (photo, à droite) pour lancer Accelerate Africa, un accélérateur de start-up en Afrique. L'annonce a été faite au cours d'une entrevue exclusive avec Techcabal.

Soutenu par une subvention de 750 000 $ de l'Agence des Etats-Unis pour le développement international (USAID), cet accélérateur appuiera des start-up sélectionnées dans les 54 pays du continent. La première cohorte, composée de dix start-up en pré-amorçage et en phase de démarrage dans tous les secteurs, participera à un programme intensif de huit semaines.

Le programme d'accélération, qui se déroulera à Lagos et à Nairobi, combinera des aspects tels que le développement commercial, l'intégration technologique, le financement et des opportunités de développement communautaire. L'objectif est de permettre aux start-up africaines de croître plus rapidement et de manière durable.

A la clôture du programme, les start-up impliquées auront l'opportunité de présenter leurs projets à des investisseurs, dont des investisseurs providentiels ayant la capacité de financer les initiatives avec des montants pouvant atteindre 500 000 dollars.

En lançant Accelerate Africa, Iyinoluwa Aboyeji et Mia von Koschitzky-Kimani aspirent à révéler le potentiel illimité de l'esprit entrepreneurial en Afrique. L'objectif est d'accompagner un grand nombre de start-up prometteuses, particulièrement à une époque où elles bénéficient de moins en moins du soutien des accélérateurs internationaux.

« La grande idée est de devenir le Y Combinator [YC, un accélérateur américain de start-up] de l’Afrique. Nous recherchons des fondateurs ayant de grandes idées et des opportunités de marché massives. Ceux qui sont impressionnants et qui auraient pu entrer chez YC, mais qui ne le peuvent pas parce que YC ferme ses portes à l'Afrique », a déclaré Aboyeji.

Samira Njoya

Lire aussi:

Nigeria : la fintech Cleva rejoint Y Combinator et lève un montant de 1,5 million $ pour lancer ses activités

Published in Tech

En Afrique, le nombre de structures d’accompagnement de start-up promouvant le développement de la technologie ne cesse de croître. Au Cameroun, Team@Solutions fait partie des incubateurs qui soutiennent de façon active les entreprises technologiques.

Team@Solutions est un incubateur camerounais spécialisé dans les nouvelles technologies de l’information et de la communication (NTIC). Il est né d’un partenariat entre Brücke e.V, une organisation allemande qui souhaite aider les étudiants africains à accéder à des connaissances techniques et innovantes, et l’Association internationale pour le développement et l’environnement au 21ᵉ siècle (AIDE21).

Dirigé par Touna Onguene Philippe, coordonnateur, l’incubateur a pour mission de soutenir les jeunes start-up en leur offrant un cadre propice et un accompagnement professionnel. Il aide les entrepreneurs dans la digitalisation de leur structure. Les secteurs d’intervention de l’incubateur sont, entre autres, le commerce, les services, l’industrie, l’agriculture, l’élevage, la santé, la logistique, l’éducation, la bonne gouvernance, l’infrastructure et les énergies renouvelables.  

Team@Solutions propose la conception et la réalisation de solutions IoT (Internet des objets), big data, IA et cloud adaptées au contexte africain. Il a également mis en place des unités de productions et de transformation pour promouvoir la production et la transformation locale des matières premières, dont les produits agricoles.

Misant sur la coopération, l’échange et le partage d’expériences et de connaissance, l’incubateur propose des espaces de coworking. Il propose des formations certifiées dans des filières NTIC et métiers de technologies de construction mécanique. Elle offre aussi des opportunités d’emploi sur le sol allemand pour les développeurs informatiques et les constructeurs mécaniques.

Egalement soutenu par l'agence de coopération internationale allemande pour le développement, GIZ, Team@Solutions a accompagné plusieurs start-up. Parmi ces dernières, on peut citer Health Map qui a mis sur pied un système informatique hospitalier pour faciliter la prise en charge des patients, E-Gadget & IO-Tech qui construit des équipements électroniques dotés de capacités d’IA et d’IoT, ainsi que Katika, une fintech.

Melchior Koba

Lire aussi:

Cameroun : Beehive Incubator & Coworking aide les entrepreneurs à acquérir leurs premiers clients

Published in Tech Stars

Le Meltwater Entrepreneurial School of Technology (MEST) a récemment lancé les candidatures pour son programme de formation pour les tech entrepreneurs. Le programme, entièrement sponsorisé par le MEST, durera 12 mois au cours desquels les participants transformeront leurs idées en start-up. La date butoir pour postuler est le 18 mars 2024. Cliquez sur ce lien pour en savoir davantage.

Lire aussi:

Nigeria : la Banque centrale lève l’interdiction liée aux transactions en cryptomonnaies

Published in Breves_Une

Norssken22, une société panafricaine de capital-risque, a récemment lancé les candidatures pour participer à son programme d’accélération à Stockholm en Suède. Pour les sélectionnés, le programme durera huit semaines avec à la clé un financement d’un montant de 125 000 $. Cliquez sur ce lien pour l’inscription.

Lire aussi:

L’Angola inaugure un centre de formation technique et professionnel financé par la Chine

Published in Breves_Une

Visionnaire, le gouvernement kényan, à travers Konza Technopolis, vise à faire du Kenya un leader dans le domaine de la technologie et de l’innovation en Afrique.

Konza Technopolis, autrefois appelée Konza Technology City, est un grand centre conçu pour promouvoir l’innovation et la recherche technologique. Le projet, en passe de devenir une smart city, a été lancé en 2012 et est devenu un élément clé du plan de développement national du Kenya connu sous le nom de Vision 2030.

Konza Technopolis a donc été fondé par le gouvernement du Kenya, soutenu par la Société financière internationale, une filiale de la Banque mondiale. Son dirigeant actuel est John Paul Okwiri, nommé président-directeur général de Konza Technopolis Development Authority (KoTDA) qui gère le projet. M. Okwiri est un cadre expérimenté dans la gestion des approvisionnements et de la chaîne d’approvisionnement.

Konza Technopolis sera une ville de classe mondiale alimentée par le secteur des technologies de l’information et de la communication (TIC) florissant, des infrastructures fiables de qualité supérieure et des systèmes de gouvernance favorables aux entreprises.

Ainsi, il accueille les industries de sous-traitance, de développement de logiciels, de centres de données, de centres de reprise après sinistre, des centres d’appels, de fabrication et d’assemblages légers. De plus, un parc scientifique, des parcs d’incubation et d’accélération d'entreprises technologiques, des centres commerciaux, des écoles internationales et d’autres installations scientifiques, technologiques et d’innovation axées sur les investisseurs devraient être inclus.

Konza Technopolis est l’initiateur du programme Jitume qui vise à fournir aux jeunes un accès aux services numériques, aux compétences numériques et aux opportunités afin de leur permettre de tirer profit de la technologie pour la création d’emplois. En 2024, il sera l’hôte de la 41ᵉ conférence mondiale de l’IASP, un réseau mondial d’écosystèmes d’innovation.

Le centre a déjà permis la création de 17 000 emplois. En 2020, il a accueilli les Africa Digital Influencer Awards (ADIA20). De plus, il a été reconnu pour son excellence dans le développement de la smart city lors des Africa Public Sector Conference and Awards  (APSCA) de 2023.

Melchior Koba

Lire aussi:

La Kényane Radhika Bhachu fournit des solutions de gestion d’investissement aux Africains

Published in Tech Stars

L’économie numérique reste un défi à relever en République centrafricaine. Des actions sont mises en œuvre par le gouvernement pour réduire la fracture numérique et doter les jeunes en compétences numériques utiles dans le marché de l’emploi mondial.

Le président centrafricain, Faustin Archange Touadéra, a procédé le lundi 15 janvier à l'université de Bangui à l’inauguration officiel d'un centre de formation digitale et incubateur start-up, ainsi qu'au lancement du haut débit en République centrafricaine (RCA).

Financé conjointement par l’Union européenne et la Banque africaine de développement (BAD), ledit centre vise entre autres à développer des compétences des jeunes en vue de créer des emplois et contribuer à la diversification de l’économie centrafricaine en favorisant l’émergence d’une économie numérique.

« Ce centre est un cadre de référence pour encadrer la montée de la fibre optique en Centrafrique. Il convient de noter que l'aboutissement de ce projet va ouvrir une possibilité à la RCA d'avoir accès à l'Internet à haut débit et devenir un pays intelligent, car l'accès à Internet est un moyen considérable pour le développement d'un pays », informe la Primature.

L’initiative s’inscrit dans le cadre du projet de la dorsale à fibre optique nationale de la République centrafricaine, une composante du projet de la dorsale à fibre optique d’Afrique centrale (Central African Backbone - CAB). Outre le centre de formation digitale qui a été lancé, le projet en RCA englobe également une plateforme de cybersécurité et de certification électronique, une assistance technique spécifique offerte au ministère centrafricain de l’Economie numérique, des Postes et Télécommunications pour la création de l’Agence centrafricaine de développement du digital, qui jouera un rôle clé dans le déploiement de la stratégie numérique du pays, entre autres.

Le nouveau centre est doté d'équipements numériques, d’une salle de formation, de plateaux techniques, de bureaux, d'un incubateur, d'un laboratoire de traitement de bases de données... Il servira de cadre aux jeunes Centrafricains pour concevoir, développer et mettre sur le marché des produits numériques pour répondre aux besoins de la population.

Samira Njoya

Lire aussi:

Centrafrique : la première couverture par fibre optique est opérationnelle

Published in Gestion Publique

Ces dernières années, la transition des universités vers l’enseignement numérique est devenue une urgence. Celle-ci s’accompagne de l’adoption de technologies numériques et de nouvelles pédagogies pour garantir aux étudiants des compétences et qualifications actuelles.

Le ministre ivoirien de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Adama Diawara, a procédé le vendredi 12 janvier à la remise officielle de 16 studios mobiles d’enregistrement de ressources pédagogiques numériques destinés aux universités et grandes écoles publiques du pays.

D’une valeur de 275 millions FCFA (458 125 $), ces nouvelles acquisitions visent la création effective d’un environnement propice pour l’intégration du numérique dans le système éducatif.

« Le numérique représente un levier de transformation puissant pour accompagner les politiques publiques éducatives dans toutes leurs dimensions, de la transformation pédagogique au service des apprentissages et leur évaluation, à la formation aux enjeux et aux métiers de demain », a déclaré Adama Diawara.

L’initiative s’inscrit dans le cadre du projet d’Appui à la modernisation et à la réforme des universités et grandes écoles de Côte d’Ivoire (AMRUGE-CI n°2) qui vise à stimuler le développement du numérique éducatif. Il est prévu à cet effet la remise de studios mobiles dans toutes les universités du pays en vue de renforcer la production pédagogique flexible et la documentation numérique.

Ainsi, depuis 2013, le gouvernement travaille en collaboration avec l’Agence française du développement (AFD) qui a mobilisé jusqu'ici plus 10 milliards FCFA pour le développement du numérique éducatif en Côte d’Ivoire à travers le Contrat de désendettement et de développement (C2D).

En numérisant le système éducatif, le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique ambitionne de rénover l'offre de formation supérieure pour mieux répondre aux exigences du marché de l'emploi et garantir la qualité de l'éducation et respecter les normes internationales.

Notons que les premiers bénéficiaires sont les universités Félix Houphouët-Boigny de Cocody, Nangui Abrogoua d’Abobo-Adjamé, Alassane Ouattara de Bouaké, Jean Lorougnon Guédé de Daloa, Péléforo Gon de Korhogo, Man, Bondoukou, San Pedro, l’université virtuelle de Côte d’Ivoire, l’Ecole normale supérieure d’Abidjan et l’Institut national polytechnique Félix Houphouët-Boigny de Yamoussoukro.

Samira Njoya

Lire aussi:

Tunisie : le gouvernement lance une plateforme numérique pour améliorer la qualité du système éducatif

Published in Tech
Page 14 sur 52

Please publish modules in offcanvas position.