Grâce à ses divers programmes et activités, TechBuzz Hub soutient les jeunes entrepreneurs et promeut l’innovation sur le continent. Avec des prix internationaux à son actif, il poursuit son ascension, impactant l’Afrique.

TechBuzz Hub est un incubateur de start-up et un espace de coworking ougandais qui a pour mission d’aider les entrepreneurs à transformer leurs idées en entreprises durables. Fondé en 2016 par Keneth Twesigye, qui en est aussi le président-directeur général, il a mis en place une série d’activités et de programmes visant à soutenir les start-up en phase de démarrage dirigées par des jeunes âgés de 18 à 35 ans.

Parmi ces services, on trouve des espaces de coworking inclusifs, des programmes d’incubation de start-up et des séminaires. TechBuzz Hub offre également des services de développement commercial tels que le mentorat, la consultation et la mise en réseau. Ces efforts ont permis à de nombreux entrepreneurs de réaliser leurs rêves et de concrétiser leurs idées.

TechBuzz Hub a mis en place un réseau d’espace virtuel nommé Offisa qui joue un rôle de bureau à distance qui permet aux entrepreneurs d’accéder à leur fonction professionnelle. Il organise aussi des rencontres pour mettre en relations différents entrepreneurs, start-up, et propriétaires d’entreprises pour qu’ils interagissent, partagent leurs expériences de travail et de vie, suivent les progrès de leur entreprise et bénéficient du soutien d’experts.

L’incubateur organise aussi des ateliers bimensuels appelés Fortnyt Series pour fournir une assistance technique de mentor à entrepreneur et de pair à pair. De plus, il a initié le programme Young Professionals Programs pour soutenir les jeunes diplômés et ceux qui viennent d’entrer sur le marché du travail. Il s’agit d’un programme de préparation à l’emploi qui dote les jeunes de compétences et de pratiques très utiles sur le marché du travail.

TechBuzz Hub fournit des formations en modélisation d’entreprise, facilitation de l’élaboration de feuilles de route et de stratégies, gestion de projet, planification d’entreprise, conception graphique, conception de sites web, applications informatiques et projections financières. Ces formations, ouvertes et personnalisées, visent à renforcer les capacités des entreprises.

En 2023, l’incubateur a remporté le prix du meilleur espace de coworking lors des Global Startup Awards Africa. Membre du réseau AfriLabs, il est soutenu par Mastercard Foundation et Startup Uganda, entre autres.  

Melchior Koba

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Elle a intégré le centre d’innovation technologique CcHub en 2021 en tant que cofondatrice et associée directrice de Creative Economy Practice. Sa nomination à la tête du centre est une conséquence de son leadership dans ces précédents postes.

Ojoma Ochai (photo) est une experte en économie créative nigériane. Titulaire d’un diplôme de spécialisation en ingénierie des réseaux obtenu en 2005 au NIIT Abuja Centre, elle est la nouvelle directrice générale de Co-creation Hub, l’un des plus grands centres d’innovation dédiés à l’accélération de l’application du capital social et de la technologie. La nouvelle a été rendue publique le jeudi 14 décembre 2023.

Au poste de directrice générale, Ojoma Ochai succède au cofondateur et désormais ministre de la Communication, de l’innovation et de l’économie numérique du Nigeria, Bosun Tidjani. Elle est désormais chargée de diriger la stratégie et l’équipe de Co-creation Hub Africa, y compris CcHub Design Lab Rwanda, CcHub Namibia, CcHub Syndicate, Creative Economy Practice at CcHub et iHub Kenya.

« Je suis fier du travail accompli par CcHub depuis 2010 et c’est un grand honneur pour moi de faire un pas de plus vers CcHub en tant que directrice générae », peut-on lire sur son compte LinkedIn. « Je me tiens sur les épaules des géants Dr. Bosun Tijani, Femi Longe et Adetunji Eleso et des précédents dirigeants et managers de CcHub qui ont construit une organisation africaine phénoménale que j’ai maintenant l’honneur de diriger », ajoute-t-elle.

Avant cette nomination, la Nigériane était l’associée directrice de Creative Economy Practice, une cellule de CcHub qui a pour mission de stimuler l’innovation et l’application de la technologie pour le développement de l’économie créative en Afrique.

Ojoma Ochai siège à plusieurs conseils d’administration, dont celui de ₿trust, soutenu par les leaders de l’industrie technologique et créative Jack Dorsey et Jay Z pour soutenir le développement de Bitcoin Open Source dans les pays du Sud. Elle est aussi, depuis 2012, membre du groupe d’experts de l’UNESCO. Entre 2010 et 2021, elle a travaillé pour British Council. Elle y a successivement occupé les postes de directrice des arts au Nigeria (2010-2017) et en Afrique de l’Est (2017-2018), de directrice des programmes dans la région d’Afrique subsaharienne (2018-2020) et de directrice régionale des programmes pour les arts et l’économie créative en Afrique subsaharienne (2020-2021).

Pour son travail et son dévouement, Ojoma Ochai a été citée, par Y Naija Magazine, parmi les 10 personnalités de moins de 40 ans les plus influentes dans le domaine des arts et de la culture au Nigeria en 2014, ainsi que parmi les 100 Nigérians les plus influents et les 100 femmes les plus inspirantes du Nigeria en 2015.

Melchior Koba

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Durant six mois, Afkar Incubator accompagne les entreprises à l’étape d’idéation dans leur processus de création d’entreprise. En trois éditions, son programme d’incubation a soutenu plus de 200 projets en Tunisie.

Fondé en 2015, Afkar Incubator est un incubateur basé à Tunis, en Tunisie. Il est actuellement dirigé par le duo Walid Hached et Houssem Aouidi, co-présidents et directeurs généraux.

Afkar Incubator se consacre à catalyser les individus ayant de nouvelles idées pour le changement social. Il soutient les innovateurs sociaux en les aidant à devenir des catalyseurs de changement, les créateurs de contenu et les acteurs de la société civile qui seront les leaders du changement de demain. L’incubateur se concentre sur les projets en phase d’idéation qui répondent de manière créative à un problème.

Le programme d’incubation d’Afkar est un programme gratuit de six mois. Il offre un environnement d’intelligence collaborative, d’environnement amical et de diversité d’expériences. Les entrepreneurs incubés travaillent principalement à formuler leur proposition de valeur, à expérimenter, à tester et à valider leurs hypothèses, à construire leur plan d’affaires, à développer une preuve de concept et un produit minimum viable (MVP), à développer leur marque et à accroître leur notoriété.

Egalement préoccupé par l’inclusion des femmes dans le secteur entrepreneurial, l’incubateur a lancé un programme appelé Afkar Mubadirat. Ce dernier propose aux femmes des opportunités de réseautage dans les régions du pays. Cette année, le programme a été lancé dans les régions de Jendouba et Sidi Bouzid.

En matière d’impact, Afkar Incubator a déjà soutenu 264 projets et 450 boursiers, dont 56 % étaient des hommes et 44 % des femmes. Il a également financé 54 projets et compte 42 entrepreneurs incubés dans des hubs régionaux d’innovation répartis sur 7 régions de la Tunisie. Grâce à lui, 131 start-up ont vu le jour et 63 start-up ont été labellisées.

Parmi les entreprises technologiques qu’il a accompagnées, on peut citer JTKids, une série de jeux de construction technologique pour enfants favorisant l’expérience créative et l’apprentissage ludique, ODIOFIL, une plateforme proposant du contenu audio varié, allant de podcasts radio à des audiobooks, IDARA, un guide en ligne qui facilite l’accès aux procédures administratives en Tunisie, et JAM, une application de matchmaking d’artistes et réservation d’espace de création.

Afkar Incubator a obtenu ces résultats avec l'aide de ses partenaires, dont la Caisse des dépôts et consignations, Expertise France, l’Agence française de développement, l’Union européenne, GIZ, ProGreS Migration et Faster Capital.

Melchior Koba

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Depuis la pandémie de Covid-19, la transition des écoles vers l’enseignement numérique est devenue une urgence. Celle-ci doit s’accompagner de l’adoption de technologies numériques et de nouvelles pédagogies pour garantir aux élèves des compétences et qualifications actuelles.

Le Bureau de liaison de l'Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture (UNESCO) à Addis-Abeba, en partenariat avec Huawei, a procédé le jeudi 14 décembre à la remise d'équipements TIC au ministère éthiopien de l’Education et aux bureaux régionaux de l’éducation de l’Etat. La livraison comprend 480 tablettes, 48 ordinateurs portables, 48 points d'accès et 24 tableaux intelligents. Elle s’inscrit dans le cadre du projet TeOSS (Ecoles ouvertes à tous grâce à la technologie).

« Au-delà des salles de classe, le projet TeOSS est un catalyseur d’innovation et de croissance économique. En équipant les écoles d'installations TIC, nous donnons aux étudiants les moyens de façonner l'avenir de l'Ethiopie. Félicitations à l'UNESCO et à Huawei pour avoir mené la charge ! », a déclaré Rita Bissoonauth, directrice du bureau de liaison de l'UNESCO à Addis-Abeba.

L’investissement d’une valeur de 300 000 dollars permettra d'équiper 24 écoles secondaires à travers le pays. Le projet TeOSS de l’UNESCO et du Fonds en dépôt Huawei vise à mettre en place des systèmes scolaires fondés sur la technologie et résilients aux crises, afin de faire le lien entre l’apprentissage scolaire et à domicile et d’assurer la continuité et la qualité de l’apprentissage, que ce soit en situation normale ou de crise.

Aligné sur la stratégie « Priorité Afrique de l’UNESCO», le projet triennal permettra aux pays d’Afrique subsaharienne, notamment le Ghana, l’Ethiopie et l’Egypte d’utiliser la technologie comme accélérateur pour assurer l'accès de tous à une éducation de qualité, et comme égaliseur pour les possibilités de développement numérique.

En Ethiopie, l’initiative se concentre sur la construction d’infrastructures TIC pour connecter des écoles pilotes. Le projet permettra de former des enseignants et des étudiants et de créer un système de gestion de l’apprentissage intégré à une plateforme de formation des enseignants.

Samira Njoya

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Dans le but de faire de son royaume une référence en matière de technologie, le roi Mswati III a initié le Royal Science & Technology Park. Ce dernier promeut la science, la technologie et l’innovation dans le royaume d’eSwatini.

Le Royal Science & Technology Park (RSTP) est un parc scientifique et technologique créé en 2007 au royaume d'eSwatini, pour favoriser la conception d’inventions et renforcer les liens entre les différents éléments du cluster de recherche et développement. Il s’agit d’une entreprise publique qui a vu le jour grâce à la vision du roi Mswati III, exprimée dans la loi sur le Royal Science & Technology Park de 2012.

Dirigé par Vumile Dlamini, le RSTP a pour mission de promouvoir la science, la technologie et l’innovation dans le royaume d’eSwatini, en offrant un environnement propice à la recherche, au développement et à l’entrepreneuriat. Le parc est composé de deux sites qui utilisent une superficie estimée à 317,17 hectares de terrain : le Nokwane Site et le Phocweni Site.

Le Phocweni Site est le site dédié aux services et produits liés aux technologies de l’information. Il propose un centre de formation appelé Advanced School of IT et affilié à Aptech un fournisseur mondial de solutions de formation pour le commerce de détail et les entreprises.

Il dispose aussi d’un incubateur d’entreprise qui a pour objectif de faciliter l’innovation dans les domaines des technologies de l’information et de la communication, de la biotechnologie, de l’agriculture et de l’alimentation, du climat et de l’environnement, y compris la gestion des déchets (solutions vertes) et les systèmes de connaissances indigènes.

Le site fournit aussi un centre national de contact et un centre national de données. Ce dernier s’efforce de fournir des services TIC sûrs, efficaces et fiables aux entreprises, tout en contribuant au développement de l’administration en ligne et en promouvant l’inclusion numérique au sein du royaume d’eSwatini.

Le second site, Nokwane Site, abrite une unité de recherche qui sert de plateforme polyvalente pour la recherche et le développement dans le domaine des technologies liées à la biotechnologie, de la production, du marketing des produits et du commerce.

Dans le cadre de la loi de 2018 sur les zones économiques spéciales (ZES) du royaume, le Royal Science & Technology Park a été désigné comme zone économique spéciale.

Melchior Koba

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Le Centre d'intelligence artificielle et STEAM (Science, Technologie, Ingénierie, Arts et Mathématiques) de l’Université des sciences et de la technologie du Malawi (MUST) a signé un accord avec le Centre d'excellence en intelligence artificielle pour l'Afrique (AICE), basé au Kenya. Ledit accord vise à renforcer les capacités des pays africains grâce à la formation et à la recherche dans le domaine de l'intelligence artificielle. Il s'agira de former 50 scientifiques des données et ingénieurs en IA en 2024 et 300 pour une période de trois ans.

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Depuis plus de 19 ans, il essaie de réduire, via Silulo Ulutho Technologies, la fracture numérique et d’améliorer la qualité de vie de ses concitoyens. Il a reçu de nombreuses récompenses nationales et internationales.

Luvuyo Rani (photo) est un entrepreneur sud-africain et le président-directeur général de Silulo Ulutho Technologies, une entreprise qui fournit des magasins et des centres de formation en informatique dans les bidonvilles et les communautés rurales d’Afrique du Sud, créant des opportunités d’emploi pour des milliers de jeunes sans-emploi.

Luvuyo Rani a fait ses études supérieures à la Cape Peninsula University of Technology où il a obtenu, en 2002, un bachelor en commerce et éducation et, en 2004, un bachelor en administration des affaires. Il est aussi titulaire d’un diplôme d’associé en gestion obtenu en 2007 à la Graduate School of Business de l’université du Cap, et d’un certificat en leadership pour le changement de système délivré en 2018 par la Harvard Business School Executive Education.

L’entrepreneur a fondé Silulo Ulutho Technologies en 2004 avec son frère Lonwabo Rani. L’entreprise fournit aux populations des bidonvilles et des milieux ruraux une infrastructure accessible, un réseau de soutien, des services de développement des compétences et une connectivité numérique par le biais de ses centres de carrière et d’affaires centrés sur la communauté.

Luvuyo Rani est depuis 2021 membre du conseil d’administration d’Entrepreneurs’ Organization, un réseau de soutien de haute qualité qui regroupe plus de 18 000 fondateurs et propriétaires d’entreprises. Avant la fondation de Silulo Ulutho Technologies, il a enseigné la comptabilité et l’économie d’entreprise à la KwaMfundo Secondary School de 2001 à 2004.

Luvuyo Rani a reçu de nombreuses récompenses nationales et internationales pour son parcours entrepreneurial et son impact social. En 2007, il a reçu le prix de l’entrepreneur de l’année Cape Times/KPMG. En 2008, il a été le deuxième finaliste du prix SAB Kick-Start dans la province du Cap-Occidental. En 2011, il a été sélectionné comme entrepreneur mondial Endeavour et a remporté le prix national de la productivité. En 2014, il a été nommé comme l’une des « dix personnes exceptionnelles de l’année » par la Junior Chamber International. En 2015, il a reçu un diplôme honorifique de Tsiba Education. En 2016, il a été nommé entrepreneur social de l’année par la Fondation Schwab.

Melchior Koba

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Depuis plus de 15 ans, I&F Entrepreneuriat aide les entrepreneurs avec une idée d’entreprise innovante dans leur processus de création. Par le biais de ses programmes et activités, elle a déjà accompagné plus de 1 000 entrepreneurs.

I&F Entrepreneuriat est une organisation qui soutient les entrepreneurs en République démocratique du Congo. Fondée en 2007 sous l’accompagnement conjoint de l’Institut de la Francophonie pour l’Entrepreneuriat (Ile Maurice), de l’université de Bordeaux (France) et de l’Incubateur régional d’Aquitaine (France), son directeur général est l’entrepreneur Val Masamba.

Ses activités comprennent la formation, l’incubation, le mentorat et le financement des porteurs de projets innovants et à fort impact social. Avec plus de 15 ans d’expérience, elle est riche de 1 456 entreprises incubées, dont 803 créées par des jeunes de moins de 35 ans, composés de jeunes filles à 39 %. Les entreprises exercent dans divers secteurs tels que l’agro-industrie, la haute technologie, la production de matériaux de construction et les technologies de l’information et de la communication.

« I&F Entrepreneuriat a pour mission de transférer la technologie, promouvoir et développer, au sein d’une structure commune d’incubation et de pépinière, une démarche systématique de détection, d’évaluation, et de validation économique et d’accompagnement aussi bien de projets de création d’entreprises innovantes ou d’entreprises existantes ayant un lien ou pas avec la recherche scientifique », peut-on lire sur le site de l’organisation.

Le programme d’incubation de l’organisation dure 12 à 18 mois selon la progression de chaque projet. Il accueille les personnes qui disposent des idées de projet d’entreprise et leur propose un hébergement physique et juridique, un accompagnement, un coaching et un tutorat, une formation entrepreneuriale et managériale, un stage de perfectionnement. Il aide les entrepreneurs à construire leur business model et plan, les ajoute dans des réseaux d’affaires et leur offre un suivi post création d’entreprise.

I&F Entrepreneuriat offre également, dans la phase post-création d’entreprise, un soutien complet à travers une pépinière. Celle-ci accompagne les nouveaux entrepreneurs dans l’installation et le lancement de leur entreprise, la réalisation des premiers recrutements, l’établissement de relations avec les premiers clients et fournisseurs, la gestion de la comptabilité, les négociations avec les acteurs du marché, la gestion des comptes bancaires, la participation à des foires et des conférences pour la promotion de leurs produits, ainsi que la mise en place de stratégies marketing, entre autres activités.

Le dernier service de la chaîne d’incubation de l’organisation est le quartier industriel pour petites et moyennes industries. Son rôle est d’accueillir les entrepreneurs incubés sortis de la pépinière en vue de leur offrir un cadre propice à leur développement. L’ensemble de ces étapes a pour but de créer des entreprises à fort impact et durables en RD Congo.

Melchior Koba

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Depuis sa création, elle s’est engagée à permettre aux jeunes de libérer leur plein potentiel grâce à divers programmes. Elle fournit un espace communautaire propice que les jeunes utilisent pour entre autres se rencontrer, travailler en réseau et apprendre. 

Swahilipot Hub est une organisation à but non lucratif kényane fondée en 2016 par Mahmoud Noor, avec des programmes et des activités axés sur la technologie et l’innovation. Devenue une organisation non gouvernementale connue sous le nom de Swahilipot Hub Foundation en 2017, elle a ajouté l’art à son portefeuille afin d’autonomiser les jeunes.

Swahilipot Hub Foundation forme des jeunes en matière de collecte et d’analyse de données grâce à son programme Data and Research. Elle offre aussi des programmes visant à améliorer les compétences numériques des jeunes et à leur permettre de s’épanouir dans l’espace numérique. 

Grâce à son programme d’attachement industriel, les participants acquièrent une expérience pratique dans des domaines comme le développement web, la mise en réseau et des compétences non techniques telles que le travail avec les jeunes et la communication efficace.

Son programme d’entreprise, connu sous le nom de « Pitching Thursday », fournit une plateforme aux jeunes pour présenter leurs idées ou leurs projets. Il offre une visibilité et sert de catalyseur pour la croissance et le développement.

Swahilipot Hub Foundation fournit un espace où ses communautés, artistiques et technologiques, construisent des projets durables. En 2018, elle a accueilli la première édition de la Pwani Innovation Week (PIW), son activité axée sur la promotion de la technologie. L’organisation a aussi lancé, en 2022, un événement dans le domaine du patrimoine. Nommé Modern Heritage of Africa (MoHoA) et organisé dans un format hybride (en présentiel et virtuel), l’atelier a rassemblé des intervenants et des participants du monde entier.

A ce jour, Swahilipot Hub Foundation a formé plus de 100 jeunes en collecte et analyse de données et plus de 150 jeunes ont acquis des compétences numériques. Elle a soutenu plus de 10 entreprises à ce jour, les aidant dans leur parcours entrepreneurial.

Plus tôt dans l’année 2023, l’organisation a été certifiée comme étant l’équivalent d’une organisation caritative publique certifiée aux Etats-Unis d’Amérique. Cela signifie que les organismes subventionnaires américains peuvent la financer directement.

Melchior Koba

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Swahilipot Hub Foundation forme des jeunes en matière de collecte et d’analyse de données grâce à son programme Data and Research. Elle offre aussi des programmes visant à améliorer les compétences numériques des jeunes et à leur permettre de s’épanouir dans l’espace numérique. 

Grâce à son programme d’attachement industriel, les participants acquièrent une expérience pratique dans des domaines comme le développement web, la mise en réseau et des compétences non techniques telles que le travail avec les jeunes et la communication efficace.

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Swahilipot Hub Foundation fournit un espace où ses communautés, artistiques et technologiques, construisent des projets durables. En 2018, elle a accueilli la première édition de la Pwani Innovation Week (PIW), son activité axée sur la promotion de la technologie. L’organisation a aussi lancé, en 2022, un événement dans le domaine du patrimoine. Nommé Modern Heritage of Africa (MoHoA) et organisé dans un format hybride (en présentiel et virtuel), l’atelier a rassemblé des intervenants et des participants du monde entier.

A ce jour, Swahilipot Hub Foundation a formé plus de 100 jeunes en collecte et analyse de données et plus de 150 jeunes ont acquis des compétences numériques. Elle a soutenu plus de 10 entreprises à ce jour, les aidant dans leur parcours entrepreneurial.

Plus tôt dans l’année 2023, l’organisation a été certifiée comme étant l’équivalent d’une organisation caritative publique certifiée aux Etats-Unis d’Amérique. Cela signifie que les organismes subventionnaires américains peuvent la financer directement.

Melchior Koba

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