Depuis sa création, elle s’est engagée à permettre aux jeunes de libérer leur plein potentiel grâce à divers programmes. Elle fournit un espace communautaire propice que les jeunes utilisent pour entre autres se rencontrer, travailler en réseau et apprendre. 

Swahilipot Hub est une organisation à but non lucratif kényane fondée en 2016 par Mahmoud Noor, avec des programmes et des activités axés sur la technologie et l’innovation. Devenue une organisation non gouvernementale connue sous le nom de Swahilipot Hub Foundation en 2017, elle a ajouté l’art à son portefeuille afin d’autonomiser les jeunes.

Swahilipot Hub Foundation forme des jeunes en matière de collecte et d’analyse de données grâce à son programme Data and Research. Elle offre aussi des programmes visant à améliorer les compétences numériques des jeunes et à leur permettre de s’épanouir dans l’espace numérique. 

Grâce à son programme d’attachement industriel, les participants acquièrent une expérience pratique dans des domaines comme le développement web, la mise en réseau et des compétences non techniques telles que le travail avec les jeunes et la communication efficace.

Son programme d’entreprise, connu sous le nom de « Pitching Thursday », fournit une plateforme aux jeunes pour présenter leurs idées ou leurs projets. Il offre une visibilité et sert de catalyseur pour la croissance et le développement.

Swahilipot Hub Foundation fournit un espace où ses communautés, artistiques et technologiques, construisent des projets durables. En 2018, elle a accueilli la première édition de la Pwani Innovation Week (PIW), son activité axée sur la promotion de la technologie. L’organisation a aussi lancé, en 2022, un événement dans le domaine du patrimoine. Nommé Modern Heritage of Africa (MoHoA) et organisé dans un format hybride (en présentiel et virtuel), l’atelier a rassemblé des intervenants et des participants du monde entier.

A ce jour, Swahilipot Hub Foundation a formé plus de 100 jeunes en collecte et analyse de données et plus de 150 jeunes ont acquis des compétences numériques. Elle a soutenu plus de 10 entreprises à ce jour, les aidant dans leur parcours entrepreneurial.

Plus tôt dans l’année 2023, l’organisation a été certifiée comme étant l’équivalent d’une organisation caritative publique certifiée aux Etats-Unis d’Amérique. Cela signifie que les organismes subventionnaires américains peuvent la financer directement.

Melchior Koba

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Depuis sa création, elle s’est engagée à permettre aux jeunes de libérer leur plein potentiel grâce à divers programmes. Elle fournit un espace communautaire propice que les jeunes utilisent pour entre autres se rencontrer, travailler en réseau et apprendre. 

Swahilipot Hub est une organisation à but non lucratif kényane fondée en 2016 par Mahmoud Noor, avec des programmes et des activités axés sur la technologie et l’innovation. Devenue une organisation non gouvernementale connue sous le nom de Swahilipot Hub Foundation en 2017, elle a ajouté l’art à son portefeuille afin d’autonomiser les jeunes.

Swahilipot Hub Foundation forme des jeunes en matière de collecte et d’analyse de données grâce à son programme Data and Research. Elle offre aussi des programmes visant à améliorer les compétences numériques des jeunes et à leur permettre de s’épanouir dans l’espace numérique. 

Grâce à son programme d’attachement industriel, les participants acquièrent une expérience pratique dans des domaines comme le développement web, la mise en réseau et des compétences non techniques telles que le travail avec les jeunes et la communication efficace.

Son programme d’entreprise, connu sous le nom de « Pitching Thursday », fournit une plateforme aux jeunes pour présenter leurs idées ou leurs projets. Il offre une visibilité et sert de catalyseur pour la croissance et le développement.

Swahilipot Hub Foundation fournit un espace où ses communautés, artistiques et technologiques, construisent des projets durables. En 2018, elle a accueilli la première édition de la Pwani Innovation Week (PIW), son activité axée sur la promotion de la technologie. L’organisation a aussi lancé, en 2022, un événement dans le domaine du patrimoine. Nommé Modern Heritage of Africa (MoHoA) et organisé dans un format hybride (en présentiel et virtuel), l’atelier a rassemblé des intervenants et des participants du monde entier.

A ce jour, Swahilipot Hub Foundation a formé plus de 100 jeunes en collecte et analyse de données et plus de 150 jeunes ont acquis des compétences numériques. Elle a soutenu plus de 10 entreprises à ce jour, les aidant dans leur parcours entrepreneurial.

Plus tôt dans l’année 2023, l’organisation a été certifiée comme étant l’équivalent d’une organisation caritative publique certifiée aux Etats-Unis d’Amérique. Cela signifie que les organismes subventionnaires américains peuvent la financer directement.

Melchior Koba

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Préoccupé par le développement de l’entrepreneuriat et de l’innovation en Egypte, le gouvernement, à travers le ministère de la Coopération internationale, a fondé Falak Startups. Ce dernier accompagne les entrepreneurs talentueux et ambitieux du secteur technologique.

Falak Startups est un accélérateur de start-up créée en 2018 par le ministère égyptien de la Coopération internationale et son organisme de capital-risque, Egypt Ventures. Son directeur général est Ahmed Hazem Dakroury.

L’accélérateur a pour mission de trouver et d’accompagner les entrepreneurs talentueux et ambitieux du secteur technologique en Egypte, afin qu’ils puissent se développer et se faire connaître dans le paysage entrepreneurial du Moyen-Orient et de l’Afrique.

Falak Startups propose deux pistes différentes pour ses start-up : une piste générale pour les start-up technologiques, et une piste fintech soutenue par EFGEV Fintech et conçue pour les start-up opérant dans les technologies financières.

Les entreprises sélectionnées bénéficient d’un accompagnement personnalisé, comprenant des ateliers, des mentorats, des formations, des opportunités de marché, et d'un accès à la plateforme virtuelle, Virtual Stage, de Falak Startups, qui permet aux start-up de se connecter avec des investisseurs potentiels, des décideurs politiques, des acteurs du secteur privé et des partenaires institutionnels.

Falak Startups a également mis en place un programme d’investissement en capital-risque, qui vise à financer jusqu’à 2 millions EGP (environ 65 000 USD) par start-up. Le programme comprend aussi un soutien financier aux start-up lorsqu’elles cherchent à lever des fonds supplémentaires auprès d’autres sources.

Depuis sa création, Falak Startups a accéléré plusieurs start-up émergentes dans des domaines tels que l’énergie, la santé numérique, l’éducation en ligne, le commerce électronique et la logistique. Parmi les entreprises soutenues, on peut citer Presto, un système automatisé de livraison à la demande, Mayday qui fournit une assistance routière en temps réel aux automobilistes qui rencontrent un problème de voiture, Rabbit, une entreprise de transport propre qui propose des scooters électriques à louer à la minute, et la plateforme d’e-commerce WXYZ.

Melchior Koba

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En 2022, selon des données fournies par StartupBlink, Maurice a obtenu 1,02 point dans l’indice de l’écosystème des start-up et comptabilisé l’un des scores totaux les plus élevés d’Afrique. Mauritius Start-up Incubator fait partie des acteurs de cette performance de l’écosystème mauricien.

Mauritius Start-up Incubator (MSI) est un incubateur basé à Maurice, qui a pour mission d’accompagner les start-up qui veulent se développer et être guidées vers le succès. Fondé en 2016 par Nicolas Goldstein, un entrepreneur installé à Maurice, MSI se distingue de ses concurrents en proposant un service de soutien de bout en bout pour lancer, développer et établir les entreprises. 

MSI offre aux start-up un environnement propice à leur croissance, avec des locaux modernes, un accès à un réseau d’experts et de mentors, des formations et des ateliers, ainsi qu’un soutien financier et administratif. Les bureaux de l’incubateur sont équipés, câblés, dotés de 1 à 25 postes de travail et disposent d’une bonne technologie Internet.

L’incubateur propose aussi des services de conseil pour le recrutement de personnel. Il aide à la création et à la comptabilité d’une société à Maurice. Il accompagne les entreprises dans l’enregistrement de leur marque, à l’obtention des permis d’occupation (OP) pour les expatriés et dans toutes autres démarches administratives sur le pays.

Il fournit des conseils et oriente les entreprises qui désirent s’implanter à Maurice. Que ce soit pour la constitution des sociétés, la mise en place de réseaux avec des sociétés de gestion offshore, la demande d’obtention de permis de travail, d’occupations ou autres permis nécessaires à l’exploitation d’une société numérique, MSI accompagne les start-up.

Mauritius Start-up Incubator est soutenu par des banques comme la banque des Mascareignes, Barclays, Standard Bank, Bank One, MAU Bank et Mauritius Commercial Bank, entre autres ; et d’autres grands groupes comme Harel Mallac Group, Evaco Group et CIEL Group.

Melchior Koba

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Les incubateurs, accélérateurs, fablab et toutes autres structures d’accompagnement à l’entrepreneuriat sont devenu des acteurs incontournables du développement technologique. Au Cameroun, Kmer Tech soutient ses structures.

Kmer Tech est un réseau camerounais de structures d’accompagnement à l’entrepreneuriat technologique créé en 2020. Il a pour mission de préparer l’écosystème pour un meilleur rayonnement de l’entrepreneuriat technologique et innovant en vue de booster l’économie numérique.

Il vise à promouvoir, soutenir et défendre les intérêts des incubateurs, les attirer et mettre à leur disposition des ressources par le branding et le lobbying. Elle a également pour objectif de promouvoir le développement, la visibilité et la compétitivité des start-up.

Parmi ses activités et ses programmes, on peut citer le projet KMER TECH TIE (Tech-Innovation- Entrepreneurship), un programme national lancé en réponse à la Covid-19, qui vise à fournir des solutions applicables et pertinentes aux problèmes socio-économiques en suspens au Cameroun. Ce projet a consisté à former les entreprises et organisations qui développent des technologies innovantes.

A la fin du KMER TECH TIE, un concours appelé KmerTech TIE Champion est organisé. Lancée en décembre 2021, la compétition a récompensé six start-up innovantes dans les domaines de la santé, de l’éducation et du commerce en 2022.

A travers le programme KMER TECH ESO SUPPORT, le réseau renforce l’action de ses hubs en octroyant une subvention de 100 000 à 250 000 FCFA, soit entre 160 et 400 USD, à chacun de ses membres selon leurs activités.

Kmer Tech est un réseau de plus de 134 membres et de plus de 22 start-up. Via ce réseau, il favorise l’emploi des jeunes et le développement de l’entrepreneuriat technologique au Cameroun. Il est soutenu par ST Digital, l’Union européenne et l’ambassade de France au Cameroun.

Melchior Koba

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Lawyers Hub est un des acteurs les plus importants dans le domaine de la technologie juridique en Afrique. Grâce à son leadership éclairé et à ses programmes innovants, il façonne l’avenir du droit et de la technologie sur le continent.

Fondée en 2017 par l’experte en droit numérique Linda Bonyo, sa présidente-directrice générale, Lawyers Hub est une organisation panafricaine qui vise à promouvoir l’innovation juridique et technologique en Afrique. Basée à Nairobi, au Kenya, elle conseille sur la politique numérique et utilise la technologie pour aider les start-up à travers le continent.

Lawyers Hub est dirigée par une équipe de professionnels dévoués et expérimentés. Elle a mis en place plusieurs programmes et activités pour soutenir son objectif. L’un d’eux, l’Africa Digital Policy Institute, propose des sessions de formation en personne et virtuelles ciblant différentes industries sur l’intelligence artificielle, la cybersécurité et la protection des données et des cours de conformité pour les professionnels et les praticiens du droit. Elle gère aussi l’Africa Law Tech Association et l’Africa Startup Law Accelerator.

L’organisation organise plusieurs événements comme l’Africa Law Tech Festival qui réunit chaque année plus de 2 000 participants venant de plus de 40 pays. Elle organise aussi l’Africa Legal Innovation Week qui rassemble des technologues juridiques de toute l’Afrique pour explorer comment la technologie peut façonner l’avenir de la justice et du secteur juridique. L’édition 2023 s’est tenue du 27 novembre au 1ᵉʳ décembre.

Ces initiatives visent à former les juristes africains en droit de la technologie et à aider les acteurs de l’écosystème et les gouvernements à comprendre les politiques qui régissent l’industrie technologique.

Lawyers Hub organise aussi les Africa Legal Innovation Awards, qui cherchent à reconnaître les réalisations exceptionnelles et les avancées révolutionnaires dans le monde du droit et de la technologie. Ce prix est destiné aux individus travaillant dans l’espace legaltech en Afrique, y compris les avocats, les décideurs politiques et les innovateurs.

L’organisation travaille avec plusieurs entreprises et organisations internationales. Entre autres, on peut citer Mozilla, Witness, Edgelands Institute, UNESCO et l’université de Cambridge.  

Melchior Koba

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Depuis la pandémie de la Covid-19, les plateformes d’apprentissage en ligne ont pris une autre ampleur. Pour former ses fonctionnaires, l’Etat tunisien s’est tourné vers cette option.

Nizar Ben Néji (photo, au centre), ministre tunisien des Technologies de la communication, a lancé le vendredi 1er décembre la plateforme « Digital Learning Academy ». L’objectif est de permettre aux 680 000 agents de la fonction publique d’accéder aux formations en ligne pour renforcer leurs compétences dans le secteur du numérique.

L’initiative, lancée par le ministère des Technologies de la communication, est dirigée par Smart Tunisian Technoparks, un technoparc tunisien spécialisé dans les technologies de l’information et de la communication.

Le lancement de la nouvelle plateforme s’inscrit dans le cadre du renforcement des compétences des fonctionnaires de l’Etat tunisien. Dans sa stratégie numérique dont l’échéance est prévue pour 2025, la digitalisation et la simplification des diverses procédures administratives et le développement des services numériques destinés aux citoyens représentent l’un des six axes majeurs. Le personnel administratif doit ainsi s’adapter aux nouvelles normes pour faciliter l’atteinte des divers objectifs. Renforcer leurs compétences dans le numérique est l’une des étapes du processus puisqu'avec l’accélération de la transformation numérique, de nombreux agents de l’Etat, à divers postes, s’adaptent tant bien que mal à l’utilisation des nouvelles technologies.

Avec « Digital Learning Academy », ils pourront suivre un panel de formations gratuites et certifiées au niveau international. Pour rappel, la plateforme est accessible à tous les employés de la fonction publique.

Adoni Conrad Quenum

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Le groupe WIOCC (West Indian Ocean Cable Company), un prestataire international de solutions de connectivité résilientes, a annoncé le mardi 5 décembre la signature d’un partenariat avec MDCS Skills Academy.

Selon le communiqué du groupe WIOCC, la nouvelle collaboration vise à fournir des compétences numériques aux apprenants défavorisés en particulier les femmes au chômage et les apprenants handicapés dans les régions défavorisées d'Afrique du Sud.

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Après avoir travaillé pendant plusieurs années pour des organisations à but non lucratif, l’entrepreneur a décidé de promouvoir le tourisme local. Il a développé plusieurs solutions, dont LearnSwahili App qui promeut le swahili et des jeux mobiles, pour atteindre son objectif.

Elias Patrick (photo) est un jeune entrepreneur tanzanien titulaire d’un diplôme international en technologie de l’information commerciale (IDBIT) obtenu en 2016 à la NCC Education en Angleterre. Il est le fondateur et un tuteur de l’edtech LearnSwahili App Ltd.

Fondée en janvier 2023, LearnSwahili App Ltd a pour mission de fournir une plateforme immersive et enrichissante où les individus peuvent apprendre le swahili, se connecter à son héritage culturel et obtenir de nouvelles opportunités de développement personnel et professionnel. Cependant, le rôle de la start-up ne se limite pas à l’enseignement du swahili et à la promotion de la culture swahili. Elle promeut également le tourisme local.

Elias Patrick est aussi le directeur général de TechForward Tanzania, une organisation à but non lucratif qui construit des communautés dans lesquelles la technologie est au centre du progrès. Il est aussi le spécialiste de la gestion des connaissances de Nacopha, une organisation créée par les personnes vivant avec le VIH/sida (PVVIH) pour servir d’organe faîtier et de voix ultime pour défendre leurs préoccupations en Tanzanie.

En juillet 2022, l’entrepreneur a révélé trois jeux mobiles sur lesquels il a travaillé, avec six autres techniciens, pour promouvoir le tourisme local. Les jeux sont nommés, Kilimanjaro Block Puzzle, Serengeti Block Puzzle et Tanzanite Crush, selon les principales attractions touristiques de la Tanzanie. Les jeux sont disponibles dans 177 pays du monde.

Avant l’entrepreneuriat, Elias Patrick a travaillé entre 2018 et 2020 pour UBA Tanzania comme responsable du marketing numérique. En avril 2020, il est embauché par l’entreprise McDaan Ltd en tant que spécialiste en marketing numérique. De 2021 à 2022, il était le spécialiste de la communication et de la connaissance de Save the Children International, une organisation de protection qui œuvre pour l’épanouissement des enfants.

En 2016, le Tanzanien a été élu entrepreneur de l’année par la Learnit Institute of Business and Technology et la NCC Education du Royaume-Uni.

Melchior Koba

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Grâce au soutien et à l’accompagnement de 2iE Incubateur, de nombreux projets ont pu voir le jour et contribuer au développement économique du Burkina Faso. Loin d’avoir atteint son objectif, l’incubateur continue de promouvoir l’innovation et l’entrepreneuriat en Afrique.

2iE Incubateur est un incubateur technologique et social qui accompagne et soutient les entrepreneurs innovants dans les domaines tels que l’agro-industrie, l’éco-construction, l’eau, l’assainissement et les énergies renouvelables. Créé en 2012 par l’Institut international d’ingénierie de l’eau et de l’environnement (2iE), basé au Burkina Faso, il vise à favoriser l’émergence de solutions locales à fort impact social et environnemental.

L’incubateur propose aux porteurs de projets et aux entreprises innovantes un accompagnement personnalisé, un accès à des infrastructures techniques et scientifiques, un appui financier, ainsi qu’un réseau de mentors, d’experts et d’investisseurs. Il organise également des formations, des ateliers, des concours et des événements de mise en relation.

S’étendant sur une surface de 257 m² au sein du complexe scientifique du campus de Ouagadougou, 2iE Incubateur dispose de deux salles de coworking, de deux salles de réunions, de trois bureaux individuels, d’un plateau d’essai ou de prototypage, d’une salle de reprographie, d’une cuisine, d’un espace de café/détente et d’échange d’idées, d’un espace d’archivage et de stockage. Les espaces de coworking sont ouverts aux entrepreneurs et professionnels incubés ou non par 2iE.

2iE Incubateur est aussi un accélérateur et une pépinière pour les entreprises établies qui aspirent à une expansion rapide ou envisagent de domicilier leurs activités sur les sites de 2iE. L’objectif est de faciliter leur passage à l’échelle en leur offrant un accès privilégié à des sources de financement parfaitement adaptées à leurs exigences de croissance.

Depuis sa création, 2iE Incubateur a accompagné plusieurs projets. Dans sa pépinière, on peut trouver l’entreprise sociale agroalimentaire InnoFaso. Cette dernière lutte contre la malnutrition avec des solutions, essentiellement fabriquées à partir de matières premières locales, de prévention et de traitement.

L’incubateur est accompagné dans sa mission par SOGEA SATOM, l’Organisation internationale de la francophonie, la Fondation l’Occitane, la maison de l’entreprise du Burkina Faso et Total, entre autres.

Melchior Koba

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