A travers ses programmes, ideiaLab offre un soutien précieux aux entrepreneurs et contribue à la croissance économique du Mozambique. Elle a reçu plusieurs prix et distinctions qui prouvent son impact en Afrique.

Fondé en 2010, ideiaLab est une entreprise mozambicaine qui a pour mission d’inspirer les entrepreneurs, de soutenir le développement des start-up, d’accélérer la croissance des petites et moyennes entreprises et de promouvoir l’entrepreneuriat et l’innovation.

Les cofondatrices de ideiaLab, Sara Fakir (photo, à gauche) et Tatiana Pereira (photo, à droite), ont créé cette entreprise avec l’objectif de tirer parti de l’entrepreneuriat pour un développement et une croissance inclusifs. Aujourd’hui, Tatiana Alves Pereira est la présidente de l’organisation.

ideiaLab est une plateforme innovante qui favorise les idées à fort impact, donne du pouvoir aux entrepreneurs et renforce les entreprises. Elle donne aux entrepreneurs, un accès à une communauté dynamique de personnes partageant les mêmes idées, à des ressources et à un soutien pour donner vie à leur vision.

ideiaLab propose une variété de programmes pour soutenir les entrepreneurs à chaque étape de leur parcours. Parmi ces programmes, on trouve Academia Boost, une académie spécialisée dans la formation des cadres pour soutenir le développement des compétences de gestion et de leadership, ainsi que pour stimuler le talent et la croissance des cadres, des entrepreneurs, des équipes et des entreprises.

On distingue aussi Acredita Emprega, un programme qui vise à accroître la productivité et les revenus des jeunes Mozambicains, et Agora Emprega, un concours national qui confronte plusieurs plans d’affaires.

L’entreprise a également mis en place des programmes spécifiques pour soutenir les femmes entrepreneurs, comme « FemTech », un programme d’accélération d’entreprise pour les femmes de plus de 25 ans. En outre, ideiaLab a lancé « iCreate », un programme de renforcement des entreprises conçu pour aider les équipes de PME à faire face aux phases difficiles.

Depuis sa création, l’entreprise a formé 13 500 entrepreneurs, 3 829 femmes, renforcé 8 129 idées commerciales et soutenu 4 923 entreprises actives. En reconnaissance de son travail exceptionnel, ideiaLab a reçu, en 2019, le prix du meilleur lieu de travail et de la meilleure culture organisationnelle. Elle a aussi remporté le prix du meilleur programme d’accélération et d’incubation lors de la première édition des Innovation Awards en 2022. Cet accomplissement témoigne de l’impact significatif d'ideiaLab sur l’écosystème entrepreneurial en Afrique.

Melchior Koba

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Les compétences numériques seront au cœur de la prochaine révolution technologique que connaîtra le monde. La Société financière internationale (SFI) indique que la demande en compétences numériques devrait croître plus rapidement en Afrique subsaharienne que sur les autres marchés mondiaux.

La Société allemande de coopération internationale (GIZ) et l’Union européenne (UE) ont lancé, le lundi 8 janvier à Abidjan, une formation numérique destinée à la jeunesse ivoirienne. L’initiative dénommée « WE.CODE » vise à faciliter la formation et l’insertion professionnelle, en Côte d’Ivoire, de 300 jeunes âgés de 18 à 35 ans en leur offrant des compétences numériques utiles pour exceller sur le marché de l’emploi.

La nouvelle initiative s’inscrit dans le cadre du programme Invest for Jobs co-financé par la GIZ et l’UE. « En offrant des programmes adaptés aux besoins du marché du travail numérique, nous visons à doter nos apprenants des compétences nécessaires pour exceller dans un monde de plus en plus connecté », a souligné Marc Levesque, représentant du programme Invest for Jobs.

Dans le cadre du programme, les candidats sélectionnés à l’issu d’un test recevront des formations en développement full stack, gestion de données, et sécurité informatique. Ladite formation sera réalisée en partenariat avec deux acteurs majeurs du numérique en Côte d’Ivoire notamment l’université Epitech et la société MStudio.

Le programme WE.CODE mis en œuvre par le ministère fédéral allemand de la Coopération économique et du Développement (BMZ) élabore un ensemble de mesures visant à soutenir les entreprises allemandes, européennes et africaines dans des activités d'investissement à fort impact sur l'emploi en Afrique.

L’objectif est de travailler avec les entreprises pour créer jusqu'à 100 000 bons emplois et améliorer les conditions de travail et la protection sociale dans ses huit pays partenaires africains : Côte d'Ivoire, Egypte, Ethiopie, Ghana, Maroc, Rwanda, Sénégal et Tunisie.

La date limite pour postuler au programme est fixée au jeudi 15 février 2024. Les candidatures doivent être soumises via le site https://www.wecode.ci/.

Samira Njoya

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Beehive Incubator & Coworking se positionne comme un acteur clé de l’écosystème entrepreneurial au Cameroun. Il offre des opportunités d’incubation et de coworking aux start-up, entrepreneurs et travailleurs indépendants.

Fondé en 2019, Beehive Incubator & Coworking est un incubateur de start-up et un espace de travail pour les entrepreneurs au Cameroun et en Afrique. Dirigé par Solange Majolaine Tchato, il est dédié à l’accompagnement des start-up et des entrepreneurs indépendants, en leur offrant un environnement propice à l’innovation et à la croissance.

Beehive Incubator & Coworking propose une gamme de services adaptés aux besoins des start-up. Son programme d’incubation accompagne les porteurs de projets dans tout leur processus de développement, de la rédaction d’études de marché à la conception de leur business model. De plus, il offre des formations orientées vers les réflexions stratégiques et pratiques, couvrant des thèmes essentiels tels que la gestion d’une start-up, le marketing, la communication, la finance, la comptabilité, le droit et l’intelligence économique.

En tant qu’incubateur, Beehive Incubator & Coworking permet aux entrepreneurs de prouver leur concept en acquérant leurs premiers clients payants. Il organise des rencontres, dont le StartUp MeetUp consacré aux fondateurs de start-up camerounais et africains. L’incubateur propose aussi des espaces ouverts, des bureaux privés. Il fournit des services de domiciliation et de secrétariat pour les entreprises.  

Reconnaissant que le financement est souvent le premier défi rencontré par les start-up, Beehive Incubator & Coworking soutient également les entrepreneurs dans leur recherche de financement à chaque étape de l’évolution de leur projet. En outre, il aide les start-up dans leur stratégie d’expansion à l’international, en recherchant de potentiels partenaires.

L’incubateur a un impact significatif sur le paysage technologique en Afrique. Il incube actuellement une multitude de start-up. Parmi elles, on distingue Light qui est spécialisée dans les objets connectés et solutions intelligentes, Beauty House qui est un service en ligne de coiffure à domicile, ainsi que med-sync qui offre un service de secrétariat médical 100 % en ligne.

Melchior Koba

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Malgré les efforts des gouvernants et des institutions internationales, on constate des avancées poussives dans certaines régions du continent. Les initiatives pour augmenter de façon significative le nombre de spécialistes dans le numérique sont insuffisantes.

Commonwealth Business Women Africa (CBW-A), une entité basée au Nigeria qui vise à éduquer et à inspirer les femmes africaines en matière de leadership et d'entreprenariat, a récemment annoncé, en partenariat avec Kodris Africa, une entreprise leader dans le domaine des technologies de l'éducation, la formation d’un million de filles en codage dans 22 pays d’Afrique.

L’objectif est de révolutionner l'enseignement des matières telles que les sciences, la technologie, l’ingénierie et les mathématiques (STEM) et de favoriser la parité hommes-femmes dans l'industrie technologique.

« Les jeunes filles qui participeront à ce programme auront l'occasion d'acquérir des compétences du 21e siècle telles que la réflexion sur la conception, la pensée critique et la pensée algorithmique. [...] Les compétences qu'elles acquerront en matière de codage les mèneront également à des environnements en ligne où elles pourront trouver un emploi dès qu'elles auront atteint l'âge de 18 ans, effectuer des livraisons à distance et recevoir des paiements depuis le confort de leur domicile », a indiqué Mugumo Munene, directeur général de Kodris Africa.

Avec la révolution technologique en cours, l’Afrique a besoin de toutes ses ressources pour faire face aux nombreux défis dans le secteur technologique. Dans le but d’insérer plus de femmes africaines dans les métiers liés aux STEM, le gouvernement américain a mis en place le programme TechWomen à l’endroit de certains pays du continent. Divers réseaux, comme WomenTech Network, ont également vu le jour pour soutenir les femmes dans leurs différentes fonctions au sein de l'industrie technologique dans le but de créer un environnement propice à leur épanouissement.

« Dans toute l'Afrique, la sous-représentation des filles dans les domaines des STEM reste un défi important. Selon l'UNESCO, les femmes ne représentent que 28 % des diplômés en STEM dans le monde, et la situation est encore plus grave en Afrique, où les filles sont souvent confrontées à des barrières culturelles et à un accès limité à une éducation STEM de qualité », a expliqué Nana Wanjau, vice-présidente de CBW-A.

Adoni Conrad Quenum

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Grâce à ses programmes d’incubation et d’accélération, il stimule l’innovation et soutient les entrepreneurs sur le continent. Il a accompagné plus de 1 000 start-up et créé des milliers d’emplois directs et indirects.

Fondée en 2014, xHub Addis est un centre d’incubation et d’accélération où des entrepreneurs enthousiastes sont formés, encadrés et coachés. Basé à Addis-Abeba, en Ethiopie, il a été créé par l’entrepreneur Tewodros Tadesse, qui en est également le président-directeur général actuel.

xHub Addis est un espace ouvert pour les entrepreneurs en informatique, les innovateurs, les technologues, les investisseurs, les entreprises technologiques et les codeurs en Ethiopie. Il offre une gamme de services pour les start-up, y compris le développement de logiciels sur mesure, les services gérés en informatique, la formation, le conseil en stratégie informatique et le développement web.

Le centre aide à développer des entreprises et des services dans les domaines des technologies de l’information, de l’agroalimentaire, de la communication, de la santé, du transport, de l’ingénierie, de l’art, du design et de l’éducation.

xHub Addis a mis en place différents programmes d’incubation et d’accélération, des ateliers, des événements et des opportunités de réseautage afin d’intégrer le leadership et l’entrepreneuriat pour un large éventail d’industries. Ces efforts visent à produire des innovateurs prospères.

Parmi les programmes d’incubation et d’accélération de xHub Addis, on distingue Waka Tech Project. Ce dernier dure 3 à 5 mois et invite les entreprises spécialisées dans la technologie, l’éducation, le climat, les solutions durables, la fintech et plus encore. Le centre a aussi accompagné, en tant que consultant, le programme Tifter Ethiopia du ministère de l’Innovation et de la Technologie et du PNUD. Ce dernier a été conçu pour trouver et soutenir les innovateurs qui créent des solutions permettant de prévenir, de détecter et de contrôler la Covid-19.

En matière d’impact, la xHub Addis a incubé 1 500 entreprises et diplômé 1200 start-up. Il a créé 5 000 emplois indirects et 300 emplois directs. Il est soutenu par plusieurs institutions, dont le PNUD, Mastercard, le British Council, Rotary International, Amref Health Africa et Reach for Change.

Melchior Koba

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Disposer des compétences et de l'alphabétisation numériques nécessaires s'avère crucial pour réussir dans divers domaines. Il devient donc urgent pour les gouvernements de mettre en place des formations utiles aux citoyens.

231Data, une société libérienne qui fournit des solutions numériques aux entreprises, a lancé le mardi 2 janvier un programme de formation gratuit sur la transformation numérique à Paynesville. Le programme d’un mois soutenu par la Liberia Telecommunications Authority (LTA), vise à doter les citoyens âgés de 11 à 35 ans de compétences numériques de base.

« Notre objectif est de réduire la fracture numérique au Liberia en fournissant des compétences numériques fondamentales à une partie importante de la population, en mettant particulièrement l’accent sur les jeunes, les femmes », a déclaré Niahson Porte, PDG de 231Data.

L’initiative s’inscrit dans le cadre de la réalisation des objectifs du Sommet mondial sur la société de l'information (SMSI), une initiative mondiale visant à relever les défis et à exploiter les possibilités de l'ère numérique. 

Ainsi, le programme prévoit initialement de former 60 personnes dans la ville de Paynesville et à terme, d'atteindre 10 000 personnes à travers le pays au cours des deux prochaines années. Le programme comprend deux sessions de deux heures par jour sur deux semaines, chaque session accueillant 15 stagiaires.

A terme, le programme permettra de réduire le fossé numérique au Liberia afin d’assurer un accès équitable à l'éducation, réduire les inégalités, renforcer le développement économique et donner aux individus et aux communautés les moyens de prospérer dans le monde numérique d'aujourd'hui.

Samira Njoya

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Olotu Square est un centre dédié à la construction de success stories dans le domaine de la technologie et de l’entrepreneuriat. Avec son équipe dévouée et ses programmes innovants, il soutient les jeunes entrepreneurs dans la création de leur entreprise.

Olotu Square est un hub d’innovation technologique basé à Port Harcourt, au Nigeria. Fondé en 2016 par Bruce Lucas, Olotu Square est dirigé par Aima Atigari, qui occupe actuellement le poste de président-directeur général.

Depuis sa création, Olotu Square, qui a commencé comme une simple entreprise de technologie logicielle, a mis en place une série de programmes et d’activités visant à renforcer les capacités des jeunes dans le domaine des technologies innovantes et à favoriser l’employabilité et l’entrepreneuriat, en particulier dans la région du delta du Niger au Nigeria.

Parmi ces initiatives, citons la formation en STEM (science, technologie, ingénierie et mathématiques), les visites de campus, la formation industrielle, les événements de formation, les cours intensifs sur l’employabilité, le programme de soutien à l’emploi, l’externalisation des compétences (locales et internationales), la formation à l’entrepreneuriat, l’incubation de start-up, et la mise en place d’un laboratoire d’innovation.

Le centre dispose également d’un espace de coworking favorisant la collaboration entre entrepreneurs. Il fournit aussi un soutien commercial, un mentorat et un réseau d’affaires précieux pour aider les entrepreneurs tout au long de leur parcours de création d’entreprise.

Olotu Square est l’un des partenaires de l’Africa Netpreneur Prize Initiative (ANPI) pour l’Afrique de l’Ouest. L’ANPI est un concours qui cherche à découvrir des entrepreneurs africains dont les histoires inspirent le continent. Les 10 finalistes ont l’occasion de présenter leur pitch à des juges pour tenter de remporter un prix de 1 million de dollars.

Olotu Square a également établi des partenariats avec des investisseurs providentiels et des sociétés de capital-risque pour financer les start-up. En outre, ils ont collaboré avec des partenaires gouvernementaux pour renforcer leur impact. Membre du réseau AfriLabs, le centre est soutenu par Coworkers, Google et VC4A (Venture Capital for Africa), entre autres.

Melchior Koba

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Depuis la pandémie de Covid-19, la transition des écoles vers l’enseignement numérique est devenue une urgence. Celle-ci doit s’accompagner de l’adoption de technologies numériques et de nouvelles pédagogies pour garantir aux élèves des compétences et qualifications actuelles.

Le ministère tunisien de l’Education nationale a lancé le mercredi 3 janvier une plateforme numérique éducative baptisée « L’école de la Tunisie du futur ». Elle permet aux élèves et à leurs parents de bénéficier d’un suivi numérique continu afin d’assurer la transparence et la qualité de l’enseignement.

La plateforme est accessible à l’adresse http://www.tarbia.tn./fr. Elle offre des espaces dédiés aux enseignants, aux élèves et aux parents notamment pour l’inscription, les services administratifs, la formation à distance, et le suivi des élèves en matière d’effectifs, d’absences, de sanctions, de devoirs à domicile, ainsi que divers services liés à la restauration, aux bourses et à l’orientation scolaires.

L’initiative s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre de la stratégie numérique du ministère de l’Education, mais également dans le cadre de réalisation du projet « une école moderne au-dessus de chaque colline ». Le projet vise à connecter 3 300 écoles à l’Internet haut débit au cours de l’année scolaire 2023-2024. 

Selon Mohamed Ali Boughdiri, le ministre chargé de l’Education, tous ces projets soulignent l’importance cruciale de la transition numérique pour améliorer la qualité du processus éducatif. La plateforme permettra ainsi de renforcer la transparence et l’efficacité de l’enseignement, tout en offrant des services liés à la restauration, aux bourses et à l’orientation scolaire.

Samira Njoya

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TechWomen, une initiative du gouvernement américain, a annoncé l’ouverture des candidatures pour l’édition 2024 de son programme de formation à l’intention des femmes dans les domaines des sciences, technologies, ingénierie et mathématiques (STEM).

Les candidates au programme doivent avoir au moins deux ans d’expérience professionnelle, au moins un diplôme de l’enseignement supérieur et une bonne connaissance de la langue anglaise. Les pays africains éligibles au programme sont, l’Algérie, le Cameroun, l’Egypte, le Kenya, la Libye, le Maroc, le Nigeria, le Rwanda, la Sierra Leone, la Tunisie et le Zimbabwe.

Les candidates désireuses d’intégrer le programme ont jusqu’au 19 janvier pour postuler via l’adresse : https://www.techwomen.org/participants/eligibility-and-application

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A la recherche de nouveaux relais de croissance, Meta est plus que jamais déterminée à investir sur le continent, où elle multiplie projets et initiatives. Les résultats sont plutôt satisfaisants.

Meta, le groupe technologique américain détenant les réseaux sociaux Facebook, Instagram ou encore WhatsApp, a déclaré avoir formé en 2023, plus de 21 800 entreprises, plus de 1 000 créateurs à travers les programmes d'innovation, et plus de 160 mille participants à l'alphabétisation numérique. Les données découlent du bilan pour l'année écoulée dévoilée par l'entreprise le mercredi 20 décembre via un communiqué de presse.

« Nous demeurons engagés au service du continent africain et nos faits marquants de l’année 2023 renforcent une partie de l’impact que nous avons pu créer, notamment en soutenant les écosystèmes croissants des créateurs de contenu et en construisant des communautés », a déclaré Kezia Anim-Addo, directrice de la communication en Afrique, Moyen-Orient et Turquie pour Meta.

Neuf projets phares menés à travers le continent en 2023 ont permis à Meta d'enregistrer les accomplissements soulignés. Il s'agit de Creator Lab Live, un programme éducatif unique en son genre destiné aux créateurs de contenu au Nigeria, au Ghana et en Afrique du Sud ; Instagram Creators x Brand Academy cours nano ; « Made by Africa, Loved by the World » ; Chaînes WhatsApp ; EbaSafeOnline ; Sécurité et bien-être des jeunes ; My Digital World ; African XR Realities Lab et Meta Connect 2023.

Selon Méta, ses ressources ont été orientées vers « des initiatives qui s’alignent avec sa mission principale, celle d’outiller les utilisateurs afin de leur permettre de construire des communautés et de rapprocher le monde ».

Samira Njoya

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