Après avoir géré des initiatives privées, gouvernementales et à but non lucratif dans le secteur de l’éducation dans plusieurs pays du continent, deux tech entrepreneurs ont décidé de mettre en place une solution numérique pour faciliter l’accès aux sciences mathématiques.

Watobe est une edtech qui permet aux utilisateurs, en l’occurrence les apprenants des collèges et lycées, de suivre des cours en ligne en mathématiques. La start-up, basée au Cap, a été fondée en 2019 par Erik Lönnroth et Henry Warren.

La solution dispose d’une application mobile accessible uniquement sur Android. Les utilisateurs de smartphones et de tablettes fonctionnant sous le système iOS devront télécharger l’application de visioconférence Zoom pour accéder aux cours. Deux séances des diverses classes du collège (de la sixième en troisième) et du lycée (de la seconde en terminale) se déroulent en direct sur la plateforme. La vidéo des cours est accessible 24 heures plus tard et les absents pourront accéder au contenu en différé et répondre aux quiz pour ne pas prendre du retard.

En fonction des quiz et de la participation aux cours en direct, les professeurs suivent chaque apprenant et envoient des rapports de progrès hebdomadaires aux parents. « Les cours en direct de Watobe sont interactifs du début à la fin et incluent de nombreuses possibilités de poser des questions. Les questions peuvent être posées verbalement ou par écrit via le chat en direct », peut-on lire sur la plateforme.

L’edtech propose deux types de forfaits : l’un coûte 299 rands (environ 15,95 $) et l’autre est facturé à 99 rands. Elle propose également une période d’essai de 14 jours pour que l’apprenant valide ou non si ce type d’apprentissage lui convient. Il faudra débourser 50 rands pour cette période d’essai.

Depuis son lancement, elle a déjà levé environ 1,1 million $ pour financer sa croissance.

Adoni Conrad Quenum

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Dans un monde caractérisé par des avancées technologiques rapides, l’innovation est devenue une force motrice du progrès social. Pangea Accelerator se dresse comme un phare d’espoir pour les entrepreneurs en herbe à travers le continent africain.

Cofondé en 2017 par Jonas Tesfu (photo), Pangea Accelerator est un programme d’accélération norvégien et une plateforme d’investissement qui s’est donné pour mission d’aider les start-up africaines en leur fournissant le soutien, le mentorat et le financement dont elles ont besoin pour prospérer.

Ainsi, grâce au mentorat, aux ateliers, aux opportunités de réseautage et au financement initial, Pangea Accelerator équipe les start-up des outils nécessaires pour transformer des idées novatrices en entreprises porteuses d’impact. Actuellement, la plupart de ces actions sont menées au Kenya.

L’accélérateur développe plusieurs programmes comme The Young Ventures Accelerator Program 2.0. Soutenu par le GIZ, ce programme se déroule sur une période de six semaines, suivi d’une session de mentorat de six mois et cible les innovations ou les start-up dans le secteur du logement abordable et situées dans un rayon de 70 km autour de la zone métropolitaine de Nairobi.

Le Pangea Scaleup Program, qui est également un programme de l’accélérateur, trouve les meilleures entreprises en expansion et les fait croître de la phase d’amorçage à celle de la série A. Il cible les start-up actives dans les secteurs de la fintech, de la healthTech, de la logistique, de l’agriculture, des énergies renouvelables et autres solutions numériques.

Pangea Accelerator produit également d’autres programmes d’accélération locaux basés sur des étapes clés et axés sur la validation et l’évolutivité. Il présente une série d’événements centrés sur le développement de l’Afrique, l’investissement, les écosystèmes de start-up et la politique.

Dans l’accomplissement de sa mission, l’accélérateur est soutenu par plusieurs institutions nationales et internationales. Parmi ces partenaires, se trouvent Microsoft, The Factory, IKEA Foundation, Katapult Accelerator, AfriLabs, Innovation Norway, UK Kenya Tech Hub et African Business Angel Network, entre autres.

Melchior Koba

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Jeune innovatrice, elle est à l’origine de plusieurs projets technologiques en Tanzanie et a remporté plusieurs prix et distinctions, nationaux comme internationaux. Sa plus jeune entreprise permet aux créateurs de contenus de vendre leur savoir.

La Tanzanienne Sophia Abeid (photo) est cofondatrice et présidente-directrice générale de la start-up Vide, une plateforme de marché pour des compétences de vie éducatives ou du contenu vidéo d’apprentissage numérique. Elle est diplômée de la St. Joseph University in Tanzania où elle a obtenu, en 2018, un bachelor en ingénierie de l’électronique et des communications.

Lancée en 2022, l’application éponyme de la start-up permet aux professionnels de divers domaines, qu’il s’agisse de boulangers ou de comptables, de créer des cours sur la plateforme. L’objectif est de partager leur expertise, tout en ayant la possibilité de générer des revenus grâce à une rémunération basée sur le contenu qu’ils fournissent.

Le 10 août 2023, Vide a été citée parmi les 20 start-up pionnières dirigées par des femmes entrepreneurs, qui participeront à la quatrième édition du programme de mentorat « Future is Female ». Elle bénéficiera d’un mentorat personnalisé, participera à des ateliers et événements de mise en réseau, avec la possibilité d’accéder à des opportunités d’investissement.

Sophia Abeid travaille pour Vodacom Tanzania Plc, depuis juin 2021, en tant que spécialiste des infrastructures de télécommunications.

Depuis août 2021, elle est un membre du conseil consultatif mondial des jeunes de Digital Opportunity Trust, un mouvement de jeunes innovateurs sociaux audacieux qui disposent des outils, des connaissances et des réseaux nécessaires pour créer des opportunités et transformer leurs propres communautés.

Sophia Abeid est aussi cofondatrice de « Blueprint Innovations », une entreprise spécialisée dans les solutions numériques. De plus, elle est la créatrice du « File Tracking System (FTS) », un logiciel conçu pour localiser aisément les fichiers au sein des grandes organisations. Ce logiciel est largement adopté par les entreprises en Tanzanie.

Elle a reçu plusieurs prix et distinctions pour son talent. En 2018, alors qu’elle étudiait encore, elle est devenue la plus jeune lauréate de l’Africa Science Week du Next Einstein Forum en Tanzanie pour les femmes émergentes dans les sciences, la technologie, l’ingénierie et les mathématiques (STEM). En 2021, en tant qu’employée de Vodacom Tanzania Plc, elle a remporté le prix Best Female Graduate Engineer émis par Institute of Engineers.

Melchior Koba

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Le Nigeria occupe une place centrale dans l'écosystème entrepreneurial africain. Pour consolider cette position, le pays met d’importants moyens en jeu pour attirer des partenaires qui l’accompagneront dans la réalisation de son objectif visant l'alphabétisation numérique de 95 % du pays d’ici 2030.

Google prévoit d’investir 1,5 million $ pour former 20 000 jeunes et femmes aux compétences numériques au Nigeria. L’annonce a été faite, le mardi 15 août, par les dirigeants de Google Afrique lors d'une réunion à Abuja avec Kashim Shettima, le vice-président du pays.

Selon Kashim Shettima, la subvention de Google a pour but de soutenir l'initiative du gouvernement visant à accroître la participation des jeunes à l'économie numérique. « Nous avons une occasion unique d'exploiter le potentiel de notre forte population de jeunes pour créer des millions d'emplois dans le secteur numérique », a déclaré Kashim Shettima.

« Nous avons raté l'ère agricole, nous avons raté l'ère industrielle et nous sommes maintenant dans l'ère post-industrielle fondée sur le savoir. Nous avons le potentiel et l'opportunité unique de combler le déficit de talents anticipé au niveau mondial », a-t-il ajouté.

La subvention de Google au Nigeria provient de sa branche philanthropique « Mind the Gap », en partenariat avec Data Science Nigeria et l'Initiative pour l'industrie créative en Afrique. Elle s’inscrit dans le cadre des efforts déployés par le gouvernement du pays qui tirent leur essence du programme numérique du président nigérian Bola Tinubu investi en mai dernier. Le programme construit sur sept axes prévoit pour les 24 premiers mois du mandant de M. Tinubu, la création d’un million d'emplois dans le secteur des TIC au Nigeria.

Ainsi, cette formation devrait permettre de donner aux populations les compétences numériques nécessaires au regard de la transformation numérique qui s’accélère sur le continent africain, ainsi que des ambitions d’e-gouvernement et d’économie numérique du gouvernement nigérian.

Selon le Bureau national des statistiques (NBS), les activités du secteur des TIC ont contribué à hauteur de 17,47 % au PIB réel du Nigeria au premier trimestre 2023.

Samira Njoya

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Depuis plus de 10 ans, Nailab soutient l’innovation, l’entrepreneuriat et la création d’emplois dans les secteurs technologiques au Kenya. Il fournit un environnement propice à la croissance des start-up et encourage les jeunes entrepreneurs à poursuivre leurs idées novatrices.

Nailab est un centre d’innovation basé au Kenya qui œuvre à rendre la connaissance et le financement plus accessibles aux entrepreneurs sur l’ensemble du continent africain. Son objectif principal est de soutenir la création d’entreprises viables et pérennes qui s’emploient à résoudre les défis spécifiques de l’Afrique en tirant parti de l’innovation et de la technologie.

Nailab a été fondé en 2011 par Sam Gichuru qui en est également le président-directeur général. Il offre, en collaboration avec ses partenaires tels que la fondation Jack Ma, Alibaba Business School et l’UNFPA, des programmes de formation et d’accélération ainsi que des services de mentorat.

Le programme The Next Economy est l’une des initiatives mises en place par Nailab. Il se concentre sur le développement d’entreprises ou la formation de jeunes issus de milieux défavorisés, âgés entre 18 et 30 ans. Son objectif est de les préparer de manière adéquate pour le marché du travail ou de les aider à créer des entreprises durables et prospères.

Pendant une période de trois mois, le programme The Next Economy propose une formation approfondie aux entrepreneurs participants. Ces derniers acquièrent des connaissances commerciales pointues, se lancent dans des exercices pratiques, et bénéficient d’un accompagnement individuel pour développer avec succès leur entreprise. A ce jour, le programme a déjà formé plus de 600 personnes aux compétences essentielles de la vie quotidienne et 190 personnes dans le domaine de l’entrepreneuriat.

Nailab met également à la disposition des entrepreneurs une plateforme éducative virtuelle appelée Mwanzo. Il organise des défis pour faciliter l’accès au financement de démarrage afin de permettre aux entrepreneurs de faire passer leurs idées au niveau supérieur.

Parmi les challenges qu’organise le centre on peut citer The Africa Netpreneur Prize Initiative, qui partage 1 million de dollars entre les 10 meilleurs entrepreneurs sélectionnés chaque année, et le Mombasa : Swahili Tech Women Innovation Challenge qui cible les femmes techno-entrepreneurs et les hommes entrepreneurs avec des innovations destinées aux femmes.

Toutes ses initiatives sont la preuve du gros travail que Nailab effectue pour le développement de l’écosystème technologique au Kenya.

Melchior Koba

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A travers ses programmes d’incubation, ses compétitions et ses événements, The Hub Innovation façonne le paysage tech en Afrique du Sud jouant ainsi un rôle essentiel dans la transformation numérique du continent.

Comme l’indique son nom, The Innovation Hub est un centre d’innovation et un parc scientifique et technologique. Basé dans la province du Gauteng, en Afrique du Sud. Fondé et dirigé par l’Agence de croissance et de développement de la province, il promeut le développement économique et la compétitivité du Gauteng en encourageant l’innovation et l’esprit d’entreprise.

En tant que hub d’innovation, il propose plusieurs programmes d’incubation dans les domaines de la bioéconomie (agroalimentaire et pharmaceutique), des industries intelligentes, dont les technologies de l’information et de la communication (TIC), et enfin dans la fabrication de pointe et l’économie verte (purification de l’eau, gestion des déchets et énergies renouvelables).

Aussi, The Innovation Hub gère une série de programmes de développement des entreprises, des compétences et d’encouragement de l’innovation, à la fois dans le parc scientifique et dans l’ensemble de la région de Gauteng.

Parmi les programmes d’incubation du hub, on peut citer le Maxum Business Incubator Entrepreneurs, le Climate Innovation Centre South Africa (CICSA) qui soutient le développement des jeunes pousses de l’économie verte du pays et le mLab Southern Africa qui encourage l’innovation et l’esprit d’entreprise dans le domaine de la téléphonie mobile.

La GAP Innovation Competition, qui recherche des créateurs, des chercheurs et des entrepreneurs qui travaillent sur de nouvelles technologies susceptibles d’améliorer l’efficacité des services publics, d’accroître la compétitivité de l’économie locale et d’améliorer la qualité de vie des citoyens ordinaires, est également une initiative de The Innovation Hub. D’ailleurs, l’édition 2023 du challenge a déjà été lancée et les inscriptions prendront fin le 7 août 2023.

Selon le programme qu’il organise, The Innovation Hub travaille avec des institutions partenaires comme la Research Institute for Innovation and Sustainability (RIIS), la Technology Innovation Agency (TIA) de l’Afrique du Sud, l’Emory University Business School d’Atlanta (Géorgie, USA), Tshwane Automotive Special Economic Zone (Tasez), la Banque mondiale et la Banque de développement de l'Afrique australe (DBSA), entre autres.

Melchior Koba

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Elle est une informaticienne talentueuse qui s’est spécialisée dans la conception et le développement de solutions technologiques pour l’éducation. Elle dispose déjà de deux systèmes innovants et son esprit créatif a été salué à maintes reprises.

Khadija Mohamed Elbedweihy (photo) est une informaticienne égyptienne diplômée de l’université de Sheffield où elle a obtenu en 2014 un doctorat en informatique. Elle est la fondatrice de PraxiLabs, une entreprise de technologie éducative qui a pour but de faciliter l’enseignement et l’apprentissage des sciences dans les universités.

Fondée en 2016, l’entreprise a mis sur pied des laboratoires scientifiques virtuels en 3D dans lesquels les élèves peuvent s’immerger tout en acquérant une compréhension et des connaissances plus avancées grâce à des contenus enrichis. PraxiLabs noue des partenariats avec des écoles, des établissements d’enseignement supérieur, et des institutions impliquées dans le système éducatif.

« PraxiLabs est une plateforme fournissant des laboratoires scientifiques en ligne interactifs et immersifs en 3D pour les étudiants universitaires, non seulement pour améliorer la pratique, mais aussi pour permettre des expériences qui ne sont généralement pas réalisables en raison de contraintes d’argent, de temps ou de sécurité », a déclaré l’Egyptienne en 2021.

L’entreprise dispose d’un catalogue très varié de simulations scientifiques en 3D pour aider à améliorer l’expérience d’apprentissage des étudiants en biologie, en physique et en chimie. Environ 500 000 de passionnés de sciences utilisent PraxiLabs comme laboratoire de simulation en ligne dans 10 branches scientifiques.  

Hormis PraxiLabs, l’entrepreneure a également fondé en 2016 Skolera. Cette dernière est une plateforme d’apprentissage unifiée orientée vers l’utilisateur. Elle fournit une suite d’outils pour les cinq acteurs impliqués dans le processus éducatif (chef de département, enseignant, élève, parents, administrateur de l’école) afin de permettre la numérisation complète et la distribution des ressources, l’évaluation, la collaboration et la communication, le suivi et la supervision et enfin le reporting.

Avant de se lancer dans l’entrepreneuriat, Khadija Mohamed Elbedweihy a travaillé à la faculté d’informatique et d’information de l’université du Caire comme assistante d’enseignant de 2009 à 2010 et comme maîtresse de conférences entre 2014 et 2016.

Khadija Mohamed Elbedweihy a été à plusieurs reprises récompensée pour son travail dans le secteur de l’éducation et de la technologie. En 2021, elle a été lauréate de l’Africa’s Business Heroes.  

Melchior Koba

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Le ministère béninois du Numérique et de la Digitalisation, en partenariat avec Smart Africa, une initiative des chefs d'Etat et de gouvernement africains pour accélérer le développement socio-économique durable sur le continent, a annoncé le mardi 25 juillet l’ouverture des inscriptions pour les formations de développeurs data et d’intelligence artificielle, de référents en transformation numérique et de gestionnaires de données (Data Stewards). La date limite pour postuler est le 11 août pour les développeurs et les gestionnaires de données (cliquez sur ce lien pour postuler) et le 31 juillet pour les référents en transformation numérique (cliquez sur ce lien pour postuler).

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Son but est de stimuler l’innovation et la croissance dans le domaine des énergies renouvelables. Il offre des services tels que le mentorat, le développement commercial, l’accès au financement et aux marchés.

SAREBI (The South African Renewable Energy Business Incubator) est un incubateur de start-up sud-africain qui travaille avec des petites et moyennes entreprises viables dans le secteur des technologies propres. Fondé en 2012, il offre aux start-up une série d’ateliers d’idéation et de planification d’entreprise afin de les aider à développer des modèles commerciaux et financiers viables.

SAREBI offre aux entreprises commerciales un programme d’accélération qui vise à renforcer leur capacité à obtenir un financement. Ce programme se concentre sur l’amélioration de leur gouvernance et de leurs finances, ainsi que sur l’établissement de systèmes opérationnels robustes. Grâce à des séances de coaching financier personnalisées, l’incubateur assiste les entreprises en les aidant à identifier le type de financement le mieux adapté à leurs besoins et à effectuer les démarches appropriées pour l’obtenir.

Son programme d’incubation d’entreprises Sarebi Start vise à former de jeunes entrepreneurs aux compétences essentielles pour développer leur entreprise. Il leur enseigne comment élaborer des modèles d’entreprise solides, présenter clairement leur proposition de valeur et tester la faisabilité financière de leur idée.

Grâce à ce programme, les entrepreneurs acquièrent une compréhension approfondie de tous les aspects de leur entreprise et comprennent comment les modifications apportées à leur idée peuvent impacter les différentes composantes de leur modèle d’entreprise. Cela leur donne les outils nécessaires pour prendre des décisions éclairées et prometteuses dans leur parcours entrepreneurial.

Sous le nom de « Business Savvy », SAREBI propose des ateliers destinés aux entrepreneurs en herbe qui se trouvent dans la phase pré-revenu. Ces ateliers se composent de sessions d’apprentissage en petits groupes, conçues comme des séances interactives entre pairs. Ils utilisent une méthodologie de salle de classe électronique pour faciliter l’enseignement et l’engagement des participants.

SAREBI propose plusieurs autres services comme son logiciel de gestion tout-en-un, Odoo, qui comprend des applications de gestion de relation avec la clientèle (CRM) et des applications pour le commerce électronique, la comptabilité, l’inventaire, la gestion de projet et la planification des besoins matériels (MRP).

Sarebi sponsorise également d’autres initiatives comme le GreenPitch Challenge 2023, organisé par GreenCape et la Friedrich Naumann Foundation for Freedom, qui invite les innovateurs et entrepreneurs verts à présenter leurs idées d’entreprises économiquement viables.

En encourageant et en soutenant les entreprises du secteur des énergies renouvelables, SAREBI contribue à accélérer la transition vers des sources d'énergie plus propres et durables en Afrique du Sud, tout en stimulant le développement économique local.

Melchior Koba

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Le mercredi 19 juillet, la Fondation Orange Burkina Faso a annoncé via ses réseaux sociaux l’ouverture des candidatures pour ses bourses d’excellence. L’objectif est de permettre aux étudiants burkinabè qui ont un cursus scolaire brillant de bénéficier d’une formation supérieure de qualité dans les métiers du numérique et du futur. La date limite de candidature est le 20 août. Cliquez sur ce lien pour avoir plus d’informations.

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