Son expérience personnelle et ses compétences professionnelles sont à l’origine du projet dont l’objectif est de garantir aux apprenants des débouchés certains à la fin de leur cursus. Son action est déjà reconnue par plusieurs acteurs de renom à l’international.

Allier l’apprentissage en présentiel à celle à distance et donner à des milliers d’Africains l’opportunité d’acquérir une formation de qualité, dans un domaine porteur, est l’ambition qu’a réussi à concrétiser le Camerounais Yanick Kemayou (photo). Il est le président-directeur général de l’Edtech Kabakoo Academies qu’il a cofondé en 2019 avec Michèle Traoré.

L’école hybride, qui revendique déjà plus de 12 000 pensionnaires à cette date, forme un réseau d'universités dont la mission est de compenser les failles des structures éducatives actuelles, qui ne permettent pas aux étudiants d'obtenir des emplois décents à la fin de leur cursus.

« J'ai décidé de créer ce réseau d'écoles, car je suis moi-même confronté aux failles des structures éducatives et aux manques de perspectives au Cameroun », explique Yanick Kemayou qui est titulaire d’un doctorat en économie d'entreprise et gestion de l'université de Paderborn en Allemagne.

Chez Kabakoo, l’approche pédagogique est conçue pour que les apprenants acquièrent et développent des compétences en fabrication numérique et en technologies de fabrication distribuée. L’objectif n’est pas de conceptualiser des objets à la pointe de la technologie, mais d’utiliser la technologie à disposition pour répondre à un problème identifié dans l’entourage. 

L'apprentissage créatif basé sur des projets et l'intégration des connaissances locales cible l'entrepreneuriat ou l'insertion professionnelle des apprenants. Via son application mobile, Kabakoo permet aux apprenants d’accéder à une diversité de cours dans divers domaines et de bénéficier de l’accompagnement de mentors issus d’entreprises de renom telles que Google, Deloitte, Orange, Oracle. Son modèle innovant d’apprentissage lui a d’ailleurs valu le label « d'école du futur », décerné par le Forum économique mondial de Davos, en décembre 2019.

Kabakoo n’est certainement qu’une étape de sa carrière professionnelle, riche et diversifiée, que Yanick Kemayou a débutée en 2008 chez L'Oréal à Düsseldorf en Allemagne comme assistant chef de produit. Il a ensuite cofondé et dirigé la société de mode Clothing and Lifestyle Start-up à Shanghai en Chine. Il a aussi accordé un grand intérêt à l’enseignement. Il a entre autres été scientifique invité à HEC Paris, assistant de recherche et chef projet de l'université de Paderborn.

Melchior Koba

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L’e-éducation a démontré toute sa valeur lors de la pandémie de Covid-19. Au-delà de son côté pratique, c’est surtout la richesse et la grande diversification des contenus qui lui donnent son importance. De nombreux pays africains ont décidé de l’adopter.

Les ministères camerounais de l’Enseignement supérieur (Minesup) et des Enseignements secondaires (Minesec) ont convenu de numériser de manière concertée leur système éducatif. Jacques Fame Ndongo, le ministre de l’Enseignement supérieur, et son homologue des Enseignements secondaires, Nalova Lyonga, se sont engagés, à cet effet, le vendredi 24 juin à Yaoundé.

« Les deux membres du gouvernement ont pris acte des efforts déployés par l’État en matière de digitalisation des enseignements, notamment à travers le Centre national de supervision du réseau interuniversitaire du Minesup et le Centre d’éducation à distance du Minesec. Ils ont décidé de mutualiser lesdits efforts afin de réaliser des économies d’échelle, et de parvenir à l’efficience escomptée », indique un communiqué publié après la réunion interministérielle.

Il est aussi prévu la coopération entre les infrastructures et ressources numériques des deux ministères notamment les Centres de développement du numérique universitaire des Institutions publiques d’enseignement supérieur et les structures déconcentrées du Minesec, tout comme le renforcement des capacités des enseignants du secondaire en techno-pédagogie numérique, à travers tous les départements d’informatique des Écoles normales supérieures et des Écoles normales supérieures d’enseignement technique du Cameroun.

La transformation numérique du système éducatif supérieur et secondaire du Cameroun rentre dans le cadre de la modernisation de l’éducation nationale contenue dans la Stratégie nationale de développement 2030 (SND30). L’objectif est de fournir aux apprenants et aux enseignants des cadres d’apprentissage et de partage de connaissances plus propices au développement de la connaissance.

Les deux ministres ont pris l’engagement de procéder à une évaluation régulière de la collaboration ainsi amorcée. 

Ruben Tchounyabé

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Le marché de la grande distribution présente de belles marges de progression en Égypte. Il représente un segment porteur pour diverses offres financières comme le microcrédit ou le prêt à la consommation. Une aubaine à saisir pour des investisseurs en quête de nouvelles sources de revenus.

La fintech égyptienne MNT-Halan, spécialisée dans la fourniture de solutions de paiements numériques et de microcrédits aux populations non bancarisées, a procédé à l’acquisition de la start-up d’e-commerce business-to-business Talabeyah. L’annonce a été faite le dimanche 26 juin par Karim Nassef, le président-directeur général et cofondateur de Talabeyah. Le montant de l’opération n’a pas été dévoilé.

Justifiant la cession de son entreprise, Karim Nassef a expliqué qu'en « faisant équipe avec MNT-Halan, nous bénéficions d'un grand nombre de talents et d'une puissance technologique et financière qui nous permettront de développer rapidement nos opérations ».

Pour Mounir Nakhla, le président-directeur général de MNT-Halan, cette association est bénéfique pour la fintech, car elle « permet de continuer à étendre notre offre de produits aux détaillants égyptiens et à développer davantage notre portefeuille de prêts et nos marges ».

Fondée en juillet 2020 par Karim Nassef, Amr Abbas, Khaled Hussein et Adel Hodroj, Talabeyah permet aux commerçants de détail de commander des marchandises en un clic, directement sur son application mobile et web. La start-up, qui collabore avec plusieurs fournisseurs de produits de grande consommation, donne aux commerçants à travers sa solution numérique un moyen de mieux gérer leurs stocks.

En octobre 2021, Talabeyah avait levé 1,1 million $ auprès de divers investisseurs pour faire évoluer ses opérations, développer davantage sa technologie et tirer parti de l'utilisation de l'intelligence artificielle et des algorithmes d'apprentissage automatique pour améliorer l'expérience client, accroître l'efficacité tout au long de la chaîne de valeur et développer son équipe pour mieux servir le marché. 

Ruben Tchounyabé

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Orange, groupe télécoms français opérant dans 18 pays de la zone MEA, s’implique dans la transformation numérique du continent à travers diverses actions. C’est à Madagascar que le groupe a récemment mené à bien quelques projets.

L’association Orange Solidarité Madagascar a inauguré, mercredi 22 juin, la 41e maison digitale pour les femmes à Madagascar. L’infrastructure, située à Fort-Dauphin, ville située au sud-est de l'île, a été réalisée en partenariat avec la direction régionale du ministère de la Population, l’association Manarina, le Comité 8 mars, l’Unesco, l'Association des femmes journalistes et la direction des impôts de la région Anosy. Frédéric Debord, directeur général d’Orange Madagascar, et Benja Arson, président d’Orange Solidarité Madagascar, étaient présents à la cérémonie.

Les maisons digitales, installées un peu partout sur l'île, forment les femmes sans emploi et sans qualification dans le secteur du numérique. C’est une formation longue durée où elles apprennent, entre autres, les usages d’Internet et certains logiciels professionnels.

La 173e école numérique, la 4e de la région, a été également inaugurée ce jour-là à Fort-Dauphin. Il s’agit de l’EPP Bazar Centre qui va accueillir jusqu’à 400 élèves chaque année. L’école a reçu les différents kits numériques et les enseignants ont été formés par les « salariés bénévoles » de la filiale malgache d’Orange.

À travers ces actions, Orange s’engage à contribuer à la participation du continent à la révolution technologique dans le monde. Avec la crise de la Covid-19, la plupart des pays africains ont accéléré leur transformation numérique. De nombreuses actions pour soutenir, entre autres, l’inclusion numérique, améliorer la fracture numérique ou encore favoriser l’égalité des chances en matière d’éducation numérique se sont multipliées sur le continent. Les accélérateurs de start-up et les prix récompensant les innovations technologiques sont autant d’actions qui contribuent à l’accélération de l’alphabétisation numérique en Afrique. D'ailleurs, plus de 9 000 femmes malgaches ont été formées depuis 2013 dans le cadre du programme Maisons digitales pour les femmes.

Adoni Conrad Quenum

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Meta, groupe technologique américain propriétaire du réseau social Facebook, a annoncé, mercredi 22 juin, le lancement au Cameroun d’un programme d’alphabétisation baptisée « My Digital World ». L’objectif est d’éduquer, lors de divers ateliers spécifiques dirigés par un formateur, les internautes sur l'utilisation responsable des médias sociaux, afin de lutter entre autres contre la désinformation, les discours de haine ou encore l’intimidation. L’initiative a été lancée en partenariat avec GIDICom, Digital Access et Positive Youths Africa avec pour but la formation de plus de 4 000 jeunes. 

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La Banque mondiale estime que l’Afrique pèche encore par le faible nombre de jeunes orientés dans les matières scientifiques et technologiques. Elle considère d’ailleurs cela comme un handicap à l’heure de la transformation numérique.

Mardi 21 juin, la start-up nigériane Kibo School — spécialisée dans la formation en ligne en science, technologie, ingénierie et mathématiques (STEM) — a annoncé la levée de 2 millions $ auprès d’un groupe d’investisseurs dirigés par la société de capital-risque Neo. Les fonds sont destinés à développer des programmes de formation diplômante en Afrique. Les diplômes délivrés seront reconnus à l’étranger.

Selon Ope Bukola, fondatrice et présidente-directrice générale de Kibo School, « nous nous efforçons vraiment d'en faire un diplôme très professionnel. Ce n'est pas comme l'apprentissage des livres, les étudiants construiront des projets, puis un quart de l'année, ils devront faire un stage ou une expérience dans l'industrie ».

Elle a souligné que l’Afrique « pourrait être l'endroit idéal pour les jeunes technologues, si seulement notre système éducatif était à la hauteur ». Pour elle, combler les faiblesses qui perdurent contribuera à faire de Kibo School une référence. « Notre mission chez Kibo est de fournir une meilleure alternative à l'éducation traditionnelle », a-t-elle affirmé.

Kibo School a déjà ouvert un programme diplômant en informatique. La start-up cible les étudiants de six villes au Kenya, au Nigeria et au Ghana. Les personnes inscrites devront vivre à au moins 100 kilomètres de ces villes afin de faciliter leurs rencontres périodiques. L'école prévoit d'introduire plus de programmes et d'accueillir de nouveaux étudiants chaque trimestre, à partir de l'année prochaine.

Lancée en 2021, Kibo School proposait jusqu’alors des formations de courte durée qui se poursuivront en parallèle aux nouveaux programmes annoncés. L’école a d’ailleurs déjà formé 400 étudiants dans 13 pays d’Afrique grâce aux cours de courte durée. À ce jour, le total des fonds levés par la start-up s’élève à 2,4 millions $. 

Ruben Tchounyabé

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Son expérience de trois dans les cours de soutien à domicile lui a permis de mesurer l’ampleur du besoin et de développer une solution pour y répondre. L’engouement des parents pour la qualité de son service lui a valu diverses récompenses au fil des années.

Maxime Malieh (photo) est un informaticien camerounais. Diplômé de la faculté de génie industriel de l’université de Douala, où il obtient une maîtrise en génie informatique en 2020, il fonde en avril 2019 Prepdia.com.

Prepdia est une plateforme en ligne qui met des tuteurs professionnels et fiables à la disposition de parents d’élèves des écoles maternelles, primaires, et secondaires. Elle permet ainsi à travers ces précepteurs d’accroître les performances scolaires des jeunes apprenants via des cours de soutien à domicile. La réservation et le paiement d’un répétiteur se font par le biais de l’application. 

« Nous utilisons la technologie pour rassembler une grande variété de tuteurs potentiels, en vérifiant minutieusement leurs antécédents et compétences, via un système semi-automatisé. Nous suivons les progrès des étudiants mensuellement en encourageant nos tuteurs à faire des évaluations mensuelles. De plus, nous utilisons les commentaires des parents comme un moyen de surveiller nos tuteurs », explique Maxime Malieh. 

Le problème que Maxime Malieh a décidé de résoudre résulte de la frustration exprimée par plusieurs parents dans la recherche de répétiteurs qualifiés et de bonne moralité. Les recherches durent souvent des mois pour trouver le bon professionnel, ce qui est pénible déplore l’entrepreneur. 

Nommée dans la catégorie meilleure et plus innovante solution numérique du Cameroun dans l’apprentissage et l’éducation, au World Summits Awards en 2019, Prepdia a également permis à Maxime Malieh de remporter le deuxième prix du concours de présentation de microentreprises Afro Hustler la même année. En 2020, le jeune entrepreneur a remporté le troisième prix au Startup Innovation Challenge de l’OIC-Kribi. 

Pour Maxime Malieh qui a débuté son parcours professionnel en 2018 comme développeur Web chez Multiconcept Ltd, l’idée de Prepdia.com provient du fort besoin en soutien scolaire à domicile qu’il a constaté pendant ses études universitaires au cours desquelles il exerçait aussi comme répétiteur.  

Melchior Koba

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Les solutions technologiques sont devenues des alternatives dans la plupart des secteurs d’activité. Dans l'éducation, les plateformes de formation prolifèrent pour aider les apprenants dans leur cursus.

Ennajah est une plateforme numérique développée par une start-up algérienne du même nom. Elle aide les étudiants, en l’occurrence ceux du cursus de médecine, à réussir leurs examens grâce entre autres aux nombreuses questions à choix multiples (QCM) disponibles sur le site. La start-up a été fondée en 2020 par Medkour Zakaria.

« C’est une plateforme virtuelle permettant d’avoir un rapide accès à tous les QCM nécessaires pour passer les différents examens du cursus médical de l’externe, ainsi que l’examen d’évaluation de résidanat de Sétif, et donc permet l'évaluation pédagogique rapide simple et précise des acquisitions des étudiants grâce au traitement rapide, objectif et facilement programmable des différentes questions présentées », indique la start-up.

Elle propose une application mobile disponible sur Android et iOS. Il faut néanmoins créer un compte pour profiter totalement de l'application, qui est comme un assistant virtuel pendant les périodes de révision. L’utilisateur peut y évaluer ses performances et tirer des conclusions sur l’évolution de ses révisions à travers un test. Il a la liberté de choisir un module et le nombre de questions auxquelles il souhaiterait répondre lors du test.

Il est aussi possible d’accéder aux statistiques montrant le nombre de QCM passés et le taux de réussite. De plus, les QCM selon la source, le module, l'année d'examen ou encore un cours particulier peuvent être filtrés. Ennajah revendique 86 616 QCM sur sa plateforme et elle a déjà été téléchargée plus de 10 000 fois.

Adoni Conrad Quenum

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Depuis quelques années, les métiers liés à l’informatique s’imposent à cause de la révolution technologique. La crise de la Covid-19 a revitalisé cette révolution au point où la transformation numérique s’est accélérée partout dans le monde.

GOMYCODE est une plateforme numérique développée par une start-up tunisienne du même nom. Elle permet de prendre des cours poussés dans le domaine de la programmation. La start-up, fondée en 2017 par Yahya Bouhlel et Amine Bouhlel, a réussi un tour de table d’un montant de 8 millions $ pour, entre autres, étendre sa présence en Afrique du Sud, au Kenya, au Ghana et en Arabie saoudite. Elle était déjà présente au Bahreïn, au Maroc, en Égypte, en Algérie, en Côte d'Ivoire, au Sénégal et au Nigeria.

« Il y a beaucoup d'acteurs d'impact et de masse. Nous ciblons un large éventail d'étudiants. Ainsi, nos cours ne sont pas réservés aux diplômés, aux professionnels, ou aux personnes d'une classe sociale spécifique. Les programmes GOMYCODE ciblent les marchés de masse, et notre modèle mixte nous rend accessibles et abordables », indique Amine Bouhlel.

La jeune pousse a mis en place une méthode basée sur des projets et des exercices fournissant aux étudiants des connaissances et des compétences à long terme. Une formation en data science ou en UI/UX design prendra environ 20 semaines, alors que celle en Deep Learning ou en Intelligence artificielle se fera en 12 semaines. Les apprenants passent la moitié de leur temps en ligne et l’autre moitié dans l’un des 20 centres physiques de la start-up.

Elle dispose de plus de 500 enseignants qui enseignent dans plus de 12 langues. GOMYCODE a eu recours à des enseignants locaux dans chacun des pays où elle s’est implantée. La jeune pousse revendique à ce jour plus de 25 parcours de formation lancés avec des professionnels du métier, plus d’une centaine de partenaires recruteurs, ou encore plus de 10 000 étudiants formés dans les technologies les plus tendances du marché.

En ce qui concerne les tarifs, les formations d’une durée de trois mois coûtent environ 250 $ et celles de cinq mois sont facturées autour de 750 $. La firme essaie de placer ses étudiants dans diverses institutions. Elle revendique avoir réussi à placer 80 % d’entre eux. D’ici les deux prochaines années, GOMYCODE espère attirer plus de 100 000 étudiants et ouvrir plus de 50 centres physiques en Afrique et au Moyen-Orient.

Adoni Conrad Quenum

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Le Groupe Université Européenne de Tunis a inauguré un campus intelligent, innovant et de nouvelle génération, samedi 11 juin. Il abrite des espaces actifs et interactifs, un environnement hi-tech, numérique et connecté. En plus des salles de cours équipées de tablettes intégrées et de tableaux interactifs, il propose aussi des salles de conférence et des laboratoires informatiques, des laboratoires d’incubation, le tout connecté au haut débit. Peu importe la filière, l'Université Européenne de Tunis met les technologies de l’information et de la communication au cœur du processus d’acquisition des connaissances.

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