Visionnaire enraciné au cœur du Burundi, il bâtit des ponts entre la jeunesse africaine et les technologies de demain. Il est animé par l’ambition de faire du numérique un moteur de transformation durable. 

Chris Clement Igiraneza (photo) est un entrepreneur et gestionnaire de programmes originaire du Burundi. Il est le fondateur et président de KIT Hub, un centre d’innovation numérique créé en 2019. Ce centre propose des formations dans le domaine du digital et accompagne les jeunes et les femmes burundaises dans la concrétisation de projets innovants. 

KIT Hub a pour mission de former, sensibiliser et accompagner ses bénéficiaires dans des domaines tels que le développement web et mobile, l’intelligence artificielle, la science des données et la cybersécurité. L’organisation met un point d’honneur à favoriser l’employabilité et l’esprit entrepreneurial, notamment dans le secteur technologique. 

Parallèlement, Chris Clement Igiraneza est ambassadeur du mouvement international Women in Tech et initiateur de plusieurs autres projets au Burundi. En 2020, il lance InnoTech Impact, une entreprise spécialisée dans le développement de solutions numériques innovantes. 

En 2024, il fonde l’African Sustainable Education Academy (ASEA), une académie qui vise à transformer l’éducation en Afrique. ASEA promeut l’apprentissage des compétences numériques, l’usage des technologies émergentes et l’intégration de principes durables pour relever les défis éducatifs et sociaux du continent. Chris Clement Igiraneza représente également l’Université polytechnique de Gitega en tant qu’ambassadeur. 

L’entrepreneur est diplômé de l’Institut royal de technologie en Suède, où il a obtenu en 2011 un bachelor en ingénierie électrique et de santé. Il est également titulaire d’un master en systèmes énergétiques, obtenu en 2014 à l’université de Gävle, en Suède. 

Côté professionnel, il travaille entre 2007 et 2011 comme aide-soignant chez Attendo, un prestataire suédois de services de santé. En 2012, il devient chef du département commercial et chef de projet chez Bioenergy Burundi, une entreprise spécialisée en bioénergie. En 2016, il rejoint l’entreprise Mycronic, spécialisée dans la fabrication d’équipements électroniques, où il travaille comme ingénieur en recherche et développement sur les systèmes d’éjection. 

Melchior Koba

Edité par Sèna D. B. de Sodji

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Elle utilise la technologie pour révéler et développer les talents. À travers ses initiatives, elle contribue activement à renforcer la place des femmes et des jeunes dans l’écosystème digital. 

Bénie B. Koy (photo) est une consultante en stratégie et une entrepreneure tech originaire de la République démocratique du Congo. Elle est la fondatrice et la directrice générale de Diamant Brut, une start-up spécialisée dans les technologies éducatives. 

Fondée en 2024, Diamant Brut est une plateforme d’apprentissage en ligne qui aide ses utilisateurs à identifier, développer et valoriser leurs dons et talents naturels. L’objectif est de les transformer en compétences concrètes, exploitables et monétisables. Toutes les formations proposées sont entièrement numériques. 

Avant de lancer Diamant Brut, Bénie B. Koy avait fondé en 2019 Talentus Consulting, un cabinet de conseil en stratégie et en management, dont elle est présidente. Ce cabinet accompagne les entreprises dans leurs projets de transformation digitale. En 2023, elle a également cofondé l’antenne congolaise de l’organisation internationale Women in Tech, où elle occupe le poste de directrice stratégique. L’organisation œuvre pour une plus grande inclusion des femmes dans le secteur technologique. 

Titulaire d’un bachelor en administration et gestion des affaires obtenu en 2002 à l’Université du Littoral Côte d’Opale en France, Bénie B. Koy a ensuite poursuivi ses études à l’IAE Paris-Est, où elle décroche un master en marketing en 2006. Elle est aussi diplômée de l’ESSEC Business School, avec un master en management des systèmes d’information obtenu en 2018. 

Elle débute sa carrière professionnelle en 2007 chez Randstad, une société de placement de talents, comme cheffe de produit junior. En 2018, elle rejoint le cabinet CGI Business Consulting comme consultante en stratégie, puis intègre en 2019 Capgemini, une entreprise française de services technologiques, en tant que consultante en systèmes d’information. En 2023, elle travaille pour le groupe Legrand, spécialisé dans les infrastructures électriques et numériques du bâtiment, en qualité de consultante en gestion du changement. 

Melchior Koba

Edité par Sèna D. B. de Sodji

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A la tête d’un centre d’innovation basé à Mogadiscio, il s’efforce de structurer un écosystème technologique solide en Somalie. Entre entrepreneuriat et expertise en politiques publiques, il incarne une nouvelle génération d’acteurs du changement. 

Abdihakim Ainte (photo) est un entrepreneur technologique, chercheur et analyste d’origine somalienne. Il est cofondateur et directeur général d’iRise Hub, un centre dédié à l’innovation et à la technologie. 

Créé en 2016 à Mogadiscio, capitale de la Somalie, iRise Hub ambitionne de développer un écosystème local capable d’attirer des investissements internationaux. Ce centre s’adresse aux entrepreneurs, développeurs, investisseurs, techniciens et innovateurs, ainsi qu’à l’ensemble de l’écosystème des start-up somaliennes. Il leur offre un espace de travail collaboratif où ils peuvent partager leurs idées et développer leurs projets. 

iRise Hub propose des formations en design thinking (méthodologie d’innovation centrée sur l’utilisateur) et conçoit des programmes sur mesure pour aider les start-up à entrer rapidement sur le marché. Aujourd’hui, la communauté d’iRise Hub compte plus de 40 000 membres et 80 mentors. Le centre a mis en place plus de 20 programmes, organisé plus de 350 événements et soutenu plus de 3000 start-up. 

Avant de lancer iRise Hub, Abdihakim Ainte a fondé en 2014 TransLink Advisory, une société de conseil spécialisée dans les questions de sécurité, de développement socio-économique et de renforcement institutionnel. 

Abdihakim Ainte est titulaire d’un diplôme en science politique et gouvernement obtenu en 2017 à la Linnéuniversitetet, une université suédoise. Il est aussi diplômé de l’université de Bristol en Angleterre, où il a obtenu en 2020 un master en analyse des politiques publiques. 

Sa carrière professionnelle débute en 2011 à l’Institute for Peace and Security Studies (IPSS), où il travaille comme chercheur sur les questions liées à la Somalie. En 2014, il devient directeur du Somali Forum for Progress, un groupe de réflexion indépendant réunissant chercheurs, intellectuels, universitaires, responsables politiques et journalistes pour contribuer au développement du pays. 

Melchior Koba

Edité par Sèna D. B. de Sodji

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Il appartient à une génération d’entrepreneurs africains qui exploitent la technologie pour répondre à des besoins concrets. Porté par une vision inclusive, il place l’innovation au service de l’apprentissage. 

Blaise-Antoine Lauboue (photo) est un entrepreneur ivoirien spécialisé dans la technologie et la transformation numérique. Il est le fondateur, le président-directeur général et le directeur des opérations de Le Badjôr, une start-up dédiée aux technologies éducatives. 

Fondée en 2024, Le Badjôr a développé une application qui rend l’apprentissage collaboratif et ludique accessible à tous. Sa mission est de créer un environnement stimulant dans lequel les apprenants peuvent réviser quotidiennement tout au long de leur parcours scolaire ou universitaire. L’une de ses fonctionnalités phares, Mon Gbonhi, permet aux utilisateurs de créer des communautés pour partager leurs connaissances. 

L'application repose sur un système de questions-réponses enrichi par un mécanisme de vote, rendant ainsi les interactions plus dynamiques et engageantes. Elle propose également un système de points et de pièces virtuelles permettant de débloquer des ressources comme des sujets d'examens, des devoirs ou des quiz, pour mieux se préparer. Une messagerie instantanée gratuite y est intégrée, favorisant ainsi l’inclusion et l’entraide entre élèves, étudiants et autres apprenants. 

Blaise-Antoine Lauboue est certifié en UI/UX design (expérience et interface utilisateur) et en graphisme, une formation qu’il a suivie en 2023 auprès de Simplon Côte d’Ivoire. Il commence sa carrière en 2020 chez Tootree, une autre edtech, où il occupe le poste de directeur général. 

En 2023, il rejoint Mstudio en tant que designer UI/UX, tout en assurant parallèlement la fonction de responsable UI/UX chez Edopay Côte d’Ivoire, une fintech locale. En 2024, il travaille d’abord comme directeur artistique au sein d’Image Réputation et Influence, un cabinet spécialisé en gestion d’image, affaires publiques et stratégie d’influence, puis comme responsable du design chez Spider Technologies. 

Melchior Koba

Edité par Sèna D. B. de Sodji

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Du 2 au 12 décembre 2024, le ministère béninois du Numérique a lancé un appel à candidatures à l’intention des MPME béninoises désireuses d’obtenir le « label start-up ». Les résultats ont récemment été annoncés.

Les autorités béninoises ont dévoilé le vendredi 9 mai la liste des micro, petites et moyennes entreprises (MPME) qui ont obtenu le « label start-up » pour les trois prochaines années. Au nombre de 15, elles ont été sélectionnées parmi quatre-vingt-quinze (95) MPME opérant dans des secteurs tels que la santé, le tourisme ou encore la technologie.

« Après une vérification de l'éligibilité et de la complétude des dossiers par le secrétariat permanent du comité technique de labellisation, vingt (20) dossiers ont été retenus et engagés dans un processus d'évaluation mené par ledit comité […]. A l'issue du processus d'évaluation des candidatures, quinze (15) micro, petites et moyennes entreprises se sont vu octroyer le label start-up pour les trois (03) prochaines années », peut-on lire dans le communiqué publié par le ministère béninois du Numérique et de la Digitalisation.

Cette sélection fait suite à un appel à candidatures lancé du 2 au 12 décembre 2024 à l’intention des MPME béninoises souhaitant obtenir le « label start-up ». L’attribution de ce label s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du décret n°2023-095 du 22 mars 2023. Les autorités prévoient un traitement spécifique pour les entreprises labellisées, afin de favoriser leur développement dans un environnement adapté.

Selon le code général des impôts en vigueur au Bénin, elles « bénéficient de l’exonération de l’impôt sur les sociétés et du versement patronal sur les salaires pendant les deux (2) premières années d’activités et d’une réduction de 50% des mêmes impôts au titre de la troisième année ». Le but est de stimuler l’innovation, la création d’emplois et d’inciter les investisseurs à miser sur les jeunes pousses béninoises.

D’après le rapport « Africa 2023 Investment Report Crisis or Adjustment » de Briter Bridge, les start-up africaines ont attiré plus de 22 milliards $ entre 2013 et 2023. En 2024, elles ont capté 3,2 milliards $, selon les données de Partech Africa. A moyen terme, la mise en place du « label start-up » pourrait stimuler l’émergence d’un vivier de start-up compétitives sur le plan régional, voire continental, et renforcer l’attractivité du Bénin en tant que hub de l’innovation en Afrique de l’Ouest. Pour rappel, des pays comme le Sénégal, le Rwanda ou encore la Tunisie ont mis en place des dispositifs similaires pour faire émerger leur écosystème start-up.

Adoni Conrad Quenum

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Les autorités mauritaniennes ambitionnent de numériser l’ensemble des secteurs de l’économie nationale, y compris l’éducation. Dans ce cadre, une feuille de route pour la transformation numérique du système éducatif est en cours d’élaboration depuis janvier dernier. 

Le gouvernement mauritanien envisage de mettre en place une plateforme numérique pour la formation continue des enseignants de l’enseignement fondamental, équivalent au primaire. Une convention de coopération a été signée le lundi 12 mai entre le ministère de la Transformation numérique et de la Modernisation de l’administration et le ministère de l’Éducation et de la Réforme du système éducatif. 

La plateforme numérique sera gratuite et accessible à tout enseignant via les réseaux de tous les fournisseurs d’accès à Internet en Mauritanie. La mise en place de 63 salles informatiques est également prévue, soit une par département. Chacune sera dotée d’un serveur facilitant l’accès à la plateforme sans besoin de connexion directe à Internet. 

« La convention comprend aussi un programme de formation des formateurs et des techniciens relevant du ministère, pour leur permettre de gérer la plateforme et d’en développer les contenus, garantissant ainsi sa durabilité et son efficacité », indique le ministère de la Transformation numérique. 

La mise en place de cette plateforme s’inscrit dans les efforts du gouvernement mauritanien pour numériser le système éducatif national. Les acteurs du secteur ont engagé en début d’année l’élaboration d’une feuille de route pour la transformation numérique du secteur. Les autorités travaillent également sur un dispositif innovant pour numériser les diplômes, dans le but de moderniser leur délivrance et d’en renforcer l’authenticité. 

Le gouvernement mauritanien mise sur le renforcement des compétences des enseignants via la plateforme numérique afin d’améliorer la qualité de l’enseignement et ses résultats. Toutefois, aucun calendrier de conception ni de mise en service de l’outil n’a encore été communiqué par les parties prenantes. Par ailleurs, la question de son adoption effective par les enseignants reste posée. Au-delà des salles informatiques prévues dans chaque département, l’efficacité du dispositif dépendra aussi de l’accès individuel aux équipements numériques, tels que les smartphones ou les ordinateurs. 

Isaac K. Kassouwi

Edité par Sèna D. B. de Sodji

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Alors que la digitalisation s’accélère, les États nigérians multiplient les initiatives pour renforcer les compétences numériques de leurs citoyens. Par exemple, l’État de Benue s’est engagé en mars dernier à former 40 000 fonctionnaires au numérique. 

Le gouvernement de l’État de Zamfara, au Nigeria, a signé un accord avec la société Oracle pour développer les compétences numériques des jeunes et des professionnels. Ce partenariat s’inscrit dans la stratégie de transformation numérique de l’État. 

Le partenariat sera mis en œuvre par l’Agence de développement des technologies de l’information de Zamfara (ZITDA), en collaboration avec Oracle Academy et Oracle University. Il prévoit un accès gratuit à des cours en ligne, des certifications professionnelles et plus de 200 heures de formation dans des domaines clés comme le cloud, l’intelligence artificielle, la science des données et le développement APEX. 

« Ce que nous faisons aujourd’hui dépasse la simple technologie : il s’agit de redonner espoir, de créer des opportunités et d’ouvrir les portes de l’avenir. En investissant dans l’éducation numérique et l’innovation, nous offrons de véritables alternatives à la pauvreté, au chômage et au désespoir », a déclaré Dauda Lawal, gouverneur de l’État de Zamfara. 

En mettant l’accent sur la formation, le gouvernement de Zamfara espère non seulement permettre aux citoyens de participer à l’économie numérique, mais également développer une main-d’œuvre qualifiée. Par exemple, la Banque mondiale estime que près de 230 millions d’emplois nécessiteront des compétences numériques en Afrique subsaharienne d’ici 2030. 

Isaac K. Kassouwi

Edité par Sèna D. B. de Sodji

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En avril dernier, le gouvernement algérien a révélé son intention de fournir des tablettes à la moitié des écoles primaires avant la prochaine rentrée. Cette initiative s’inscrit dans le programme de numérisation du secteur éducatif. 

En Algérie, l’Entreprise nationale des industries électroniques (ENIE)prévoit de produire deux millions de tablettes électroniques en 2025 pour équiper 8800 établissements éducatifs. C’est ce qu’a révélé Mohamed Abbes Bourassi, PDG de la société, le mercredi 7 mai, dans une déclaration à l’Algérie Presse Service (APS), en marge de la réouverture du showroom de l'entreprise à Alger. 

Cette initiative devrait permettre de soutenir le gouvernement dans son ambition de généralisation de l’usage des technologies de l’information et de la communication dans l’éducation nationale. Par exemple, l’exécutif a prévu d’équiper la moitié des écoles primaires du pays en tablettes électroniques pour la prochaine rentrée scolaire. Ces appareils pourraient être utilisés dans la gestion des écoles. Ils pourraient également faciliter l’accès des élèves et des enseignants à des ressources éducatives en ligne, les recherches, l’apprentissage et la communication. 

Dans des propos rapportés par l’APS, Mohammed Seghir Sadaoui, ministre de l'Éducation nationale, a déclaré que le projet vise à « alléger le cartable des élèves, mais surtout améliorer les conditions de scolarisation et la qualité de l'enseignement, et les adapter aux progrès numériques ». À terme, le gouvernement algérien veut faire de l’école algérienne un modèle de modernisation et d’innovation grâce aux outils numériques. Des plateformes numériques ont été déployées à cet effet, notamment pour les enseignants, les parents d’élèves, l’évaluation des acquis et la prise de rendez-vous pour l'authentification des diplômes. 

L’ENIE n’a pas encore communiqué de calendrier précis pour le démarrage de la production des tablettes électroniques. Cela suscite des interrogations quant à la capacité de l’entreprise à livrer les appareils à temps pour la rentrée scolaire de septembre 2025, conformément aux engagements pris par le gouvernement. 

Isaac K. Kassouwi

Edité par Sèna D. B. de Sodji

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Le Fonds d’Innovation de l’UNICEF a lancé un appel à candidatures pour des start-up en phase de démarrage, axées sur l’amélioration de la santé, du bien-être et de la participation socio-économique des femmes et des filles. Les entreprises éligibles doivent être enregistrées dans des pays à revenu faible ou intermédiaire, développer des technologies open source et disposer d’un prototype fonctionnel.

Les start-up dirigées par des femmes et les fondateurs de moins de 35 ans sont particulièrement encouragées à postuler. Les candidatures sont ouvertes jusqu’au 8 mai 2025. Cliquez ici pour en savoir davantage.

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EGBank et Alex Angels lancent la 13e édition du MINT Incubator en Egypte, un programme de 3 mois sans capitaux propres pour les start-up au stade du produit minimum viable (MVP). Il offre : mentorat, ateliers (finance, marketing, juridique, etc.) et espace de coworking gratuit. Le programme se termine par un demo day devant des investisseurs. Les candidatures sont ouvertes ici jusqu’au 22 mai.

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