L’insurtech sud-africaine LeaseSurance a annoncé le lundi 28 août la réussite d’un tour de table d’amorçage d’un montant de 3 millions de rands (159 000 $). L’opération a été menée par Fedgroup Private Capital. Les fonds seront utilisés pour entre autres développer sa technologie, élargir son équipe et diversifier ses offres.

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La société basée à Dubaï souligne que l’investissement servira à renforcer l'infrastructure des systèmes de paiement, l'inclusion financière et à contribuer à la transformation numérique engagée par le gouvernement egyptien.

Network International, un acteur majeur du commerce numérique dans la région du Moyen-Orient et de l'Afrique (MEA), a annoncé le lundi 28 août un investissement de 1 milliard EGP (32,3 millions $) pour soutenir la croissance économique de l'Egypte grâce à des solutions de paiement innovantes.

Selon le communiqué de la société, une « part importante » des capitaux sera injectée dans l'acquisition, le déploiement et la maintenance d'environ 100 000 machines de point de vente (POS) dans plusieurs régions d'Egypte. Le reste de l'investissement sera consacré à la mise en œuvre et au bon fonctionnement de Network One, la plateforme technologique de pointe de la société en matière de paiements.

« Cet investissement souligne notre engagement continu à fournir des solutions de paiement innovantes aux entreprises égyptiennes. Notre présence dans l'économie égyptienne s'étend sur plus de deux décennies, au cours desquelles nous avons servi de nombreuses banques et institutions financières », a déclaré Nandan Mer, PDG de Network International.

Le nouvel investissement de Network International en Egypte s’inscrit dans le cadre des efforts consentis par le gouvernement dans le cadre de la réalisation de la stratégie nationale de transformation numérique du pays dénommée « Digital Egypt 2030 ». Elle vise à « réaliser l’économie numérique grâce aux TIC, afin de garantir la prospérité, la liberté et l’équité sociale pour tous ».

Ainsi, la présence de Network International en Egypte contribuera aux progrès remarquables du pays en matière d'inclusion financière et de croissance du PIB. L’objectif est de moderniser la technologie financière afin de faciliter le passage des paiements en espèces aux paiements numériques.

Samira Njoya

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Glamera, une start-up égyptienne de prise de rendez-vous pour les soins de beauté, a annoncé le dimanche 27 août l’obtention d’une licence fintech en Arabie saoudite. « Glamera Pay nous permettra de saisir de nouvelles opportunités et d'étendre notre portée, de répondre aux besoins d'une clientèle plus large en Arabie saoudite et d'ouvrir la voie à des partenariats stratégiques, car l'expansion de notre présence sur le marché saoudien a toujours été une priorité stratégique pour Glamera », a déclaré Mohamed Hassan, cofondateur de la start-up avec Omar Fathy et Zafer Alsheri.

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Après avoir voulu créer une solution qui fournit des flux de trésorerie aux micro-entreprises pour faciliter leur accès aux crédits dans les institutions financières traditionnelles, la fintech Numida s’est finalement lancée sur le segment avec plus ou moins de succès.

Fondée en 2015 par Ben Best, Catherine Denis et Mina Shahid, Numida est une solution fintech ougandaise. Elle permet aux propriétaires de micro-entreprises d’accéder à des prêts pour financer leurs activités commerciales. La start-up, basée à Kampala (capitale de l’Ouganda), a depuis son lancement levé plus de 15 millions $ pour développer sa technologie, élargir ses offres et accélérer sa croissance.

« Nous avons trouvé le moyen d'évaluer et de débourser des prêts non garantis à des entreprises basées sur la trésorerie qui n'ont pas d'historique de transactions numériques, tout en maintenant d'excellents taux de recouvrement », explique la jeune pousse.

La solution dispose d’une application mobile accessible uniquement sur Android. L’utilisateur, après téléchargement, doit s’inscrire pour accéder aux divers services. Le montant des prêts varie entre 100 $ et 5 000 $ et il est possible d’y accéder dans les deux heures après l’initiation de la procédure.

« Nous examinons les fondamentaux de l'entreprise, ses flux de trésorerie et certaines données démographiques concernant les candidats. Nous avons dû constituer notre propre ensemble de données car il n'existe pas de données facilement accessibles sur les flux de trésorerie des entreprises semi-formelles, des micro-entreprises et des petites entreprises en Afrique », a indiqué Mina Shahid.

La fintech est en pleine croissance sur le marché ougandais. En 2021, elle a revendiqué plus de 15 000 prêts et a investi plus de 2 millions $, à raison de 250 000 $ par mois, dans les prêts sans garantie, d’après Mina Shahid. Son application mobile a déjà été téléchargée plus de 500 000 fois, selon les données de Play Store, et elle envisage d'investir le marché ouest-africain en commençant par le Ghana. En 2022, elle a été sélectionnée parmi la cohorte d’hiver de l’accélérateur californien Y Combinator.

Adoni Conrad Quenum

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Ancien étudiant de MEST Africa, il lance durant le programme d’accompagnement la start-up BezoMoney. Cette dernière fournit des produits et services financiers numériques aux jeunes et aux personnes non bancarisées.

 Le Ghanéen Mubarak Sumaila (photo) est un cofondateur et le président-directeur général de la start-up BezoMoney. Diplômé de la University for Development Studies où il a obtenu en 2017 une licence en biotechnologie, il a lancé BezoMoney, deux ans après, dans le cadre du programme de formation de start-up de MEST Africa.

« Il y a beaucoup de gens dans le secteur informel en Afrique et leur vie ne s’améliore guère d’une année à une autre. Nos recherches nous ont permis de comprendre que cette situation est due à leur accès limité aux services financiers formels, qui découle de leur incapacité à se constituer des antécédents de crédit vérifiables, même s’ils épargnent et accèdent au crédit par le biais de systèmes financiers informels. BezoMoney existe pour changer cela », a expliqué Mubarak Sumaila.

BezoMoney met à la disposition des personnes à faibles revenus une plateforme d’épargne sociale, nommée Bezo, pour les aider à économiser de l’argent plus facilement et à accéder à un capital important grâce à l’épargne collective.

Elle propose aussi un autre produit appelé BezoSmart Series, une plateforme d’éducation financière qui fournit des informations pratiques à ses clients sur la manière de développer et de gérer leurs finances. Elle couvre un large éventail de sujets financiers, de l’épargne aux investissements. Elle propose un podcast, un programme d’éducation financière, des événements et des rencontres.

Membre du comité de pilotage des anciens élèves de Summit, une communauté mondiale d’entrepreneurs, d’universitaires, d’athlètes, et de personnalité de tous genres, et boursier de l’incubateur Halcyon en 2022, Mubarak Sumaila est un bénéficiaire de l’accélérateur Techstars en 2023. BezoMoney fait partie des start-up sélectionnées pour le programme Black Founders Fund 2023 de Google for Startups.

Ancien stagiaire (2016) à Lancet Technologies, un laboratoire de pathologie opérant dans toute l’Afrique du Sud, il a travaillé entre 2017 et 2019 comme directeur du bureau d’Accra de Startup Grind, une communauté mondiale de start-up. En 2020, il devient podcasteur à A Tribe called VC, un média en ligne qui veut combler le fossé de l’information entre les start-up africaines et les sociétés de capital-risque. En 2021, il a travaillé en tant que chef de produits numériques à Digital Product School, un programme de formation mis en place par la société allemande UnternehmerTUM.

Melchior Koba

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LemFi, une start-up fintech qui permet aux utilisateurs d'envoyer gratuitement de l'argent en Afrique, a levé 33 millions de dollars dans le cadre d'un tour de table de série A mené par Left Lane Capital, a vu la participation de Y-Combinator, Zrosk, Global Founders Capital et Olive Tree.

Les fonds permettront selon les responsables de la start-up de simplifier les transferts de fonds pour les immigrés dans le monde entier.

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 Moniepoint a obtenu l'autorisation d'acquérir la fintech kényane Kopo Kopo

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La fintech kényane Zanifu, fondée en 2018 par Steve Biko et Sebastian Kilimo, a annoncé en début de semaine la réussite d’un tour de table d’un montant de 11,2 millions $. L’opération a été menée par Beyond Capital Ventures et Variant Investments.

Les fonds seront utilisés pour élargir ses offres aux distributeurs, elle qui fournissait des crédits uniquement aux petits détaillants.

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Mastercard, Lipa Later Team Up to Expand Buy Now, Pay Later Services in Africa

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L’Autorité de concurrence du Kenya (CAK) a approuvé, le mardi 22 août, le projet de rachat par Moniepoint, de la totalité des actions et du capital (100 %) du fournisseur kényan de services de paiement et services financiers numériques Kopo Kopo Inc. Le montant de l’acquisition n’a pas été dévoilé.

Moniepoint, qui est présent au Nigeria via sa filiale de technologie financière TeamApt et son établissement bancaire Moniepoint Microfinance Bank, réalise ainsi sa première opération dans le secteur des services financiers et numériques au Kenya.

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The partnership aims to empower people and businesses by leveraging technology infrastructure to improve access to goods and services. This step should contribute to fostering economic growth on the continent.

Mastercard, a global fintech leader, partnered earlier this month with Lipa Later, a key fintech player, to boost the adoption of Buy Now, Pay Later (BNPL) services in Africa.

This collaboration will offer tailored BNPL solutions and improved payment options, benefiting both consumers and merchants. With Mastercard's merchant network, tech innovations, and Lipa Later's consumer credit expertise, the partnership aims to enhance access to crucial products and services, streamlining credit access and transaction experiences.

Kenya, with an 84% formal financial service usage according to the 2021 FinAccess Household Survey Report, shows growth in financial inclusion. Yet, a significant portion still lacks access. This collaboration seeks to bridge this gap, extending digital financial services to the underserved.

Shehryar Ali, Mastercard's East Africa Country Manager, stressed the partnership's role in providing new digital payment solutions. By leveraging Lipa Later, Mastercard aims to ensure secure digital payments and foster financial inclusion for underserved communities, thereby promoting economic growth. “Mastercard is fundamentally committed to promoting financial inclusion, and this alliance unfolds fresh avenues for consumers and retailers to tap into previously inaccessible digital payment solutions,” she stated.

The BNPL solution simplifies financing at checkout, with instant Know Your Customer (KYC) capabilities. This benefits consumers and boosts merchant revenue, allowing a wider product range.

Eric Muli, CEO of Lipa Later Group, highlighted the partnership's significance in expanding BNPL and lending solutions in Africa. The collaboration seeks to stimulate economic empowerment and innovation in Africa's retail sector.

This partnership showcases Mastercard's commitment to inclusive growth through technology-driven solutions. By backing new payment models and local entrepreneurship, Mastercard propels economic progress in Africa.

Hikmatu Bilali

 

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Les moyens numériques de paiement sont en pleine croissance sur le continent. Les fintech proposent différents produits les uns aussi efficaces que les autres dans leur usage au quotidien.

Flash est une solution fintech développée par une start-up égyptienne. Elle permet aux utilisateurs d’effectuer des achats avec leur smartphone depuis une carte bancaire ou un portefeuille numérique en utilisant un code QR (type de code-barres à deux dimensions, constitué de modules-carrés noirs disposés dans un carré à fond blanc). Internet est indispensable pour accéder aux informations d’un code QR.

La fintech qui propose cette solution est basée au Caire et a été fondée en 2021 par Erik Gordon (photo, à droite) et Sherine Kabesh (photo, à gauche). Depuis son lancement, elle a réussi un tour de table d’un montant de 6 millions $ pour, entre autres, développer sa technologie et soutenir sa croissance.

« Notre application mobile élimine les défis transactionnels pour les entreprises qui recherchent une solution plus simple que le point de vente. Notre objectif est de rendre les paiements plus faciles, plus sûrs et plus rapides pour tout le monde », a déclaré Erik Gordon en juillet dernier.

Avec pour principal objectif de faciliter les diverses transactions commerciales, la solution dispose d’une application mobile accessible sur iOS et sur Android. Après son téléchargement, l’utilisateur doit créer un compte pour accéder aux diverses fonctionnalités de la fintech. Entre autres, il peut ajouter des cartes bancaires ou recharger son portefeuille numérique dans le but de faire des transactions commerciales. Les paiements peuvent s’effectuer en scannant le code QR des entreprises partenaires où l’utilisateur a effectué ses achats.

Outre les fonctionnalités de base, Flash veut intégrer de nouveaux outils de gestion financière pour aider les consommateurs à prendre de meilleures décisions en matière de dépenses, selon Erik Gordon.

Depuis son lancement, la version Android de l’application mobile a été téléchargée plus de 5 000 fois, d’après les données de Play Store.

Adoni Conrad Quenum

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